Un texte de Maurice-Eugène ANDRE, Professeur Honoraire en Ecologie Générale, Auteur certifié en protection NBCR. Université de Mons-Hainaut, Belgique.
Nous avons décidé de suivre l’actualité au jour le jour suite à la guerre des USA contre l’IRAK. Vu l’urgence, suite à l’utilisation massive de ces armes en Irak par les armées des envahisseurs Etasuniens et anglais.
Un métal perçant tous les blindages
Cette situation pourra se constater dans les faits, pendant une période probable que nous estimons devoir se situer dans une fourchette allant des 1 à 20 prochaines années.
Lire aussi la position du Syndicat de la Magistrature (française) à propos de la légitimité de la guerre déclarée par les Etats-Unis à l’Irak et des opérations de guerre qui s’y déroulent.
TOXICITE DE L’URANIUM METALLIQUE INJECTE ACTUELLEMENT DANS L’AIR PAR LES USA EN IRAK.
« Extraits d’aujourd’hui » du 17 au 27 mars 2003. Page 1. Supplément journalier de la revue TEXTES D’ANTIPAS - TAHAT KÔL news.
"Situation pulmonaire mondiale prochaine, suite à l’utilisation d’uranium métallique dans les projectiles américains en Irak".
La santé mondiale au niveau pulmonaire va aller en s’affaiblissant : telle est l’opinion de plusieurs scientifiques dénonçant la présence de tonnes d’uranium dans les obus, missiles et bombes américaines qui vont exploser, et bientôt pénétrer sous forme de fines poussières radioactives insolubles, dans l’atmosphère mondiale.
On sait que la croûte terrestre contient de l’uranium et que cet uranium qui est radioactif est tenu éloigné des humains par la distance des gisements et aussi par les écrans des sols situés entre les gisements et les humains. Ces dernières décennies, de nombreuses industries se sont mises à extraire l’uranium du sous-sol pour différentes raisons, et tant que l’uranium était tenu à distance des hommes, ou stocké derrière des écrans, - silos en bétons notamment, ou fûts solides - , cette composante radioactive du sol restait inoffensive.
Magique !
Les ingénieurs militaires américains ont pensé à exploiter la forte densité de l’uranium quand il est obtenu sous forme métallique, (+ de 2 fois plus lourd que l’acier), pour l’utiliser comme perforateur de bunkers et de chars, dans les projectiles. Et effectivement les dards en uranium mis dans les projectiles, perforaient les chars et les roches, avec une facilité étonnante, dotant ainsi les Américains d’armes redoutables.
Il semble cependant que l’armée américaine a volontairement ou pas, occulté des données qui se sont avérées très nocives pour leurs propres troupes et les populations « à conquérir ».
Effectivement, en passant aux essais grandeur nature, on s’est aperçu que l’uranium contenu dans les projectiles, avait une propriété à laquelle personne ne semblait avoir songé : l’uranium métallique a la propriété de prendre spontanément feu quand il est divisé en très petites particules, et cette particularité se nomme "métal pyrophore". A première vue, les premiers experts constatèrent le fait, mais n’y prirent pas garde. Ceci ne semblait pas contrarier les projets initiaux.
Mais, dans la Nature, les choses changèrent. En effet les chocs des impacts divisaient l’uranium des projectiles, et on constata la présence de milliards de particules d’uranium flottant (aérosols) dans l’atmosphère près des explosions et impacts. Les particules brûlées examinées montraient qu’elles étaient malheureusement insolubles à près de 90% du total. Comme elles flottaient aisément dans l’air, il suffisait d’un vent contraire, pour que ces particules reviennent vers les canons "alliés" et empoisonnent les tireurs par invasion pulmonaire.
En fait, on constata que 90% de la masse d’uranium mise dans les projectiles utilisés, se transformait lors des explosions en milliards de milliards de particules radioactives flottantes. Par après on constata que plus les particules flottantes étaient petites, plus elles flottaient longtemps, et qu’en dessous de la taille du micromètre ou millième de mm de diamètre,
elles restaient pratiquement en suspension permanente pendant des mois, ce qui les entraînaient à des milliers de km de l’endroit où elles avaient pris naissance.
SITUATION PULMONAIRE MONDIALE PROCHAINE .../...
Par ailleurs, il fut constaté que des militaires engagés dans les opérations deviennent malades après leur retour à domicile, parfois après des années (Note : ce qu’on appela pudiquement le syndrome de la guerre du golfe).
Ceci alarma plusieurs chercheurs, dont le Professeur américain DURAKOVITCH parmi les médecins militaires qui constatèrent une surcharge d’uranium dans le corps des victimes, et même la présence de métaux radioactifs qui n’étaient pas destinés à être mis dans les projectiles. L’Amérique s’opposa dès lors à DURAKOVITCH.
