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La tyrannie la plus redoutable n'est pas celle qui prend figure d'arbitraire, c'est celle qui nous vient couverte du masque de la légalité." Albert Libertad

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le blog du laboratoire anarchiste

File:Wooden Shoe.svg
1 juillet 2012 7 01 /07 /juillet /2012 16:58

lu sur le blog fukushimaover-blog.com

Rien à dire, juste les écouter parler.

 

Merci à Ian Thomas Ash, auteur du documentaire "Nuclear Refugees, the people of Iitate Village", d’avoir bien voulu réaliser une version sous-titrée en français (traduction Kna) :

 

Les réfugiés du nucléaire : les habitants du village d'Iitate, un an après

 

 

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1 juillet 2012 7 01 /07 /juillet /2012 10:29

 

Lu sur le journal de Tours "les amis de l'égalité."

RADIO PARIS MENT, RADIO PARIS MENT...

Nous reprenons nos émissions perturbées par une météo nationale,

météo du capital.

D’abord quelques brèves avant notre dossier complet

« Les femmes ont-elles une âme ? ». Sujet crucial.

- EUROSATORY, salon mondial de l’armement, bat un nouveau

record : plus de 1400 exposants pour un chiffre d’affaires national

de 5,32 milliards d’euros ! voilà un secteur en pleine expansion

!

- BRAVO aux 16 500 ouvriers et ouvrières de la Région Centre qui

travaillent dans ce secteur florissant : TDA, THALES, MBDA, NEXTER

(ex GIATT), MATRA… Une pensée émue pour ceux de MBDA

qui fabriquent des missiles. Les syndicats réclament de nouvelles

embauches, nos armes se vendent très bien en Tunisie, en

Egypte, en Irak, en Syrie,en Afghanistan, ...

- Nous apprenons par une déclaration de J.Y. Le Drian, ministre

des ventes d’armes, que « nous ne sommes pas des marchands

(sous-entendu de canons) mais des partenaires », et que nous

livrons aussi les linceuls, les suaires et les cercueils, plus les bulldozers

pour creuser les trous.

- Parmi la dizaine de manifestants présents à la porte du salon

Eurosatory, nous n’avons pas vu Stéphane Hessel, ambassadeur

des indignés qui, lui aussi, a su exporter un savoir-faire national.

- La place de « délégué général à l’armement », un temps laissée

vacante par une balle retrouvée, a vite repris tout son prestige.

- Quand on vous dit que tout va mal en France, il ne faut pas

écouter les défaitistes : les armes, fabriquées par des ouvriers

chevronnés, sont de première qualité !

En guise de transition avec le dossier qui suit, n’est-il pas émouvant

de se rappeler que nos ancêtres avaient donné le doux nom

de Rosalie à une baïonnette… Mais, trêve de nostalgie, le sang

impur n’a pas fini d’abreuver nos sillons.

Des femmes entrent dans le studio… Un peu de musique…

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1 juillet 2012 7 01 /07 /juillet /2012 10:00

D'après ce qu'on sait, une bataille énorme entre lesyndicat FO et la CGT  dans les divers secteurs d'assurance maladie.Pour qu'une partie de la main de fer du syndicat CGT  soit rompu. Mais il nous convient d'être toujours méfiant   d'être impliqué dans la lutte de domination  des centrales syndicales au début d'une Présidence . Aussi il ya un conflit de succession  de présidenceà la CGT. Mais cette information qui succéde les fichiers croisé pour les allocataires et en plus la carte vital biométriques et à Puce.  .

Des salariés de la CPAM ont découvert qu’ils faisaient l’objet d’un fichage confidentiel : pauses-café, trajets, comportement sont recensés par les cadres de leur service. Direction et syndicats ont tenté de régler l’affaire en interne.

Une vingtaine d’employés de l’unité des Délégués de l’Assurance maladie (DAM) de Haute-Garonne ont découvert, il y a plusieurs mois, qu’ils étaient fichés par les cadres du service. Pour certains de ces visiteurs médicaux, les informations consignées remontent à 2008. Aucun d’entre eux n’avait été informé par les managers. En décembre dernier, une indiscrétion révèle le pot-aux-roses.

