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La tyrannie la plus redoutable n'est pas celle qui prend figure d'arbitraire, c'est celle qui nous vient couverte du masque de la légalité." Albert Libertad

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le blog du laboratoire anarchiste

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10 décembre 2008 3 10 /12 /décembre /2008 09:50

"les remèdes que la société met en place n'existant qu'en raison des vices qu'ils sont censés combattre, les premiers ne visent finalement qu'à la perpétuation des seconds; et le caractère paradoxal de cet axiome ne l'empêche pas de se vérifier quotidiennement, à tous les échelons, rien n'étant épargné : de la médecine à la politique en
passant par la consommation marchande en général et les centres de satisfaction sexuelle en particulier".


Mercredi  à 21h au Laboratoire 8 place St jean, projection débat de:" ceci est une simulation":

Au cœur d’un monde restructuré par la peur, du réacteur à la cour d’école, du travailleur aux populations, la simulation nous dit que l’accident aura bien lieu.

Même lorsque la mise en scène semble ratée, elle atteint ses buts :

* La soumission des corps
* L’habituation des esprits à un monde géré militairement
* Des individus acteurs de leur propre servitude.

Foutage de gueule  :

Exercice de simulation  à l'Usine FBFC de Romans , cette campagne fait parti l'acceptabilité

orchestré par les lobbies Nucléaire..... .


"On apprenait vers 16h45 que "la fuite" était enfin maîtrisée. Que tout risque de contamination atmosphérique était écarté. Seul le "risque de contamination" en surface persistait. Le préfet maintenait donc le principe de mise à l'abri, organisant d'autre part l'évacuation des personnes souhaitant quitter la zone du plan particulier d'intervention du site FBFC dans un périmètre de 600 mètres autour de l'usine.
Avant même le debriefing, des interrogations demeurent. Et non des moindres. L'exercice était à dominante "sécurité civile". Comment alerter la population, quand le test de la sirène se révèle un couac !" Dauphiné libérée du 10/ 12 /08

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9 décembre 2008 2 09 /12 /décembre /2008 19:29
http://www.broderie.it/images/straniere/fran%C3%A7aisimm/187%20vini%20transgenici.jpg
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9 décembre 2008 2 09 /12 /décembre /2008 10:51

  Photo


Alors qu’à Tchernobyl, la catastrophe fut niée, les différents pouvoirs orchestrent aujourd’hui sa prise en main..

Au cœur d’un monde restructuré par la peur, du réacteur à la cour d’école, du travailleur aux populations, la simulation nous dit que l’accident aura bien lieu.

Même lorsque la mise en scène semble ratée, elle atteint ses buts :

* La soumission des corps
* L’habituation des esprits à un monde géré militairement
* Des individus acteurs de leur propre servitude.
PROJECTION ET DÉBAT mercedi  10 décembre à 21h
Au Laboratoire.
AUTOUR DE :
"CECI EST UNE SIMULATION" (Groupe LOuise BEcquerel)
IL FAUT LE VOIR POUR LE CROIRE...

information du dauphiné libérée:


La "Franco Belge de fabrication de Combustible" va vivre aujourd'hui son troisième exercice national de crise. Objectif ? Tester le dispositif prévu en cas d'accident majeur. Traduisez un accident radiologique et/ou chimique. Car le site FBFC, implanté sur 35 hectares en zone industrielle de Romans, regroupe deux installations nucléaires de base, filiales d'Areva.
L'atelier CERCA fabrique les éléments combustibles destinés aux réacteurs de recherche, tandis que l'usine FBFC produit des assemblages de combustibles destinés aux réacteurs des centrales nucléaires, de la filière REP (réacteur à eau sous pression). L'exercice qui va se dérouler sur le site consiste en un "scénario catastrophe" pour tester l'ensemble du dispositif, tant du côté des pouvoirs publics que du côté de l'exploitant FBFC.
Le scénario "écrit" par des experts, ne sera dévoilé qu'à la dernière minute et pourra évoluer au cours de la journée. Il est prévu par convention, qu'il devrait débuter à 9 heures pour se terminer vers 17 heures... Et pourrait donc "combiner" les deux hypothèses. Le risque chimique, avec une fuite d'hexafluorure d'uranium dont la dilution dans l'air ne serait pas sans effets. Et le risque nucléaire avec des particules radioactives libérées dans l'atmosphère.

