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La tyrannie la plus redoutable n'est pas celle qui prend figure d'arbitraire, c'est celle qui nous vient couverte du masque de la légalité." Albert Libertad

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le blog du laboratoire anarchiste

File:Wooden Shoe.svg
9 octobre 2012 2 09 /10 /octobre /2012 09:20

Ce message est publié par celui qui anime l'émission de radiolabo sur radio mega celle- ci peut être écoutée sur internet rediffusion le jeudi de 9h à 9h45

Mouvement contre le racisme et pour l’amitié entre les peuples
EXPOSITION
À l’occasion du cinquantenaire de la signature le 18 mars 1962 des« Accords d’Evian »
Hôtel de Ville, Espace François Mitterrand, 26500 Bourg-lès-Valence
Du 22 au 27 octobre 2012
Entrée libre
Hôtel de ville -Espace François Mitterrand -26500 Bourg-lès-Valence
Mardi au Vendredi de 9h00 à12h et de14h00 à17h30
(Vendredi 17h) Samedi de 9h00 à19h00

on ajoute un texte signé par le Mrap

Pour donner l’ampleur nécessaire à la commémoration du tragique 17 octobre 1961, un collectif entend coordonner des actions communes aux différentes organisations qui souhaitent faire reconnaître et condamner ce crime d’Etat commis sous la responsabilité du sinistre Préfet de Police Maurice Papon.

Maurice Papon n’aura jamais rendu compte de ce massacre.

Sous l’impulsion des Associations : "17 Octobre 1961 : contre l’oubli", "Au nom de la Mémoire", de la "LDH (ligue des Droits de l’Homme)", et du "MRAP (Mouvement contre le racisme et pour l’amitié entre les Peuples)" qui animent depuis plus de 20 ans les actions pour qu’on oublie pas les Algériens massacrés en plein Paris le 17 octobre 1961, un collectif se réunira régulièrement pour organiser, populariser les actions qui seront menées dans ce cadre.

Pour le 17 octobre 2012, 51ème anniversaire, rien n’a changé ;

En octobre 2011, François Hollande, Candidat à la présidence de le République, élu depuis, avait fait un geste symbolique :

- Signé l’appel sur "Médiapart"

- Participé à une manifestation symbolique à Clichy

 

Depuis le 50ème anniversaire, les plus hautes autorités de l’Etat font preuve d’un silence assourdissant à ce sujet. Les ministres qui défilent en Algérie pour préparer la visite du Président de la république française, annoncée pour la fin de l’année 2012, n’ont semble-t-il pas évoque la question de la colonisation de 1830 à 1962 et de ses terribles séquelles, mais seulement de prévisions d’accords économique, selon la presse algérienne (la presse française étant restée muette sur ces questions).

Un rassemblement est annoncé pour le 17 Octobre 2012 à 18h au Pont Saint Michel à PARIS

 

Consulter la rubrique 51ème anniversaire pour lire les informations complémentaires.

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8 octobre 2012 1 08 /10 /octobre /2012 19:02
lors qu'on voit cette liste, on voit l'emprise totale sur le combat antinucléaire, local voir régional, des parti politique et diverses associations subventionnées grassement sur la région rhones Alpes
Soirées de soutien

 

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RENNES (35) le vendredi 5 octobre 2012 à 19h :

Repas et concert de soutien à la maison de la Grève aux inculpé-e-s de Valognes

Maison de la Grève, 37 rue Legraverand

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ROUEN (76) le samedi 6 octobre 2012 à 18h :

La Conjuration des fourneaux, 149 rue St-Hilaire

 

on ajoute à la liste publié sur le blog  Valognes stop castor la soirée  à la BAF de Grenoble du 23 /10/2012 à 19h

SAINT ETIENNE (42) le samedi 17 novembre 2012 :

Concert de soutien

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CAMPENEAC (56) le samedi 24 novembre 2012 :

Projection, repas et concerts de soutien

forêt de Brocéliande

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D’autres soirées de mobilisation et de soutien continueront de s’organiser
courant octobre et novembre (Saint Etienne, Brest…).

Merci d’envoyer les infos à legalteamvalognes (at) riseup point net pour compléter la page.

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MONTREUIL (93) le vendredi 21 septembre 2012  à 19 h :

Discussion publique à l’occasion de la sortie du n°6 de la revue Z, L’industrie nucléaire après Fukushima, au café-librairie Michèle Firk à Montreuil 9, rue François Debergue M° Croix de Chavaux.

