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le blog du laboratoire anarchiste

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4 avril 2013 4 04 /04 /avril /2013 10:08
nouvelle chaîne de production de la FBFC de Romans
on a lu cet articlesur le midi libre,la  presse financé grace à la publicité. Mais c'est une pièceau dossier  pour le débat actuelle sur la transition énergétique. on publie nos sources de l'article et même le nom du journaliste même sans lui demander car on a trouvé cette article en faisant des recherches concernant la nouvelle chaîne de production de la FBFC
 
PIERRE BRUYNOOGHE
10/07/2012, 06 h 00
Luc Oursel, président du directoire d’Areva, était hier sur le site de Marcoule.
Luc Oursel, président du directoire d’Areva, était hier sur le site de Marcoule. (Photo M. ANISSET)

Le fabricant de Mox, un combustible à base de plutonium et d’uranium recyclés, investit dans la recherche.

La catastrophe de Fukushima ne freine pas le développement de la filière nucléaire française. Hier, la société Melox, installée sur le site de Marcoule, près de Bagnols-sur-Cèze (Gard), a inauguré un tout nouveau centre de recherche et de développement qui lui permettra d’asseoir son avance technologique et commerciale.

Filiale du groupe Areva, Melox est le principal fabricant mondial de Mox, un combustible fait à base d’oxydes de plutonium et d’uranium recyclés, destiné aux centrales de production d’électricité. L’un des réacteurs de Fukushima utilisait d’ailleurs ce combustible, dont un seul assemblage peut alimenter en électricité une ville de 100 000 habitants pendant un an. Le Mox est donc un produit extrêmement puissant. Au point que de nombreux pays, s’attendant eux aussi à une flambée inexorable du prix des carburants fossiles, se tournent vers lui.

"10 % de l’électricité produit grâce au Mox"

"Plus de quarante réacteurs dans le monde fonctionnent avec le Mox. Rien qu’en France, il est à l’origine de 10 % de l’électricité produite", rappelait hier Luc Oursel, le président du directoire d’Areva, qui avait tenu à assister à l’inauguration du centre de recherche de Melox.

Ce nouvel équipement a été mis en chantier en 2010. Près de 10 M€ ont déjà été investis dans sa création. Areva y mettra encore 24 M€. C’est que le jeu en vaut la chandelle, compte tenu des perspectives qui se profilent. Et pour cause : Melox participe à la construction d’une usine de Mox aux Etats-Unis. "En Grande-Bretagne, nous sommes prêts à répondre à l’appel d’offres qui sera lancé pour la construction d’une usine. Les Russes sont intéressés par l’utilisation du Mox. Nous travaillons aussi sur les appels d’offres qui seront lancés en Filande, en République tchèque et nous sommes en discussion avec la Chine sur des projets d’usines", énumère Luc Oursel. En outre, Melox a conforté sa collaboration avec EDF pour plusieurs dizaines d’années.

D’où le centre de recherche qui abritera un atelier Uranium, dont les buts seront notamment de développer et valider "à l’échelle industrielle" les évolutions du produit et les améliorations technologiques du procédé de fabrication, mais aussi d’apporter une aide et un accompagnement aux clients. "Nous croyons dans l’avenir de l’énergie nucléaire", résume Luc Oursel.

L’usine Melox emploie directement 900 salariés.

"Le nucléaire restera la première énergie produite"

Luc Oursel, à vous écouter, la catastrophe de Fukushima n’a pas eu d’impact sur la filière nucléaire...

C’est vrai que nos perspectives sont très favorables. Le carnet de commandes de notre groupe est très bon. En fait, après Fukushima, il n’y a pas eu d’hiver nucléaire. Pour preuve : en 2011, nous avons enregistré un niveau record de production. Reste que Fukushima nous a rappelé qu’il faut toujours rester modeste et exigeant, et travailler sans relâche.

Quelle est la position de François Hollande ?

Le président de la République dit que la part du nucléaire sera ramenée à 50 % de la production électrique. Ce qui signifie une chose essentielle : le nucléaire reste et restera la première énergie produite en France. En outre, j’ai également entendu François Hollande dire que la construction de Flamanville (dans la Manche, NDRL) sera poursuivie.

