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La tyrannie la plus redoutable n'est pas celle qui prend figure d'arbitraire, c'est celle qui nous vient couverte du masque de la légalité." Albert Libertad

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le blog du laboratoire anarchiste

File:Wooden Shoe.svg
1 septembre 2008 1 01 /09 /septembre /2008 14:27
 Liberté pour AMADEU Casellas :
Purge actuellement une peine dans la prison de Quatre Camins-Granollers. . Le23 Juin a décidé de lancer une grève de la faim illimitée pour exiger que leurs exigences sont remplies sur la mise en œuvre de limitation du temps de condamnation à laquelle il a droit et obtenir de probation.il n'y a pas eu de réponse positive ou de la magistrature ou la direction des Services Penitentiaires de la Catalogne.




Cebecera de la manifestation

Salida de la manifestación. Départ de la manifestation. Ci dessous le siege du parti socialiste de Barcelone
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29 août 2008 5 29 /08 /août /2008 07:51
LA photo est une banderolle tendue dans les rues de Bilbao
Amadeu  est en grève de la faim depuis le 23 juin et Samedi 30 aout meeting place de l'Université de Barcelone: "bougeons le cul pour AMADEU"
"Nous voulons faire un minimum de pression sur la Direciton Générale des Services Pénitentiaires, afin que la situation de Amadeu Casellas change, pour qu'ils voient qu'il y a un soutien local, national, international. Pour cela, même s'il faut faire un voyage de province ou ailleurs, nous croyons que cela en vault la peine. Nous ne disons pas que c'est l'essentiel, mais c'est une des possibilités d'action.
Salut et courage aux grévistes! Résultat pour ceux qui les soutiennent
"
desde el 23 de Junio.


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24 août 2008 7 24 /08 /août /2008 07:03
Le mouvement évangélique est une branche protestante qui possède 5 fondements : le biblicisme ( la Bible est la seule autorité), le crucicentrisme (seuls ceux qui croient que Jésus-Christ est mort sur la croix à la place de l'homme pêcheur seront sauvés), l'engagement militant (évangélisation des autres), la conversion (la « deuxième naissance » par le baptême) : Un des
pivots  pour les salopards qui  veulent soumettre  la femme 


Un foetus né sans vie pourra désormais être inscrit sur les registres de l’état civil, selon deux décrets du ministère de la Justice parus aujourd'hui au Journal officiel, permettant ainsi d’organiser des obsèques.
Depuis plusieurs années, des associations demandaient que soit comblé le vide juridique qui existe en France pour les foetus de 16 à 22 semaines morts in utero ou après une interruption médicale de grossesse.

Un premier décret dispose qu’«un livret de famille est remis, à leur demande, aux parents qui en sont dépourvus par l’officier de l’état civil qui a établi l’acte d’enfant sans vie», comportant un extrait d’acte de naissance du ou des parents ainsi que «l’indication d’enfant sans vie», la date et le lieu de l’accouchement.

Le second décret prévoit que «l’acte d’enfant sans vie est dressé par l’officier de l’état civil sur production d’un certificat médical dans des conditions définies» par un arrêté du ministre de la Santé, mentionnant l’heure, le jour et le lieu de l’accouchement. Cet arrêté, paru également aujourd'hui au Journal officiel, présente un modèle de ce certificat d’accouchement signé par le praticien concerné.

Actuellement, dans la plupart des hôpitaux, les foetus de moins de 22 semaines sont incinérés avec les déchets du bloc opératoire.

En février, la Cour de cassation avait jugé, dans trois arrêts, qu’un foetus né sans vie pouvait être déclaré à l’état civil, quel que soit son niveau de développement.
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3 juillet 2008 4 03 /07 /juillet /2008 17:48

Sa mère se laisse mourir, elle le sait bien. Elisa allume une cigarette sans trembler. "Ce n'est même pas une crise suicidaire, c'est une baisse de l'énergie vitale. Elle boit un peu d'eau, le reste, elle s'en fout, explique calmement la jeune femme. On peut mourir de tristesse, vous savez. Je supporte parce que je n'y pense pas. On n'est pas des gens à se complaire là-dedans." Marina Petrella, 54 ans, ancienne dirigeante des Brigades rouges, attend la mort sans hâte dans une cellule de l'unité psychiatrique de la maison d'arrêt de Fleury-Mérogis (Essonne). Elle a été arrêtée en août 2007, alors qu'elle travaillait comme assistante sociale, après avoir passé quinze ans à reconstruire sa vie en France. Avec ses deux filles et des papiers en règle.