Tant que l’on n’a aucune prise sur lui, le monde de l’industrie nucléaire est invisible, parce qu’insupportable : des milliers de sous-traitants irradiés dans le turbin des centrales, des Nigériens ou des Aborigènes expropriés pour faire place à de nouvelles mines d’uranium, des contestations réprimées dans la violence, des pollutions lentes, diffuses et irrémédiables autour de chaque installation, et, à chaque décennie, une catastrophe qui dépasse l’entendement.

Tout ça pour quoi ? Pour entretenir un modèle économique qui joue à la roulette russe pour augmenter le PIB, attelle des hommes à des tâches qui les répugnent, appâte les entreprises avec des territoires qu’elles s’empressent de dévaster. Pour ne pas admettre que le fleuron de notre patrimoine industriel national, cette technologie virile et prométhéenne, est une grave erreur.

Que faire alors pour ne pas céder à l’impuissance ? C’est de cette question que sont parties nos enquêtes, pendant que certains d’entre nous étaient à Valognes (Manche), non loin de l’usine Areva de la Hague, sous les lacrymos d’une police venue « sécuriser » le passage d’un convoi de déchets nucléaires un matin de novembre 2011.

Le 9 octobre prochain, trois personnes seront jugées au tribunal de Cherbourg à la suite des actions menées à Valognes. Comment organiser la solidarité ?

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DIJON (21) le jeudi 4 octobre 2012 à 18h30 :

Invitation à un repas de soutien aux inculpés du nucléaire
(Le repas sera précédé d’une discussion)

L’année qui vient de passer a marqué un regain d’intensité de la lutte anti-nucléaire dans un contexte encore déterminé par la catastrophe de Fukushima. « Le 23 novembre dernier, aux alentours de Valognes dans la Manche, 800 personnes se mettaient en tête de retarder un train CASTOR de déchets radioactifs et y réussirent. » Dans la même région, « la plus nucléarisée du pays le plus nucléarisé du monde », une lutte acharnée se poursuit contre la construction d’une nouvelle ligne à très haute tension accompagnant le futur réacteur de Flamanville. En juin 2012, un nouveau camp fut organisé dans cette dynamique, afin de renouveler les échanges et les discussions autour des luttes contre les infrastructures. L’action de la fin du week-end se solda par de nombreux blessés et quelques arrrestations parfois lourdes de conséquences.
Le 9 octobre prochain a lieu le procès de trois inculpés de Valognes. Ce sera un procès d’une portée politique forte. La justice tente de faire des trois inculpés des boucs émissaires qui devraient porter la responsabilité de la totalité des effets de l’action de blocage du train CASTOR. Ces trois personnes ont été choisies parce qu’elles avaient assumé le rôle d’interlocuteur avec la presse afin de rendre intelligible l’iniative de blocage du train. Il est indispensable pour l’avenir de nos luttes qu’un mouvement massif puisse se doter de tels porte-paroles sans être inquiété de la sorte.

bar l’Annexe, rue Devosge

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LE MANS (72) le mercredi 3 octobre 2012 à 19h :

Discussion autour du procès du 9 octobre 2012 à Cherbourg

 

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8 octobre 2012 1 08 /10 /octobre /2012 18:54

Manifestation nocturne et sonore vers le centre de rétention de Vincennes, Vendredi 16 novembre 2012 à 18 heures

Pondre une énième réforme pour enfermer et expulser toujours plus d’étrangers (allongement du contrôle d’identité à 16 heures) semble être aussi normal que de se demander ce qu’on va manger ce soir. Enfermer les gens 45 jours pour une histoire de papiers est devenu acceptable. Mettre en prison ou sous cachetons ceux qui refusent de se laisser enfermer, exploiter et stigmatiser est d’une extrême banalité. Mais malgré toutes les forces mises en œuvre pour nous faire avaler la pilule, des personnes, à l’intérieur comme à l’extérieur des centres de rétention, se révoltent et se solidarisent régulièrement.

Le racisme et la stigmatisation des étrangers sont un des moyens des pouvoirs pour désigner un ennemi commun. Le but est de monter les pauvres les uns contre les autres. Diviser pour mieux régner. Il faut que le marché du travail soit une histoire de compétition afin de nourrir encore et toujours l’économie.

