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La tyrannie la plus redoutable n'est pas celle qui prend figure d'arbitraire, c'est celle qui nous vient couverte du masque de la légalité." Albert Libertad

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le blog du laboratoire anarchiste

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21 mars 2007 3 21 /03 /mars /2007 08:56
Amies, Amis,

C’est un peu épuisée que je vous écris.

Je vous demande, POUR LE MOMENT, de ne rien faire. Oui, c’est paradoxal, mais c’est absolument essentiel dans cette phase. Pas de bruit ni de pression quelconque, et sous quelque forme que ce soit, de la part des Français en direction du Brésil. Pas de “mail à Lula”, pas de “boycott de la samba”, pas de grand soir, pas de déclaration passionnée, etc.…, comme certains –que je comprends- me l’ont proposé. Le Brésil est un état fier et souverain, que toute forme d’intimidation agace prodigieusement. Dans cette étape initiale, je vous demande donc INSTAMMENT, pour Cesare, de sa part depuis sa prison de Brasilia, ainsi que de la part de ses avocats français et brésiliens, de ne pas bouger ni parler. Dès qu’il sera opportun de le faire, je vous le dirai, je vous le promets.
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20 mars 2007 2 20 /03 /mars /2007 15:22
Les derniers jours d'Ungdomshuset denières images des émeutes d'ungdomshuet, nos amis nomades sont liés d'amitiés avec les travailleurs  issus de l'immigration.


amedi 17 mars 2007

Les derniers jours d'Ungdomshuset




signalé par EgoDiversion chez 5:40 AM
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20 mars 2007 2 20 /03 /mars /2007 11:43
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Sabrina Leal ne cache pas son malaise. Militante sandiniste, elle n'a pas digéré le vote de son parti en faveur de l'interdiction de toute forme d'avortement, y compris pour les femmes victimes de viol ou dont l'accouchement présente un risque mortel. "Cette décision n'a pas été discutée, elle est arrivée comme une bombe", s'indigne-t-elle. A un peu plus d'une semaine des élections présidentielle et législatives du dimanche 5 novembre au Nicaragua, les députés de la gauche sandiniste ont joint leurs voix à celles du Parti libéral (conservateur) pour approuver, le 26 octobre, une loi condamnant de quatre à huit ans de prison les médecins pratiquant un avortement thérapeutique et les femmes qui y ont recours.


Des partisans de l'ex-chef de l'Etat nicaraguayen Daniel Ortega, candidat sandiniste à l'élection présidentielle, brandissent des drapeaux aux couleurs du parti, mercredi 1er novembre à Managua, lors de la clôture de la campagne électorale.  | AFP/YURI CORTEZ
AFP/YURI CORTEZ
Des partisans de l'ex-chef de l'Etat nicaraguayen Daniel

"Le Front sandiniste de libération nationale aurait mieux fait de reporter ce vote après les élections", regrette Sabrina Leal, qui votera malgré tout pour Daniel Ortega, l'ex-président sandiniste (1979-1990), en tête dans les sondages. "Les femmes qui ont de l'argent continueront à se faire avorter, mais les paysannes pauvres ou les adolescentes violées n'auront plus cette possibilité, ajoute cette responsable d'une association de développement rural ; c'est à la femme et aux médecins qu'il appartient de décider, les Eglises devraient rester à l'écart."

Dissident sandiniste, Edmundo Jarquin est le seul des quatre principaux candidats à la présidence à s'être opposé au vote interdisant l'avortement thérapeutique, autorisé au Nicaragua depuis 1893. "Il est douloureux de voir que, par pur opportunisme électoral, les députés de Daniel Ortega ont voté cette loi qui viole les droits des femmes et nous place dans le petit club honteux des pays interdisant l'avortement thérapeutique", dit cet ancien fonctionnaire international, opposé à la généralisation du droit à l'avortement.

"Au nom de la réconciliation nationale, Daniel Ortega a fait alliance avec le cardinal Obando, et il a voulu satisfaire l'Eglise catholique qui avait organisé une grande manifestation pour demander l'interdiction de l'avortement thérapeutique", confirme Carlos Tünnermann. Cet ancien ambassadeur à Washington a été un des premiers responsables sandinistes à démissionner en 1990. Il est l'un des fondateurs du Mouvement pour le Nicaragua, qui réclame la moralisation de la vie politique dans le pays le plus pauvre des Amériques après Haïti.

