la slovénie faisait partie de la Yougoslavie; les mesures de casse sociale sous couvert de la crise le capitalisme continue la destruction de toute conquête sociale. La Slovénie c'est aussi l'Union européenne. solidaire des émeutiers Slovéne qui se battent contre le capitalisme.
Traduit du site de la Federacije za anarhistično organiziranje (Slovénie) : La Slovénie est brassée par sa première révolte de masse depuis deux décennies et la première à être surtout orientée envers l’establishment politique et les mesures d’austérité. Elle gagne déjà, dans plusieurs villes, un caractère anticapitaliste.
chronologie de la révolte( en italien)
(città, data, numero di partecipanti, numero di fermi/arresti tra i manifestanti, e persone ferite)
Maribor, Mercoledì, 21.Novembre, 1.500 manifestanti
Maribor, Lunedì, 26.Novembre, 10.000 manifestanti, 31 fermati (tutti rilasciati)
Ljubljana, Martedì, 27.Novembre, 1.000 manifestanti
Jesenice, Mercoledì, 28.Novembre, 200 manifestanti
Kranj, Giovedì, 29.Novembre, 1.000 manifestanti, 2 fermati
Ljubljana, Venerdì, 30.Novembre, 10.000 manifestanti, 33 fermati, 17 feriti
Koper, Venerdì, 30.Novembre, 300 manifestanti
Nova Gorica, Venerdì 30.Novembre, 800 manifestanti
Novo mesto, Venerdì 30.Novembre, 300 manifestanti
Velenje, Venerdì 30.Novembre, 500 manifestanti
Ajdovščina, Venerdì 30.Novembre, 200 manifestanti
Trbovlje, Venerdì 30.Novembre, 300 manifestanti
Krško, Sabato, 1. Dicembre, 300 manifestanti
Maribor, Lunedì, 3. Dicembre, 20.000 manifestanti, 160 fermati, 38 feriti
Ljubljana, Moday, 3. Dicembre, 6.000 manifestanti
Celje, Lunedì, 3. Dicembre, 3.000 manifestanti, 15 fermati
Ptuj, Lunedì, 3. Dicembre, 600 manifestanti
Ravne na Koroškem, Lunedì, 3. Dicembre, 500 manifestanti
Trbovlje, Lunedì, 3. Dicembre, 400 manifestanti
Jesenice, Martedì, 4. Dicembre, 300 manifestanti, 41 fermati
Brežice, Martedì, 4. Dicembre, 250 manifestanti
Ljubljana, Mercoledì, 5. Dicembre, protesta degli studenti davanti a facoltà di arte, 500 manifestanti
Ljubljana, Giovedì, 6. Dicembre, protesta studenti davanti al parlamento, 4.000 manifestanti
Koper, Giovedì, 6. Dicembre, 1.000 manifestanti, 2 fermati
Kranj, Giovedì, 6. Dicembre, 500 manifestanti
Izola, Giovedì, 6. Dicembre, 50 manifestanti
Murska Sobota, Venerdì, 7. Dicembre, 3.000 manifestanti
Bohinjska Bistrica, Venerdì, 7. Dicembre, 50 manifestanti
Ajdovščina, Venerdì, 7. Dicembre, 150 manifestanti
Ljubljana, Venerdì, 7. Dicembre 3.000 manifestanti
Nova Gorica, Sabato, 8. Dicembre, 300 manifestanti
Brežice, Domenica, 9. Dicembre 200 manifestanti
Ljubljana, Lunedì, 10. Dicembre, 100 manifestanti
Maribor, Lunedì, 10. Dicembre, 200 manifestanti (protesta solidale con i fermati e gli arrestati)
Ptuj, Lunedì, 10. Dicembre, 200 manifestanti
ANNOUNCED:
Ljubljana, Giovedì, 13. Dicembre
Maribor, Venerdì, 14. Dicembre
SLOVENIA (in tutte le città), 21. Dicembre
En moins de 3 semaines, il y a eu 35 manifestations dans 18 villes, où plus de 70 000 personnes ont participé. Les manifestations ont souvent tourné en
affrontement avec les policiers qui tentaient violemment de disperser les manifestations. 284 personnes ont été arrêtées, certaines relâchées, certaines non. Plusieurs personnes ont été
blessé-e-s.
Le tout a commencé à la mi-novembre avec des manifestations contre le maire corrompu dans la deuxième plus grande ville de Slovénie, Maribor (il a déjà
démissionné). Les manifestantes et manifestants ont popularisé le slogan « Il est fini » (Gotof Je) qui a par la suite été modifié pour viser plus ou moins chacun et chacune des
politiciens et politiciennes du pays. Les manifestations se sont répandues à travers le pays en seulement quelques jours. Elles deviennent de plus en plus le canal par lequel les gens expriment
leur colère au sujet des conditions générales de la société : de ne pas avoir d’emploi, de sécurité, de droits, de futur.
Les manifestations sont décentralisées, antiautoritaires et non-hiérarchiques. Les gens qui n’avaient auparavant jamais pris la rue y participent. Elles surviennent
dans des villages et villes qui n’avaient jamais connu une seule manifestation auparavant. Les gens créent de nouvelles alliances, devenant des camarades dans la lutte, et sont déterminé-e-s à
continuer pour aussi longtemps que ça prendra. Nous ne connaissons pas combien de temps nous réussirons à rester dans la rue. Mais une chose est sûre. Les gens ont fait l’expérience d’un
processus émancipatoire et ont repris une voix qui leur avait été usurpée violemment dans le passé. Et, c’est quelque chose que personne ne pourra leur enlever.
Federacije za anarhistično organiziranje (Fédération pour l'organisation anarchiste)slovénie,
émeutes