Certains documents, dont La Dépêche a pris connaissance, révèlent que les fiches renseignent à divers niveaux. En plus d’extraits de conversations orales ou par mail entre salariés et encadrants, l’on y apprend par exemple qu’un salarié « a apporté une boîte de chocolats », ou qu’un autre « annule ses rendez-vous quand son enfant est malade ». Un délégué aurait montré « une attitude désintéressée pendant la réunion technique » ; un de ses collègues serait venu « s’excuser sur le décalage entre son attitude […] et ce qu’il ressentait à ce moment-là ». Les pauses-café de certains salariés sont recensées et apparaissent sous le nom d’« anomalies ». Il y est parfois mentionné des révélations, ou « dénonciations » de la part de collègues. Aucune fiche n’est composée de la même manière. Certaines font une page quand d’autres pèsent une dizaine de feuilles et sont complétées au quotidien. En revanche toutes sont informatisées et disposées sur le serveur interne de la Caisse primaire d’assurance maladie (CPAM).

« On travaille de la meilleure manière possible, et c’est cela que l’on récolte. L’ambiance actuelle est très tendue ; le climat nauséabond. Les managers n’ont pas eu l’impression de faire quelque chose de mal, mais ce sont des techniques de management scandaleuses », dénonce un salarié. En décembre, des syndicats de salariés ont été informés. Depuis, les différentes parties tentent péniblement de régler l’affaire en interne. « Nous avons demandé à ce que le fichage soit stoppé tout de suite et que le contenu des fiches soit révélé individuellement aux personnes concernées. Car elles n’étaient pas au courant et n’avaient aucun moyen de se défendre. D’autant que certaines rubriques n’ont rien à voir avec l’efficience professionnelle. Le salarié est complètement mis sur le gril. Et les éléments mentionnés peuvent peut-être influencer la notation ou l’avancement », argumente Jean-Yves Delagrange, délégué syndical FO à la CPAM. Certains salariés envisagent peut-être de saisir la Commission nationale de l’informatique et des libertés, organisme qui instruit sur plainte et peut enquêter sur le caractère abusif et illégal d’un tel fichage. Sollicitée, la direction de la CPAM de Haute-Garonne a indiqué qu’elle s’exprimerait ultérieurement.

 Pauline Croquet, LaDepeche.fr, 30 juin 2012)

 

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1 juillet 2012 7 01 /07 /juillet /2012 02:49
Moscou, Russie : Les policiers emmènent Nadejda Tolokonnikova, participante du groupe « Pussy Riot », au tribunal Taganski de Moscou. Le 21 février dernier, trois jeunes femmes du groupe de punk-rock dissident « Pussy Riot » ont fait irruption dans la cathédrale centrale de Moscou et ont chanté à tue-tête « Marie, mère de Dieu, chasse Poutine ». Deux d’entre elles, mères de jeunes enfants, ont été arrêtées par la suite et emprisonnées. Mercredi 20 juin, le tribunal Taganski a prolongé leur maintien en détention provisoire jusqu’au 24 juillet 2012. (Crédit photo : Andreï Stenine / RIA Novosti)
Photo : Moscou, Russie : Les policiers emmènent Nadejda Tolokonnikova, participante du groupe « Pussy Riot », au tribunal Taganski de Moscou. Le 21 février dernier, trois jeunes femmes du groupe de punk-rock dissident « Pussy Riot » ont fait irruption dans la cathédrale centrale de Moscou et ont chanté à tue-tête « Marie, mère de Dieu, chasse Poutine ». Deux d’entre elles, mères de jeunes enfants, ont été arrêtées par la suite et emprisonnées. Mercredi 20 juin, le tribunal Taganski a prolongé leur maintien en détention provisoire jusqu’au 24 juillet 2012. (Crédit photo : Andreï Stenine / RIA Novosti)

UN SOUTIEN INTERNATIONAL S’ORGANISE POUR DEMANDER LA LIBERATION DES "PUSSY RIOT", DU COUP A PANAME ON VA AUSSI PARTICIPER :

