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D de nuestras consignas y cantos >>>, un ejercicio de creatividad feminista.

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Dans son sens plus profond et plus authentique, une écologie sociale est la communauté humine réfléchissant sur elle-même, découvrant son histoire, explorant sa situation fâcheuse actuelle, et eximinant son futur. [ Un exemple de ceci qui montre le  réveil de ce processus de réflexion philosophique. Comme approche philosophique, une écologie sociale étudie les dimensions ontologiques, épistemologiques, morales et politiques du rapport entre le social et l'écologique, et les recherches de la sagesse pratique et les résultats d'une telle réflexion. Elle cherche à nous donner, comme êtres situés au cours de la vraie histoire de la  nature et humaine et, des conseils dans des défis de détail  et  occasionelles. De cette manière, elle développe une analyse qui est politique et dialectale, et une pratique sociale qui pourrait mieux être décrite comme eco-communautaire

Une écologie sociale est tout d'abord, une écologie. Il y a des implications communautaires fortes en écologie même les limites. Littéralement, elle signifie les logos, la réflexion dessus ou l'étude des  oikos, ou l'ensemble. L'écologie nous invite ainsi pour commencer à penser à la planète entière comme genre de communauté dont nous sommes des membres. Elle nous indique que tous nos politiques et problèmes sont dans un sens cohabitation. Tandis qu'une écologie sociale perd parfois ses fondements en tant qu'elle se concentre sur des soucis sociaux spécifiques, quand elle est conformée il situe toujours ces soucis dans le contexte du rapport à  la terre, quoi de plus qu'il peut étudier au sein de cette communauté. L'approche dialectale d'une écologie sociale exige des écologistes sociaux de considérer les dimensions écologiques de tous les phénomènes « sociaux ». Il n'y a aucun phénomène social « non-écologique » à considérer indépendamment de l'écologie.

Par certains côtés, le terme « social » en « écologie sociale » est le plus problématique. Il y a un paradoxe ant dans l'utilisation du terme « social » pour ce qui est réellement une tradition fortement communautaire. Traditionnellement, le royaume « social » a été opposé à celui « communauté », comme dans la distinction célèbre de Tönnies entre la société et la communauté, le Gesellschaft et le Gemeinschaft. Pourtant cette individu-contradiction apparente peut être un chemin à une vérité plus profonde. Une écologie sociale est un projet de reprendre les dimensions communautaires du social, et il est donc approprié qu'il recherche de récupérer l'héritage linguistique commun de la limite même lui-même. « Social » est dérivé du « socius, » ou du terme « compagnon. » Une « société » est ainsi un rapport entre les compagnons--dans un sens, c'est lui-même un rapport dans la relation à la terre.

Le mercredi 10 janvier 2006 a eu lieu une expusion d'un squat en plein centre ville de Montpellier. Celle-ci s'est faite sans respect des lois qui s'appliquent à ce genre de situation. Au dela de la question du logement, se pose le problème de l'urbanisme en général.

Expulsion d'un squat à Montpellier le mercredi 10 janvier 2007

Mercredi 10 janvier 2006, un collectif composé d'étudiants, de chômeurs et de personnes en situation plus ou moins précaire, décident de s' afficher publiquement pour faire connaître la présence de nouveaux résidents dans un bâtiment de l'éducation nationale placé sous l'égide du CROUS.

Les squatteurs souhaitent faire du bâtiment déserté un lieu d'habitation, mais également un lieu de vie ouvert sur l'extérieur, qui permettrait notamment la mise en place de projets artistiques et culurels, de concerts... Ce squat aurait eu également la vocation d' être un lieu de sensibilisation sur certains problèmes eminemment politique, constituant une sorte de « courroie de transmission » pour certaines idées, et plus globalement, pour donner une autre vision de l'engagement politique, qui se situerait dans une perspective de transformation réelle de la vie. Plutôt que les soi-disantes raisons d'insalubrité, c'est la crainte de voir se développer un squat politique d'une certaine importance qui inquiète les autorités. D'ailleurs il n'y a aucune trace d'un réel arrêté de péril justifiant l'expulsion, il aurait fallu pour cela qu'une commission de sécurité inspecte les lieux. L'explication bancale du CROUS est d'autant plus manifeste que l'organisme s'est justifié par un autre mensonge : l'occupation aurait été trop récente. Or les policiers ont pu constater que le lieu recevait des courrier depuis deux semaines... En conséquence, en vertu du code pénal, les policiers ayant pénétré dans les lieux se sont exposés à 6 mois d'emprisonnement et 30 000 euros d'amende... Une plainte va peut-être être dépoisée pour violation de domicile...

Le CROUS dit d'un côté que le toit menace de s'effondrer et de l'autre que la dizaine de personnes présentes à l'intérieur se sont enfuies par là. En conséquence, l'expulsion a fait courir un bien grand danger à ces personnes en les forçant à passer par là, devant la menace d'une intervention policière violente. A moins qu'il ne faille conclure au fait que le toit n'est pas en si mauvais état...

Dans la presse, le directeur du CROUS s'engage à loger les occupants qui seraient étudiants et satisfaisant aux critères d'attribution. Est-ce que cela signifie que le CROUS dispose de logements vides ? ? ? ?

Au chapitre de l'humour policier : « Une expulsion ? Il n'y a pas eu d'expulsion. On a simplement aidé le CROUS à ouvrir sa porte qui était fermée ». En même temps, cette « blague » montre bien l'embarras qu'ils ont à justifier leur intervention. Même Midi Libre, avant de citer les mensonges du CROUS, le dit : « Pourquoi si vite ? Sans doute par crainte de voir un squat d'importance prendre vie au coeur de l'Ecusson... »

Bref rappel chronologique - Montpellier, Mercredi 10 janvier 2006, centre ville.