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La tyrannie la plus redoutable n'est pas celle qui prend figure d'arbitraire, c'est celle qui nous vient couverte du masque de la légalité." Albert Libertad

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le blog du laboratoire anarchiste

File:Wooden Shoe.svg
25 avril 2008 5 25 /04 /avril /2008 21:24
image5:
05.jpg




Gli anarchici nella resistenza
Documentaire sur le rôle des anarchistes pendant la lutte contre le fascisme.

autore
email
citta' napoli
data 09/04/2005

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cd 68
grandezza 296.45 Mb
lingua it
mime type avi divx (video/avi)

Quando nella primavera del 1945 l'insurrezione dilaga in tutto il Nord
Italia, gli anarchici, già protagonisti nei primi anni Venti della
resistenza popolare a uno squadrismo che sta per farsi regime, poi del
confino, dell'esilio e della rivoluzione spagnola, sono ancora una volta
armi in pugno contro il fascismo. Dopo l'8 settembre 1943 in tutto il
centro-nord si costituiscono le prime bande, poi diventate formazioni
autonome in alcune aree o parte integrante delle organizzazioni
partigiane costituite dalle varie forze antifasciste

les anarchistes dans la résistance, ce 25 avril 2008 il ya eu de noumbreuses fêtes sutout à Milan et le blog du laboratoire nous avons tenu  à publier  ce lien vers le film : les anarchistes dans la résistance.

a cura della Fondazione
Anna Kuliscioff (Milano)
in collaborazione con il
Centro Studi Libertari/
Archivio Giuseppe Pinelli (Mi)


FTP - seleziona un link per iniziare il download
http://ngv.bradipz.net
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25 avril 2008 5 25 /04 /avril /2008 07:59
La commémoration du quarantième anniversaire de mai 68 est partout. Elle sature notamment un espace médiatique qu’envahissent les témoignages d’«anciens combattants». En effet, pour évoquer une grève générale d’une ampleur exceptionnelle [Il est évidemment difficile de chiffrer précisément le nombre de grévistes : 6 à 7 millions pour certains, plus de 11 pour d’autres. Ce qui est incontestable, cependant, et ce que personne ne conteste, c’est que mai 68 a été la plus grande grève générale que la France et l’Europe aient connue.], parmi des millions d’étudiants, d’ouvriers, d’artisans ou d’artistes, qui a été sélectionné par les «grands» médias ? À qui ont-ils confié le soin d’analyser un mouvement que tous les commentateurs s’accordent à replacer dans un contexte de contestation mondiale ? À qui ont-ils confié le soin de tirer les enseignements de mai 68 ? À un petit groupe autoproclamé «experts es-68», à des porte-parole rétrospectifs, dont nombre de radios, chaînes de télévision, quotidiens et magazines relaient les leçons : Glucksmann, Rotman, Hamon, July, Joffrin…
Parmi eux, un nom émerge… sans contestation : celui de Daniel Cohn-Bendit. Cette réduction quasi unanime d’un mouvement de lutte collective à un nom, une figure, une photo, voire même un œil ou un sourire, est déjà en soi une réponse à la question qui est régulièrement posée : «Que reste-t-il de mai 68 ?»


Daniel Cohn-Bendit : la seule voix médiatique autorisée de Mai 68 ?

En se faisant l’expression des aspirations ou des volontés d’une fraction significative du mouvement étudiant, Daniel Cohn-Bendit a indéniablement joué un rôle de porte-parole il y a 40 ans. Mais il n’a jamais été le seul leader dans lequel se reconnaissaient les jeunes de 68 de même qu’il n’est pas le porte-parole attitré de toute la jeunesse contestataire de mai 68 à nos jours. Il est, d’ailleurs, le premier à l’admettre : «J’ai jamais dit en 68, je suis le porte-parole des jeunes d’aujourd’hui à l’an 2020, j’ai pas dit ça. J’ai dit : j’étais le haut-parleur à un moment précis de l’histoire
[Rencontre avec les étudiants sur France Info, émission du 13 mars 2008]

Si, avec d’autres, Cohn-Bendit a donc été un porte-parole et même, incontestablement, un symbole, il doit, en revanche son statut d’icône médiatique… aux médias eux-mêmes. Depuis longtemps déjà, l’ensemble des grands médias l’a élevé au rang de «voix» de Mai 68. Ainsi, en 1998, «Dany» avait déjà assuré la tournée promotionnelle de son spectacle sur mai 68 [Lire«Daniel Cohn-Bendit - United colors of Dany le… choisissez la couleur» (Chronique), de Serge Halimi, Les Inrockuptibles, no 201 du 16 décembre 1998].

