Afin de predre la décision en AG décisionnelle. L'indignation affichée par la classe politique est légitime mais ne saurait suffire. Il est temps d'interdire les licenciements ! Ce n'est pas aux hommes et aux femmes qui travaillent dans cette usine de payer leur restructuration.
Après l'éco tourisme , le capital essaye de nous transformer en petit soldats de la technologie de domination."
Nouvelles de la vallée de l'Ouvéze, après la nouvelle désespérante ( fermeture de l'usine Simmons à Flaviac)
Quoi de réver mieux pour cette industrie, une vallée accueuillante , une petite rivière( pour les besoins énormes de l'industrie des nanos et des
Technologie informative communicante entre autre).Dans l'article de leur
presse le journaliste glisse un sigle le CENT, si on glisse vers le
site de propagande de la nouvelle technologie.. Ce nouveau pôle industriel né sur un site industriel vieillissant bénéficie pour le cas d'une aura de sauveur industriel ( comme on a
pu le voir dans la région d'Alés (cévennes sud ). Lors qu'on cherche un peu la terminologie citoyenne apparait rapidement la nova langue La terminologie collectivité
territoriale sert d'écran de fumée à ce nouveau capitalisme ''éthique'' .
Le collectif du Laboratoire très attentif face à ce mode de domination ( big brother). Malgré tout , aidons les ouvriers de Simmons dans leur combat ,
en signant la pétition de soutien , accessible à Radio Mega Valence.
Saint-Julien-en-Saint-Alban constituait mercredi l'une des étapes de la Route des Territoires 2009, consacrées à l'attractivité et la compétitivité économique des territoires. Dans cette commune de la vallée de l'Ouvèze, où il existe un projet de centre européen des nouvelles technologies ("Cent"), une centaine de personnes, élus, décideurs, représentants de structures, ont réfléchi tout l'après-midi sur le thème du numérique en outil d'attractivité et de développement des territoires.
La question n'a pas été tranchée à l'issue d'une table ronde qui a regroupé François Veyreinc pour la communauté de communes, le conseiller régional et général Hervé Saulignac, le président de l'association des maires ruraux, Jacques Genest, Jean-Paul Poulet, président de la CCI d'Aubenas, pas plus qu'elle ne l'a été dans les deux ateliers qui ont suivi.
On retiendra que si pour François Veyreinc, le numérique est une évidence pour des projets de développement, pour Hervé Saulignac, ce n'est pas valable pour tous.
Il a même expliqué qu'il est susceptible de créer de nouvelles inégalités sociales ou territoriales selon qu'il est implanté en ruralité ou en milieu urbain, si l'on ne règle pas le déséquilibre d'infrastructures qui existe entre ces deux secteurs.
« Aplanir les montagnes »
Pour Jacques Genest, il s'agit d'une « façon d'aplanir les montagnes, d'avoir les mêmes moyens et ambitions que les urbains. » Il a estimé, de façon imagée qu'« il ne faut pas manquer le train qui passe, mais il faut des rails mis par le Département et la Région. »
Pour Jean-Claude Vich, initiateur du projet du Cent, il ne faut pas s'imaginer que les entreprises s'implantent en fonction de la beauté des paysages.
Après les synthèses faisant état de la nécessité de se regrouper pour être efficace dans ce domaine, la Marocaine Najat Rochdi, déléguée au programme des Nations
Unies pour le développement, venue exprès de Genève, a conclu en estimant que « l'attractivité des territoires passe d'abord par la possibilité de fournir des opportunités aux jeunes du pays pour
construire et développer : c'est 60 % des besoins. » leur presse