ÉTAT DÉPRESSIF GRAVISSIME

Le premier ministre, François Fillon, a signé son décret d'extradition le 9 juin. Elle a, sans illusions, saisi le Conseil d'Etat, qui ne rendra pas sa décision avant plusieurs mois. Marina Petrella n'attend plus rien. Le médecin de la prison de Fresnes a noté, le 11 avril, "état dépressif gravissime, douleur morale, idées de mort extrêmement prégnantes, angoisse avec vécu somatique, sensation d'avenir bouché, l'ensemble évoquant une crise suicidaire franche et très inquiétante". Le 9 juin, un autre médecin, le docteur Jean-François Bloch-Lainé, s'alarme de cet "abandon de vie" et relève qu'elle perd "2 kg par semaine". "Son état ne l'intéresse plus, s'inquiète le médecin. Mme Petrella ne se nourrit plus, ne boit plus, ne communique plus, et lâche prise dans un état de dépression important." Ses avocats demandent au gouvernement d'appliquer la "clause humanitaire" de la Convention européenne d'extradition de 1957, qui autorise à ne pas extrader une personne "en raison de son âge ou de son état de santé".

Elisa, sa fille, connaît bien la prison, elle y est née. Un 25 août, il y a presque vingt-cinq ans, à Rome. Elle y est restée dix-huit mois avant d'être confiée à Léa, sa grand-mère, qui avait au début des années 1980 toute sa famille en prison, son fils, sa fille, son gendre. Près de 60 000 personnes ont été inculpées, 5 000 ont été incarcérées pendant "les années de plomb" en Italie lors d'énormes procès, après le vote de lois spéciales. L'Italie baignait alors dans "une véritable guerre civile, bien que de basse intensité", a reconnu Giovanni Pellegrino, le président de la commission parlementaire d'enquête.

Marina, sa mère, a été incarcérée huit ans avant d'être libérée sous contrôle judiciaire, la durée maximale de la détention provisoire ayant été atteinte. Elle a encore attendu cinq ans avant d'être définitivement condamnée, le 4 mai 1993, à la réclusion à perpétuité. Marina Petrella n'a pas été jugée par contumace, elle était à son procès, mais ses juges n'ont pas délivré de mandat d'arrêt. Des mois ont passé. "On ne se cachait pas, raconte Elisa. Un jour elle m'a dit, on va vivre à Paris." A Paris, il y a des amis. Sur les conseils de Mes Jean-Jacques de Felice et Irène Terrel, les infatigables avocats des Italiens, Marina écrit au procureur de Paris et aux autorités italiennes pour déclarer sa présence. Elisa est inscrite à l'école italienne, Marina est serveuse à Saint-Ouen.


"ON SE SENTAIT PROTÉGÉ"

Rome envoie une demande d'extradition en 1994. On reproche à Marina Petrella sept crimes, parmi lesquels la séquestration d'un magistrat, et surtout, en tant que membre de la direction romaine des Brigades rouges, la participation à l'organisation de cinq agressions dont l'assassinat d'un commissaire de police. "On n'a plus fait que travailler pour s'intégrer en France, explique Elisa, on se sentait protégé, on entrait dans les critères de la doctrine Mitterrand." Le président de la République avait déclaré le 26 avril 1985, devant le 65e congrès de la Ligue des droits de l'homme, que les Italiens, qui "ont participé à l'action terroriste en Italie depuis de longues années" mais "ont rompu avec la machine infernale" et se sont réinsérés "étaient à l'abri de toute sanction par voie d'extradition". La parole du chef de l'Etat a engagé la France pendant dix-sept ans, sous neuf gouvernements. Dominique Perben, garde des sceaux du gouvernement Raffarin, a rompu l'engagement en extradant au milieu du mois d'août 2002 Paolo Persichetti, un professeur de l'université Paris-VIII.