L'alerte et la mise
à l'abri testées presque en "grandeur nature"

Dans tous les cas, la première consigne à appliquer reste le confinement. Dit autrement, la mise à l'abri dans un bâtiment, chez soi ou sur son lieu de travail !
Comme toujours en pareil cas, cet exercice se "jouera" avec tous les acteurs concernés par la gestion de la crise. Au niveau national avec les ministères, centres opérationnels, autorités de sûreté nucléaire, experts et l'exploitant. Au niveau local avec les préfectures de zone et du département, les communes (de Romans et Saint-Paul-les-Romans), et bien sûr les services de secours.
Comme il s'agit d'un exercice à dominante "sécurité civile", pour sensibiliser la population de la zone du Plan Particulier d'Intervention, les habitants et les entreprises dans le périmètre des 600 m seront sollicitées dès que la sirène sera déclenchée...

 


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8 décembre 2008 1 08 /12 /décembre /2008 10:55
Samedi 6 Décembre manifestation à Susa contre le projet ferroviaire Lyon Turin
15000 personnes parcurt la ville en criant des slogans no tav
. Le ministre des transports italien le matin en gare de Turin rencontre les institutionnels pour  valider le projet européen  Lisbonne Kiev .
Des groupes anarchiste autonomes sillonent les rues avec la manifestation en scandant:"La solidarité ne connait pas les frontières".
Sabotage =Sabotav
Liberté pour les embastillés de Tarnac.
Une énorme banderolle éclaire la solidarité pour  rebelles de  Tarnac















La population n'est pas restée inactive durant cette longue période de négociation et de concertation entre l'Observatoire et les acteurs institutionnels de la vallée. Les parcelles de terrains où auront lieu les travaux ont été subdivisées et cédées à de nombreux propriétaires afin de retarder les mesures d'expulsion (comme au Larzac dans les années '70). La lutte contre le TGV a aussi permis de faire émerger de nombreuses solidarités et mises en question de la société. Ainsi, un groupe de femmes s'est constitué pour expliquer aux employés et ouvriers des usines les dangers sanitaires des produits créés par ces mêmes usines. Un Indien mapuche a été accueilli pour expliquer les méfaits de Benetton qui expulse les indiens de leurs terres communautaires. De plus, des solidarités ont été tissées entre les différentes luttes pour une meilleure santé et contre les agressions sanitaires et environnementales. Un pacte de secours mutuel relie tous les endroits où la population se bat (à Naples contre l'absence de traitement des déchets et le trafic financier lié à leur gestion, à Vicenza contre le bruit de la base aérienne qui devrait doubler de capacité, en Sicile et Calabre contre pont de Messine qui doit relier la Sicile à la péninsule italienne,...). Les groupes de lutte s'entraident et participent aux autres mobilisations en apportant aussi des informations sur leurs propres problèmes. Par exemple, des habitants proches d'une ancienne usine nucléaire sont allés témoigner des dangers du nucléaire auprès d'autres groupes. Ces solidarités à l'intérieur de l'Italie sont parfois développées avec d'autres pays mais la lutte contre le tronçon Lyon-Turin est relativement peu, voire pas du tout, étendue à l'Hexagone.

