Valence:Des coups de feu qui retentissent au coeur de l'après-midi. Et un homme qui s'effondre, gisant à terre, touché aux jambes. C'est la scène surréaliste, d'une violence extrême, qui s'est déroulée hier dans le quartier de Fontbarlettes. À deux pas de la bibliothèque municipale du quartier.
commentaire:
Ce monde est en train de nous empoisonner, il nous contraint à des activités inutiles et nocives, il nous impose d’avoir besoin d’argent et nous prive de rapports
passionnants. On est en train de vieillir parmi des hommes et des femmes sans rêves, étrangers à un présent qui ne laisse pas d’espace à nos élans les plus généreux. Nous ne sommes partisans
d’aucune abnégation. Simplement, ce que cette société peut offrir de meilleur (une carrière, une réputation, un gros lot gagné à l’improviste), ne nous intéresse pas. Commander nous répugne
autant qu’obéir. Nous sommes des exploités comme les autres et nous voulons en finir, tout de suite, avec l’exploitation. La révolte n’a pas besoin pour nous d’autres justifications. La vie est
une misère, on ne peut donc que théoriser la misère. La vérité avant tout. On a tant de raison de se révolter et autant
d’ être solidaire.
Plus l'état et sa police diminuent le champ de ce qui est permis, plus l'inégalité s'étend à l'ensemble de nos faits et gestes . En multipliant les inculpations et les incarcérations, l'état
cherche à étouffer toutes formes de lutte et de résistance.
Contre la peur et l'isolement, le silence de la répression et de la prison , la solidarité est notre arme.
Il est nécessaire de soutenir tous les insurgés inculpés.
La dictature étend son smog puant.
RESISTANCE !!!