"COUP À LA DÉMOCRATIE"

Journaliste, Carlos Fernando Chamorro a reçu de nombreux appels adressés à son programme de télévision de personnes scandalisées par la position du Front sandiniste. "Surtout des femmes et des intellectuels", dit-il. "Daniel Ortega espère que cette décision sera bien accueillie dans les secteurs les moins évolués", ajoute le fils de l'ex-présidente Violeta Chamorro.

Sous le choc, les mouvements féministes et des associations de médecins tentent de réagir. Azahalea Solis, du Mouvement autonome des femmes, dénonce "un coup à la démocratie qui risque de provoquer la mort de nombreuses femmes pauvres". Plusieurs organisations de femmes ont appelé à voter contre les députés qui ont approuvé la loi et briguent un nouveau mandat ainsi que contre les trois candidats à la présidence qui l'ont appuyée.

Ouvertement soutenu par l'ambassadeur des Etats-Unis, Paul Trivelli, le candidat de droite Eduardo Montealegre justifie son opposition à toute forme d'avortement par son expérience personnelle. Lors d'une rencontre avec la presse étrangère, il a confié que sa femme, enceinte de triplés, s'en était remise "à la volonté de Dieu". Deux des trois bébés sont morts peu après la naissance. Sa fille, aujourd'hui âgée de 18 ans, participe à la campagne de ce riche homme d'affaires.

"Cette affaire nous a valu d'être traités de "diplomates criminels représentant des pays libertins" par le député Wilfredo Navarro, du Parti libéral", raconte mi-amusé mi-indigné l'ambassadeur de France, Jean-Pierre Lafosse. Avec plusieurs de ses homologues européens et les représentants des agences des Nations unies, il avait demandé que la décision soit reportée après les élections et fasse l'objet d'un large débat prenant en compte les avis médicaux.

alut l'ami-e !

Ce soir à 19h (direct) et vendredi à 12h30 (rediff) sur FPP, dans les
Oreilles loin du front, on parle du féminisme au Nicaragua.

On a rencontré Delphine Lacombe, une chercheuse qui travaille sur le mode
de citoyenneté des femmes au Nicaragua.

On causera du rôle des femmes au moment de la révolution sandiniste dans
les années 1970-80, des conséquences de la victoire de Violeta Chamoro aux
présidentielle de 1990 pour les droits des femmes, de la réélection de
Daniel Ortega en 2006 et de son alliance avec des deputés conservateurs
pour faire voter une loi anti avortement...

On t'apprendra même de beaux slogans pour briller en société - tu as
toujours rêvé de pouvoir dire à tes amis espagnols que "si le pape
accouchait, l'avortement serait un sacrement" ? mais c'est tout simple :
"Si el papa pariera, el aborto seria une sacramento" - 'reusement que les
Oreilles sont là hein...

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20 mars 2007 2 20 /03 /mars /2007 09:50


Lu sur Indymédia Paris : "Un rassemblement de personnes que la subversion de cette réalité tient à coeur. Des gens pour qui la critique sociale, en mots et en actes, est un outil qui doit être mis au point au travers de publications, de traductions, d'échanges et de discussions. Une occasion d'entrer en contact avec des éditeurs souvent moins connus de toute l'Europe (Belgique, Pays-Bas, France, Italie, Espagne, Angleterre,…) ; une occasion de discuter des thèmes d'aujourd'hui et de connecter entre eux des points de lutte.

Quand ?

Le 19 mai 2007 à partir de 14h

Le 20 mai 2007 à partir de 10h

Où ?

Le Pianofabriek, Fortstraat 35, Saint-Gilles (Bruxelles). Entrée libre.

Plus d'informations ?

Via thesubversivebook@gmail.com

PROGRAMME DES DEBATS ET CAUSERIES

Samedi 19 mai 2007

15h : Retour sur les luttes anti-nucléaires des années 70 et 80.

Débat avec des compagnons de la Coordination contre la société nucléaire.

