Notre petite délégation de la solidarité à la lutte pour la régularisation des immigrants
français (sans-papiers) commence à 7 h Dimanche 30 mai, de Turin, les nouvelles qui nous parviennent par le biais de contrôles à la zone frontalière de Vintimille nous donne déjà le sentiment de
l'importance ces jours-ci à Nice, en effet, le sommet d'aujourd'hui des pays africains liés à l'intérêt
historique du colonialisme français aujourd'hui en collaboration avec les hommes d'affaires des différentes parties du monde sont le pillage des ressources naturelles et des terres fertiles de
l'Afrique.
Les immigrants illégaux sont enfermés dans la matinée à Cannes, le maire de Nice fasciste n'autorise pas le
mars prévu. Quand nous arrivons à Cannes à 11h30, mais nous avons tous décidé de se lancer en quelque sorte,
si nous commençons par différents moyens et le bus pour le premier arrêt dans la banlieue de Nice, et après un bref arrêt, vous décidez de venir à Nice et arriver à la gare. La caravane de voitures avec le drapeau jaune le long de la rocade jusqu'à la gare, près du port. Avant de monter un petit groupe de policiers qui ont essayé d'arrêter un groupe de voitures, mais elle n'est pas résolue rapidement et de laisser
aller.
Près de la gare les deux cortèges étaient déjà arrivés, il est venu en tant que groupes français de
solidarité qui ont été accueillis par des applaudissements chaleureux.
L'existence de notre petite délégation a attiré beaucoup d'attention aujourd'hui, car nous avons
eu beaucoup de questions sur la situation des immigrés italiens, mais que vous essayez de forcer la formation et le début d'une procession. La marche au son des tambours, chants et slogans des immigrés clandestins, un climat de
solidarité, la lutte fraternelle et joyeuse à mesure qu'ils progressent, de nombreux citoyens français se rassemblent dans les rues, le cortège se gonfle, elle prend la direction du
centre-ville mais à mesure qu'ils avançaient la direction était vers le lieu de détention pour immigrants
illégaux détenus sans documents appropriés, le nombre de CRS augmente. Avant que la cordon français (centre de détention de l'immigration), on devait s' arrêter
et crié: «La liberté pour nos camarades qui dura plusieurs minutes, il a commencé à rencontrer de nombreux actes de la passion et le désir d'aller plus loin.
Avec certains d'entre eux nous avons promis de se voir à Turin
à la fin de Juin