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  • : Le blog du laboratoire anarchiste est un blog actif a propos de l'actualité sociale
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Le laboratoire Anarchiste
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La tyrannie la plus redoutable n'est pas celle qui prend figure d'arbitraire, c'est celle qui nous vient couverte du masque de la légalité." Albert Libertad

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le blog du laboratoire anarchiste

File:Wooden Shoe.svg
18 avril 2006 2 18 /04 /avril /2006 10:22
Friends of yours told us your whole story. What is emerging from this meeting, is a
police-political-media machination to eradicate barcelona's squats. That way, your
only fault is to have been at the wrong place at the wrong moment, and to have
offered resistance to the pack of frustrated predators.\par
We're all for freedom of movement and residence, without country nor borders,
together against identitarian musty smells ...\par
Under pretext of your geographical identity (the spanish ex-colonies), they refuse
you to leave, what an irony for the "free" catalonia's capital to reproduce the same
oppression schema it has suffered previously !\par
For all these reasons, we are supporting you and we are organizing, with our little
means, a discussion / video / concert evening on april 22th, against your
imprisonments.\par
This letter is a little effort to pierce isolation's barriers.\par
\par
NO BORDER ! NO NATIONS ! STOP DEPORTATIONS !\par
\par
Le Labo & Le Mouton

address :

Le Laboratoire
8, place St Jean
26000 Valence\par
FRANCE



After the coming of 2 friends who told us your dirty story, we want by this letter
to give evidence of our support. To you who, by his acts, has resisted against the
securitarian wave. Salutation to you !\par
On occasion of the antiprison week that happens in barcelona, we, here, are
organizing a support evening (video showing, discussion, concert ...) on april
22th.\par
By following your story, we realize that cops are everywhere and always the same
frustrated predators.\par
Barcelona has its history, and we can see that speculators, bankers and the town
planning army attempt to change our struggles into holiday souvenirs for
tourists.\par
\par
This letter is for sure well insufficient. Nevertheless, don't hesitate to answer
us, to establish a correspondence.\par
\par
Active complicity.
\par
Le Mouton & Le Labo
\par
\par
P.S. : sorry for the english langage ! none of us speaks spanish ...\par
\par
address : \par
Le Laboratoire\par
8 place St Jean\par
26000 VALENCE\par
FRANCE\par
NDLC ces lettres ont été écrites lors de notre rencontre de mercredi dernier
Prochaine rencontre au Laboratoire
20h mercredi 19 avril 2006
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17 avril 2006 1 17 /04 /avril /2006 21:13

Les centrales nucléaires POLLUENT BEAUCOUP MOINS que les centrales thermiques. Des progrès sont sans cesse réalisés dans l'enfouissement des déchets. Et à terme, les réacteurs À FUSION (au lieu de la fission, actuellement) ne pollueront quasiment plus.


Alors ce n'est pas avec des milliers d'éoliennes, bruyantes, moches, et qui ne produisent rien qu'on pourra se chauffer demain !

 

NDLC: je passe ce commentaire publié sur l'appel à la journée du 1 mai 2006
Si vous voulez faire des commentaires sur ces propos, je demande qu'ils soient le plus constructifs possibles et en dehors des injures.

Un débat oui

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17 avril 2006 1 17 /04 /avril /2006 21:04
 

Appel de la Coordination nationale étudiante samedi 15-dimanche 16 avril à Nancy

La mobilisation a imposé un recul au gouvernement en l'obligeant à remplacer le CPE. Depuis 1995, c'est la 1ère fois qu'une mobilisation permet d'obtenir un tel recul d'un gouvernement, c'est la 1ère fois depuis 2002 que nous faisons céder ce gouvernement qui a tenu face à de nombreuses mobilisations. Après leur mise en minorité dans les urnes le 29 mai 2005, les politiques libérales se voient infliger une défaite par la rue. Cela prouve que la lutte paie. Le gouvernement est affaibli, c'est un point d'appui pour continuer à nous battre afin de gagner sur toutes nos revendications. Après un tel désaveu, Chirac et son gouvernement doit partir !