En 1994, Marina Petrella rencontre Ahmed Merakchi. Ils s'installent dans une résidence à Epinay-sur-Seine (Seine-Saint-Denis), elle comme femme de ménage, lui comme gardien jardinier. Ils créent un petit journal, Entre voisins. Elle, elle marque les résidents par son intelligence. Ils déménagent ensuite à la Source, un quartier difficile d'Epinay, où Marina sermonne les gamins qui brûlent les voitures. Elle travaille bientôt au centre culturel. "La vie se passait pas trop mal, sourit Ahmed. On ne gagnait pas grand-chose, mais on était heureux. Elle m'a traîné dans tous les petits théâtres de banlieue. En vacances, elle tombait en arrêt devant les belles maisons, elle savait apprécier les choses, et elle osait le dire."

Un jour, Marina lui dit qu'elle veut un autre enfant. Lui n'est pas très enthousiaste, mais finit par se laisser fléchir, à condition d'aller à la préfecture de police, avec une copie de la déclaration de Mitterrand. La préfecture ne trouve rien à signaler, Marina a d'ailleurs une carte de séjour.

Mais un jour, en 2002, à 6 heures du matin, trois hommes frappent à la porte, juste après l'affaire Persichetti. Trois policiers en civil, qui analysent leurs portables et l'ordinateur. Marina fait aussitôt un courrier à la mairie pour dire qui elle est, on lui répond qu'il n'y a pas de soucis. Elle se jette bientôt dans le travail social, qui la dévore, dans le Val-d'Oise. "Elle se battait pour que les gens se prennent en charge, explique Anne Ouvrard, directrice d'un foyer de jeunes travailleurs. Pas le genre à se plaindre. Et elle ne comptait pas ses heures." Ahmed, ça l'énervait : "A table, elle nous racontait des cas très lourds, ça lui faisait vraiment du mal. Je lui disais : "Mais prend un peu de recul !""

 

Le 22 août 2007, Marina est convoquée au commissariat d'Argenteuil. Un an auparavant, elle avait vendu une voiture à un garage qui avait omis de faire le changement de carte grise. Elle y va, son certificat de cession à la main, avec Ahmed et Emma. "Ils lui ont demandé le nom de son père et de sa mère, raconte Ahmed, et à la troisième question : "Est-ce que vous avez des armes à la maison ?", j'ai senti que ça tournait mal." Marina est menottée, incarcérée, la cour d'appel confirme l'extradition, puis la Cour de cassation.

Son comité de soutien tempête contre le reniement de l'Etat, dans une indifférence polie. Seuls le député Patrick Braouezec et la sénatrice Dominique Voynet bataillent pour la prisonnière ; Jean-Pierre Dubois, le président de la Ligue des droits de l'homme, s'inquiète que la France propose l'asile aux guérilleros des FARC et extrade une Italienne rangée des voitures. Rien n'y fait.

Tout doucement, Marina se laisse couler, abasourdie par cette répétition de l'histoire. Elisa est née en détention, et quand Emma, 10 ans, a besoin d'elle, Marina n'a de nouveau que la perpétuité pour horizon. Quand sa mère a été arrêtée, la petite fille a passé quarante-huit heures sans parler. Un jour, au parloir, la fillette n'a plus voulu lui faire un câlin. Et puis elle n'a plus voulu venir du tout.

Marina a été placée en hôpital psychiatrique, dans un isolement absolu. Elle regarde le plafond, on la sort un quart d'heure par jour. Elle refuse toutes les visites. "Elle préfère mourir qu'être enterrée vivante, dit Ahmed, elle dit que, comme ça, ses filles pourront faire leur deuil."

Marina vient de lui envoyer une belle photo de mer, pleine de soleil. Elle a écrit au dos : "Ça aurait pu être la mer de la Crète, mais nous ne la verrons jamais. Nous avons passé de bons et de mauvais moments, mais ce n'est pas le moment de faire le bilan, contentons-nous de l'avoir vécu. Et maintenant, je te demande de t'occuper qu'Emma grandisse saine, pas obéissante ou rebelle, mais saine, avec de bons principes. Quant à toi, tu as été le dernier homme que j'ai aimé... comme je te l'avais promis." Il a toujours la lettre sur lui. Il a si peur que ce soit la dernière.