Des compagnons se proposent de revenir sur les luttes autour des sites de Plogoff, Golfech et Chooz. L'intérêt, étant qu'ils y ont participé sur des bases bien plus larges que le seul rejet de l'installation de telle ou telle centrale nucléaire, mais en reliant le côté antinucléaire à la critique générale, en théorie comme en pratique, de la société qui génère le nucléaire et l'Etat qui en est le fourrier. Bref, en se démarquant, dès le début, de ce qui allait devenir les écologistes, les partis écologistes en particulier. Dans leur optique, il s'agit surtout que le passé des luttes antinucléaires, avec leurs forces mais aussi leurs faiblesses et leurs limites, aide à mieux nous orienter au présent pour participer à la renaissance d'oppositions au nucléaire dignes de ce nom. Evidemment, ça relève du pari !

17h : Biopolitique : modeler et déplacer pour le capital.*

De Fabel van de Illegaal, journal des Pays-Bas contre le racisme et la gestion de la migration, introduit une discussion sur la politique de gestion de la population - c'est-à-dire, entre autre, le contrôle des courants migratoires, le contrôle de la procréation (diagnostic prénatal, avortement et stérilisation) de la mortalité (euthanasie), la sujétion de l'éducation aux exigences du marché du travail et la détérioration des liens sociaux combattifs.

« Par suite d'une impitoyable politique de gestion de la population, des millions de personnes quittent chaque année la campagne pour les bidonvilles des mégalopoles. Une partie y est lentement pétrie en travailleurs « utilisables ». Le reste, déjà un milliard de personnes selon les estimations, est « superflu » aux yeux du capital et se fait simplement radier. Ils deviennent aussi la cible de la gestion de la migration pour qu'ils ne viennent pas vers le riche Occident. »

Tiré de : De Fabel van de Illegaal, nr 80/81, hiver 2007

19h : Expériences de lutte autonome dans les années 70 en Espagne.

Avec un compagnon de Grupos Autónomos.

Les Groupes Autonomes surgirent en différents points de l'État espagnol au milieu des années 70, une période marquée par de grandes luttes autonomes. Misant sur la violence révolutionnaire, non pas comme une forme de militantisme mais comme réalisation des désirs, ils réalisèrent des sabotages, des attentats et des expropriations en soutien au mouvement ouvrier et en solidarité avec les luttes des prisonniers. Ils défendirent une critique du réformisme, du syndicalisme et de toutes les idéologies révolutionnaires, autant celles dérivées du marxisme que de l'anarchisme. Si la répression mit une fin abrupte à cette expérience, elle fut pourtant exemplaire tant par ses succès que par ses erreurs et se révèle par conséquent pédagogique.

Dimanche 20 mai 2007

13h : « Nous fûmes les rebelles, nous fûmes les brigands... »*

Présentation de la traduction néerlandaise de la biographie de Belgrado Pedrini par un compagnon qui a combattu en Belgique comme partisan pendant la seconde guerre mondiale.

« Pedrini n'a en effet été partisan que parce que le régime se nommait fasciste, c'est l'État et le pouvoir en soi qu'il combattait. Il n'a été mutin que parce que les murs qui le retenaient se nommaient prison, ce sont toutes les structures qui emprisonnent la liberté au nom de la justice ou de la raison qu'il combattait. Il n'a été expropriateur d'industriels fascistes que parce que l'argent dont il avait besoin pour lutter était concentré là, c'est le système capitaliste, même dévêtu de sa chemise noire, qu'il combattait. Il n'a été terroriste que parce que c'était le langage d'une critique pratique de la domination qui en appelait tant d'autres. »

De l'introduction Un certain goût pour la liberté

15h : Lutte contre les camps d'asile et les déportations.

Quelques compagnons d'Italie viennent discuter de la lutte contre les centres de rétention, à partir de leurs expériences à Bologne.

« Pour fonctionner, la machine des expulsions a besoin de la participation de nombreuses structures publiques et privées. Toutes ces responsabilités sont bien visibles et attaquables. Des actions contre les centres de détention, à celle contre les zones d'attente ou pour empêcher les vols de l'infamie, il y des milliers d'actions qu'un mouvement contre les expulsions peut réaliser. »

Tiré de : Tempi di Guerra (correspondance de la lutte contre les déportations), Aux errants, Italie, 2003

17h : Urbanisme et contrôle social.