Au sein de l’espace Shengen les frontières sont censées être abolies mais en réalité elles sont surtout renforcées à l’intérieur de l’Europe. La « menace » migratoire permet de justifier un contrôle permanent sur toutes et tous : dans les transports, sur les lieux de travail, dans les administrations, dans la rue... Un simple contrôle peut pour certains, amener à l’enfermement et l’expulsion. Rendus possible grâce à la collaboration active des banques (La Poste, la BNP, le Crédit lyonnais...), des agences d’interim (Randsat et Adecco qui menacent de balancer les sans-papiers s’ils se mettent en grève), des transporteurs (SNCF, Air France, Royal Air Maroc...), des constructeurs (Bouygues, Eiffage, Vinci...) ainsi que toutes les associations (France terre d’asile, Croix rouge, Forum réfugiés...) qui cogèrent la machine à expulser.

Les centres de rétention comme les autres lieux d’enfermement sont un des moyens répressifs pour l’Etat d’asseoir son pouvoir et d’étendre le contrôle sur la société. Ils sont banalisés et admis comme faisant partie d’un système qui fonctionne du mieux qu’il peut. De toute évidence, la machine rodée de la politique migratoire fait face à des individus qui ne veulent pas subir leur exploitation et leur enfermement. Des révoltes ont lieu dans les prisons pour étrangers en Europe et ailleurs. Il y a un an, à Marseille, le centre de rétention du Canet a brûlé. Depuis sa réouverture les actes de résistance n’ont cessé. Cet été des retenus ont refusé d’embarquer et se sont révoltés contre les tabassages quotidiens des flics. Certains ont essayé de mettre le feu au centre. Des personnes se sont solidarisées avec eux.

Ces dernières années l’État a cherché à casser les luttes à l’intérieur comme à l’extérieur en utilisant de nombreux outils de son appareil répressif y compris l’antiterrorisme. Ce sont pourtant ces révoltes et ces solidarités qui s’attaquent à la résignation. S’organiser pour lutter contre les centres de rétention et les frontières, c’est aussi s’opposer aux outils de contrôle et de répression qui vont avec.

Nous refusons de nous laisser contrôler et enfermer dans des prisons et des frontières. Attaquons les lieux d’enfermement et le système qui les produit.

- Manifestons en nous faisant voir et entendre des retenus le vendredi 16 novembre à 18 heures précises.
- Rendez-vous dans le hall de la gare RER de Joinville-Le-Pont (RER A - direction Boissy-Saint-Léger).

Suivant



lu et copié sur le site de cette semaine

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8 octobre 2012 1 08 /10 /octobre /2012 11:13

on a publié les images de la manifestation appélé par Lucas le samedi 28 septembre, on a reçu aussi d'atre images moins réjouissantes . On voit le cortège no TAV à Val Clarea sous une pluie urticante balancé par la flicaille italienne.On vous rappelle que Luca abbà a subit des très graves brûlures en février 2012 lors de  l'attentat contre lui.

Les sites italiens no TAV sont submergé par le message d'un conseiller régional qyui s'élève contreles magouille de la commission d'enquêteen reprenant les articles de politis et du canard enchainé..Nous tenonsà diffuser ces images, Le principal pour nous c'est la solidarité pour ceux qui luttent sur le champ de bataille. On ne doit laisser aucun compagnon(nes) sur le champ de bataille sans solidarité active. les secret desrapport de force dans les alcoves du pouvoir, les jeux politicien ne nous intéresse pas,les magouilles dans le champ capitalisten'est jamais pour les dominé(e)s et les otages  des partis politique du consensus et des gauchistes de la gauche du capital.

n ne nous appartiennent pas. On n'est pas des lobyistes.

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8 octobre 2012 1 08 /10 /octobre /2012 00:37

In concomitanza con il presidio solidale e anticarcerario sotto il carcere di Cuneo, apprendiamo che Maurizio Ferrari, arrestato il 26 gennaio scorso in seguito all'operazione repressiva contro la resistenza No Tav, è stato trasferito presso la prigione di Ferrara. Come prima risposta a questa subdola manovra viene confermato, con ancora più rabbia, il presidio davanti al carcere di Cuneo.