RDV POUR RASSEMBLEMENT SAMEDI 30 JUIN 2012 DE 14H A 17H A COTE DE L’AMBASSADE DE RUSSIE, VENEZ PLUS QUE VOUS N’ÊTES : C’EST BOULEVARD LANNES ET ANGLE DE LA RUE DUFRENOY, PARIS 16è (M° "PORTE DAUPHINE" ET 5MN A PIEDS, A 20MN DE NATION EN RER....), VENEZ AVEC DES SLOGANS, DES PANCARTES, DE L’HUMOUR ET DE L’AMOUR AUSSI....

LIBERATION IMMEDIATE DES "PUSSY RIOT EMPRISONNEES" PARCE QU’ON ENFERME PAS LES MUSICIEN(NE)S, PARCE QUE LA LIBERTE D’EXPRESSION EST UN DROIT FONDAMENTAL, ET PARCE QU’IL NE FAUT PAS LAISSER FAIRE.... LIBERTE POUR LES "PUSSY RIOT" !!!!....

SOUTIEN ET SOLIDARITÉ AVEC LES "PUSSY RIO" EMPRISONNÉES ; 3 DES FILLES (GROUPE DE 8 FILLES) MUSICIENNES DU GROUPE PUNK RUSSE "PUSSY RIOT" SONT ACTUELLEMENT (DEPUIS PLUS DE 4 MOIS) EN DÉTENTION JUSQU’AU 24 JUILLET 2012 (DATE DE LEUR 3E PASSAGE AU TRIBUNAL) POUR DÉLIT D’EXPRESSION, ELLES ENCOURENT PLUSIEURS ANNÉES DE PRISON (A NOTER QUE 2 DES 3 FILLES ONT DES ENFANTS EN BAS-AGE) : POUR SEUL CRIME ELLES ONT JOUÉ ET CHANTÉ EN PLACE PUBLIQUE (PLACE ROUGE, CATHÉDRALE CHRIST SAUVEUR A MOSCOU, TOIT DU MÉTRO MOSCOVITE....) DES PROPOS ANTI-GOUVERNEMENTAUX, DÉNONÇANT AINSI LA POLITIQUE ACTUELLE DE MR. VLADIMIR POUTINE ET LES DÉRIVES ANTIDÉMOCRATIQUES DU GOUVERNEMENT DE LA FÉDÉRATION DE RUSSIE.... PLUS D’INFOS ICI :

http://freepussyriot.org/fr/news-fr

ET POUR RAPPEL, CA S’EST PASSE EN FÉVRIER 2012 :

Les huit membres du groupe Pussy Riot avec leurs cagoules multicolores et leurs mini-jupes se sont hissées par dessus les rambardes du monument de la place rouge à côté de la Cathédrale Saint Basile, pour lancer leur son punk aux teneurs d’insultes directes à la face de Poutine. La Militsia (police russe) s’est tenue tranquille jusqu’à la fin de leur prestation, avant de les arrêter et de les emmener au poste de police de Kitaï Gorod. Quatre des membres du groupe subversif ont été écrouées pour troubles à l’ordre public et de désobéissance aux forces de l’ordre :

http://www.youtube.co/watch?v=yqcmldeC7Ecfeature=youtu.be

Les Pussy Riot prennent d’assaut les transports moscovites devant le regard médusé ou amusé des usagers, interloqué des employés du métro de Moscou :

http://www.youtube.com/watch?v=qEiB...

Depuis la cathédrale du Christ Sauveur de Moscou, ce happening n’était bien évidemment pas prévu, ni autorisé. Il relève d’ailleurs du blasphème au sens des pratiquants qui une fois encore ne peuvent empêcher l’événement :

http://www.youtube.com/watch?v=GCasuaAczKY&feature=youtu.be

En décembre 2011, les Pussy Riot avaient donné un concert du haut d’un toit, juste à côté de la cellule du poste de police, où était détenu pour quelques jours Alexeï Navalny, le célèbre bloggeur contestataire au régime de Poutine.

