De violentes manifestations contre l'austérité: la Grèce
15h38 (GMT+2): Athènes : Des milliers de personnes se rassemblent place Syntagma, où un cordon de policiers protège le Parlement. L'appel a été lancé de revenir place Syntagma. Au moins 30 personnes ont été arrêtée devant le Ministère des Affaires Etrangères. Les autorités du Rectorat tiennent une réunion pour préparer la violation de l'asile universitaire. Une foule se rassemble place Omonoia et se prépare à marcher vers la place Syntagma. Les stations de métro du centre ont été fermées par la police.
15h23 (GMT+2): Manifestations dans plusieurs villes du pays : Thessalonique, Patras, Ioannina, Kozani, Agrinio, Naxos, Rethymno, Volos, Arta, Heraklion, Larisa, Serres, Kefallonia, Mytilene... A Drama, l'hôtel de ville a été occupé par des manifestants.
Il s'est transformé en guérilla urbaine dans la Grèce, la première grève générale de 2011 contre le plan d'austérité du gouvernement.
La police
des gaz lacrymogènes et Molotov
des manifestants ont mis le feu à la place Syntagma devant le Parlement à Athènes. Le bilan est encore une cinquantaine arrestations et d'autres légèrement blessés.
C'est la grève contre la dixième mesures de réductions approuvées en mai l'an dernier en échange de 110 milliards d'euros en trois ans par l'Union européenne et le FMI. Dans le carré dans la capitale, 60.000 manifestants, selon les syndicats, qui ont organisé la grève.
Certains groupes scandant le slogan "après Ben Ali et Moubarak, maintenant c'est à Papandreou."
Le gouvernement du Premier ministre socialiste, pour éviter la faillite, a augmenté les impôts, des réductions imposées dans les salaires et pour les pensions des fonctionnaires, plus de TVA et étendu la possibilité de drame humain dans le secteur privé.
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l'austérité: la Grèce
Grèce: moltov et des affrontements dans les rues d'Athènes