Devant l'assemblée populaire du comité Notav  de Venaus prise de parole  des compagnons pour expliquer l'importance de la solidarité internationale pour ceux de Tarnac





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4 décembre 2008 4 04 /12 /décembre /2008 21:17

Manifestation internationale le 6 décembre  à Susa

Cela fait plus de 10 ans que la population du Val Susa, dans le Piémont, se

mobilise contre le projet d’une oeuvre monstrueuse : la ligne à grande vitesse

Turin-Lyon.

Le train à grande vitesse (TGV et Tav en italien) se veut à la pointe de l’innovation

ferroviaire, et est défi ni comme une étape inévitable du progrès et de la technologie

(aucun politicien, aucun journaliste apparu à la télé ces derniers jours n’a

imaginé remettre en discussion le projet). Mais vu que les miracles sont rares,

il faut en payer le prix : lignes entièrement nouvelles avec des quais modifi és

géométriquement, une alimentation électrique différente et des coûts

de manutention très élevés.

Ceci signifi erait pour les valsusains la destruction de leur terre. Des tonnes de

béton envahiraient la vallée pour construire une ligne ferroviaire qui traverserait les

villages, trouant par de longs tunnels les proches montagnes où se trouvent de fortes

concentrations d’amiante, d’uranium et de radon.

Le tout pour faire circuler plus rapidement des marchandises et des hommes d’affaire.

Ce qui s’est créé au cours des années comme opposition au Tav a été un large

mouvement qui comprend des gens «ordinaires», des groupes écologistes, certaines

institutions locales et des comités de lutte. Ces derniers sont nés dans l’intention

d’informer tous les valsusains du « problème Tav » et de créer ensemble des

moments de lutte contre le projet.

Après une manifestation océanique en juin où plus de trente mille personnes ont

marché dans la vallée en levant les drapeaux « No Tav », les comités populaires

ont donné vie à trois rassemblements permanents sur les terrains où devraient

commencer les sondages dans les montagnes (premier pas vers la réalisation

des tunnels).

Nés pour veiller constamment sur la zone, ce sont vite devenus des lieux de

rencontre, de socialisation, de confrontation réciproque et de passage des

informations. Là, jeunes, familles et anciens se retrouvent chaque jour, faisant

vivre une expérience d’autogestion qui va au-delà d’un projet dévastateur. Les

rassemblements ont grandi grâce à la contribution de chacun, dans la mesure et la

forme de ses possibilités : l’un fournissant les sièges, l’autre un poêle à chauffer,

l’un cuisinant et l’autre portant un peu de bon vin. Dans ces moments, les gens

se donnent la possibilité de créer un mode de vivre non programmé par la routine

quotidienne, la mettant et se mettant en discussion. Des personnes qui peut-être peu

de temps auparavant ne se seraient pas saluées se parlent à présent, réfl échissent, se

disputent et programment ce qui est leur propre défense et la survie de la vallée.

Le vif esprit d’autogestion, d’assemblées et de rassemblements s’est trouvé fort

à faire avec le rôle de médiation des maires et des institutions locales, ou avec

la poigne de fer de la région Piémont et du gouvernement. Se trouvant pris entre

deux feux, d’une part une population qui s’oppose au Tav sans si et sans mais et de

l’autre le sommet de leur parti qui insiste à plusieurs reprises pour commencer

les travaux, les maires et les conseils locaux ont cherché à ralentir le temps à tout prix.

Novembre 2005



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1 décembre 2008 1 01 /12 /décembre /2008 21:21


Trois ans se sont écoulés depuis la nuit du 5 au 6 décembre 2005 quand la police assaillit le "presidio" No Tav de Venaus, détruisant les barricades et les tentes et envoyant à l’hôpital de nombreux manifestants. Ce furent des jours de résistance et de révolte ; une vallée entière se souleva contre l’occupation militaire pour empêcher la dévastation du territoire et la destruction des ressources.

Trois ans plus tard, le constat est que beaucoup d’eau à coulé sous les ponts de la Dora : ce furent trois années de pour-parlers entre les différents gouvernements qui se sont succédés et les institutions de la Vallée de Suse, appelées à discuter une fois que la révolte se fut calmée. La majorité des maires s’est peu à peu rangée en faveur du Tav. Mais les gens n’ont pas changé d’idées.

