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La tyrannie la plus redoutable n'est pas celle qui prend figure d'arbitraire, c'est celle qui nous vient couverte du masque de la légalité." Albert Libertad

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le blog du laboratoire anarchiste

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30 décembre 2011 5 30 /12 /décembre /2011 12:09

 

 

Les numéros de la revue échanges sont déposés à Valence aux librairies Notre temps et URUBU,situées grand rue

Ce texte est paru dans Echanges n° 138.

«  Si les démoc­rates exi­gent la régu­lation de la dette publi­que, les ouvriers doi­vent exiger la ban­que­route de l’Etat.  »

(Karl Marx, 1re Adresse du Comité de la Ligue des com­mu­nis­tes, 1850)

Les crises actuel­les, comme nous pou­vons l’obser­ver, sont prin­ci­pa­le­ment bour­sières et monét­aires et explo­sent comme la rés­ult­ante de spé­cu­lations exagérées. Cela tient à la dis­tinc­tion qu’il faut faire entre l’époque mar­chande et indus­trielle, où les crises se mani­fes­taient en général comme sur­pro­duc­tion de mar­chan­di­ses, et l’époque actuelle où, sous l’hégé­monie du capi­ta­lisme finan­cier, «  le pivot  » des crises est « le capi­tal-argent, et leur sphère imméd­iate est aussi celle de ce capi­tal, la Banque, la Bourse et la Finance (1)  ». Il en rés­ulte que, régul­ièrement, le capi­tal se trouve dans l’inca­pa­cité intrinsèque d’ache­ver son cir­cuit A-M-A’ (argent-mar­chan­duise-argent majoré). C’est la domi­na­tion gran­dis­sante de l’élément spé­cu­latif propre au système du crédit, qui engen­dre un capi­tal fictif, ou une «  bulle spé­cu­la­tive  » sans rap­port avec le capi­tal réel. Plus le système de crédit est pré­do­minant, plus les affres de la crise qu’il engen­dre vont se répéter sous la forme sym­bo­li­que d’une spi­rale. Ce n’est certes pas la pre­mière fois que le système monét­aire entre en crise, on pour­rait même aller jusqu’à dire que les pér­iodes calmes font excep­tion. Il suffit de relire les écrits de Rosa Luxemburg sur le crédit (2) pour s’en rendre compte, de même pour les ban­que­rou­tes d’Etats (3).

A la fin de la seconde guerre mon­diale, fut mis en place le système monét­aire dit de Bretton Woods, qui consa­crait l’hégé­monie mon­diale de la mon­naie amé­ric­aine. Les Etats-Unis détenaient alors les trois quarts des rés­erves d’or du monde, et étaient les seuls capa­bles d’assu­mer la conver­ti­bi­lité du dollar en or, pivot du système de Bretton Woods. Tant que les pays sor­tant de la guerre avaient besoin de dol­lars pour se recons­truire, la ques­tion de la conver­ti­bi­lité du dollar en or ne se posait pas. Cependant dès les années 1950, les deman­des de conver­ti­bi­lité de dol­lars en or mon­tent en puis­sance, pro­vo­quant la chute des rés­erves amé­ric­aines. Les ten­sions monét­aires des années 1960 met­tront en évid­ence la contra­dic­tion entre le dollar mon­naie uni­ver­selle et le dollar mon­naie natio­nale. Les Etats européens et le Japon ne veu­lent plus que le déficit amé­ricain soit comblé par de la création monét­aire (plan­che à billet)  ; dès 1971 le solde des éch­anges avec les Etats-Unis devient négatif. Le 15 août 1971, le pré­sident Richard Nixon sonne le glas du système de Bretton Woods  : il sus­pend la conver­ti­bi­lité du dollar en or et fait du dollar une mon­naie flot­tante. La boîte de Pandore du déficit abys­sal des Etats-Unis était ouverte.

C’est le retour­ne­ment moné­tar­iste de 1979 qui mar­quera le début de la longue des­cente aux enfers du système finan­cier inter­na­tio­nal, c’est-à-dire du capi­ta­lisme finan­cier. Ce retour­ne­ment fut motivé par une poussée conti­nuelle de l’infla­tion à plus de deux chif­fres, voire de l’hyper­in­fla­tion. Cette infla­tion entra­vait les visées d’un capi­ta­lisme finan­cier vivant de la dette et de l’intérêt de la dette. Il lui fal­lait pour son expan­sion inver­ser la donne et s’atta­quer sans répit à l’ensem­ble du salaire différé (« Etat pro­vi­dence ») des pays de l’OCDE, tout en procédant à des délo­ca­li­sations mas­si­ves de ses indus­tries vers les dits pays émergents (4). C’est-à-dire une mise en concur­rence sans fron­tière de la force de tra­vail par l’inves­tis­se­ment direct et la sous-trai­tance inter­na­tio­nale (exem­ple, les zones éco­no­miques spéc­iales en Chine). Tout cela sera for­mulé dans le fameux consen­sus de Washington.