Et aussi :

http://www.youtube.com/watch?v=CZUhkWiiv7M

Donc, venez nombreuses et nombreux, soyez là, merci pour elles ; plus d’infos : titinotdead@gmail.com  ; Faites tourner l’info - Titi

lu sur indymedia.paris et la photo a été donné sur face de bouc

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30 juin 2012 6 30 /06 /juin /2012 16:04

Lu dans le blog de Politis cet appel a se mobilser pour le détenu Philippe  EL Shennawy. Il est temps qu'on se réveille le silence des pantoufles fait le lit des pires dictatures.

 

Par Erwan Manac’h - 28 juin 2012
Prison : l’urgence pour les proches de Philippe El Shennawy, décidé à en finir

Philippe El Shennawy détenu de 58 ans, incarcéré depuis 1975, a cessé de s’alimenter il y a un mois, épuisé par la « perpétuité réelle » qui lui est infligée. Sa situation s’aggrave de jour en jour. 

À 58 ans, dont trente-sept passés derrière les barreaux, Philippe El Shennawy est à bout de forces. Abattu par le refus de la cour d’appel de Versailles de confondre de façon significative les 25 ans de prison qui lui restent à effectuer pour des braquages avec prises d’otages et des évasions répétées, il a cessé de s’alimenter depuis le 25 mai.

À lire sur Politis.fr : Le dernier combat de Philippe El Shennawy, après 37 ans de prison 

L’examen approfondi de son dossier pénal a ouvert un mince espoir : un relèvement de la sûreté associée à ses peines a été demandé devant le tribunal d’application des peines. En cas d’issue favorable, Philippe El Shennawy pourra demander une libération conditionnelle. Une perspective incertaine qui demandera du temps. Son avocate n’espère pas d’audiance avant le mois de septembre.

« Il n’arrêtera pas », prévient pourtant Martine El Shennawy, compagne du détenu, contactée jeudi 28 juin par téléphone. « Ce n’est pas une grève de la faim, c’est un suicide. Il me dit que le seul droit qui lui reste est de mourir. » 

À 58 ans, déjà affaibli par des grèves de la faim répétées, Philippe El Shennawy apparaît, selon ses proches, nettement diminué après 34 jours sans s’alimenter. Il boit seulement des boissons sucrées qui ne lui permettront pas de tenir longtemps. 

« Il serait déjà mort »

 Pour n’avoir pas cessé de répondre aux juges et de se battre pour ses droits de détenu, Philippe El Shennawy a payé au prix fort ses forfaits. Il n’a pas de sang sur les mains, mais reste jusqu’à aujourd’hui classé « détenu particulièrement signalé » malgré l’avis contraire du personnel pénitentiaire. « Même les médecins ont témoigné qu’il n’était pas dangereux lorsqu’il était placé en unité pour malades difficiles (UMD), sous camisole chimique, s’indigne Martine El Shennawy, qui a raconté son histoire dans un livre. On a voulu le faire taire, parce qu’il s’est battu contre la machine judiciaire. Parce qu’il n’a pas baissé les épaules. Mais c’est pourtant ce qui lui a permis de tenir. Sinon il serait déjà mort.  »

 L’avocate de Philippe El Shennawy rapporte aussi le désespoir de son entourage, qui manque aujourd’hui d’arguments pour le faire renoncer à ce dernier combat. « Ceux qui le côtoient sont très touchés, raconte Me Virginie Bianchi. Il est difficile d’accepter qu’il puisse mourir faute de perspectives. »

 L’orgueil et le manque de considération du tribunal

 Le 18 mai, la cour d’appel de Versailles n’a accordé que 5 ans de confusion de peine à Philippe El Shennawy, repoussant à 2032 la date de sa sortie de prison. Une décision qui soulève l’incompréhension générale : « J’ai demandé que le juge d’application des peines et l’administration pénitentiaire puissent faire un rapport sur Philippe El Shennawy, comme c’est habituellement le cas dans ce type de procédure, raconte Virginie Bianchi. Mais ils ont refusé. » 