C’est sans doute pour conjurer lee sort que Jean-Marcel Bouguereau, dans son éditorial de La République des Pyrénées (le 22 mars 2008), avertit : «On ne peut que redouter la momification et la starification de quelques uns.» Une mise en garde peu suivie d’effet au vu de la véritable surenchère à laquelle ses confrères se sont livrés.

Anciennement connu sous le sobriquet de «Dany le Rouge», le Vert député européen est tour à tour présenté comme : «le héros des évènements» (Le Figaro.fr le 16 janvier et 20 minutes du 22 mars) ; «une figure» (Le Figaro le 24 mars) ; «la figure emblématique» (France Info le 13 mars et France 2 le 26 mars ; «le symbole de mai 68» (Télérama 29 mars - 4 avril) ; «la mascotte des évènements» (idem) ; «le vrai leader de mai 68» (par Laurent Joffrin, le 1er février, dans l’édito de Libération) «le leader emblématique» (Le Nouvel Observateur le 31 janvier) ; «l’incarnation de mai 68» (France 24 le 22 mars) ; «l’enfant de mai 68» (Le Monde supplément radio TV 24-30 mars) ; l’«agitateur depuis 40 ans» (titre du documentaire diffusé sur France 5 le 28 mars dans «Empreintes») ; et, surtout, l’«icône», (pour Marie Drucker dans «Droit d’inventaire» sur France 3 le 23 janvier ; pour Serge Moati qui s’en amuse le 2 mars lors de l’émission «Ripostes» sur France 5 ; dans le documentaire diffusé sur France 3 le 22 mars («Mai 68 : un monde en révolte») ; pour le supplément TV & radio du Monde du lundi 24 mars ; pour Le Nouvel Observateur du 27 mars ; pour Matin Plus le 28 mars ; pour Télérama du 29 mars au 4 avril ; pour le mensuel Philosophie Magazine de mars 2008…)

Nous en oublions sans aucun doute ! Les mots sont importants. Si tous n’ont pas le même sens, ils contribuent tous, par leur accumulation, à consacrer un personnage et un seul. Mais pour qui ? Et, surtout, grâce à qui ? À l’évidence, d’abord, pour et par les journalistes. Des journalistes qui s’accordent ce privilège papal de canoniser de simples mortels !

Nulle surprise alors quand certains parmi eux prêtent à «l’icône-Bendit» des pouvoirs absolument exceptionnels. D’abord, chose amusante, le don d’ubiquité ! Comme il l’explique lui-même sur France Info le 13 mars : «Paris-Match voulait faire une photo de famille devant la Sorbonne de tous ceux qui étaient de 68. Je vois pas pourquoi j’ai besoin de faire n’importe quelle bêtise pour assumer.» Paris-Match le fait pourtant réapparaître sous les traits du fils de Patrick Rotman qui a le «look Cohn-Bendit» comme l’explique la légende !

Plus sérieusement, le déclenchement des évènements lui est personnellement attribué par Marie Drucker, le 23 janvier, dans l’émission «Droit d’Inventaire» sur France 3 : «Il y a 40 ans, donc, vous lanciez cette révolte étudiante.» Plus fort encore : dans le reportage «Étudiants, ouvriers : le rendez-vous raté» diffusé dans la même émission, le journaliste explique, toujours au sujet de Cohn-Bendit : «Il passe alors au deuxième acte : entraîner la classe ouvrière dans la lutte […] L’appel de Dany le Rouge est entendu […]. Ce 13 mai, ils sont 250.000 à défiler ensemble.» La célébration médiatique qui lui accorde tant sinon tout achève de se caricaturer dans la question que lui pose le quotidien 20 minutes le 22 mars : «Ces foules qui buvaient vos paroles, le pouvoir ébranlé… Aviez-vous un sentiment de puissance ?»

Au final, par-delà les outrances, lorsque Laurent Joffrin décrète dans son éditorial de Libération le 1er février, «le vrai leader de 68, le seul en vérité, fut Daniel Cohn-Bendit» et que Télérama, le 19 mars, renchérit : «mai 68 c’est lui», les visages et la parole des millions d’autres, étudiants ou ouvriers, rentrent dans l’ombre et l’anonymat.