Fin décembre, les tracés seront officiellement présentés et l’Union Européenne devrait confirmer le financement d’environ 700 millions d’euro pour la construction du tronçon transfrontalier de la nouvelle ligne à grande vitesse entre Turin et Lyon. La fraise (du tunelier) est déjà prête dans les magasins d’une entreprise de Quincinetto (près de Turin). Berlusconi, comme Di Pietro avant lui, a promis qu’il utilisera la force contre tous ceux qui essaieront de s’opposer à l’ouverture des chantiers.

Les No Tav sont prêts à la résistance. Le 6 décembre, trois ans après l’assault de la police sur la libre république de Venaus, les No Tav seront de nouveau dans les rues de Suse pour une grande manifestation. Cette manifestation à caractère national impliquera toutes celles et tous ceux qui, dans chaque recoin de la péninsule, luttent contre ces puissants qui détruisent la Terre et ses ressources et spéculent sur nos vies à toutes et tous. La manifestation de Suse sera très importante ; selon les médias, le mouvement No Tav est désormais réduit à un noyau dur d’extrémistes potentiellement violents et isolés de la population, raisonnée et convaincue par la longue oeuvre de médiation faite autour du Tav. Les maires ont tenté de désintégrer le front No Tav avec la proposition du F.A.R.E (Ferrovie Alpine Ragionevoli ed Efficienti : chemins de fer alpins raisonnables et efficaces) ; mais les noms seuls changent, les buts restent les mêmes.

A Suse le 6 décembre se joue une partie importante : l’enjeu est que la manifestation sache - sur les plans locaux et nationaux - donner une réponse forte et claire à qui espère que le changement de comportement des maires divise le mouvement. Le moment est délicat et crucial. Nos drapeaux ont été présents dans tous les moments décisifs de cette lutte : ils ne peuvent manquer cette occasion.

Le rendez-vous pour le cortège rouge et noir de la manifestation du 6 décembre est à 14h30 à la gare de Suse.

Federazione Anarchica Torinese

fai_to@inrete.it

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30 novembre 2008 7 30 /11 /novembre /2008 11:36


Cherbourg
  mercredi 19 novembre 2008 Cinq bus Kéolis entièrement brûlés

La rangée des sept bus endommagés, dont les cinq premiers entièrement calcinés, sur le terre-plein des Mielles à Tourlaville.
Sept bus ont été calcinés dans la nuit de lundi à mardi, dont cinq entièrement.Ils transportent habituellement des salariés d'Areva.
Le feu a entièrement détruit cinq bus de la compagnie de transports Kéolis, dans la nuit de lundi à mardi, vers 1 h du matin. Deux autres ont été partiellement endommagés. L'incendie s'est produit sur le terre-plein des Mielles, à Tourlaville, où se stationnent habituellement ces bus destinés au transport des salariés de l'usine Areva. Le site n'est ni gardé, ni protégé, ni éclairé. Aucune victime n'est à déplorer.

Une vingtaine de pompiers sont intervenus rapidement. À l'aide de cinq lances à incendie, de deux fourgons et d'un fourgon de mousse, ils ont réussi à éteindre les flammes au bout d'une heure et trente minutes. Sur place, les policiers ont senti une forte odeur d'un produit inflammable de type solvant. Entre chaque rangée de bus ont été découverts des pneus à terre, calcinés. Les enquêteurs ont, un temps, pensé à des roues de secours. Mais finalement, il semblerait qu'il s'agisse plus probablement de roues transportées sur place, ce qui supposerait que l'acte avait été préparé. L'hypothèse criminelle était privilégiée hier soir.