Mais quoi qu'en disent les médias et les directions syndicales, nous n'avons pas gagné sur l'ensemble de nos revendications. Nous continuons à nous battre, notamment pour le retrait de l'intégralité de la loi sur l'égalité des chances (LEC) du CNE du projet de loi CESEDA (loi Sarkozy II sur « l'immigration choisie », qui doit être votée le 3 mai à l'Assemblée)... D'autant plus que l'article remplaçant le CPE dans la LEC s'accompagne d'une nouvelle série de cadeaux fiscaux aux employeurs. La coordination nationale condamne le contenu et les conclusions des pourparlers engagés entre les dirigeants syndicaux et l'Etat UMP. Ces démarches laissent intactes la LEC et le CNE. De plus, seul le mouvement de lutte est légitime pour signifier la victoire ou la défaite de la lutte. Nous exigeons des directions syndicales qu'elles rompent toute négociation avec le MEDEF et le gouvernement.

Le remplacement du CPE conduit à une certaine confusion : la nécessité de rejeter la LEC, le CNE, la loi CESEDA n'est pas suffisamment prise en compte, tandis que les directions des organisations syndicales et les médias ont focalisé l'attention uniquement sur le CPE. De plus, nous avons également un certain nombre d'autres revendications (abrogation de la loi Fillon, hausse des postes au CAPES) Malgré cette confusion, la répression et le chantage aux examens, la grève et le blocage ont cependant été reconduits dans plusieurs universités et lycées. Les assemblées générales sont toujours massives, les exigences restent fortes, ce qui montre que la jeunesse est déterminée à poursuivre la lutte. Aujourd'hui, nous dénombrons 37 facs mobilisées dont 18 sites universitaires bloqués. Nous appelons à continuer la mobilisation, à maintenir les blocages et à reconnaître leur nécessité.

Le recul du gouvernement sur le CPE a donné confiance à des millions de personnes qui ont pris conscience de leurs propres forces. Les manifestations massives, les grèves et blocages, légitimés par des AG massives, nous ont permis d'obtenir le remplacement du CPE. Continuons dans cette voie !

Par ailleurs nous avons développé des liens concrets avec les salariés : AG communes, interventions envers les entreprises, mais aussi actions communes (blocages économiques, barrages de voies de communication, etc.). C'est l'extension aux salariés qui a fait peur au gouvernement. Nous continuerons le travail d'information sur les politiques actuelles qui précarisent nos vies : en direction les lycéens et les étudiants, par des interventions en TD et en amphis, des débats en assemblée générale, et également envers les salariés, par des diffusions de tracts, des actions en direction des entreprises, toujours dans le but de mobiliser les travailleurs.

Notre lutte a révélé une crise sociale et politique. Il ne s'agit pas d'un accès de fièvre ordinaire, mais d'une manifestation de la crise de tout le système social. La logique capitaliste est mise au ban des accusés. Le capitalisme ne peut donner aucune réforme sociale positive. Bien plus, il est même contraint de démanteler les anciennes conquêtes sociales. Tous les lamentables chefs de la droite et de la gauche gouvernementale mènent avec des nuances de méthode la même politique au service d'un système économique prédateur.

Nous exigeons des garanties sur le déroulement des examens de fin d'année. Nous dénonçons le chantage aux examens et l'accord illégitime entre l'UNEF et la Conférence des Présidents d'Universités pour le report des examens après le rattrapage quasi-intégral des cours. Le calendrier universitaire doit être maintenu quoiqu'il arrive. Ce n'est pas la grève qui dévalorise nos diplômes, c'est la réforme LMD, qu'il faut abroger. Le gouvernement exerce, avec les autorités administratives, une répression sans précédent sur le mouvement. Il y a eu des interventions policières et de vigiles, des fermetures administratives d'universités et de lycées, ainsi que des procès et peines de prison en rafale. Nous demandons l'amnistie et la levée des poursuites contre les participants aux mouvements sociaux (mouvement lycéen de 2005, émeutes de novembre-décembre 2005, mouvement actuel...). Nous appelons à la création d'un comité national contre la répression de ce mouvement social et nous appelons toutes les organisations syndicales, politiques et associatives à y participer.