Confronté à un tel traitement médiatique, l’intéressé semble nager en pleine contradiction. Il peut, comme on l’a vu, essayer de tenir la commémoration à distance. Mais s’il refuse la photo de famille de Paris-Match, il accepte de poser pour Télérama qui centre une page entière sur son célèbre et pétillant œil bleu. Il déclare sur France Info le 13 mars : «Moi, je n’ai pas, vous savez, la fibre commémoration.» Mais il joue et s’amuse du jeu auquel il prétend ne pas se prêter et confirme lors de la même émission : «Oui, je suis la figure emblématique de 68.»

De l’icône au très réel porte-parole du consensus

Dans le reportage diffusé dans l’émission «Empreintes» sur France 5 [Et réalisé par son «ami» Serge July comme le signale la journaliste dans la présentation de cette hagiographie.], Daniel Cohn-Bendit explique lui-même, non sans une certaine lucidité, le rôle des médias dans la construction, dès 1968, de son rôle de porte-parole médiatique : «Je mettais en forme ce que beaucoup ressentaient […] Pour les médias, c’est beaucoup plus intéressant [que “la langue de bois” des syndicats habituels] d’avoir en face quelqu’un qui leur permet de faire quelque chose d’autre[nouveauté] et donc, ce sont eux qui me font.»

En 2008, il s’agit plutôt d’une coproduction. Le bon client et ses reniements [
Lire PLPL no 17] sont appréciés par des médias qui érigent Cohn-Bendit en icône.

Un «bon client»…

Un bon client c’est d’abord une «bonne bouille». Laurent Joffrin flagorne ainsi une sorte de «Till l’espiègle (…) qui a le regard bleu, le verbe ironique et une tchatche pas possible» [Le 21 mars sur France Inter]. Télérama s’émerveille de «son sourire ravageur et de sa tignasse rousse» comme de «sa faconde, son ironie, sa joie surtout». C’est un «rigolard» pour la journaliste de France 5 qui introduit ainsi son «portrait» diffusé par la chaîne le 26 mars. Ses coups de gueule (bien-pensants même quand le ton est insolent) sont appréciés : «Daniel Cohn-Bendit n’a pu s’empêcher de jouer l’impertinent» s’amuse Le Parisien (le 17 avril) au sujet de sa rencontre avec Sarkozy à l’Élysée. Une espièglerie qui peut, de surcroît, se révéler utile et servir à détendre l’atmosphère lorsque les débats risquent par trop de s’enflammer, c’est-à-dire d’aborder les sujets sérieux, ce que les journalistes, gardiens du consensus, apprécient tout particulièrement [Lire à ce sujet, ici même : «Mai 68, journalisme d’entente cordiale sur RTL»].

Bref, un «bon client», disponible depuis des années pour le plus grand bonheur des journalistes [
Un bon client… en tournée promotionnelle pour son nouveau livre opportunément paru cette année de commémoration]. Sur le plateau de «Ripostes» le 2 mars, il confirme ironiquement : «Dès qu’il y a trois étudiants dans la rue, trente six journalistes accourent pour me demander si c’est un nouveau 68.» À ces journalistes, Cohn-Bendit offre clé en main, de manière ludique et décontractée, quelques épisodes de «son» feuilleton. Il satisfait ainsi l’inclination médiatique à privilégier les «personnages» et les «histoires singulières» à l’histoire et aux mobilisations collectives [Lire à ce sujet, sur le site du Monde Diplomatique, «Mai 68, la mémoire et l’oubli»dans lequel Kristin Ross écrit : «Réduire un mouvement de masse aux itinéraires de quelques uns de ses soi-disant leaders, porte-parole ou représentants (plus particulièrement ceux qui ont désavoué “leurs erreurs du passé”), constitue une vieille tactique de confiscation, aussi efficace qu’éprouvée. Ainsi circonscrite, toute révolte collective est désamorcée, et donc réduite à l’angoisse existentielle de destinées individuelles. Elle se trouve ainsi confinée à un petit nombre de “personnalités” auxquelles les médias offrent d’innombrables occasions de réviser ou de réinventer leurs motivations d’origine.»].

Au service d’une approche consensuelle…

Faire de Cohn-Bendit la référence obligée, voir l’évènement par ses yeux, l’analyser par sa bouche ne favorise évidemment pas la pluralité des points de vue et sert au contraire un retour consensuel sur mai 68 qui prévaut dans la commémoration médiatique.

