Régulièrement , sur ce blog du Laboratoire la publication des nouvelles du pays Basque permet de montrer l'énorme supercherie que représente le slogan l'Espagne Démocratique . Encore une fois le journal du pays basque donne à lire un article qui met en évidence ce mirage voir ci dessous:
Un document trouvé à la suite d'une perquisition démontrerait que la Garde civile donne des consignes à ses agents afin d'obtenir des personnes interpellées des déclarations «qui ratifient les inculpations judiciaires existantes». Autrement dit, les aveux qu'ils attendent. Ce document a été présenté ces jours-ci par l'épouse de l'avocat Jon Enparantza à plusieurs instances judiciaires.
Il aurait été trouvé à la suite d'une perquisition effectuée le 14 avril dernier, dans le cadre de l'opération contre des avocats de prisonniers basques et des membres de l'entourage de ces derniers. D'après les informations publiées par le quotidien Gara, ce dossier de 16 pages préciserait que les avocats Jon Enparantza, Amaia Zulueta, Iker Sarriegi et l'artiste Erramun Landa doivent être traités avec «délicatesse».
Textes, graphiques, notes manuscrites, ce document présenterait le mode opératoire prévu par la garde civile lors d'une réunion entre les directions gipuzkoar et bizkaitar de ce corps militaire, préalable aux arrestations du 14 avril.
L'édition internet d'El Correo ajoute que le juge de l'Audiencia nacional Fernando Grande-Marlaska a demandé des explications sur ce document auprès de la Guardia civil. Cette dernière a rétorqué que ce document n'est qu'un «brouillon de travail», pas officiel, destiné à l'usage personnel d'un de ses agents. Elle a également relevé que les faits qui ont suivi n'ont pas confirmé «les prévisions».
Or, mis à part les avocats et l'artiste, les personnes interpellées lors de cette opération ont dénoncé des mauvais traitements pendant leur mise au secret dans les commissariats de la Garde civile.