Aucune indulgence n’a été accordée au quinquagénaire, au terme d’un parcours carcéral qui lui vaut une image de « dangerosité » qui ne correspond plus à sa personnalité. Celle d’un homme intelligent et déterminé, qui se passionne pour l’informatique et s’engage comme président d’honneur de l’association Ban Public. « Philippe El Shennawy ne représente plus aucun risque pour la société aujourd’hui. Sa détention n’a plus de sens, assure un professionnel proche du dossier, sous couvert d’anonymat. C’est une marque d’orgueil et une absence de considération folle de se prononcer sur un détenu sans s’enquérir de l’avis de ceux qui le voient tous les jours. »

 Une course contre la montre se joue donc pour ses proches et une partie des professionnels. « Nous explorons toutes les voies possibles, parce qu’on ne sait plus comment le faire tenir, raconte Me Bianchi. Il me laisse mener toutes les actions tout en me disant qu’il ne croit plus en rien. » 

Aucun recours en grâce n’a été adressé pour le moment au président de la République. La voie judiciaire est préférée à la voie politique, trop incertaine. Mais cela prendra du temps. Et pour l’heure, le désespoir et la détermination de Philippe El Shennawy restent entiers.

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30 juin 2012 6 30 /06 /juin /2012 15:46

Ce texte , on le passe pour information . Pour que  le débat s'intensifie  , car  les divers antinucléaires ne font pas circuler l'information  comme dans les pires dictatures Contre la société  nucléaire et tous ces mécanismes de pacification sociale.

Vive la révolution sociale.

 

 

Le premier ministre japonais a décidé de reprendre l’exploitation de deux réacteurs nucléaires à Ohi, dans l’ouest du pays. Plusieurs organisations demandent de l’aide afin que leur courrier soit envoyé aux ambassades du Japon dans tous les pays du monde avant le 15 juin de préférence, et que des rassemblements soient organisés. Les positions antinucléaires du courrier des orgas japonaises (voir traduction du courrier ci-dessous) ne sont pas celles de la Coordination Stop Nucléaire (sauf pour le non redémarrage des réacteurs).

Car nous pensons que les seules économies d’énergie et le recours aux énergies renouvelables sont impuissantes à compenser un arrêt immédiat des réacteurs nucléaires en France et dans le monde, et qu’il faudra avoir recours à des énergies fossiles, comme le fait actuellement le Japon.

Car, un moratoire est une solution provisoire qui ne fait que reporter les décisions cruciales.

Car, il n’existe aucune agence de sûreté nucléaire véritablement indépendante.

Car, il n’existe pas de particularisme national permettant de faire face aux effroyables dangers et conséquences d’une catastrophe nucléaire.

Mais évidemment en tant qu’antinucléaires pour l’arrêt immédiat, inconditionnel et définitif du nucléaire partout dans le monde, nous sommes solidaires de la démarche des organisations qui, au Japon, se battent avec acharnement, pour qu’aucun réacteur ne soit redémarré dans leur pays. Nous venons donc de déposer un courrier en notre nom à l’ambassade du Japon (courrier_stop_ambassade_japon.pdf).

Solidarité antinucléaire,

La Coordination Stop Nucléaire.

stop.nucleaire Lxa yahoo.fr
www.coordination-stopnucleaire.org


Traduction du courrier (Letter of Protest.pdf) des organisations japonaises :


Monsieur le Premier Ministre,

Nous protestons contre votre décision de redémarrer deux réacteurs nucléaires dans la ville de Ohi, Préfecture de Fukui. Nous vous demandons de revoir votre décision et d’imposer un moratoire sur l’énergie nucléaire au Japon. Nous vous demandons de proposer une politique énergétique responsable pour le Japon, sans énergie nucléaire et basée sur les économies d’énergie et les énergies renouvelables.

Voici nos raisons :

1/ Votre décision est anti démocratique. Les Japonais ne vous soutiennent pas. De nombreux membres et députés de votre parti ne vous soutiennent pas.

2/ Toute la vérité sur la fusion des trois réacteurs de Fukushima n’a pas été établie à ce jour.