Nous appelons à une journée de manifestations nationales le 18 avril. Nous appelons à manifester mardi 25 avril en direction des tribunaux, dans le but de protester contre la répression policière. Nous appelons à ce que le 1er Mai soit une grande journée de lutte européenne contre la précarité, en particulier pour le retrait de la LEC, du CNE, du projet de loi CESEDA. Le 2 mai, sera organisé une assemblée générale avec la jeunesse européenne.

La prochaine coordination se tiendra les 22 et 23 avril à Bordeaux III


NDLC: appel paru sur indymedia.paris
A faire circuler
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6 avril 2006 4 06 /04 /avril /2006 23:06
--> des méthodes de fachos
Ce soir j'ai vu des jeunes étudiants (je ne sais plus d'ou exactement) bloquant des voies ferrés pacifiquement se faire encerclés et se prendre un déluge de coup de tonfas par une meute de flics en civil, ces étudiants n'avait rien pour se défendre que leurs slogans et pour certains la tete en sang, suppliait leurs bourreaux d'arreter de frapper mais ceux ci continuait encore et encore à frapper avec sadisme, puis les flics ont triés et emmenés les jeunes de force en les tirant par les cheveux pendant qu'un commissaire présent sur les lieux hurlait qu'il fallait qu'ils remplissent les quotas d'arrestations, d'autres étudiants gisait à terre inconscients, alors trop c'est trop, l'écoeurement, le dégout m'à envahi comme jamais, et je me demande si humainement il est encore possible pour les étudiants pacifiques de lutter contre cette hydre que sont l'état, les industries et les médias. désormais je pense que pour lutter contre cette dictature mondiale industriel et sectaire, car il s'agit d'une vrai dictature qui ne dit pas son nom, la lutte ne pourra se faire ni pacifiquement ni par l'affrontement direct avec les chiens de garde de l'état qui enferment les jeunes en prison dès la moindre rebellion, mais d'une autre maniére plus subtile... il faut réinventer la révolution... pour renverser définitivement le capitalisme mondiale et sa minorité de nantis...et je fais confiance aux étudiants pour ça...

Avec l'entettement de l'état malgré la forte mobilisation, de plus en plus de gens ont le sentiment que la démocratie à disparue voir qu'elle n'a jamais vraiment existé... ce qui peut augurer bien des choses à venir si ce sentiment perdure...

D'autre part je ne comprend pas l'attitude des syndicats de salariés comme la cgt et d'autres qui ne viennent pas protéger les jeunes étudiants en dehors des manifs intersyndicales et ce malgré les violences policieres injustifiés subis par ces jeunes, ou est la solidarité ??!!!


pesseu:

Ce texte est publié dans l'En dehors nous les remercions

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6 avril 2006 4 06 /04 /avril /2006 22:56
Appel de Lyon du 5 avril pour la coordination lycéenne, étudiante et salariée de Lyon
Publié jeudi 6 avril 2006
 
La coordination nationale étudiante et lycéenne, réunie à Lille [1], a appelé à la tenue d’une nouvelle coordination nationale, intégrant les salariés et les sans-emploi, à Lyon, ce week-end. Elle aura lieu sur le campus de Lyon II Bron, samedi 8 et dimanche 9 avril.


-  Des manifestations se dérouleront partout en France samedi à l’appel de la coordination. Nous proposons aux délégations lycéennes, étudiantes et salariées de se rendre à Lyon, à partir de vendredi soir, pour former un cortège de la coordination nationale, autour de ses revendications propres, en tête de la manifestation lyonnaise, qui partira à 11h de la place Bellecour. Ce cortège permettra d’affirmer la légitimité de la coordination, ainsi que de renforcer la lisibilité des perspectives qu’elle avance.