Cette restruc­tu­ra­tion de l’éco­nomie mon­diale, via la mon­dia­li­sa­tion/glo­ba­li­sa­tion, allait entraîner des déva­lo­ri­sations en chaîne du capi­tal finan­cier. Dévalorisations qui indi­quaient que le système com­mençait à éto­uffer sous ses mon­ceaux de dettes spé­cu­la­tives. Mais ceci n’était que le haut de l’ice­berg  : les raci­nes de la crise se trou­vent au sein même du système éco­no­mique et de la contra­dic­tion entre la valeur d’usage et la valeur d’éch­ange, qui veut que le pro­duit soit méd­iatisé par l’argent pour deve­nir une mar­chan­dise cycle (M-A-M mar­chan­dise-argent-mar­chan­dise). Seulement le capi­tal finan­cier à son stade hégé­mo­nique a déjà rejeté ce cycle ; son cycle à lui, c’est que l’argent doit rap­por­ter de l’argent comme le poi­rier des poires . Il va donc évoluer dans le cycle A-M-A’ et pous­ser la folie jusqu’à considérer avec la Bourse et les mar­chés que la richesse c’est A-A’, sans tenir compte des réalités éco­no­miques qui le domi­nent en der­nier res­sort.

La spi­rale des déva­lo­ri­sations allait agir de manière des­truc­trice et envoyer en enfer régul­ièrement ce capi­tal para­site, spé­cu­latif et étendre au final, dès 2007-2008, son champ d’action vers une crise glo­bale de l’éco­nomie mon­diale, tou­jours opér­ante actuel­le­ment.

Retour sur la dette latino-amé­ric­aine

C’est à partir de 1982, date de la pre­mière «  crise mexi­caine  » (5), que les pays latino-amé­ricains gorgés d’emprunts inter­na­tio­naux entrent glo­ba­le­ment dans la réc­ession (6). Pendant des années les gou­ver­ne­ments de ces pays ont confondu «  accu­mu­la­tion de dettes avec accu­mu­la­tion de capi­tal  ». Rapidement ces gou­ver­ne­ments (dic­ta­to­riaux ou démoc­ra­tiques) vont buter sur le dilemme qu’il n’est plus pos­si­ble d’accroître le revenu dis­po­ni­ble au moyen de l’endet­te­ment, les ban­ques atten­dant l’arme au pied le rem­bour­se­ment des intérêts de la dette. Les Etats de ces pays sont donc sommés de procéder rapi­de­ment à des coupes clai­res dans les dép­enses natio­na­les, pour dégager les fonds néc­ess­aires au rem­bour­se­ment de la dette, selon la for­mule adoptée à l’époque, «  prêts forcés - rem­bour­se­ments contraints  ».

Tous les Etats et gou­ver­ne­ments vont donc procéder à la grande ponc­tion «  citoyenne  ». Cinq ans après la dite crise mexi­caine, le mon­tant des rem­bour­se­ments des pays latino-amé­ricains est impres­sion­nant, une frac­tion impor­tante des intérêts dus est rem­boursée. La réc­ession de 1982-1983 et la forte déval­uation (20 % en termes réels entre 1981 et 1985) en a été le prix à payer par les prolét­aires. Ces mesu­res furent dou­blées d’une hyper­in­fla­tion, notam­ment pour l’Argentine (2 000 %) et la Bolivie (30 000%) au milieu de l’année 1985.

A partir de 1987, les ban­ques se ren­dent à l’évid­ence  : il n’est plus pos­si­ble d’appli­quer la for­mule de 1982 «  prêts forcés - rem­bour­se­ments contraints  » sans décl­encher des ris­ques poli­ti­ques graves. Les pays latino-amé­ricains entrent dans une réc­ession longue et dura­ble. Il en rés­ul­tera que les ban­ques ne vont plus consen­tir aux pays d’Amérique latine que les crédits néc­ess­aires au main­tien des flux de rem­bour­se­ment des intérêts dus. La méfi­ance règne, et les mar­chés dès lors considé­reront que les pays endettés ne pour­ront plus rem­bour­ser la tota­lité de la dette.