Si le prix de l’électricité produite en France est bien en dessous de la moyenne européenne, beaucoup de consommateurs redoutent que ça ne dure pas. Ont-ils raison ?

Nous entrons dans une ère où le coût des énergies, en général, augmentera inéluctablement. Le nucléaire a, dans ce contexte, un avantage énorme : son coût est prédictible. Sachant que nous maîtrisons sa production. De plus, le nucléaire permet de lisser les hausses de prix sur plusieurs dizaines d’années.

Le fabricant de Mox, un combustible à base de plutonium et d’uranium recyclés, investit dans la recherche.

La catastrophe de Fukushima ne freine pas le développement de la filière nucléaire française. Hier, la société Melox, installée sur le site de Marcoule, près de Bagnols-sur-Cèze (Gard), a inauguré un tout nouveau centre de recherche et de développement qui lui permettra d’asseoir son avance technologique et commerciale.

Filiale du groupe Areva, Melox est le principal fabricant mondial de Mox, un combustible fait à base d’oxydes de plutonium et d’uranium recyclés, destiné aux centrales de production d’électricité. L’un des réacteurs de Fukushima utilisait d’ailleurs ce combustible, dont un seul assemblage peut alimenter en électricité une ville de 100 000 habitants pendant un an. Le Mox est donc un produit extrêmement puissant. Au point que de nombreux pays, s’attendant eux aussi à une flambée inexorable du prix des carburants fossiles, se tournent vers lui.

"10 % de l’électricité produit grâce au Mox"

"Plus de quarante réacteurs dans le monde fonctionnent avec le Mox. Rien qu’en France, il est à l’origine de 10 % de l’électricité produite", rappelait hier Luc Oursel, le président du directoire d’Areva, qui avait tenu à assister à l’inauguration du centre de recherche de Melox.

Ce nouvel équipement a été mis en chantier en 2010. Près de 10 M€ ont déjà été investis dans sa création. Areva y mettra encore 24 M€. C’est que le jeu en vaut la chandelle, compte tenu des perspectives qui se profilent. Et pour cause : Melox participe à la construction d’une usine de Mox aux Etats-Unis. "En Grande-Bretagne, nous sommes prêts à répondre à l’appel d’offres qui sera lancé pour la construction d’une usine. Les Russes sont intéressés par l’utilisation du Mox. Nous travaillons aussi sur les appels d’offres qui seront lancés en Filande, en République tchèque et nous sommes en discussion avec la Chine sur des projets d’usines", énumère Luc Oursel. En outre, Melox a conforté sa collaboration avec EDF pour plusieurs dizaines d’années.

D’où le centre de recherche qui abritera un atelier Uranium, dont les buts seront notamment de développer et valider "à l’échelle industrielle" les évolutions du produit et les améliorations technologiques du procédé de fabrication, mais aussi d’apporter une aide et un accompagnement aux clients. "Nous croyons dans l’avenir de l’énergie nucléaire", résume Luc Oursel.

L’usine Melox emploie directement 900 salariés.

"Le nucléaire restera la première énergie produite"

Luc Oursel, à vous écouter, la catastrophe de Fukushima n’a pas eu d’impact sur la filière nucléaire...

C’est vrai que nos perspectives sont très favorables. Le carnet de commandes de notre groupe est très bon. En fait, après Fukushima, il n’y a pas eu d’hiver nucléaire. Pour preuve : en 2011, nous avons enregistré un niveau record de production. Reste que Fukushima nous a rappelé qu’il faut toujours rester modeste et exigeant, et travailler sans relâche.

Quelle est la position de François Hollande ?

Le président de la République dit que la part du nucléaire sera ramenée à 50 % de la production électrique. Ce qui signifie une chose essentielle : le nucléaire reste et restera la première énergie produite en France. En outre, j’ai également entendu François Hollande dire que la construction de Flamanville (dans la Manche, NDRL) sera poursuivie.

Si le prix de l’électricité produite en France est bien en dessous de la moyenne européenne, beaucoup de consommateurs redoutent que ça ne dure pas. Ont-ils raison ?