-  Le nombre et le mode d’élection des délégués étudiants et lycéens restent conformes à ceux des précédentes coordinations. [2]

Les modalités précises de représentation des salariés n’ayant pas été définies, Lyon propose que seuls des délégués mandatés par des assemblées générales seront admis à la coordination nationale. Il est nécessaire que soient représentés les personnels grévistes des universités, tout autant que ceux des entreprises publiques ou privées mobilisées. Nous appelons en conséquence les militants salariés du mouvement à convoquer, partout où c’est possible, des assemblées générales, d’où sortiront des mandats clairs, qui seront portés par deux personnes élues, auxquelles pourront s’ajouter un ou deux observateurs n’ayant pas le droit de vote, qui devront présenter un compte rendu écrit des débats et des décisions.

Les salariés d’entreprises où ne se tiennent pas d’assemblées générales seront admis à titre d’observateurs. Nous sollicitons les sans-papiers, les sans-emploi et leurs organisations pour qu’ils envoient respectivement, dans la mesure du possible, deux observateurs par ville. Nous invitons également des observateurs des collectifs investis dans la lutte des étudiants sans-papiers, à la hauteur de un par site universitaire.

Un temps sera donné aux observateurs des différents secteurs en lutte pour s’exprimer.

-  Il s’agit là d’une première tentative de coordination unitaire. Il nous semble important que les formes de l’intégration des salariés, et notamment le poids de leur vote, à la coordination soient discutées préalablement : pour cela, les débats de la coordination commenceront samedi dès 16 heures, et jusqu’à minuit, et porteront sur les modalités du déroulement de la journée de dimanche, où seront discutées et votées, dès la matinée, les revendications et perspectives.

-  Nous sollicitons les délégations pour qu’elles produisent des comptes-rendus écrits, incluant les bilans locaux de la mobilisation ainsi que les revendications et perspectives votées en assemblées générales. Ceux-ci permettront d’économiser un temps précieux, et seront centralisés sur Internet pour être portés à la connaissance de tous.

Les rendez-vous précis seront communiqués le plus rapidement possible.

Contact : CoordLyon @ yahoo.fr

[1] NdM : Rebellyon a publié l’intégralité du compte-rendu de Lille.

[2] NdM - Mandatement :

    • Pour les étudiants : 5 par fac bloquée, 3 par fac en grève, 2 observateurs par fac mobilisée ;
    • Pour les lycéens : 5 par ville avec plus de 3 lycées bloqués, 2 par ville avec moins de 3 lycées bloqués.
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6 avril 2006 4 06 /04 /avril /2006 22:38

Ici, au cours des différentes manifs centrales, qui depuis deux mois et demis secouent  un peu cette ville de sa torpeur, la police a été de plus en plus présente, allant même à la dernière jusqu'à parader avec leur tonfas tout au long du cortège. Aucune action n'a jamais été entreprise, dans sa radicalité, qui aurait pu justifier un tel déploiement . Une seule idée peut le justifier, cette ville est pacifiée.
l
es habitants, dans le décor que l' équipe municipale nous construit, évoluent en somnanbules consomateurs isolés.

Les décisions de l'assemblée générale du Laboratoire était:
-faire connaitre le tract de la journée de solidarité à plus de monde.
-le distribuer dans un endroit où toutes les justices convergent: le tribunal
-l'amener aussi au journal local pour l'informer et à Radio France Drome Ardéche pour les informer aussi.
-déployer une banderolle devant la rue piétonne du tribunal

Ces actions minimalistes furent donc réalisées.
Nous étions une quinzaine a y participer.

Nous attendons l'échos qu'en donera la presse écrite et parlée.

Demain, étant dans pas mal de villes aussi une journée de solidarité, la possibilité reste ouverte de prévoir d'autres actions de solidaritées plus massives et importantes. L'importance de notre démarche qui se veut d'information et soutien est essentielle.

En effet si, dans un premier cas la presse et la radio ne font pas état de notre passage et de la façon dont l'Etat réprime la jeunesse de ce pays, lorsqu'elle se révolte contre l'injustice et pour sa dignité, chacun pourra  tirer les conclusions.Collectivement nous pourrons augmenter la pression.  Nous  savons nous rendre visible.
A tous ceux qui était là aujourd'hui,  nous vous remercions tout d'abord et à vendredi après midi pour intensifier la diffusion de l'information.