Lorsque Télérama lui pose la question : «Vous voyez 68 comme une révolte existentielle, en somme !», Cohn-Bendit acquiesce : «Exactement ! La majorité des manifestants voulaient prendre le pouvoir sur leur vie.» Une formule qu’il avait déjà utilisée chez Marie Drucker : «Beaucoup de gens, des jeunes et visiblement des ouvriers, se sentaient dépossédés de leur vie et ils sont partis à la conquête de leur vie, c’est ça Mai 68.»

Des différences existent entre l’analyse de «Dany», celles des quelques autres «anciens autorisés» et celles des principaux responsables éditoriaux. Mais toutes vont dans le même sens, toutes convergent pour enterrer 68 sous les fleurs. Des fleurs culturelles, par exemple quand Laurent Joffrin explique le 28 mars dans Libération : «Si la masse se mit en mouvement, c’était pour des raisons culturelles, et non directement politiques : il fallait en finir avec l’archaïsme des mœurs et des mentalités.» ; ou encore quand Serge July rebondit le 9 avril dans l’émission «Ce soir ou jamais» de France 3 : «Le mouvement, lui, il était sur les mœurs, il était sur changer la vie, sur la liberté, et en fait le mouvement était très libertaire.»

Ainsi, Cohn-Bendit est apprécié autant pour ses qualités d’invité que pour sa contribution à l’élaboration d’une version consensuelle de mai 68 qui s’impose dans les médias : une présentation qui met en avant la révolte culturelle, générationnelle et estudiantine mais laisse à l’arrière plan la mobilisation ouvrière et la grève générale. Se construit ainsi l’histoire d’un mouvement moins conflictuel et dont la finalité aurait été, somme toute, de préparer la société française l’entrée dans «la modernité» [
Sur ce travail médiatique d’imposition, lire ici même :«Mai 68 - Une tranche de “commémoration” sur France Inter»].

«[…] Vous êtes irrécupérable.» Le 16 avril, sur le plateau du «Grand Journal» de Canal +, Michel Denisot chapitre «Dany» pour mieux le flatter. Sans doute aussi pour le remercier de ses contributions au grand cirque de la commémoration de 68 ; un barnum qui a su récupérer le symbole pour le convertir en icône médiatique.

Nadine Floury, Denis Pérais, Acrimed, 21 avril 2008
Merci pour leur participation à Grégory, Henri, Jamel et Sébastien


Annexes : Quelques prestations médiatiques de Daniel Cohn-Bendit (série en cours)
* 22 décembre 2007 : Débat avec Henri Guaino sur «L’héritage de Mai 68» à l’émission «Répliques» de France Culture animée par Alain Finkielkraut avec qui Daniel Cohn-Bendit débattait aussi sur le plateau de «Ripostes» le 2 mars 2008.
* 18 janvier 2008 : Interview à Lyon Plus 19 janvier 2008 : reportage dans Metropolis sur Arte consacré à Mai 68 autour de l’ouvrage co-écrit avec Gerd Koenen sur les idéaux d’autrefois.
* 23 janvier 2008 : «Droit d’inventaire» sur France 3.
* 29 Janvier : Interview dans Les Inrockuptibles.
* 31 janvier : Interview croisée avec Luc Ferry au Nouvel Observateur.
* 1er mars : «Le journal inattendu» sur RTL.
* Mars 2008 : Interview croisée avec Nicolas Baverez au mensuel Philosophie Magazine.
* 2 mars : «Ripostes» sur France 5.
* 13 mars : Émission spéciale avec des étudiants sur France Info.
* 22 mars : Interview à 20 minutes et au centre d’un reportage sur France 24. C’est encore la photo de Daniel Cohn-Bendit qui apparaît en premier lors du lancement du documentaire «Mai 68 : un monde en révolte» sur France 3. Dans ce reportage, international, il est évidemment interrogé tout comme Alain Krivine, vu lui plus rarement.
* 26 mars 2008 : Interview dans les «Quatre vérités» sur France 2.
* 27 mars : Couverture du Nouvel Observateur avec des extraits de son dernier ouvrage sur Mai 68.
* 28 mars : Portrait dans «Empreintes» sur France 5.
* 29 mars : Couverture de Télérama avec une longue interview.
* 7 avril : Interview dans Métro.
* 10 avril : Interviewé par plusieurs jeunes de vingt ans dans Le Nouvel Observateur.
* 16 avril : Invité du «Grand Journal» sur Canal +.