Nous entrons dans une ère où le coût des énergies, en général, augmentera inéluctablement. Le nucléaire a, dans ce contexte, un avantage énorme : son coût est prédictible. Sachant que nous maîtrisons sa production. De plus, le nucléaire permet de lisser les hausses de prix sur plusieurs dizaines d’années.

Le fabricant de Mox, un combustible à base de plutonium et d’uranium recyclés, investit dans la recherche.

La catastrophe de Fukushima ne freine pas le développement de la filière nucléaire française. Hier, la société Melox, installée sur le site de Marcoule, près de Bagnols-sur-Cèze (Gard), a inauguré un tout nouveau centre de recherche et de développement qui lui permettra d’asseoir son avance technologique et commerciale.

Filiale du groupe Areva, Melox est le principal fabricant mondial de Mox, un combustible fait à base d’oxydes de plutonium et d’uranium recyclés, destiné aux centrales de production d’électricité. L’un des réacteurs de Fukushima utilisait d’ailleurs ce combustible, dont un seul assemblage peut alimenter en électricité une ville de 100 000 habitants pendant un an. Le Mox est donc un produit extrêmement puissant. Au point que de nombreux pays, s’attendant eux aussi à une flambée inexorable du prix des carburants fossiles, se tournent vers lui.

"10 % de l’électricité produit grâce au Mox"

"Plus de quarante réacteurs dans le monde fonctionnent avec le Mox. Rien qu’en France, il est à l’origine de 10 % de l’électricité produite", rappelait hier Luc Oursel, le président du directoire d’Areva, qui avait tenu à assister à l’inauguration du centre de recherche de Melox.

Ce nouvel équipement a été mis en chantier en 2010. Près de 10 M€ ont déjà été investis dans sa création. Areva y mettra encore 24 M€. C’est que le jeu en vaut la chandelle, compte tenu des perspectives qui se profilent. Et pour cause : Melox participe à la construction d’une usine de Mox aux Etats-Unis. "En Grande-Bretagne, nous sommes prêts à répondre à l’appel d’offres qui sera lancé pour la construction d’une usine. Les Russes sont intéressés par l’utilisation du Mox. Nous travaillons aussi sur les appels d’offres qui seront lancés en Filande, en République tchèque et nous sommes en discussion avec la Chine sur des projets d’usines", énumère Luc Oursel. En outre, Melox a conforté sa collaboration avec EDF pour plusieurs dizaines d’années.

D’où le centre de recherche qui abritera un atelier Uranium, dont les buts seront notamment de développer et valider "à l’échelle industrielle" les évolutions du produit et les améliorations technologiques du procédé de fabrication, mais aussi d’apporter une aide et un accompagnement aux clients. "Nous croyons dans l’avenir de l’énergie nucléaire", résume Luc Oursel.

L’usine Melox emploie directement 900 salariés.

"Le nucléaire restera la première énergie produite"

Luc Oursel, à vous écouter, la catastrophe de Fukushima n’a pas eu d’impact sur la filière nucléaire...

C’est vrai que nos perspectives sont très favorables. Le carnet de commandes de notre groupe est très bon. En fait, après Fukushima, il n’y a pas eu d’hiver nucléaire. Pour preuve : en 2011, nous avons enregistré un niveau record de production. Reste que Fukushima nous a rappelé qu’il faut toujours rester modeste et exigeant, et travailler sans relâche.

Quelle est la position de François Hollande ?

Le président de la République dit que la part du nucléaire sera ramenée à 50 % de la production électrique. Ce qui signifie une chose essentielle : le nucléaire reste et restera la première énergie produite en France. En outre, j’ai également entendu François Hollande dire que la construction de Flamanville (dans la Manche, NDRL) sera poursuivie.

Si le prix de l’électricité produite en France est bien en dessous de la moyenne européenne, beaucoup de consommateurs redoutent que ça ne dure pas. Ont-ils raison ?