PS note de la claviste
Cette diffusion de tracts devant le tribunal a permis à certains d'entre nous d'assister à un procés en comparution immédiate. Le dégout, l'incompréhension devant la justice rendue au tribunal de Valence,  a permis de vérifier la justice de classe rendu au nom de la collectivité..
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6 avril 2006 4 06 /04 /avril /2006 21:09
Cette journée aurait pu être belle !!!


Tout a commencé ce jeudi matin devant deux lycées de Valence, Briffault et Loubet.
Les lycéenNEs de Briffault ont été rappelé/es à la matraque par les Bleu(E)s, qui ont embarqués deux lycéens car ceci voulaient bloquer le lycée!!!

Vive la démocratie dans la république "bananière" qu'est devenue la France.

Pour ce qui est des lycéenNEs de Loubet, ils rejoignirent leur cours sous l'oeil amusé de l'appariteur (le "vigile" du lycée). Mais les choses ne s'arrêtent heureusement pas là.
Le lycée professionel Victor Hugo avec ses nombreuses lycéen/nes s'est mis en mouvement et pas mal d'entre eux refusèrent de réintégrer les cours.
Le lycée Amblard  avait été fermé avec courage par la directrice et ceci pour une semaine. Elle avait répondu à l'enterrement voulu et réclamé du CPE par le"monarque" et au pourissement du mouvement de révolte qui secout la France depuis maintenant deux mois et demi.
Digne émule de ses maîtres: de Villepin et  de Robien. Vous avez bien lu: la noblesse commandent encore en France!

Le député de la Chambre, Sieur Labaune, essaye de faire en sorte que Valence reste écartée de toute contestation; et, comme personne ne lui demande des comptes, il continue à manoeuvrer dans l'ombre. Mais écartons nous de ce personnage de BD et revenons à la directrice de ce bahut, c'est plus facile d'être larbinE, que  de permettre à des adolescentEs de réfléchir en organisant des débats. Donc cette dame a fermé, par décision semble
-t-il de l'Académie, le seul lycée où il y aurait pu y avoir un début de discussion entre les Anti CPE lycéenNEs et les précaires, cae en face de l'ANPE, ce qui aurait pu déboucher sur des débats et des assemblées générales.  La chose est importante et j'espère que les lycéens y réfléchiront.
Il faut dire aussi que le Lycée Amblard est un lycée professionnel, aussi bien que Briffaut avec ses sections pratiques. Il est besoin de remarquer que la réalité revient au galop.  Comme dans tous les mouvements,  les lycées professionels ont plus d'accés directs à l'exploitation auquelle ils vont être confrontés, et l'aliénation moins de prise directe sur les lycéens.

Nous étions encore le matin. Une AG était prévue l'après midi: 13h30 au Kiosque Peynet. L'appel avait été fait après la manif du 4 Mars, mais des carrièristes, les auto proclaméEs chefs du mouvement lycéen Valentinois avaient oublié (?!) d'en faire part à leurs collégues. Résultat: quelques vingt affiches collées par un précaire. Il est à noter que les âmes chagrines, les dirigeantEs auto proclaméEs lui avaient reproché de n'être point lycéen, et lui même avait transmis les menaces des diverses administrations locales.