Dossier Mai 68
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21 avril 2008 1 21 /04 /avril /2008 07:10
a Maison des Pentes, le CSA (pour Centro Sociale Autogestito), le Piquet, les ACCACIAS ( pour ...), le Remonte-Pente, la Virée, la Traboule... bref. Appelez-le bien comme vous voulez ! Le local, encore aujourd’hui en travaux (si, si), ouvrira bien un jour... le 1er mai ??! Qui sait... en attendant, un concert de soutien est organisé vendredi 25 avril. Alors, venez tous et toutes zouker au SONIC ! Et pour connaitre l’affiche, ben elle est juste là.

CH2ONO2 et l’invité Mystère présentent :

- Le Songeur : rap tout

- Expérimental : chanson populaire mélodramatique ou rap

- TD+ : dub DUB dub

Au SONIC : 4 Quai des Étroits - 69005 Lyon

Vendredi 25 Avril à partir de 20h30

P.A.F : 3 Euros

JPEG - 228.5 ko

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18 avril 2008 5 18 /04 /avril /2008 08:04
Samedi 19 avril, à partir de 13 heures
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14 avril 2008 1 14 /04 /avril /2008 13:25





CREONS  A Valence  DES COMITES DE VIGILANCE ET D’ACTION CONTRE LA REPRESSION!
Le lundi 7 avril , deux personnes sont arrétés  à la suite  de  la manifestation devant la prison,
 jeudi   10  trois  lycéens arrétés  devant les bahuts  l'un pour port d'arme factice.
Que ce soit celle de la jeunesse scolarisée, des populations des quartiers populaires par le « karcher », la BAC et la tolérance zéro, des travailleurs en lutte par les mises à pied et les poursuites, des étrangers par de la xénophobie d’Etat, des rafles, des centres de rétention, ou encore une chasse à l’homme barbare qui aboutit à des noyades comme à Joinville ou à l’expulsion de 600 enfants en 2007 et de milliers de « travailleurs pauvres » selon une terminologie à la mode. Les épisodes de la répression ne sont pas séparés les uns des autres car une guerre sociale non déclarée est menée en France. En définitive la pratique du pouvoir consiste à criminaliser la résistance à la société inégalitaire. L’ex-chef de la police devenu président en a fait un rêve éveillé, rêve commun des nantis, il veut liquider non pas le souvenir de mai 68 mais plus précisément l’idée tenace, exprimée avec force alors, que le capitalisme et l’oppression ne sont pas un horizon indépassable.

D’ailleurs même si la bourgeoisie cherche à masquer son arsenal répressif sous le couvert de sa « guerre contre le terrorisme et la criminalité », elle ne cache pas certains de ces objectifs dans la guerre sociale. Contre qui met-elle en place des drones de combat en France ? Selon la réponse très officielle présente à la Une du journal Le Monde il y a peu : c’est pour surveiller « les banlieues et les manifestations » ! Idem pour le fichage ADN, initialement prévu pour la « grande criminalité » et désormais appliqué à toute personne ayant affaire à la police ! A un rythme effréné des lois de plus en plus répressives, piétinant les libertés démocratiques, sont promulguées. La vague répressive ne tombe pas du ciel : les méfaits du sarkozysme ne sont que l’expression de la crise du capitalisme qui s’amplifie. Les chargés d’affaires du capitalisme détruisent les conquêtes sociales, organisent l’exploitation et veulent réduire au silence et à la soumission ceux qui n’acceptent pas leur ordre social .

adesse provisoire : le laboratoire 8 place St jean  26000


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14 avril 2008 1 14 /04 /avril /2008 09:26

Asti e Torino - Strisce antielettorali

TURIN ET ASTI campagne anti électorale ASTI  ville jumelée avec Valence Les révolutionnaires font campagne
contre les élections. Si jamais quelqu'un désire la traduction du texte vous pouvez passer aux permanences du laboratoire. LE mercredi 18h et le samedi 14h

matériels  antiélectorals www.chesenevadanotutti.org

ultimes recommandations pour que vous puissiez non votare

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7 avril 2008 1 07 /04 /avril /2008 00:07
La vengeance infinie  dont font preuve les états occidentaux contre les  réfugiés 
politique des années soixante dix de l'extrême gauche italienne doivent s'arréter et
c'est par notre soutien qu'on fera comprendre aux pouvoirs la mesquinerie de
leur attitudes .