« Des odeurs de liquide inflammable »

Le directeur du réseau Zéphir Bus a été alerté dans la nuit et s'est rendu sur place rapidement. Dominique Rocha confirme : « Il y avait des odeurs de liquide inflammable. »

Il chiffre à environ 1 million d'euros les dégâts causés par l'incendie (un bus coûte 200 000 €). « Trois véhicules avaient juste un peu plus d'un an. Nous cherchons des solutions rapidement pour réorganiser le trafic. » Il ajoute, atterré : « Si on part du principe qu'il s'agit d'un acte criminel, alors qui en veut à Kéolis ? » Une plainte a été déposée par Dominique Rocha et le responsable d'exploitation, Patrick Lelandais.

Du côté d'Areva, on ne signale pas de fortes perturbations dans le transport des salariés hier. « Ils ont été très réactifs chez Kéolis, souligne Christophe Neugnot, directeur de communication pour Areva-NC. Il y a eu quelques petites perturbations mais pas grand-chose. Kéolis a réorganisé les circuits de transport pour poursuivre la continuité du service. »

Trente-sept bus sont utilisés au total dans le transport des salariés à l'usine de La Hague.

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29 novembre 2008 6 29 /11 /novembre /2008 07:50

Cette campagne nationale va être relayé localement  par les gens du Coopérative Education Nouvelle .ce groupe local possédant un local à Valence lien vers l'association

Il ya eu cette incident  médiatisé à la centrale de Cruas. Le nucléaire tue


PARIS - La multiplication des illuminations de Noël est un gaspillage nuisible, estiment plusieurs associations de défense de l'environnement et du climat qui lancent une campagne contre cette pollution lumineuse.
La période de ces illuminations tend à se prolonger de plus en plus, de novembre à fin janvier, parfois 7 jours sur 7, 24 heures sur 24, indiquent dans un communiqué Agir pour l'environnement, l'Association nationale pour la protection du ciel et de l'environnement nocturnes, le Réseau action climat et Sortir du nucléaire.
Une telle évolution réduit à néant les économies d'énergie induites par le passage à l'heure d'hiver, font-elles valoir.
Le bilan carbone de ces illuminations, qui interviennent en plein hiver au plus fort de la consommation électrique, avoisine les 600 à 700 grammes de CO2 pour chaque kilowattheure supplémentaire consommé, ajoutent-t-elles.

En période de pointe, on ne peut en effet répondre à la demande d'énergie qu'en recourant aux vieilles centrales thermiques, charbon et pétrole notamment.

Afin de sensibiliser l'opinion publique aux conséquences climatiques, énergétiques et à l'impact sur la biodiversité de cette pollution lumineuse accrue, ces associations lancent une campagne intitulée "Illuminations de Noël: le grand gaspillage!".

Il ne s'agit pas de préconiser l'arrêt des festivités en période de Noël mais de dénoncer cet excès qui "revêt un caractère symptomatique d'une société de surabondance et de gaspillage", précisent-elles.

D'une façon générale, en France depuis dix ans, le nombre de points lumineux par habitant a augmenté de 30% "estompant l'alternance jour/nuit, produisant des effets néfastes sur les écosystèmes et la faune sauvage", indiquent ces associations, qui suggère l'instauration d'un "bonus-malus kWh" pour réduire les pics de consommation électrique.

Un projet de loi visant à limiter la pollution lumineuse est prévu dans le cadre du Grenelle de l'Environnement.

