23 novembre 2009
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Dans l’espoir de ne pas ‘écrire sur le sable, en ne parlant qu’au vent…
Nella speranza di non scrivere sulla sabbia, parlando solo
al vento…
nous avons choisi de publier ce texte d'Oreste sans dénaturer son écriture multiple "des
milles plateaux"pour annoncer un blog aux journalistes du dauphiné libéré qui espionnent le blog du Laboratoire afin de commencer la persécution judiciaire. Donc je vous recommande ces blogs pour: Sonja Suder et Christian
Gauger
http://stopextraditions.info/
Chers et chères destinataires,
Si l’on fait [impersonnel « on », je
vous assure et rassure : autant que dans d’autres cas le
« pluralis », « modestiæ »]…, si nous
faisons donc l’effort d’écrire, mais aussi de ‘dépenser’ notre temps de vie à parler, c’est pour mettre
en commun quelque chose, de force avec d’autres… Si nous ne pouvons pas être surs, ni d’ailleurs
prétendons, d’êtres lus ou écoutes, du moins nous voudrions que ce que nous avons – à tort ou à raison – voulu ‘transmettre’, soumettre, mettre en circulation, soit
accessible : audible, lisible, fut-il par trois personnes ou même pas… Au risque d’être
(de paraître, de résulter) envahissants, c’est pour cela que nous signalons (en l’occurrence
avec des temps qui justifient le ‘logos’ L’intempestif ), ce que l’on ‘secrète’ à un rhizome dont nous aurions le secret espoir de recevoir des
“réactions” : réfutations pertinentes, intégrations, éléments de réflexion…
Salut, OS&C…omplices, « rari nantes in curgite vasto…