Le système pulmonaire des victimes montre un affaiblissement comparable à ceux provenant de l’effondrement des défenses immunitaires. Les particules flottantes d’uranium « céramisé » par les explosions ont approché ces victimes et se sont introduites directement dans leurs poumons, les irradiant de l’intérieur par les émissions ALPHA de l’uranium : c’est l’effet interne de proximité avec irradiation directe à très courte distance des cellules pulmonaires.
Suite à l’adoption des projectiles américains, il se fait que de l’uranium métallique divisé en très petits fragments sous forme de poussières, est dorénavant apte à approcher les hommes directement par voie interne, au gré des courants aériens de l’hémisphère Nord, et ainsi de nous contaminer tous progressivement, à des moments inattendus, moments pendant lesquels ces poussières uranifères flottantes strictement invisibles à l’œil pénètrent l’organisme via la respiration.
Les globules blancs, et spécialement les lymphocytes B et T, jouent un rôle essentiel dans la défense immunitaire et sont soumis aux radiations lors de leur passage dans la lymphe et les poumons. Ces leucocytes sont extrêmement sensibles aux radiations ionisantes ; des doses de 0,1 gray (10 rad) peuvent déjà bloquer la phagocytose et induire la prolifération de bactéries infectieuses. D’une façon générale, suite à une irradiation, on observe une diminution importante du nombre des globules blancs (leucopénie) et particulièrement des lymphocytes T auxiliaires.
Dès que les explosions des armes américaines à UA (uranium appauvri) parleront, la charge aérienne des poussières radioactives augmentera et il est probable que l’immunité générale du genre humain diminuera encore, laissant la place à de nouvelles maladies pulmonaires...
Les récentes déclarations de l’OMS* : nous apprend que nous respirons maintenant tous de l’uranium en provenance de l’air, notamment de l’UA dans l’air.
En ce qui nous concerne tous, il serait plus clair de dire que depuis son apparition sur terre, l’homme était uniquement confronté aux rayons GAMMA en provenance de l’uranium dans la croûte terrestre, et aux rayons cosmiques. Mais que depuis une décennie environ, l’homme se trouve confronté aux rayons ALPHA de l’uranium, du fait de contacts directs de l’uranium métallique avec nos poumons. Ceci via les aérosols d’uranium métallique brûlés par les explosions des projectiles à UA sur les champs de bataille, aérosols, invisibles à l’œil, qui sont maintenant en suspension permanente dans notre atmosphère dans tout l’hémisphère nord.
Nous avons déjà démontré que l’UA brûlé donne des particules radioactives flottantes qui délivrent des doses importantes et ponctuelles à l’intérieur des poumons, et nous avons calculé et publié les doses infligées aux humains qui respirent des aérosols d’UA brûlé.
Comme l’OMS déclare que nous respirons maintenant tous de l’uranium y compris de l’UA, il faut trouver là, à notre avis, la source principale de la diminution de notre résistance naturelle aux maladies, via la perturbation permanente qu’infligent ces irradiations supplémentaires internes à notre ADN.
Nous pensons que cette radioactivité supplémentaire interne, infligée à notre ADN, induira la diffusion de nouvelles maladies dans le monde, y compris des maladies franchissant la barrière des espèces.
A notre avis, seul l’abandon de l’utilisation des armes à UA, pourrait stabiliser la situation actuelle, car il est impossible de retirer de l’atmosphère terrestre, les particules radioactives flottantes qui y ont été introduites en masse, depuis quelques années seulement.
Maurice-Eugène ANDRE, Professeur Honoraire en Ecologie Générale, Université de Mons-Hainaut, Directeur des Textes d’Antipas - Tahat Kôl news. Pierre PIERART.
Note : les écrits de Maurice André sont très inquiétants, hélas véridiques, car recoupés avec de très nombreuses informations sicentifiques et de nombreux médecins ayant soignés les vétérans de la "guerre du golfe".
Par contre, ses déclarations concernant la justice divine, qui s’abattra prochainement sur tous les affreux n’engagent que lui et vous en serez seuls juges.
Mèl
Site Ouèbe d’Antipas :
Sur ce site : A lire ; « LA MALADIE DE LA GUERRE DU GOLFE ».*
Sur le site de l’OMS : Note sur l’uranium, une monstrueuse contre vérité scientifique
En savoir plus sur l’uranium appauvri, le syndrome de la guerre du golfe et le pourquoi de l’opposition des vétérans US à l’intervention de George Dabeliou Bush, sur le site de l’iacenter
Et nous ? Observatoire des armes nucléaires françaises CDRPC, 187 montée de Choulans, F-69005 LYON Contact : Jean-Marie Collin, 04-78-36-93-03 Mèl
le site du CADU, en anglais, Campain against Depleted Uranium, uranium appauvri
Le site Stop Nato, stoppons l’Otan, nous donne encore plus de précisions utiles, en anglais