Per scrivere al compagno:

Maurizio Ferrari
C.C. Via Arginone, 327
44122 FERRARA

traduction par la claviste:

Dans le  même le même moment que se tenait  le presidio et toutes et tous  anticarcéraux réunis sous les murs de la  prison de Cuneo Nous apprenons que Maurizio Ferrari, qui a été arrêté le 26 Janvier  dernièr( suite à l'opération de répression contre la résistance No Tav), a été transféré à la prison de Ferrare. En tant que première réponse à cette manoeuvre subtile est confirmée, avec colère, plus de protestation à l'extérieur de la prison en Italie.

Pour écrire à son compagnon:

Maurizio Ferrari
C.C. Via Arginone, 327
44122 FERRARA

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7 octobre 2012 7 07 /10 /octobre /2012 22:23
Contre la discrimination des Roms et des Gens du voyage.- signer maintenant

Nous, les Gadjos, refusons la discrimination à l'encontre des Roms et Gens du voyage.

- Contre les lois discriminatoires dont font l'objet les Roms et Gens du voyage.
- Contre les communes qui n'appliquent pas l'obligation légale de construction d'aires d'accueil.
- Pour une représentation des Roms et Gens du voyage à l'Assemblée Nationale, au Sénat et au Parlement européen.
- Pour un Grenelle des Roms et des Gens du Voyage pour réfléchir à des solutions dans des domaines comme l'éducation, la formation professionnelle, la santé et le logement.
- Contre les expulsions vers la Roumanie ou la Bulgarie.
- Contre les destructions des camps.
- Pour des solutions de logements acceptables et concertées.
- Pour un accueil humain, chaleureux, sans haine ni ostracisme.
- Pour une reconnaissance nationale des crimes, pogroms, massacres subis par les Roms et Gens du voyage tout au long de l'Histoire.
- Pour la création d'un Musée National consacré à l'Histoire des Roms et des Gens du voyage.

signez la pétition

Signe avec

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6 octobre 2012 6 06 /10 /octobre /2012 13:41

No TAV 26 reçu cette vidéo , on vous la transmet. Celle ci montre la présence important d'uranium sur le site du futur tunne d'exploration  àl'emplacement  de la  Magdalena à côté de Chiomonte pour le TGV Lyon Turin. Tout ceci dans le val de susa.on vous donne rendez vous pour discuter pour consolider no TAV 26

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6 octobre 2012 6 06 /10 /octobre /2012 10:53

 

message trouvé sur le blog cette semaine

 

Marseille : rassemblement devant le centre du Canet, samedi 6 octobre, 18h
(Le 4 octobre 2012)

Reçu par mail.

Rassemblement le CRA du Canet
Samedi 6 octobre, 18h

Semaine après semaine, jour après jour, le quotidien des retenu-e-s au Centre de Rétention Admnistratif du Canet est ponctué par des humiliations, des insultes et des tabassages de maton-ne-s de cette prison pour étranger-e-s.

Parfois la nourriture est périmée, on donne aussi des médicaments à tout vent, surtout des anti-douleurs ou des anxiolytiques. Si un-e retenu-e tente de résister à son expulsion il-elle peut être ligoté-e, bâillonné-e au scotch et/ou gavé-e de calmants. Parmi les retenu-e-s, des auto-mutilations et des tentatives de suicide se succèdent.

À l’intérieur du centre, des retenu-e-s résistent par des actes individuels ou collectifs : refus d’embarquement, destructions de matériel ou incendie... Nous nous rassemblons pour manifester notre solidarité avec ces retenu-e-s.

Si nous nous solidarisons avec les retenu-e-s, pour autant, nous ne luttons pas pour une amélioration des conditions de la rétention administrative. Nous nous battons pour la fermeture des centres de rétention et contre le système qui les produit.

LIBERTE DE CIRCULATION ET D’INSTALLATION !
ARRET DES EXPULSIONS !
FERMETURE DE TOUS LES CENTRES DE RETENTION !