Franck Johannès



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21 juin 2008 6 21 /06 /juin /2008 07:18
banderoles de solidarité à Paris

au petit matin du lundi 9 juin, aux portes de Paris, sur les autoroutes A1 et A3...

banderole A1 banderole A3 banderole A3 n°2

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18 juin 2008 3 18 /06 /juin /2008 06:15

 TURIN:Un TAZ pour YVAN et BRUNO inculpés de la guerre sociale

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17 juin 2008 2 17 /06 /juin /2008 18:06
Voilà je vous transmets le message envoyé à l'émission radio labo qui héberge l'émission du collectif solidarité prisonnier-e-s
Communiqué de presse
Lyon, le 12 juin 2008



Maison d’arrêt de Bonneville :
Quand la fête de la musique s’invite…



Plus d’une quinzaine de concerts est organisée pour célébrer la fête de la musique 2008 au sein des établissements pénitentiaires de l’interrégion Rhône-Alpes Auvergne. Les personnes qui nous sont confiées sont associées comme tout un chacun à cet événement national.

Pour l’édition 2008, la maison d’arrêt de Bonneville invite le chanteur Philippe EKEKE le jeudi 19 juin à partir de.

A l’initiative des services pénitentiaires d’insertion et de probation (SPIP), la fête de la musique fait partie intégrante d’un programme d’actions culturelles menées par les SPIP tout au long de l’année. Cet évènement est le reflet d’une politique active d’insertion et de préparation à la sortie des personnes placées sous main de justice.

Philippe EKEKE est né au Cameroun dans une famille de musiciens. Il passe son adolescence entre l’Afrique et le bassin lémanique où il vit. Imprégné par les musiques jazz, africaines et européennes, il propose une représentation aux influences pop et world. Cet artiste présente actuellement son album YETENA accompagnés de ces musiciens.






Contact presse :

Elise Duhayon - DISP Lyon - 04 72 91 37 06

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16 juin 2008 1 16 /06 /juin /2008 19:16
Commentaire :Il paraitrait que le blog du laboratoire renseigne les fachos, 
tellement l'accusation est énorme j'attendsla personne de pied ferme
au laboratoire pour me casser la gueule comme flic indic et
autre accusation MAX.


Y a des fois où on se passerait bien de passer en vidéo sur internet !
( voir Lyon capitale, qui a réalisé un super reportage)

Dérapage dans une manifestation anti-IVG

Dimanche 15 juin a eu lieu une manifestation anti-IVG. Le cortège est parti de l'Hôtel Dieu en direction de Fourvière.

Dimanche après midi avait lieu une manifestation de cathos d'extrême droite 
pro-vie,devant l'hotel dieu.
Nous rejoignions à 5 une contre manifestation. Notre groupe comprenait
X, mon frère, ma mère, un camarade de la FSE et un militant de
l'UNEF (TUUD) croisé par hasard.
Nous longions l'hotel dieu à distance, prudemment, sans rien faire d'autre
que:
d'observer la foule assez folklo de manifestants provie quand soudain une
dizaine de fascistes ont traversé les trois voies qui nous séparaient d'eux et
sans délai ont violemment frappé notre camarade, le jetant à terre et
le rouant de coups de pieds.
Pas le temps de réagir, ni de se défendre.
Puis à la première sirène ils ont détalé !
La BAC nous a tenu compagnie et ils ont ramené en tant que suspect un asiatique en
survet qui n'avait rien à voir.
Le militant a fini à l'hosto où lui ont été faits deux points de suture.
Le militant en question vient d'être relaxé (il avait été arrêté pour fait de
grève
pendant le mouvement anti-LRU).
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10 juin 2008 2 10 /06 /juin /2008 06:01
http://bellaciao.org/fr/IMG/jpg/vendredi_28_mars_5.jpg

Paris, le 9 juin 2008.
 

 Ce 9 juin 2008, le décret d’extradition a été notifié à Marina Petrella. Cette décision inique engage la responsabilité personnelle du chef du Gouvernement et du chef de l’Etat français. Un recours en Conseil d’Etat a été enregistré.