Mais revenons à l'AG qui vit venir une cinquantaine de convaincuEs. Après avoir discuté un peu, ils se sont retrouvés devant radio France Bleu Drôme-Ardèche pour demander à avoir un reportage ou quelque chose d'approchant. Mais que nenni, "Niet." comme on dit à Grozny sous les bombes russes pendant que cet Etat élimine la moitié de la population Tchetchéne. Nous ne devons pas nous éloigner de la sainte mère russie, pendant ce festival Auto proclamé du cinéma russe. Peut être le monarque local veut bouffer du caviar à Noël taché du sang des anarchistes que l'extrême droite assassine dans "ce cher pays qui produit un cinéma que nous devons défendre". A GERBER. Pour notre part et après quelques confusions nous nous sommes réunis en AG  au Laboratoire et nous avons décidé de petites actions en commun lycéenNes, EtudianEs et précaires. Compte rendu dans le texte.
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6 avril 2006 4 06 /04 /avril /2006 07:30
après la publication du texte de Ruben, je me permets de transmettre quelques informations qui seront utiles;
tout d'abord les sites internets où vous pouvez récupérer de l'infos soit en espagnol, soit en français pour certaines.
www. karcelona.revolt.org il s'agit de laffaire du 4 fev
il sont accusé d'avoir voulu attenté à la vie d'un flic municipal

www.presosalacalle.tk
Ils sont accusé d'avoir fait pété à la bombe, l'entreprise semi publique qui favorise l'exploitation des prisonniers, qui s'occupent de la relation entre la prison (pour le travail des prisonniers) et les entreprises qui les font bosser à l'extérieur. Buissness hyper interressant car on est pas sans savoir qu'un prisonnier ne manque jamais sontravail et qu'il est payé au lance pierre, sans feuille de paye ni garanti sociale (c'est le cas de la France)



Liste des actions de solidarité entreprise pour la libération de Ruben et d'Ignasi

Publiée le 1er mars 2006


Action de solidarités avec Ignasi et Ruben arretes le 9 fevrier dernier à Barcelone

Un petit compte rendu des actions de solidarité avec les deux anarchistes Ignasi et Ruben arretes le 9 fevrier dernier à Barcelone pour des actions contre le sisteme penitenciaire, et depuis incarcérés.

Manifestation dans la vieille ville de Bilbao (Euskadi)

Lachage de tracts proche du siege du CIRE (Centre pour l’Initiative de la Reinsertion, le travail des prisonniers) dans le quartier de Gracia (Barcelone)

Graffs dans differents quartiers de Almeria (Andalousie)

Graffs et encolage des serrures et des distributeurs automatiques de trois banques (Alcobendas)

Attaques contre les vitrines d’une agence immobiliere Tecnocasa rue atocha et la banque BBVA rue Santa Maria (Madrid)

Cinq pancartes le long de l’autoroute A-15 en Nafarroa

Le matin du 19 fevrier des cocktails molotovs sont lancés sur les banques Caixa et Banco Sabadell Lugo (Galice)

La nuit du 20 fevrier une bombe detruit un repetiteur de signal pour satellite a Molins de Rei (Province Barcelone)

Nuit du 22 février deux coctels molotovs contre un siege de UPS apres avoir casse la devanture (Andalousie)

Nuit du 23 : 16 distribueturs de banques encollés dans le quartier de Gracia et une vitrine de banque detruite dans le quartier de Clot (Barcelone)

24 Fevrier : concentration de support devant la mairie de Cornella (Barcelone)

La nuit du 27 fevrier : 22 conteners brules ds 7 districts de Barcelone (Barcelone)

28 Fevrier : Marche de support a Buenos Aires (Argentine)

Un atelier d'écriture aura lieu le mercredi 12 avril au laboratoire pour faire des lettres collectivement pour les prisonniers dont on nous a laissé les adresses
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6 avril 2006 4 06 /04 /avril /2006 07:06


Ce texte a été récupéré sur apa.online.free.fr

Il concerne le dernière personne encore incarcéré, suite à l'accusation dont il va parlé


Salut compagnoNEs

Je vous écris depuis le pénal de Can Brians, module 1, et je vous ferai un bref résumé depuis ce maudit 9 février jusqu’a aujourd’hui (15 fevrier)