3/ Les normes de sécurité temporaires en vigueur, telles que préconisées par les « stress test » et auxquelles vous vous référez pour déclarer que les réacteurs de Ohi sont sûrs, sont insuffisantes. A ce jour, les mesures de sécurité essentielles requises par les « stress tests » n’ont pas été mises en œuvre à Ohi. Il n’a pas été démontré que les réacteurs puissent être arrêtés en toute sécurité dans le cas d’un important tremblement de terre.

4/ Tout référentiel de normes nouvelles doit être formulé et supervisé par une agence de sûreté nucléaire véritablement indépendante

5/ La forte augmentation de l’activité sismique au Japon depuis le tremblement de terre et le tsunami du 11 mars 2011 est alarmante. Que des failles sismiques actives soient présentes non loin des réacteurs de Ohi, et peut-être sous le site-même nous inquiète vivement.

Vous pouvez considérer ce courrier comme une ingérence extérieure dans les affaires nationales du Japon, et ainsi ne pas en tenir compte. Cependant, nous savons depuis Tchernobyl et Fukushima que les retombées d’accidents nucléaires ne connaissent pas de frontières, qu’elles ont un impact sévère sur l’environnement dans sa globalité et qu’elles sont porteuses de risques sanitaires inconnus sur l’humanité toute entière. Nous pensons qu’il est de notre devoir moral de vous exprimer nos craintes.

Nous savons également que nos craintes sont partagées par de nombreuses personnes dans votre pays et que la majorité de la population n’est pas d’accord avec vous. Nous avons beaucoup de respect pour le peuple japonais, pour leur sens de la communauté et de la solidarité devant l’adversité. Nous croyons en leur créativité et leur volonté de surmonter ces temps difficiles, et de reconstruire un Japon sans nucléaire.

Ainsi, nous vous demandons de bien vouloir reconsidérer le redémarrage des réacteurs de Ohi et de déclarer un moratoire sur l’énergie nucléaire.
Nous vous demandons de proposer une politique énergétique responsable pour un Japon sans énergie nucléaire et basée sur les économies d’énergie et les énergies renouvelables.

Nous vous prions de croire, Monsieur le Premier Ministre, à nos salutations distinguées.

Date :
Signature :

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30 juin 2012 6 30 /06 /juin /2012 11:17

L'autore, Miguel Amoros, presenterà la pubblicazione ad Avigliana (TO), Milano, Genova e Pinerolo (TO) e potrà essere ascoltato in streaming su radio Blackout intorno alle 10.30-11,00 h di mercoledì 4 luglio.


Miguel Amoros: L'ALTA VELOCITA' MARCIA.
Presentazione di Luca Abbà
pagine 56, Euro 4,00

L'alta velocità è uno strumento del potere. Per questo la lotta contro il TAV è qualcosa di più della lotta per un altro tipo di infrastrutture; che non deve rivendicare soltanto un altro modello di trasporto, ma un’altra società. È una lotta contro tutte le infrastrutture di un’economia fuori controllo ed è anche una lotta contro l’automobile, la proliferazione urbana, l’alimentazione industriale, la vita artificializzata, la distruzione del territorio, lo sfruttamento del lavoro. È una lotta contro lo sviluppo e il consumismo. Deve mettere in moto meccanismi organizzativi autonomi capaci di elaborare punti di vista critici in modo collettivo, assieme a forme di lotta distinte dalla politica e dal sindacalismo, dalle quali deve nascere un soggetto storico, una comunità di oppressi capaci di affrontare le forze del dominio e cambiare il mondo secondo i propri desideri.



 

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30 juin 2012 6 30 /06 /juin /2012 10:52
[Depuis plusieurs années déjà, Sans Papiers Ni Frontières est un collectif qui produit à la fois une émission de radio diffusée sur radio FPP, des textes, des affiches, des tracts, des brochure et un journal mural (traduit en plusieurs langues) qui diffuse plusieurs informations et brèves sur l'actualité des luttes et des révoltes de sans-papiers, à l'extérieur et dans les centres de rétention et plus généralement contre les frontières et leurs prisons. Le collectif s'est doté d'un site qui rassemble ses productions et permet d'élargir leur diffusion. On en profite pour saluer cette initiative, et vous inviter à le visiter : longue vie à eux et elles !]