Suivant



  Affiche du rassemblement
PDF - 246.6 ko

complément d'informations trouvé sur sans papier ni frontière

RASSEMBLEMENT SAMEDI 6 OCTOBRE 18 HEURES DEVANT LE C.R.A DU CANET – Bd des Peintures – Metro Bougainville

Semaine après semaine, jour après jour, le quotidien des retenu-e-s au Centre de Rétention Admnistratif du Canet est ponctué par des humiliations, des insultes et des tabassages de maton-ne-s de cette prison pour étranger-e-s. Parfois la nourriture est périmée, on donne aussi des médicaments à tout vent, surtout des anti-douleurs ou des anxiolytiques. Si un-e retenu-e tente de résister à son expulsion il-elle peut être ligoté-e, bâillonné-e au scotch et/ou gavé-e de calmants. Parmi les retenu-e-s, des auto-mutilations et des tentatives de suicide se succèdent.
À l’intérieur du centre, des retenu-e-s résistent par des actes individuels ou collectifs: refus d’embarquement, destructions de matériel ou incendie…
Nous nous rassemblons pour manifester notre solidarité avec ces retenu-e-s. Si nous nous solidarisons avec les retenu-e-s, pour autant, nous ne luttons pas pour une amélioration des conditions de la rétention administrative. Nous nous battons pour la fermeture des centres de rétention et contre le système qui les produit.

LIBERTE DE CIRCULATION ET D’INSTALLATION !
ARRET DES EXPULSIONS !
FERMETURE DE TOUS LES CENTRES DE RETENTION !

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6 octobre 2012 6 06 /10 /octobre /2012 10:15

vendredi 5 octobre dans toutes l'italie( de nombreuses vidéo disponible sur you tube), les étudiant(es) et les lycéen(nes) manifestent contre la politique d'austérité qui a été décidé par Monti( premier ministre) et celui-ci ordonneà son ministre de l'intérieur d'envoyer les policiers contre la jeunesse, 14, 15, 16 ans ont certain(es) manifestants à Turin 15 arrestations ont suivi la manifestation.voici la vidéo envoyé par quelqu'un révolté par cette violence des pauvres habillés en policier contre d'autres pauvres qui manifestent pour la santé pour tous(tes), pour plus de  locaux pour étudier. Les dominants aiment bien se faire affronter les pauvres entre eux.

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6 octobre 2012 6 06 /10 /octobre /2012 01:18
ce blog souient Sonja et Christian extradées de l'hexagone en vertu du mandat européen ci dessous un texte copié sur le blog stop extradition. leur procés en Allemagne a commencé depuisle 21 septembre, lors de la troisième audience l'horreur succéde à l'ignominied'après les informations diffusées par le blog  linter.

comme les médias sont silencieux, nous voulons briser le silencesur cette pantomine (terme choisi en  référence au film "salo où les 120 joursde sodome"de Pierre Paolo Pasolini)

 

Au diapason de la répression. A téléchargerbrochure MAE

 

Faux-semblants du mandat d’arrêt européen 
(Le Monde diplomatique, février 2002)

Signé en 1997, le traité d’Amsterdam fait de la création d’un « espace de liberté, de sécurité et de justice » un des objectifs de l’Union européenne. Ce but aurait pu être atteint de deux manières : l’harmonisation progressive des législations des Etats membres ; la reconnaissance mutuelle des décisions judiciaires. Les deux options ne sont pas équivalentes et le Conseil européen de Tampere, en octobre 1999, a privilégié la seconde solution et en a fait « la pierre angulaire de la coopération judiciaire, tant civile que pénale ».

Si l’harmonisation des législations renforce la primauté de la loi dans les rapports entre Etats membres, la reconnaissance mutuelle des décisions accroît la primauté accordée aux procédures sur la loi proprement dite. Au lieu d’aboutir à l’unification des codes pénaux des Etats membres, cette deuxième voie permet la mise en place d’un espace judiciaire qui laisse subsister les disparités entre les systèmes pénaux. En outre, les décisions adoptées par les Quinze depuis le 11 septembre 2001 ont pour résultat d’étendre la souveraineté des pays en matière pénale à l’ensemble du territoire de l’Union, tout en supprimant les différents contrôles - politiques et judiciaires - de la légalité de leurs actes.

La création, par conseil des ministres chargés de la justice et des affaires intérieures du 6 décembre 2001, d’un mandat d’arrêt européen s’inscrit dans le principe de reconnaissance mutuelle. Effectif à partir du 1er janvier 2004, il concernera non seulement les individus déjà jugés, mais également ceux qui sont recherchés. Chaque autorité judiciaire reconnaîtra et exécutera automatiquement, moyennant des contrôles minimaux, la demande de remise d’une personne formulée par l’autorité judiciaire d’un autre Etat membre. Ce mandat pourra être émis pour des infractions passibles, dans l’Etat d’émission, d’une peine d’au moins trois ans. Une liste non exhaustive de 32 incriminations a été établie : terrorisme, cybercriminalité, fraude, blanchiment, corruption, traite des êtres humains, homicide volontaire, racisme, etc.