À partir de ses expériences à Marseille et ailleurs, Alèssi Dell'Umbria donne une amorce à la discussion sur l'urbanisme, l'architecture et le contrôle social. En arrière plan, la traduction néerlandophone de La Fête est Finie sur le projet Lille2004 éclairci le rôle joué par l'offensive culturelle dans la pacification de l'espace urbain.

L'urbanisme est la négation de la ville comme foyer de la vie sociale. Il laisse derrière lui un espace urbain duquel les dernières traces tangibles des antagonismes de classes sont peu à peu effacées, un espace ou les possibilités de communication sociale font place aux divertissements, à la consommation et au contrôle.

(*) Le débat aura principalement lieu en néerlandais.

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20 mars 2007 2 20 /03 /mars /2007 06:47
nNote cette info est prise sur le blog Aux Barricades


D'abord, M. Chávez a dit que les autorités enlèveraient trois zéros de la dénomination de la devise, le bolívar. Alors il a dit le nouveau bolívar, en valeur 1.000 vieux bolívars, serait retitré « le fuerte bolívar, » ou bolívar fort.

En conclusion, à la demande de M. Chávez, la banque centrale dite cette semaine qu'elle réintroduirait une pièce de monnaie de 12.5 cents, un symbole de la prospérité du Venezuela dans les années 60 et les années 70 avant de laisser aller des emballements pétroliers a fini dans des dévaluations brusques, après trois décennies hors de la circulation.

Champions de M. Chávez ces idées, qui entreront en vigueur en janvier, comme manières de combattre l'inflation, qui en semaines récentes a rampé jusqu'à 20 pour cent, le plus haut en Amérique latine. Blâme de fonctionnaires « hoarders » pour des manques de marchandises de base et des augmentations des prix pour la nourriture sur le marché noir. M. Chávez dit que le retitrage et redenominating de la devise instilleront la confiance en elle.
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20 mars 2007 2 20 /03 /mars /2007 05:22

S TELLES ?

 

CESARE A VIE ?

ILS SONT NOMBREUX A LA VOULOIR TA PEAU, ET LA NOTRE AVEC...

QUE NOUS RESTE-T-IL ?

 QUELQUES PERSPECTIVES les émeutes de '' circonstances '' 

Mardi 20 Mars 2007 CESARE BATTISTI arrêté ; LES CRAPULES SE COALISENT ! ! Il reste à espérer que "la constitution Brésilienne" laisse à Césaré B. l'espoir d'un grain de sable dans le processus d'extradition; ce seul "grain de sable" pour rassurer les nantis de "gauche"! Quand on sait que le "sauveur" Prodi applaudit des deux mains une telle arrestation tout également "saluée" par toutes les obédiences "sarkoziennes" d'ici et d'ailleurs, ces libérateurs de tous les "papons", ces "réconciliateurs Pinochistes", ces Chavez, qui se la font belle et  ouvrent les marchés en Amérique du Sud contre leurs enemiEs YANKEES tandis que dans les taules croupissent et croupiront encore touTEs ceux et celles qui,d'une manière ou d'une autre, ont vécu et ou vivront, hier, aujourd'hui et demain une forme légitimement violente d'insurrection, et même quelques autres, plus "timoréEs", "réservéEs" ??? La dictature n'a jamais fermé sa gueule ! Et qui sont-ils ces ahuris qui prétendent qu'en Italie on ne se battait pas contre le fascisme? Qui a assassiné notre camarade de la croix noire ( anarchist black cross ) Pinelli? Qui a massacré les filles, les femmes qui se sont révoltées contre la marchandisation de leur corps? Qui a lutté contre les fascistes de l'église cachés dans la démocratie chrétienne et dans le PCI?. Qui juge qu'en conséquence tous les "indiani métropolitani" et autres individus de la mouvance autonome/libertaire n'étaient en rien fondéEs à exprimer jusqu'à l'extrémité de leurs forces, de leur liberté et souvent de leurs vies, avec violence, le rejet de ce monde? qui sont-ils/elles?

La réponse tient toute entière dans "le sens même" de ce monde et la voix de ses aboyeurs et autres valets serviles!