EN date du 27 mars dernier la Cour de Cassation a
rejeté le pourvoi dirigé contre l'avis favorable à l'extradition donné en
décembre 2007 par la Cour d'Appel de Versailles. Le volet judiciaire étant
ainsi terminé, le sort de Marine est maintenant dans les mains du
Président de la République et du Gouvernement. Le décret d'extradition
sera-t-il signé ou pas?


BRASILIA - Le procureur général de Brasilia a demandé jeudi
l'extradition de l'ancien militant d'extrême-gauche Cesare Battisti vers
son pays d'origine, l_'_Italie_
<http://fr.news.yahoo.com/fc/italie.html>_, où il est accusé d'avoir
commis deux meurtres à la fin des années 70.

Pour le procureur Antonio Fernando Souza, Cesare Battisti est un
criminel et non un réfugié politique comme il le prétend depuis son
arrivée au Brésil en 2004.

M. Souza estime que les crimes commis par Cesare Battisti avaient
"certes des motivations politiques", mais que celles-ci étaient
insuffisantes pour justifier "la mise en danger de responsables de
l'autorité et de civils sans défense".

Membre des Prolétaires armés pour le communisme durant les "années de
plomb" en Italie, Battisti a été condamné en 1990 par contumace par la
justice italienne à la réclusion criminelle à perpétuité pour deux
meurtres et sa complicité dans deux autres, commis en 1978 et 1979.

Echappé d'une prison italienne en 1981 où il se trouvait en détention
provisoire, le militant d'extrême-gauche avait pris le chemin de la
France après son évasion, Paris s'étant engagé de manière informelle à
ne pas autoriser son extradition vers son pays d'origine.

Reconverti dans l'écriture de romans policiers, Cesari Battisti avait
été contraint de quitter l'Hexagone en 2004, les autorités françaises
ayant infléchi leur position sous la pression de Rome.

Après trois ans passés sans être inquiété au Brésil, l'activiste avait
été finalement arrêté en mars 2007 sur la plage de Copacabana à Rio de
Janeiro, la police locale ayant reçu des informations en provenance de
France et d'Italie.

Ecroué depuis un an à Brasilia, la capitale du pays, l'Italien a depuis
formulé une demande d'asile politique. Son sort est désormais entre les
mains de la Cour suprême brésilienne qui doit rendre un avis auquel le
président Luiz Inacio Lula da Silva décidera ou non de se plier.

La procédure pourrait toutefois buter sur un obstacle juridique, le
droit brésilien ne permettant pas d'extrader des étrangers vers des pays
où ils pourraient être condamnés à plus de 30 ans de prison, comme en
Italie. AP. /
/

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5 avril 2008 6 05 /04 /avril /2008 09:30

APPEL pour un rassemblement Lundi 7 avril à 13h devant le palais de Justice de Valence.

 

Lundi Madame DATI  Ministre de la Justice  sera à Valence .

Les avocats du barreau, le Syndicat des Avocats de France,  organisent  un rassemblement devant le TGI à 13h.

 

Nous sommes concernés. Notre région  vient de connaître deux drames : un mineur s’est suicidé à la Prison  pour Mineurs de MEYZIEU (69) et un jeune détenu est mort  à Valence.

Le silence de la Ministre est assourdissant.

Madame DATI  c’est la tentation  du tout répressif pour les mineurs en prétextant  une « mythique impunité » dont ils bénéficieraient.

Madame DATI  envisagent de porter la majorité pénale de18 à 16ans.

Madame DATI c’est la réorganisation de la carte judiciaire et la suppression de  tribunaux  prud’hommes y compris.

Madame DATI c’est le « glissement «  de procédures judicaires comme les divorces vers les notaires…

Madame DATI  c’est la double peine pour les délinquants sexuels. C’est très grave car il s’agit de prison à perpétuité ;  cela démontre l’incapacité pour le système répressif tel qu’il fonctionne actuellement  de soigner et de réinsérer.