Source : Indymedia Paris


Un blog contre les frontières et leurs prisons



Sans Papiers Ni Frontières est un blog où l’on peut trouver du matériel (affiches, tracts, brochures, émissions de radio...) contre les centres de rétention et les frontières, ceux qui les gèrent et les construisent, sur la société qui les génèrent. Sont mis à jour régulièrement des rendez-vous de manifestations, discussions et autres initiatives ainsi que des infos sur les frontières, les luttes et les révoltes dans les prisons pour étrangers.

https://sanspapiersnifrontieres.noblogs.org
À mettre dans vos favoris !

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29 juin 2012 5 29 /06 /juin /2012 05:51

 

Un détenu s’est évadé sur le chemin du retour vers la maison d’arrêt de Villeneuve lès-Maguelone, dans la banlieue de Montpellier, après avoir passé son code de la route, selon une source judiciaire.

L’homme, âgé de 22 ans, a profité d’un feu rouge pour fausser compagnie au surveillant qui le ramenait sans lui avoir remis les menottes, a précisé cette source, qui n’était pas en mesure de dire si le jeune avait été reçu à son examen. Des recherches sont en cours pour retrouver le fugitif.

Par ailleurs, un autre détenu s’est échappé d’un chantier dans la cité du Petit-Bard alors qu’il effectuait un travail d’intérêt général (TIG) en présence de deux éducateurs du service d’insertion pénitentiaire.

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29 juin 2012 5 29 /06 /juin /2012 04:29

Le blog du laboratoire publie les  nouvelles qui nous parviennent des correspondants  de la région du  val de susa http://anarresinfo.noblogs.org..L'Anarchie pour nous ,ce n'est pas une maladie, ni du sectarisme. "Vive l'anarchie" un cri lancé  à la face des bourgeois et des pauvres types  qui nous crachent  à la gueule. Le crachat on leur rend volontier et que vive ce crie lancé par Ravachol alors qu'il était exécuté

Mercoledì 27 giugno. È trascorso un anno dallo sgombero della Libera Repubblica della Maddalena. Un anno lunghissimo. Un anno di lotta tra presidi, assemblee, blocchi stradali, “passeggiate” nelle zone occupate. In quest’anno il movimento No Tav ha dimostrato di non essere disposto a cedere. Abbiamo resistito alle botte ed ai lacrimogeni, abbiamo resistito alle denunce e agli arresti, abbiamo resistito alla tentazione di cedere allo sconforto di fronte alla forza militare dispiegata di fronte a noi. Non abbiamo mai mollato e siamo decisi a non mollare. Ad un anno di distanza da quella mattina, quando in un’alba tersa e magnifica, sull’autostrada comparvero le prime camionette e la pinza di acciaio, il simbolo della devastazione del Tav, il 27 giugno è stata una giornata come tante. Soltanto con un pizzico di amaro e di dolce in più. L’amaro del ricordo di quel che era e di quel che è diventata la Clarea, un deserto dove bivaccano le truppe di occupazione. Il dolce di sapere che ogni centimetro se lo sono sudato, il dolce di sapere che per spianare tutto hanno impiegato più di un anno. Il dolce di sapere che la Libera Repubblica in esilio vive nei nostri presidi e nei tanti luoghi dove la bandiera con il treno crociato è divenuta simbolo di dignità, resistenza, autogestione. Libertà. La libertà di chi non si piega, la libertà che ogni giorno ci fa scegliere di stare contro la legge, perché la legittimità del nostro agire è altrove rispetto ai codici che ci imprigionano e ai poliziotti che picchiano e gasano in nome dello Stato. Questa sera qualche centinaio di No Tav ha fatto la propria passeggiata lungo il sentiero No Tav – bolli gialli e arancio – che corre parallelo alla strada dell’Avanà occupata e chiusa da reti e cancelli. In Clarea qualche metro di rete è stato tagliato. La polizia ha usato idranti e lacrimogeni. Dopo due ore sullo stesso sentiero solcato in quest’anno da migliaia di passi, i No Tav sono tornati alla Centrale, dove un centinaio di persone batteva il guardrail e il cancello. In tanti irridevano i poliziotti dietro alla rete in alto sulla strada, che scrutavano preoccupati il bosco, nonostante gli scudi, i caschi, l’illuminazione da carcere speciale. Poi tutti a casa, perché domani la sveglia suona presto per chi per vivere è obbligato a far ricco un padrone. Difficile non pensare che in questo stesso giorno il parlamento ha votato la fiducia alla riforma che ci renderà ancora più schiavi e ricattabili di quel che già siamo. In quest’estate No Tav il lavoro che non c’è – scuole, ospedali, trasporto pubblico, tutela del territorio – dirà le proprie ragioni contro il lavoro che c’è – repressione, guerra, devastazione. 27 giugno. Un anno dopo. Un giorno come tanti di ordinaria resistenza.

