« Une société projette de fabriquer des implants plus
performants qui pourraient vibrer, faire subir à la
personne implantée des électrochocs, envoyer un
message, ou servir de microphone pour transmettre des
conversations »
-
Un marquage et un traçage de haute technologie par « satellite » sont prévus
Les ministres prévoient d'implanter des micropuces "lisibles par machine" sous la peau de milliers de malfaiteurs dans le cadre d'une expansion du système de marquage électronique qui permettrait de créer plus d'espace dans les prisons britanniques. . Commentaire : c’est donc lâché : la micro-puce sous-cutanée (qui est, nous le savons, cancérigène, et qui permet le contrôle comportemental, hormonal et émotionnel des individus)
va être proposée (et certainement IMPOSEE) aux prisonniers britanniques !!! Ceux qui avaient encore des doutes quant à l’implantation ILLEGALE de la puce neurale 2020 d’IBM sur des prisonniers américains (cf. http://www.geocities.com/Area51/Shadowlands/6583/project134.html)savent à présent à quoi s’en tenir… . Parmi les craintes concernant la sécurité des systèmes de marquage existants et la surpopulation des prisons, le Ministère de la justice enquête sur l'utilisation des satellites et de la technologie des ondes radio pour surveiller les criminels. . Commentaire : je rappelle que les radiofréquences sont NOCIVES pour la santé car elles cassent l’ADN, qu’elles permettent d’agir sur les neurotransmetteurs et les hormones (et donc, sur l’humeur et le comportement) des individus.
II)le PISTAGE PAR SATELLITE DES INDIVIDUS PUCES EST AU PROGRAMME…
.
Au lieu d'être contenues dans des bracelets portés autour de la cheville, les minuscules puces seraient insérées chirurgicalement sous la peau des délinquants de la collectivité, afin d’aider à faire respecter les couvre-feux à domicile. Ces puces d'identification par radiofréquence (RFID), aussi longues que deux grains de riz, sont capables de transporter des renseignements personnels scannables, y compris leur identité, leur adresse et leur casier judiciaire. Commentaire : chose étrange : les puces implantables en question auraient ici la longueur de DEUX grains de riz, alors que les puces traditionnelles ne possèdent la longueur que d’un grain de riz. Mais nous savons que pour que ce dispositif répugnant puisse être repéré par satellite, la puce doit être plus grande que les puces traditionnelles. Ceci pourrait expliquer cela… Les puces, qualifiées de "spychips" (« puces-espionnes ») par les militants pour la vie privée, sont déjà utilisées dans le monde entier afin de pister les chiens, les chats, le bétail et les bagages à l'aéroport, mais il n'existe aucun précédent de l’utilisation de cette technologie afin de surveiller les délinquants dans la collectivité.
III)Un logiciel pour gérer la population carcérale
Selon monsieur Felloune, cette application, qualifiée de « révolutionnaire » se décline comme un réseau intranet, relié à toutes les prisons avec une base de données consolidée à l'échelle nationale. Dotée d'un logiciel intelligent , réalisé à 100% par des compétences algériennes, cette nouvelle application, par ailleurs non encore généralisée dans le monde , servira à connaître le profil des détenus depuis leur incarcération jusqu'au jour de leur libération, en passant par leur transfert, leur traitement , leur comportement et leur insertion . Cela permettra à l'administration pénitentiaire de connaître également les filiations complétes, les cas de récidive, l'âge et le niveau d'instruction des détenus
B)conclusion
L'humanisation des prisons qu'en est'il ?
« Le gouvernement algérien donne une réponse L'humanisation des prisons en algérie, comme partout dans le monde d'ailleurs, a toujours fait l'objet de contreverses et de critiques de la part des ONG et des organisation des droits de l'homme, des associations et même des parents de détenus »
Cette phrase d'introduction de la réforme pénitentiaire en cours en Algérie montre la place indispensable des ONG dans sa gestion des établissements pénitentiaires. La gestion de crise des prisons dans la France de 2008 est mise en évidence par le dernier Week end
du Genépi -Lyon dans un cadre universitaire
liste des intervenants donné en patûre aux voyeurs.L. Perrin (coordinateur régional de l’OIP), P. Beaupère (directrice de l’UCSA), A. Grépillat (psychologue à la Maison d’Arrêt de Grenoble) et C. Touraut (doctorante en sociologie). Et les trois ateliers sont digne de MENDELE:
la santé en détention
les relations familiales
les mineurs en prison
Ce ne sont pas des collabos dont il s'agit mais des associations de bénévoles qui jouissent
à participer la gestion des résultats de l'exploitation et de la domination des ''indésirables