"Sarko a pris une décision politique, camouflée en pipolhumanitaire :
Un classique du prez, et une jolie pirouette pour se sortir d'une
situation délicate.
Le 13, l'appel de Marina allait être rejeté (et après, Sarko ne
pouvait plus bouger)
Le 16, le Brésil décidera du sort de Battisti (et ce sera, sans doute,
le refus d'extrader).
Nicolas n'a pas voulu rester seul avec le cadavre de Marina sur les bras.
Il lui a fallu, d'urgence, céder.
En faisant croire qu'il cédait aux larmes des soeurs Bruni.
Car un homme véritable ne cède jamais à la menace,
Mais toujours aux pleurs d'une femme."