Nous entrons dans une ère où le coût des énergies, en général, augmentera inéluctablement. Le nucléaire a, dans ce contexte, un avantage énorme : son coût est prédictible. Sachant que nous maîtrisons sa production. De plus, le nucléaire permet de lisser les hausses de prix sur plusieurs dizaines d’années.

Le fabricant de Mox, un combustible à base de plutonium et d’uranium recyclés, investit dans la recherche.

La catastrophe de Fukushima ne freine pas le développement de la filière nucléaire française. Hier, la société Melox, installée sur le site de Marcoule, près de Bagnols-sur-Cèze (Gard), a inauguré un tout nouveau centre de recherche et de développement qui lui permettra d’asseoir son avance technologique et commerciale.

Filiale du groupe Areva, Melox est le principal fabricant mondial de Mox, un combustible fait à base d’oxydes de plutonium et d’uranium recyclés, destiné aux centrales de production d’électricité. L’un des réacteurs de Fukushima utilisait d’ailleurs ce combustible, dont un seul assemblage peut alimenter en électricité une ville de 100 000 habitants pendant un an. Le Mox est donc un produit extrêmement puissant. Au point que de nombreux pays, s’attendant eux aussi à une flambée inexorable du prix des carburants fossiles, se tournent vers lui.

"10 % de l’électricité produit grâce au Mox"

"Plus de quarante réacteurs dans le monde fonctionnent avec le Mox. Rien qu’en France, il est à l’origine de 10 % de l’électricité produite", rappelait hier Luc Oursel, le président du directoire d’Areva, qui avait tenu à assister à l’inauguration du centre de recherche de Melox.

Ce nouvel équipement a été mis en chantier en 2010. Près de 10 M€ ont déjà été investis dans sa création. Areva y mettra encore 24 M€. C’est que le jeu en vaut la chandelle, compte tenu des perspectives qui se profilent. Et pour cause : Melox participe à la construction d’une usine de Mox aux Etats-Unis. "En Grande-Bretagne, nous sommes prêts à répondre à l’appel d’offres qui sera lancé pour la construction d’une usine. Les Russes sont intéressés par l’utilisation du Mox. Nous travaillons aussi sur les appels d’offres qui seront lancés en Filande, en République tchèque et nous sommes en discussion avec la Chine sur des projets d’usines", énumère Luc Oursel. En outre, Melox a conforté sa collaboration avec EDF pour plusieurs dizaines d’années.

D’où le centre de recherche qui abritera un atelier Uranium, dont les buts seront notamment de développer et valider "à l’échelle industrielle" les évolutions du produit et les améliorations technologiques du procédé de fabrication, mais aussi d’apporter une aide et un accompagnement aux clients. "Nous croyons dans l’avenir de l’énergie nucléaire", résume Luc Oursel.

L’usine Melox emploie directement 900 salariés.

"Le nucléaire restera la première énergie produite"

Luc Oursel, à vous écouter, la catastrophe de Fukushima n’a pas eu d’impact sur la filière nucléaire...

C’est vrai que nos perspectives sont très favorables. Le carnet de commandes de notre groupe est très bon. En fait, après Fukushima, il n’y a pas eu d’hiver nucléaire. Pour preuve : en 2011, nous avons enregistré un niveau record de production. Reste que Fukushima nous a rappelé qu’il faut toujours rester modeste et exigeant, et travailler sans relâche.

Quelle est la position de François Hollande ?

Le président de la République dit que la part du nucléaire sera ramenée à 50 % de la production électrique. Ce qui signifie une chose essentielle : le nucléaire reste et restera la première énergie produite en France. En outre, j’ai également entendu François Hollande dire que la construction de Flamanville (dans la Manche, NDRL) sera poursuivie.

Si le prix de l’électricité produite en France est bien en dessous de la moyenne européenne, beaucoup de consommateurs redoutent que ça ne dure pas. Ont-ils raison ?

Nous entrons dans une ère où le coût des énergies, en général, augmentera inéluctablement. Le nucléaire a, dans ce contexte, un avantage énorme : son coût est prédictible. Sachant que nous maîtrisons sa production. De plus, le nucléaire permet de lisser les hausses de prix sur plusieurs dizaines d’années.

 

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