Le krach his­to­ri­que de 1987 : 2 000 mil­liards de dol­lars par­tent en fumée La vague de déva­lo­ri­sation com­mence à poin­dre dès 1983, quand les cais­ses d’épargne amé­ric­aines com­mencèrent à s’effon­drer. Plus de 1 600 ins­ti­tu­tions vont faire faillite, à partir de 1985  ; les pertes sont évaluées à 500 mil­liards de dol­lars (pres­que la moitié de la dette du tiers-monde).Deux ans après c’est le krach his­to­ri­que de 1987 (2 000 mil­liards de dol­lars par­tent en fumée). Depuis, les déva­lo­ri­sations finan­cières se sont succédé comme jamais aupa­ra­vant dans l’his­toire du capi­ta­lisme. Les crises (bour­sières et monét­aires) ané­ant­issent régul­ièrement le capi­tal fictif. Cela tient, nous l’avons vu au début de ce texte, au fait que sous l’hégé­monie du capi­tal finan­cier, c’est la sphère de cir­cu­la­tion du capi­tal qui devient le pivot des crises.

En 1994, la crise mexi­caine dite «  Tequila  » éclate. Mais elle res­tera dans l’ensem­ble cir­cons­crite à la sphère finan­cière. Elle donc n’a que très peu touché l’éco­nomie réelle (7)  ; le peso dévaluait de 40 % et la hui­tième banque du Mexique entrait en insol­va­bi­lité tech­ni­que. La crise Tequila fut caractérisée par Michel Camdessus, direc­teur général du FMI de l’époque, comme étant «  la pre­mière crise d’enver­gure dans le nou­veau monde des mar­chés finan­ciers glo­ba­lisés  ».

1998 : LTCM, le plus impor­tant fonds spé­cu­latif amé­ricain, en quasi-faillite

Suite au mora­toire uni­latéral décidé par l’Etat russe sur sa dette intéri­eure, LTCM, le plus impor­tant fonds spé­cu­latif amé­ricain, se retrouve en quasi-faillite au mois de sep­tem­bre 1998. La Fed (Réserve fédé­rale des Etats-Unis) est contrainte d’inter­ve­nir afin d’éviter des failli­tes ban­cai­res en chaîne. 14 ban­ques sont inter­ve­nues pour la somme de 3,625 mil­liards de dol­lars. Conséquences  : vague de licen­cie­ments dans plu­sieurs ban­ques – 1 200 chez ING Barings, 4 300 chez Merrill Lynch, et demain d’autres.

Avec des ren­de­ments spé­cu­lat­ifs de 20 % en 1994, 43 % en 1995, 41 % en 1996 et 17 % en 1997, le fonds spé­cu­latif LTCM jouis­sait d’une telle répu­tation de « gagneur » que tout le gratin des ban­ques new-yor­kai­ses inves­tis­sait (même sur leur for­tune per­son­nelle) sur cette poule aux œufs d’or. A l’étr­anger la nou­velle se rép­andit pres­que en temps réel, et les ban­ques suis­ses comme Julius Baer, UBS, le Crédit suisse, rap­pli­quaient au plus vite, sui­vies de la Banque d’Italie, de la banque japo­naise Sumimoto (4e mon­diale), de la Banque de Chine, de la Dresdner Bank, de Paribas, du Crédit lyon­nais... Tous vont miser des sommes colos­sa­les sur le bour­rin LTCM, qui s’est pris les pattes dans les glaces de Russie. 75 ban­ques inter­na­tio­na­les étaient sur le point de capo­ter. L’inter­ven­tion de la Fed, saisie de l’affaire, demande un plan d’urgence aux ban­ques occi­den­ta­les pour sauver le hedge fund qui touche le fond. Les patrons de 14 ins­ti­tu­tions finan­cières vont devoir se sai­gner (un tout petit peu) pour éviter l’hém­or­ragie, ils injec­tent au bour­rin 3 625 mil­liards de dol­lars d’hémog­lo­bine.

La crise dite asia­ti­que

Cette même année (1997-1998), la crise asia­ti­que va se déployer sur l’ensem­ble de l’éco­nomie et notam­ment sur l’appa­reil pro­duc­tif. Le FMI entrera en action et exi­gera le déman­tèlement des conglomérats (chae­bols) de la Corée du Sud ; condi­tion­nera ses prêts au pays à la modi­fi­ca­tion du statut de la Banque cen­trale pour que celle-ci devienne indép­end­ante du pou­voir poli­ti­que. Dans les faits, les Etats-Unis et l’Union europé­enne venaient d’éli­miner un concur­rent redou­ta­ble, dont ils ont pillé l’indus­trie en repre­nant les entre­pri­ses à bas prix, d’autant plus faci­le­ment que la mon­naie natio­nale était dévaluée. Contrairement au Mexique qui, dès 1995, repre­nait ses expor­ta­tions, la crise asia­ti­que res­tera latente. A la fin de l’année 1998 on pou­vait faire le cons­tat sui­vant  : l’Amérique latine et la Russie (8) sont sur le fil du rasoir, le Japon plonge une nou­velle fois dans la réc­ession, les Etats-Unis navi­guent sur une bulle finan­cière de plus en plus impor­tante. L’Europe semble rés­ister avec un rythme de crois­sance de 3 % béné­ficiant du mal­heur des autres. L’euro va bientôt émerger comme mon­naie inter­na­tio­nale et entrer en concur­rence avec le dollar, le yen, et le yuan.

