« La tendance nécessaire du capital est : circulation sans temps de circulation ; cette tendance est la détermination fondamentale du crédit et des inventions de crédit du capital. D’un autre côté, le crédit est donc aussi la forme sous laquelle le capital cherche à se poser différent des capitaux particuliers ou que le capital particulier cherche à se poser en tant que capital à la différence de ses limites quantitatives (…) Le plus grand résultat que le crédit apporte dans cette voie c’est le capital fictif ; en outre le crédit apparaît en tant que nouvel élément de concentration, de destruction de capitaux en des capitaux particuliers centralisés. D’un certain côté, le temps de circulation de l’argent est objectivé (…) L’antagonisme du temps de travail et du temps de circulation contient toute la théorie du crédit, dans la mesure où l’histoire de la circulation intervient »
Karl Marx,
Fondements, tome II.
Anthropos, p. 171-172.
Un texte a été publié afin de contrer les abérrations qui circulent actuellement.