L'Agence de l'Environnement et de la maîtrise de l'énergie (Ademe) estime qu'on pourrait faire environ 40% d'économies sur les dépenses d'éclairage public en modifiant quelque peu les installations actuelles
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- Ouest France - 03 novembre 2008 : Illuminations de Noël : Vivre à Perrou demande une réglementation
Edition de Alencon-Orne Est
L'associationVivre à Perrou présidée par Jean-Claude Perche, s'associe à la campagne lancée par le Réseau Sortir du nucléaire et Agir pour l'Environnement. Un courrier a été adressé au Ministère de l'écologie et du développement durable. L'association fait le constat qu'à l'approche des fêtes de fin d'année, « les illuminations de Noël tendent à se généraliser sans réel contrôle de la part des autorités locales ou nationales ».
Selon l'association cet effet de mode induit une surconsommation électrique à un moment où les capacités de production peinent à répondre à la demande de pointe. La demande de l'installation d'un bonus-malus kilowatt heure (KWH) mériterait une réflexion car il aurait l'avantage de lisser les pics de consommation électrique particulièrement climaticides. Vivre à Perrou précise l'utilité « d'une campagne institutionnelle qui sensibilise les élus locaux et les citoyens aux conséquences climatique et énergétique d'un tel éclairage. »
L'association de l'environnement ajoute que la pollution lumineuse a une incidence non négligeable sur la biodiversité nocturne qui a besoin d'une pénombre protectrice et d'une alternance jour/nuit. Pour conclure Vivre à Perrou demande que dans le cadre du projet de loi faisant suite au Grenelle de l'Environnement, une réglementation de ces illuminations et une réduction de période soient mis en place dans un souci de non irradiation de l'espace public.
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- Sud Ouest - 03 novembre 2008 - Noël : Illuminer « c’est gaspiller »

 
La SEPANSO des Landes, relayant une action nationale, va lancer une campagne de mobilisation citoyenne intitulée  « Illuminations de Noël : le grand gaspillage ». Le but est de sensibiliser l’opinion publique aux conséquences climatiques, énergétiques et à l’impact sur la biodiversité de la pollution lumineuse . Il est également demandé aux collectivités locales de réglementer localement l’éclairage nocturne afin de le limiter dans le temps et dans l’espace.

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28 novembre 2008 5 28 /11 /novembre /2008 10:25

La traduction a été effectuée par le collectif anti nucléaire 26, diffuser  ce texte c'est important pour combattre la mafia du Nucléaire.

Un cher salut à vous toutes et tous. Vous marchez et vous vous exprimez avec beaucoup de couleurs contre la renaissance atomique. Nous appartenons tous et toute à la résistance contre l'unité inséparable entre la bombe atomique et les centrales atomiques et nombre de personnes parmi vous appartient à la renaissance de cette résistance. Donc nous y sommes, c'est vrai et réel, nous n'avons pas une seule raison de découragement et de résignation. Après les premières nouvelles manifestations et autres actions dirigées en Suisse même, ensemble avec des amies et des amis résistants de l'Allemagne et de l'Autriche, après Gorleben, où les médias furent forcés de donner la nouvelle de l'augmentation tangible du nombre de personnes qui protestent, nous n'avons pas une quelconque raison de nous résigner. Au contraire :


Résister est un devoir, passivité et résignation sont complicité.


Ceci, pour une raison principale dans ces temps de crise générale toujours plus aiguë de la vie et de la survie sur notre planète, et de la planète elle-même. Une des expressions importantes est la crise du capital toujours plus aiguë et irrémédiable. Nous ne croyons pas au pathos et aux gesticulations des jeunes témoins des économies impérialistes qui soutiennent:«ce n'est pas la fin du capitalisme.» Nous ne croyons pas à ce ridicule rideau de brouillard des capitalistes Suisses et de leur petit Théâtre de poche démocratique et politicien, que les parachutes dorés et les traitements « exagérés » de certains managers, ces minuscules jeu de tarots des caisses pour les commandements de justice pour les entreprises, elles sont coupables de ce qui avec obstination et en mentant définissent seulement comme « crise financière ».

Exactement, comme nous ne devons pas croire à ces mensonge imbéciles et cyniques de la mafia de l'atome qui déclare que la technologie atomique serait « propre » et qu'elle ferait partie de la solution à la crise et à la destruction écologique. Merci aux capitalistes dominants et au système existant, pour la première fois dans les soixante dernières années, il existe sur terre une forme de vie capable de se détruire totalement elle-même et le reste. Et il le fait résolument. Et il a déjà beaucoup progressé sur cette. marchandise qu'est la technologie atomique! Mais pas seulement!

