La Maison de quartier se joint au mouvement de résistance sur le projet de loi: prévention de la délinquance de notre ami Sarkosy.
Au regard de ce petit film, on ne peut que se mettre qu’en résistance et prôner; s'il le faut, la désobéissance civile. Notre position ne se résume pas à soutenir la délinquance, mais à dire que son traitement par la répression est un aveu de dérive droitière, une réponse délibérément libérale avec un effet ratisseur sur l’électorat d’extrême droite.
Cette tentative d’impliquer les travailleurs sociaux à ce projet revient à créer un groupe d’indics, à la solde d’une police assujettie, qui se chargera de transmettre à une Justice asservie, la racaille ainsi stigmatisée.
Certains maires, n’ayant plus à inaugurer les statues de Jean-Paul 2, sur l’espace public, trouveront une reconversion facile. D’autres refuseront ces méthodes au nom de la République. Cela a comme conséquences de se poser cette question : La république est-elle un obstacle aux ambitions de Sarkosy.
Vous trouverez ici une pétition et là encore, toutes les informations concernant l’opposition à ce projet.
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Il y a, à Romans, 250 appartements d'urgence. C'est une information importante s'il en est. La difficulté est de se mettre d'accord sur le terme "URGENCE". Quels sont aux yeux de ceux qui gèrent ces appartements , les critères d'urgence? Quelles sont les modalités d'entrée, mais surtout quelles sont les régles de maintien et les critères de sorties?
Toujours est-il que "Contre-coups" collectif travaillant autour des violences conjugales, s'est vu en grande difficulté lorsque traitant d'un cas violence avéré fut mis devant l'évidence: pas de place.
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