Le mandat européen se substitue à la procédure normale d’extradition, qui repose sur l’exigence d’une double incrimination : l’extradition n’est possible que si le fait poursuivi constitue un délit tant dans le pays demandeur de la personne incriminée que dans le pays sollicité. Le mandat européen abandonne cette condition : il suffit que le comportement mis en cause constitue une infraction dans l’Etat demandeur. Cette suppression découle logiquement de l’application de la reconnaissance mutuelle. Selon la Commission de Bruxelles, « peu importe, dès lors, que l’incrimination qui a donné lieu à l’émission du mandat d’arrêt n’existe pas - ou que ses éléments constitutifs diffèrent - sur le territoire de l’Etat d’exécution. Chaque Etat membre, non seulement reconnaît, à travers ce principe, l’intégralité de la législation pénale des autres Etats membres mais aussi accepte d’assister ceux-ci pour la faire respecter  (1) ».

L’exigence de la double incrimination avait déjà été contournée pour certaines infractions. L’acte du conseil des ministres du 27 septembre 1996  (2) précise que la remise de la personne ne peut être refusée, même si le fait poursuivi n’est pas une infraction dans le pays sollicité, lorsque l’Etat requérant poursuit sur la base du crime d’association de malfaiteurs ou de « conspiration » et que cette infraction relève de la répression du terrorisme, du trafic de stupéfiants ou d’autres formes de criminalité organisée. Cet acte qui avait été ratifié seulement par quelques Etats membres laissait subsister les mécanismes de surveillance propres à la procédure d’extradition. C’est au pouvoir politique que revient la décision de procéder à une extradition ou de la refuser. Le mandat d’arrêt supprime cette prérogative ainsi que le contrôle exercé par les juridictions administratives.

Dans une procédure normale d’extradition, le contrôle judiciaire porte sur la matérialité des faits et la légalité de la demande. En ce qui concerne le mandat d’arrêt, le contrôle judiciaire ne porte plus que sur la régularité formelle du document. Il faut voir dans le caractère automatique de la remise et dans l’abandon des procédures de vérification les raisons de l’initiative des Quinze. En outre, contrairement à l’extradition, où la personne remise ne peut être poursuivie que pour les délits explicitement mentionnés dans la demande, le mandat d’arrêt européen délie le pays requérant de la qualification qu’il a fournie dans le mandat.

La mise en place d’un mandat européen repose sur un principe de confiance mutuelle : il est posé, a priori, que les systèmes pénaux des pays de l’Union respectent la démocratie et l’Etat de droit. Et la mise en œuvre de la nouvelle procédure ne peut être suspendue « qu’en cas de violation grave et répétée par les Etats membres des droits fondamentaux  (3) ». Or, cette exigence ne résulterait plus de la mise en place de mécanismes de contrôle des actes du pouvoir mais de la légalité présupposée de ceux-ci.

La décision-cadre sur le terrorisme, adoptée le 6 décembre 2001 par le conseil des ministres chargés de la justice et des affaires intérieures, pose de semblables problèmes. En effet, elle définit comme infraction terroriste « les actes intentionnels qui, par leur nature ou leur contexte, peuvent porter gravement atteinte à un pays ou à une organisation internationale » quand « l’auteur les commet dans le but de gravement intimider une population » ou de « contraindre indûment des pouvoirs publics ou une organisation internationale à accomplir ou à s’abstenir d’accomplir un acte quelconque » ou enfin de « gravement déstabiliser ou détruire les structures fondamentales politiques, constitutionnelles, économiques ou sociales d’un pays ou d’une organisation internationale  (4 ». Ces infractions peuvent être « le fait de causer des destructions massives à une installation gouvernementale ou publique, à un système de transport, à une infrastructure, à un lieu public ou une propriété privée, susceptible de mettre en danger des vies humaines ou produire des pertes économiques considérables ».