Tout commence a 8h30 du matin quand un compagnon nous reveille mon amie et moi pour nous informer qu’il semble qu’ils expulsent a l’Ignasi de son squat de Vila de la Clota. On tarde un peu a réagir et puis on se decide a y aller en solidarite avec lui. Nous prenons le petit-dejeuner et nous sortons pour aller a la Clota, quand tout-a-coup, surgis de nulle part, un nombre indeterminé d’agents en civil (mais masqués) de la brigade politico-social des Mossos d’Esquadra s’approchent de nous et me disent que je suis en etat d’arrestation pour terrorisme. Le coup est dur, ils nous fouillent en pleine rue contre le mur. Et a ce moment je perds de vue mon amie. Ils me font monter dans une voiture et me disent que je suis accusé de l’incendie de la banque Banco Sabadell et du CIRE de la rue Gran de Gracia et qu’ils vont entrer dans mon apartement pour le fouiller. Je leur dis que je veux que mon avocat soit présent. Ils me demandent qui est-ce et lorsque je leur réponds les quatre qui sont avec moi se mettent a rire en me disant que ça c’est dans les films que ça se passe ; j’insiste alors pour qu’ils respectent mes “droits”. En fin peu importe. Ils m’emmènent chez moi, menotté avec le visage masqué en m’obligeant à regarder par terre de manière brusque. Dans l’entrée je peux enfin redresser la tête et je me rends compte de l’incroyable dispositif qui a été mis en place ; je compte environ 14 civils puisqu’il y avait trois voitures pleines avec moi et trois fourgons d’anti-émeutes a l’avenue Drassanes.

Quand on entre dans l’appartement je vois 6 Mossos et mon amie, ce qui me tranquilise un peu. Commence alors la fouille où ils embarquent : affiches, livres, fanzines, vêtements, deux ordinateurs et ils n’ont pas emporté les chats parce qu’il n’y avait plus de place. C’est a ce moment que je me suis rendu compte qu’ils ne m’avaient pas appliqué la Loi Antiterroriste, parce que mon amie était présente et en plus elle le demanda. Du a tout ça, personne ne pouvait entrer ou sortir de l’immeuble, il etait entièrement sous contrôle de la brigade. Une fois terminé leur sale boulot ils laissent mon amie dans l’appartement et me font monter dans une voiture et m’emmènent au commissariat de la Zona Franca où ils me fichent et me laissent en cellule. Je réussis à voir un compagnon, qui n’est pas Ignasi et nous discutons de ce qui s’est passé sans vraiment tout comprendre parce que l’ordre d’arrestation était pour Ignasi et moi et finalement ils le relachent rapidement.

La détention au commissariat est pas mal horrible, peu de temps après, vers midi je présume ils me font monter pour parler avec le chef de la brigade et un autre indésirable. Les deux avec un sourir sarcastique sur leur visage de bourreaux me demandent si je veux déclarer. Bien sur je refuse et je reste là assis avec ces deux flics, fumant une cigarette et devant écouter ce genre de questions : c’était qui pour l’Institut Culturel Italien ? Et tout les reste qui s’est passé ?Je ne réponds pas et on reste un moment a se regarder et se hair (au moins de mon coté) jusqu’a ce que je finisse de fumer ma clope et alors hop les menottes et retour a le cellule. Le jour suivant ils nous transfèrent au commissariat de Les Corts, où nous passons deux jours, durant tout ça nous en mangeons que deux sandwichs par jour. Et de la hop au tribunal. Ignasi est placé dans une cellule avec une autre personne, moi, tout seul dans une cellule ou il n’y avait qu’une fenetre avec des barreaux de 40 par 40 et une seconde porte de barreaux. Les heures passent, je ne sais pas combien, et apparait la secrétaire du juge qui m’informe de ce qu’ils ne trouvent pas mon avocat et si on veut on peut declarer avec un avocat d’office. On refuse jusqu’a ce qu’ils le trouvent, mais en fait il préparait un Habeas Corpus parce qu’ils lui avaient dit qu’on passerait devant le juge un dimanche, fait illegal. C’etait donc je suppose un mensonge pour qu’on déclare avec l’avocat d’office. Enfin il arrive et nous allon faire notre déclaration : une pure farce où avec juste quelques indices mais aucunes preuves, le procureur, sans jamais nous regarder en face ni poser aucune question demande pour nous la prison inconditionnelle, sans caution en attente du procès. L’avocat devant cette situation réclame la liberté conditionnelle puisqu’il n’existe pas de risques de fuite ni de faire obstacle à l’enquête puisqu’elle est close. Mais la juge de garde numéro 3 applique la demande du procureur et hop directement dans la cellule de la Modelo. Au moment de nous mettre dans le fourgon y’a un peu de mauvais traitements, ils nous poussent en avant les bras levés puis menottés en arrière dans le fourgon la main sur la bouche quand dehors les compagnoNEs qui nous attendent frappent le fourgon. Ce dernier se dirige a la Modelo comme s’il s’agissait d’un rallye et nous n’arrêtons pas de nous cogner, dans l’impossibilité que nous sommes de nous accrocher. Arrivés a la Modelo nous recevons c’est clair un traitement de prisonniers politiques puisqu’en deux heures ils nous changent deux fois de cellules et nous laissent a peine avoir quelques contacts avec d’autres préventifs. On le remarque quand il s’agit d’aller voir le médecin, l’assistant, l’educateur ou le professeur : on y va seuls quand les autres y vont en groupe. Le jour suivant quand le dossier arrive devant le juge d’instruction 13 non seulement il réaffirme la prison préventive mais en plus rajoute la dispersion. Ils me transfèrent donc a Can Brians où à l’arrivée un maton avec un ton affreusement ironique me dit : “Comme c’est paradoxal la vie, hier on pose des bombes contre le CIRE et aujourd’hui derrière les barreaux”. Je lui réponds qu’il doit respecter la présomption d’innocence et que je n’ai pas été jugé. Il rétorque : “Tu es de ceux qui parlent de la brutalité des matons, alors maintenant tu vas la sentir sur tes propres os”.

