Ce qui s’y est passé est peut-être le renouveau d’une forme d’action antinucléaire populaire et offensive, qui se distingue à la fois de l’action de lobby, de l’action symbolique (la « chaîne humaine » de Sortir du nucléaire ce que pense certaines et certaibns du collectif le laboratoire), et de l’action commando professionnel à la Greenpeace. Il s’est agi à Valognes de lutter collectivement et concrètement pour rendre plus compliqué le fonctionnement de la filière nucléaire.
Le reportage que nous entendrons ce mardi sur Canut sera l’occasion d’entendre deux des organisateurs du camps, de parler de ce qui s’est passé, et de ce qui pourrait encore se passer...
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