Après neuf mois d’incarcération à la prison de Fresnes, le gouvernement français a décidé que la seule perspective de Marina Petrella devait être la mort lente puisqu’elle purgera en Italie une peine à perpétuité :

  • pour des faits remontant à plus de 25 ans, en exécution d’une sentence prononcée en Italie voici 15 ans dans le cadre d’une législation d’exception,

  • en déni de l’asile de fait accordé par la France aux réfugiés italiens dès 1981 et en violation des engagements de la France de n’extrader aucun de ces réfugiés.

Le décret d’extradition intervient alors que Marina est au plus mal. La perspective de la prison à vie et la séparation d’avec sa jeune enfant de 10 ans la détruisent. Après huit semaines d’hospitalisation en raison d’une très grave dégradation physique et psychique, épuisée et ne s’alimentant plus depuis deux semaines, Marina Petrella a été réincarcérée à la prison de Fresnes… pour se voir signifier le décret de son extradition. Pourtant, son état de santé justifie pleinement l’application de la clause humanitaire prévue par les textes régissant l’extradition.

 

Mais nous pouvons encore AGIR …

-          Rassemblement mercredi 11 juin 2008 à 11h30 place Sèvres Babylone, 75007 Paris (devant le square)

-          Nous demandons à toutes celles et tous ceux qui ont signé la pétition ou / et l’Appel des femmes, à toutes celles et tous ceux qui ont soutenu Marina, d’envoyer un mail signé et daté (ou un courrier sur carte découverte) au Premier ministre français François Fillon et au Président Nicolas Sarkozy leur demandant l’abrogation du décret d’extradition de Marina Petrella.

Proposition de lettre :
« Monsieur le Premier ministre (ou Monsieur le Président),
Le décret d’extradition de Marina Petrella vient de lui être signifié par vos services. Nous savons qu’il est en votre pouvoir d’abroger le décret que vous venez de signer. Au regard d’une décision d’extradition relative à des faits remontant à plus de 25 ans, au regard de l’engagement de la France de n’extrader aucun réfugié italien, au regard de la dégradation effroyable de l’état de santé de Marina Petrella, je vous demande de faire preuve d’humanité et de ne pas renvoyer Marina finir sa vie dans les prisons italiennes »

M. François Fillon, Hôtel Matignon, 57 rue de Varenne, 75700 Paris – email : sur le site http://www.premier-
ministre.gouv.fr/acteurs/premier_ministre/ecrire, onglet « écrire au Premier ministre » et service.presse@pm.gouv.fr



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9 juin 2008 1 09 /06 /juin /2008 08:11

L'opération "nuit des écoles" a été lancée mercredi 4 juin par des enseignants de Loire Atlantique soucieux d'apporter une médiatisation nationale aux différentes actions locales qui s'organisent un peu partout en France.

En effet en Loire Atlantique, le mouvement contre les mesures Darcos est très présent depuis plusieurs semaines avec notamment une manifestation sous la pluie de plus de 10 000 parents et enseignants le 24 mai dernier à Nantes. Toutes ces actions sont bien relayées par la presse locale (voir le site http://retrait.mesures.darcos.over-blog.com/ ) mais il n'y en a que très peu d'écho au niveau national. De même, internet nous permet de voir que des actions semblables sont menées un peu partout en France, alors pourquoi ne pas proposer une action commune?

Après un premier envoi de mails à des écoles de différents départements, des collègues d'Ile et Vilaine nous ont parlé de ce projet "nuit des écoles" pour le 13 juin. Le même type d'action ayant été réalisé en Maine et Loire, certaines écoles de Loire Atlantique et d'autres départements étant partantes, le mouvement s'est lancé mercredi avec la diffusion d'un tract et la création d'un site internet dédié.

L'objectif de mobiliser 1 000 écoles en 10 jours est ambitieux mais 3 jours après le lancement de l'opération, des écoles d'une douzaine de départements se sont déjà inscrites et le site http://nuit.des.ecoles.over-blog.com

Cette opération a donc été lancée par un "mouvement citoyen" composé de parents d'élèves et d'enseignants de Loire Atlantique désireux de lutter en toute indépendance contre les mesures Darcos (nouveaux programmes, réorganisation de la semaine scolaire, suppression de postes...)
 

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Agenda

    dimanche 30 juin

15h à 16 h

accueil de familles de prionnier-e-s

discussion , infos et peites recettes

pour les proches de détenu(E)s...

- aides juridique

-participation à l'émission de radio Mega

du 22 juillet