Donc nous devons affronter de même tout le reste, avec urgence et sérieux. Nous devons nous poser la question, si être contre l' esclavage atomique sert à quelque chose, sans être, par exemple aussi contre le biotech et le nanotech, ou bien réfractaire à la folie d'être mobile. Si ensuite être contre l' esclavage atomique sert effectivement à quelque chose, sans être aussi contre ce système de crise même. Sommes-nous conscients que le nanotech, le biotech, mais même l'illusion des « énergies alternatives », serviraient, en effet, seulement au maintien, à la prolongation de la vie de ce système qui pour lui exclut la possibilité d'être durable? Il peut devenir alternatif quand il veut, ce système doit de toute façon se nourrir de tout ce qui est à sa portée, est forcé de sacrifier sur l'autel du progrès économique toutes les formes de vie et la planète même, même sans technologie atomique. Alors, si par exemple, nous parlons d'énergies alternatives, nous devrions les promouvoir seulement et exclusivement comme moyen et pour amortir les dommages collatéraux et les dépendances systémiques et économiques, technologiques, sociales et politiques pour si possible, éviter ou au moins lénifier les coûts catastrophiques produits par une soudaine absence de toutes les choses et structures mortifères qui nous ont forcées à leur dépendance. Alors, si nous parlons de dépassement de la technologie atomique, nous devrions parler aussi du dépassement de ce système. Puisque, même si elle sonne d'une façon simpliste, la simple vérité est :


Ce système n'a pas d'erreurs, c'est l'erreur !
Le capitalisme n'a pas d'erreurs, c' est l'erreur !




Oui, le climat change - la guerre reste. Elle reste et devient toujours plus chaotique Son expression répressive devient toujours plus aiguë. Elle s'aiguise avec la crise et en précède les emballements, comme contre insurrection préventive interne, même sous forme de l'Etat atomique. Vous êtes dorénavant toutes et tous des potentiels terroristes. Autant que vous êtes, en cas d'urgence, si tout va bien, vous disparaîtrez dans quelque camp de détention d'après les listes déjà en partie rédigées. Que ce soit pour un incident atomique type Tchernobyl dans votre région, que ce soit pour quelque autre scénario-catastrophe toujours plus probable, l'État de l'atome Suisse vous ratissera tous autant que vous êtes et tant d'autres gens avec les troupes internationales et, dans le meilleur les cas, vous internera. Avec des troupes internationales et des plans, qui dés maintenant se rangent contre le « terrorisme » à l'occasion de forum économique mondial et d'autres événements majeurs comme la coupe d'Europe 08… En Italie le gouvernement Berlusconi a rendu exécutif le « Secret d'État » sur les constructions de nouvelles centrales atomiques et dépôts de scories, un décret signé de Prodi… Vous connaissez la militarisation des incinérateurs et des dépôts d'ordures ménagères.( Naples ) Il ont même connus les projets des barrages en Turquie, en Chine et tant d'autres. Ils disent : « intérêt national stratégique », « bien commun », paix, démocratie, protection des populations, progrès, et entendent leurs intérêts: expropriations, contrôle et militarisation de la société, déportations et génocides. Ils disent « guerre au terrorisme », délinquants, violents et black-bloc brutaux, et prédisposés à la violence, mais ils entendent vous tous(tes), nous tous(tes), le peuple, nous les opprimé(e)s, les pauvres, les empoisonné(e)s, les privés(e)de droit, comprennent notre contestation. Soyez en conscients. Préparez vous. Ne vous laissez pas diviser, paralyser, vous rendre impuissant dans la ridicule discussion violence-non violence qui vous est imposée par un système et vous imprègne d'une violence infinie totalement injustifiable.