Tous les ingrédients d’une crise majeure de l’éco­nomie mon­diale sont main­te­nant réunis, et Michel Camdessus, direc­teur du Fonds monét­aire inter­na­tio­nal (FMI), déc­larait  : « Je vais sonner le tocsin  : il faut se pré­parer, sans atten­dre, à la pro­chaine crise » (Les Echos du 14 sep­tem­bre 1998).

La crise argen­tine et les pré­mices du risque Etat

La pro­chaine crise va effec­ti­ve­ment poin­dre à un autre niveau  : elle va tou­cher de plein fouet l’Argentine en 2001-2002 et poser la ques­tion du risque sou­ve­rain, l’Argentine n’étant plus en mesure de rem­bour­ser ses cré­anciers. Si dès 1987, les ban­ques com­mençaient à dire qu’il fal­lait aban­don­ner l’idée que « les nations ne fai­sant pas faillite, les ban­ques n’ont pas à se protéger contre les pertes (9)  », la crise argen­tine allait poser ouver­te­ment la ques­tion du risque Etat, qui frappe actuel­le­ment l’Union europé­enne mais aussi cer­tains Etats des Etats-Unis, par exem­ple la Californie.

Les Etats, qui pour le plus grand bien du capi­tal finan­cier mon­dial ont mis en place des poli­ti­ques d’endet­te­ment expo­nen­tiel, pour­sui­vent sur la même piste. Ils com­men­cent depuis quel­ques mois, pour finan­cer les mesu­res anti­crise, à lever des emprunts sur les mar­chés finan­ciers. Des masses d’obli­ga­tions et de bons du Trésor se dév­ersent actuel­le­ment sur les places finan­cières. Ces mêmes places finan­cières exi­geant que l’argent rap­porte de l’argent, entrent dans l’angoisse dès qu’un Etat se trou­vera en dif­fi­culté sur sa dette.

En ce mois de sep­tem­bre 2011, il n’est plus pos­si­ble pour les gou­ver­ne­ments de passer sous silence le krach bour­sier de la mi-août (4 000 mil­liards de dol­lars évaporés). La crise grec­que appa­raît donc comme une crise dans la crise, comme le nœud gor­dien qui devrait faire éclater les contra­dic­tions inter­nes du capi­tal finan­cier inter­na­tio­nal. Les ban­ques franç­aises et europé­ennes sont par­ti­cu­liè­rement visées, au point que dans la presse Christine Lagarde, frai­che­ment élue à la tête du FMI, exige une reca­pi­ta­li­sa­tion des ban­ques europé­ennes, pour que celles-ci ins­cri­vent dans leurs comp­tes les cré­ances de la Grèce, de l’Irlande, du Portugal, de l’Italie, de l’Espagne, de la Belgique. Les titres des quatre prin­ci­pa­les ban­ques franç­aises (BNP Paribas, Crédit agri­cole, Natixis et Société géné­rale) ont perdu, en moyenne, 50 % depuis un an et Natixis vient de se faire sortir du CAC 40. La patronne du Medef, Laurence Parisot, est montée au créneau pour sou­te­nir les ban­ques franç­aises contre les exi­gen­ces du FMI qui se tra­dui­raient par une réd­uction de 10 % à 12 % des fonds pro­pres des ban­ques europé­ennes. La fin de partie est proche, les Etats et les ban­ques cen­tra­les ont épongé les pertes des ban­ques et ont de ce fait mis en exer­gue la dette sou­ve­raine, qui elle-même pose la ques­tion de sa restruc­tu­ra­tion ou de sa ban­que­route et avec elle le cha­pe­let des ban­ques cré­ancières  : les franç­aises, 331 mil­liards d’euros, les alle­man­des, 435 mil­liards, les anglai­ses, 341 mil­liards.

Après les Etats, les gou­ver­ne­ments vont mettre sur la table un der­nier joker, l’inter­ven­tion des fonds sou­ve­rains dans la crise. A cet effet les diri­geants des fonds sou­ve­rains de 25 pays devaient se réunir à Paris les 17 et 18 octo­bre.

Gérard Bad

20 sep­tem­bre 2011

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