traduction automatique:

Mercredi, 27 Juin. Une année s'est écoulée par l'expulsion de la libre
République de Madeleine. Une longue 'année. Une année de lutte entre
directeurs, actionnaires, des barrages routiers, "marche" dans les zones occupées.
En cette année, le mouvement No Tav a démontré sa réticence à
céder. Nous avons enduré des coups et des gaz lacrymogènes à destination, nous avons résisté
les plaintes et les arrestations, nous avons résisté à la tentation de céder à
la détresseen facedu visage de la force militaire déployée en face de nous.
Nous n'avons jamais abandonné et nous sommes déterminés à ne pas abandonner.
Pour un an après, ce matin, quand l'aube claire et
magnifique, apparurent les premiers camions routiers et serrer
l'acier, le symbole de la dévastation de Tav, Juin 27 était une
jour comme beaucoup d'autres. Seulement avec un soupçon de plus amer et le sucré.
Le souvenir amer de ce qui fut et ce qui est devenu l'Clarea,
un désert où ils campent les troupes d'occupation. Le doux de savoir que
chaque pouce si vous êtes en sueur, doux de savoir que dans le but d'ouvrir
Tout ce qu'il a fallu plus d'un an. Le doux de savoir que le libre
République dans la vie exil dans nos directions d'école et les nombreux endroits où l'
drapeau  No TAV est devenue un symbole de la dignité, la force,
la gestion autonome. Liberté. La liberté de ceux qui ne se pliera pas, la liberté que chaque
jour nous fait choisir d'être contre la loi, parce que la légitimité de
notre action est ailleurs que les codes qui nous emprisonnent et
policiers qui ont battu et gasano pour l'État.
Ce soir quelques centaines de No Tav fait leur promenade
Non Tav le long du chemin - timbres jaunes et orange - qui est parallèle
les rues animées de La Havane, et fermées par des portes et des réseaux.
En Clarea quelques pieds du filet a été coupé. La police a utilisé
des canons à eau et des gaz lacrymogènes. Après deux heures sur le même chemin labouré
cette année par des milliers de mesures, le Tav Non sont retournés à l'Amérique centrale, où
une centaine de personnes a heurté le garde-corps et la porte. Dans de nombreux
raillé les flics derrière le haut du réseau routier, qui
scruté inquiète les bois, malgré les boucliers, casques,
éclairage par la prison spéciale.
Puis, tout à la maison, parce que demain l'alarme retentit au début pour ceux à vivre
est obligé de faire un riche propriétaire. Difficile de ne pas penser que dans ce
même jour, le Parlement a adopté un vote de confiance dans la réforme que nous
rendre encore plus esclaves et de chantage de ce que nous sommes déjà.
En été, le travail  - écoles, hôpitaux, transports publique, la protection du territoire - par exemple son cas contre le travail des
il - la répression, la guerre, la dévastation.
Le 27 juin. Un an plus tard. Un jour comme un  autre de  résistance ordinaire.

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    dimanche 30 juin

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du 22 juillet