Les solutions, chers compagnons et amis, chers compagnons et amis dans la bataille, chères personnes qui résistez, nous ne les trouvons pas à l'intérieur du contexte assassin de l'État et du capital, à l'intérieur de ses institutions, de ses implications et développements, mais ailleurs: dans le dépassement de l'État et du capital, dans l'opposition contre l'atome et les autres technologies, une opposition interne à une tendance vers un changement social, interne à une tendance vers la subversion du système de domination existante, avec chaque expérience, moyen et méthode nécessaire.


Je n'assassine pas, je ne suis pas terroriste.
L'assassin et le terroriste c'est l'état atomique et le capital ! ! !


Pour la bataille de classe et la révolution intégrale, liberté et justice -
solidarité internationale ! ! !


Destruction de toutes les prisons ! ! !

prisonnier anarchiste de la mafia de l'oligarchie et de l'atome
Pöschwies, Regensdorf, Zurigo, 9.11.08

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26 novembre 2008 3 26 /11 /novembre /2008 17:45


Manifestation d'opposants allemands au retour de déchets nucléaires retraités en France (8 novembre 2008)

Agrandir l'image

Le dimanche 9 novembre et le 10 novembre à Gorleben , après la manif du 25 octobre du Tricastin


Des milliers de manifestants écologistes postés devant un centre de stockage de déchets nucléaires en Allemagne ont été délogés lundi par la police. Ils protestaient contre l'arrivée d'un convoi contenant plus d'une centaine de tonnes de déchets hautement radioactifs, au préalable retraités en France. Les opérations "coups de poing" des militants ont retardé le convoi de 14 heures.

Aux grands maux, les grands remèdes. Un train de déchets radioactifs retraités à La Hague (France) et destinés à être stockés en Allemagne est arrivé lundi à destination avec plus de 14 heures de retard, suite à des manifestations anti-nucléaires. Le convoi, qui contenait 123 tonnes de déchets considérés comme hautement radioactifs, a été freiné à de nombreuses reprises ce week-end suite à des opérations "chocs" de la part de militants. Parti vendredi de Valognes (France), le convoi a notamment été bloqué samedi pendant plus de douze heures à la frontière franco-allemande par trois militants écologistes qui se sont emprisonnés le bras dans un bloc de béton dissimulé sous la voie ferrée.

16.000 policiers réquisitionnés

Au même moment, des milliers de manifestants se mobilisaient de "façon pacifique" autour du centre de stockage de Gorleben, lieu d'arrivée du convoi. Les divers affrontements entre militants et policiers ont tout de même fait "plusieurs blessés" des deux côtés, d'après la police, qui précise que les militants ont incendié de nombreuses barricades. D'importants dégâts matériels sur les liaisons ferroviaires sont à dénombrer. En tout, près de 16.000 policiers ont été réquisitionnés sur le territoire allemand, dont 10.000 rien que pour la région de Gorleben.

Il s'agit du onzième convoi de déchets radioactifs vitrifiés issus de centrales allemandes et retraités à l'usine de La Hague. Ce type de transfert crée régulièrement une mobilisation de la part des antinucléaires. La mobilisation de ce week-end est néanmoins apparue plus importante que d'habitude, à en croire l'organisation allemande X-tausendmal, à l'origine du rassemblement. Lors du dernier transfert de déchets nucléaires, en 2006, 6000 personnes seulement s'étaient réunies pour protester. Selon les militants, ce regain d'intérêt pourrait être lié à la question des fermetures des centrales nucléaires dans le pays, promises sous le gouvernement de Gerhard Schröder et qui ne cessent d'être reportées par la coalition actuelle.

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Agenda

    dimanche 30 juin

15h à 16 h

accueil de familles de prionnier-e-s

discussion , infos et peites recettes

pour les proches de détenu(E)s...

- aides juridique

-participation à l'émission de radio Mega

du 22 juillet