Vague, cette définition permet des interprétations très larges. Toute action sociale d’opposition a pour effet d’intimider une partie plus ou moins importante de la population et a pour but de contraindre le pouvoir à poser certains actes ou à ne pas les poser. Les termes « graves » ou « indûment » sont purement subjectifs et n’apportent aucune précision objective pour qualifier l’acte. Les notions de déstabilisation et de destruction des structures économiques ou politiques d’un pays permettent d’attaquer de front les mouvements sociaux. C’est avec ces arguments que, au début des années 1980, Mme Margaret Thatcher, premier ministre britannique, tenta d’appliquer la loi antiterroriste à la grève des mineurs. Cette définition rompt avec la tradition de l’Etat de droit (lire « Les périlleuses tentatives pour définir le terrorisme »).

Le caractère liberticide du texte est tellement apparent qu’il est stipulé, en annexe, que « rien dans la décision-cadre ne peut être interprété comme visant à réduire ou à entraver des droits ou libertés fondamentales tels le droit de grève, la liberté de réunion, d’association ou d’expression, y compris le droit de fonder avec d’autres des syndicats et de s’affilier pour la défense de ses intérêts et le droit de manifester qui s’y rattache  (5). » Mais il ne s’agit là que d’un engagement sans force juridique qui laisse chaque Etat membre libre de mener la politique pénale de son choix.

L’objectif déclaré de cette décision-cadre est de rapprocher les codes pénaux des Etats membres en matière de terrorisme. Six d’entre eux disposent déjà d’une législation spécifique et c’est le Terrorism Act britannique qui a inspiré le texte européen. Toutes ces législations font de la déstabilisation du pouvoir politique ou économique un élément spécifiant l’infraction terroriste. Par exemple, l’article 4201-1 du code pénal français définit les actes terroristes comme des actes ayant « pour but de troubler gravement l’ordre public par l’intimidation ou la terreur ». Le code espagnol fait référence à l’objectif de subvertir le système constitutionnel et de porter gravement atteinte à l’ordre public. Le code italien parle du renversement de l’ordre démocratique. Le code pénal portugais fait référence au fait d’altérer ou de perturber le fonctionnement des institutions nationales.

Les autres Etats membres n’ont pas créé d’incrimination spécifique. Ils poursuivent ces délits grâce à des incriminations déjà existantes telles que la notion d’association de malfaiteurs, qui, associée à une abondante jurisprudence, permet de punir non seulement la participation à des actes terroristes mais aussi la simple appartenance à de telles organisations. Si l’arsenal législatif de ces pays est suffisant pour poursuivre ces délits, il apparaît que les raisons de la création d’une incrimination spécifique se trouvent dans la justification de pratiques et de règles dérogeant aux principes traditionnels de procédure pénale. Il s’agit de techniques spéciales d’enquête, comme la mise sur écoute, la surveillance rapprochée, l’interception du courrier ou l’installation de boîtes noires permettant de lire et d’enregistrer l’ensemble des messages électroniques sans mandat ou autorisation d’un magistrat.

L’ensemble de ces mesures peut se mettre en place de façon « proactive », c’est-à-dire en l’absence d’infraction. L’incrimination terroriste justifie également des mesures exceptionnelles de détention préventive ou d’emprisonnement administratif. En Espagne, par exemple, une personne poursuivie sur la base de la loi antiterroriste n’a pas le choix de son avocat  (6).

Le mandat d’arrêt européen n’induit pas une unification des législations et des procédures pénales, il permet au contraire la cœxistence de profondes disparités entre les Etats membres. Le sens réel de la création d’une incrimination spécifiant l’acte terroriste réside dans l’adoption de règles de procédure pénale qui dérogent au droit commun. Il en est de même de la définition adoptée par l’Union européenne. Il s’agit moins d’unifier les législations nationales que de justifier l’utilisation, différente dans chaque pays, de procédures exceptionnelles.

Jean-Claude Paye

NOTES

(1) Proposition de décision-cadre relative au mandat d’arrêt européen et aux procédures de remise entre Etats membres, EUR - Proposition de la Commission 561 PC0522, p. 16.
(2) Journal officiel des Communautés européennes n° C313, 32/10/1996.
(3) Proposition de la Commission 561 PC0522. p. 24.
(4) Conseil de l’Union européenne, 1485/01 Droipen 103 Cats 49, p. 8.
(5) Conseil de l’Union, op. cit., p. 4.
(6) Lire Jan Fermon, « Les droits démocratiques : dommages collatéraux de la guerre contre le terrorisme », Le Journal des procès, n° 422, Bruxelles, 2001.

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