Madame DATI c’est par contre, pour les actionnaires majoritaires et les dirigeants et propriétaires de grandes entreprises, la dépénalisation  du droit des affaires et dans le même temps la  chasse  aggravée aux détournements de fonds publics chez les Rmistes  et autres emplois aidés

Et oui un pauvre qui triche, «abuse » c’est intolérable .. mais qu’un  «décideur », une « entreprise », détourne, licencie, liquide, délocalise, ce serait un malheureux hasard,..
La justice dans notre pays  depuis 1789 est rendue  «au nom du peuple français »

Le peuple les 9 et 16 mars a parlé.

Il a sanctionné les supporters du gouvernement de madame DATI  et  sa politique.

Les  réformes madame DATI  dont notre pays a vraiment besoin  se  feront  avec et pour le peuple et pas sans lui et contre lui.

 

Le Parti Communiste, ses militants, ses élus appellent les Dromois-e-s  à participer au rassemblement devant le TGI  lundi 7 avril à 13 heures et soutien l’initiative du Collectif Solidarité Prisonniers, qui organise un rassemblement à 14h devant la maison d’arrêt afin « de faire du bruit devant, pour faire de la lumière dedans ».

 

Valence le 4 Avril 2008 – Fédération de la Drôme du PCF

.

 

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27 mars 2008 4 27 /03 /mars /2008 20:35
Dijon le 12 ,13 avril,

Les vendredi 11 et samedi 12 avril 2008, nous appelons à deux jours de manifestations, d’actions directes, d’informations publiques, de fêtes de rue, d’ouvertures de squats… pour défendre les espaces libres et promouvoir une culture populaire anticapitaliste.

À travers ces deux jours, nous voulons aider à donner plus de visibilité aux espaces autonomes et aux squats en tant que mouvement politique européen et global. Nous voulons créer des solidarités et interconnections entre divers squats et espaces autonomes. Nous voulons continuer à mettre nos lieux en lien avec de nouvelles personnes et de nouvelles luttes. Nous voulons soutenir la création de squats dans des endroits où il y en a peu, dans des endroits où il n’y a pas de mouvement squat, dans des endroits où il est devenu difficile d’ouvrir de tels lieux. Nous voulons construire, étape par étape, notre capacité à dépasser la vague de répression qui s’abat sur nous.

Nous appelons à des actions autonomes et décentralisées en tout genre, en fonction de ce que les gens ressentent comme le plus approprié à leur contexte local. Vous trouverez ci-dessous un peu plus d’explications sur le contenu politique que nous voulons donner à ces deux jours.

cliquer sur ces mots  HeRe

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25 mars 2008 2 25 /03 /mars /2008 23:44
Contre l'extradition de Marina Petrella Rassemblement
Rassemblement ce vendredi 28 mars 2008 à 18 heures, Fontaine des Innocents (Paris - les Halles)

Marina Petrella a été arrêtée en France le 21 août dernier alors qu'elle effectuait une banale formalité administrative. Elle est, depuis, incarcérée à la maison d'arrêt de femmes de Fresnes et fait l'objet d'une procédure d'extradition à la demande du gouvernement italien.

Il y a trente ans, en Italie, elle fut de ces dizaines de milliers de jeunes militants dont la révolte, qui s'était radicalisée jusqu'à la lutte armée, fut durement réprimée par une justice d'exception. Après 8 années de détention préventive, Marina s'est réfugiée en France en 1993.

Parole d'État ou Mensonge d'État ?

En effet, peu après sa première investiture, François Mitterrand, dans un objectif d'apaisement, avait décidé d'accorder un asile aux Italiens réfugiés en France, en pleine connaissance des faits reprochés et sans discrimination. Un asile « à l'abri de toute sanction par voie d'extradition » pour autant, évidemment, qu'ils aient « rompu avec la machine infernale dans laquelle ils s'étaient engagés » et renoncent définitivement à toute forme de violence. Ce qu'ils ont fait.

Le judiciaire contre le politique

Alors que l'Etat italien s'enferrait dans le refus d'une amnistie pour les délits commis dans les années 60 et 70, la parole donnée par François Mitterrand a été respectée pendant 20 ans par les gouvernements de gauche et de droite qui se sont succédé dans notre pays. L'engagement de la France fut concrétisé par la régularisation administrative de tous les réfugiés italiens, la délivrance de cartes de séjour en bonne et due forme, et, en conséquence, par la reconstruction en France de la vie de ces réfugiés. Ainsi, Marina, arrivée en France en 1993 avec sa fille aînée alors tout enfant, a donné naissance à une seconde fille aujourd'hui âgée de 11 ans et s'est investie depuis 15 ans dans son métier d'assistante sociale en mairie ou au sein d'associations.