Jusqu’a maintenant je n’ai pas tant souffert du chatiment physique comme du moral : ils nous méprisent continuellement, comme si nous n’étions pas des perosnnes et je ne vais pas le nier je ne dors pas bien. Chaque nuit je rêve, enfin je fais des cauchemars avec la détention et je me souviens de vous, compagnoNEs, vous qui êtes dehors, ma famille. Mais ça me donne des forces de savoir que vous continuerez de lutter comme nous le ferons ici dans les oubliettes de l’Etat. Nous savons que ce n’est pas notre place mais dehors avec vous, résistant et allant de l’avant pour la liberté que nous atteindrons en étant fermes et constantEs. En dépassant quelconque barrière que met en place l’Etat, en s’auto-organisant et luttant. Ce sont ni les brigades politico-sociales, ni les tribunaux, ni les prisons qui en finiront avec l’anarchie,parce que s’ils n’ont pas pu jusqu’a présent, ils ne le pourront jamais.

Je veux juste vous demander que vous continuyez, que vous nous apuyez, nous en avons besoin pour en pas tomber. Dans peu de temps, nous savons que nous sortirons. Ils ne peuvent pas nous garder s’ils ont un peu de honte ; que nous sortons dépend de l’application des maudites lois mais aussi de la lutte qui s’organise dehors : protestez, criez et resistez (si vous le voulez).

Depuis le Module 1 du penal de Can Brians

SALUT ET ANARCHIE

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5 avril 2006 3 05 /04 /avril /2006 22:39

idée à faire circuler dans les quartiers



une idee : Manifestation sonore a 20h30

Je ne sait pas si vous etes au courant, quelques petits tracts ont circule dans la manifestation aujourd'hui, appelant a faire du bruit a 20h30 ou que vous soyez.

Et bien je peut vous dire, que vers la place Dr Martin, cela a bien fonctionne pendant plusieurs minutes.

Au fur et a mesure des minutes, des gens sortez sur leur balcons avec leur casseroles....c'est alors mis en place un concert de percu-casserole anti-cpe....et cela a fait du bruit ! ! !

Le RDV est pris demain pour une nouvelle manifestation sonore... Que vous soyez chez vous ou ailleurs...faite du bruit contre le CPE a 20h30...est ce jusqu'au retrait du CPE !

merci à indymedia toulouse

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