Cette politique d'asile a été brisée durant l'été 2002, avec la livraison à l'Italie de Paolo Persichetti, puis, en 2004, avec la décision d'extrader Cesare Battisti. C'est maintenant au tour de Marina : un « avis favorable » à son extradition a été prononcé le 14 décembre dernier par la Chambre d'instruction de la Cour d'Appel de Versailles. Dorénavant, une vingtaine de réfugié-e-s italien-ne-s installés en France depuis des décennies vivent avec la même insupportable menace sur leurs vies, leurs destins, et ceux de leurs familles.

L'Europe carcérale

Pourquoi cette rupture ? Pourquoi cette trahison de la parole de l'Etat ? Après l'attentat contre les « Twin Towers » en 2001, les gouvernements européens se sont lancé dans la nouvelle croisade : en 2002, un accord fut conclu entre les gouvernements français et italiens relatif à « la lutte contre le terrorisme ». Ainsi, se trompant d'époque et de conflit et pour véhiculer une image de « fermeté », les deux Etats ont entrepris d'exhumer des tiroirs de la République française quelques anciens exilés des « années de plomb », et de les extrader les uns après les autres pour donner en pâture à une opinion publique inquiète des listes de noms savamment mélangés à quelques faits sanglants des années 70.

Sarkozy, Fillon et la vie de Marina

Contre l'avis de la Chambre d'instruction de la Cour d'Appel de Versailles, un pourvoi en cassation a été introduit en décembre dernier. Nous approchons donc de la phase politique de la procédure d'extradition de Marina Petrella. Laquelle procédure laisse au gouvernement français la plus totale liberté puisqu'en matière d'extradition l'avis des juges, quand il est favorable, n'est pas contraignant. Il appartiendra donc exclusivement aux autorités politiques françaises de décider au final du destin de Marina Petrella.

Un État pénal

En signant le décret d'extradition, François Fillon, et donc l'omnipotent Nicolas Sarkozy, condamneraient Marina à finir ses jours dans les geôles italiennes pour des faits remontant à plus de 25 ans. Et ce en exécution d'une sentence prononcée en Italie voici 15 ans, en violation de toutes les règles d'un procès équitable, en application d'une législation « d'exception » mise en place dans un contexte de « guerre civile de basse intensité ».

Extrader aujourd'hui Marina Petrella, ce serait ne tenir aucun compte de l'écoulement du temps, de l'éloignement des faits et de leur contexte, de la réinsertion sociale incontestable de tou-te-s ces réfugié-e-s.

DROIT D'ASILE !

La signature du décret d'extradition de Marina Petrella constituerait donc une violation des engagements de la France et un déni du droit d'asile. Ce serait pour la France faire le choix du « tout pénal » et renoncer aux principes qui font de la France un Etat de droit. L'asile accordé par la France pendant 20 ans a signifié le choix d'une politique d'apaisement, choix fondé sur le principe d'une amnistie de fait pour les délits anciens, à l'opposé d'une politique de la vengeance et de la punition sans fin. Celles et ceux qui ont, depuis des décennies, renoncé à la violence armée doivent pouvoir connaître la paix : une résolution politique des conflits sociaux est l'essence même de la démocratie.

Nous demandons aux autorités françaises de respecter l'asile octroyé par la France voici 25 ans et de permettre le maintien de Marina Petrella sur le sol français parmi les siens. Le déni d'asile aux réfugiés italiens n'est pas seulement une inacceptable injustice : c'est le signe inquiétant, parmi tant d'autres, d'une dérive vers l'arbitraire et le cynisme politiques.

FILLON NE DOIT PAS SIGNER !

En solidarité avec Marina Petrella et les réfugiés politiques tous à la Fontaine des Innocents le vendredi 28 mars 2008, à 18 heures Contre le terrorisme judiciaire de l'État pénal

Les Collectifs de solidarité avec Marina Petrella Contact et signature de la pétition : www.paroledonnee.info

Pour éclairer la cellule de Marina de notre solidarité, inondons-la de nos cartes postales : Marina Petrella, Maison d'Arrêt de Femmes, No d'écrou 932940, Allée des Thuyas, 94261 Fresnes Chèques ou virements à l'ordre de Janie Lacoste (67 rue de la Mare, 75020 Paris) CCP : 2113776N020 54 (établ.30041/guichet : 00001).

 

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