Il y a ceux qui grognent et ceux qui se lèchent, tous complices du même spectacle!

Il ne s'agit plus de savoir si nous sommes pour la libération de Cesare Battisti ( quelle évidence!), mais souligner aussi que sa libération implique définitivement - au même titre que celle de tous les militantEs politiques emprisonnéEs de ce monde -, le fait que nous nous libérions enfin de ce monde lui même.

Les gouvernements promettent d'embaucher plus de flics et de matons. Ceci ne semble pas si spectaculaire, mais de nouveau la croissance de l'industrie de la sécurité s'avère illimitée. Les matons, les flics et la soldatesque ce sont les mercenaires directs de l'état, et heureusement il ne faut pas grand chose pour que les gens les reconnaissent comme des ennemis. Mais qu'en est-il de l'armée grandissante des contrôleurs sociaux? Les vigiles dans les transports collectifs, les tenanciers des maisons de quartier, les éducateurs, les contrôleurs de la misère  (assistants sociaux).



Ces fonctionnaires du contrôle social sont les keufs de l'avenir. Et le plus frappant (et c'est une victoire claire pour l'état dans la guerre de classe) c'est qu'une partie des personnes actuellement engagées sont justement celles contre lesquelles l'état dirige depuis toujours son contrôle et sa répression. C'est par cette logique de contrôle que l'état déchire et divise la horde des exclus.

La détention préventive, les déportations, et les peines alternatives, toutes ces conneries démocratiques sur la justice ne servent qu'à calmer les révoltéEs avec des soit disant droits

Ainsi, cette société peut-elle affirmer avec l'aplomb d'une insolence inouïe "innocent jusqu'à preuve du contraire" L'état de droit est une farce tragique !!!



LIBERONS BATTISTI,

LIBERONS CEUX ET CELLES DE A.D, Camenisch, les Mapuches , les indiens de la forêt d'Amazonie, et d'ailleurs..;

ET LIBERONS-NOUS AUSSI, DANS LE MEME ELAN, DE LA TOTALITE DE CE MONDE !!!


A MOINS, NOUS N'AURONS RIEN ! ! !



 

                     

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19 mars 2007 1 19 /03 /mars /2007 21:41




Encore menottes et taule, donc, pour Cesare. C’est l’énième fois que cela lui arrive, et cette fois l’affaire se déplace au Brésil, où Cesare s´était réfugié après que la France lui avait renié son asile, pourtant explicitement permis et réaffirmé maintes années durant.

La France, justement. C’est ici que le destin de Cesare a véritablement basculé en 2004, quand une longue et controversée procédure judiciaire a abouti sur un décret d'extradition poursuivi de façon indigne par le gouvernement Raffarin/Chirac. Indigne, car ces Ministres et Président ont piétiné avec mépris la parole d’asile que cette même République qu’ils se targuent représenter avait donnée auxdits rescapés des années de plomb italiennes. Une parole, d’ailleurs, avalisée par les gouvernements qui s’étaient succédés pendant le quart de siècle précédent..

Ces gens, via des médias consentants et une justice soumise, ont arbitrairement bâti Cesare en monstre et bouc émissaire, le clouant ainsi au pilori pour justifier pompeusement leur boulot injustifiable. Se rangeant ainsi du côté de leurs collègues italiens qui, au lieu d’amnistier les faits de cette période désormais lointaine, défendent la piètre idée d’une mémoire partielle et rancunière et de la punition implacable et irrémédiable.
Comme il se doit pour tout être, qui plus est si humain, Cesare a de nouveau choisie sa liberté s’envolant au Brésil. Les taupes de la hargne n’ont toutefois pas démordu, et, obscène enjeu électoral ou non,  maintenant nous en sommes là. Mais là sera peut-être bien la fin des espoirs mesquins de ces chasseurs acharnés, car, tel qu’il s’est déjà passé et est prévu par la Convention d'extradition italo-brésilienne de 1989, les condamnations pour des actes de nature politique sont incompatibles avec la remise aux autorités italiennes, et Cesare pourra enfin vivre tranquille sous le soleil de l’Amérique du Sud.
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19 mars 2007 1 19 /03 /mars /2007 10:37
en lien l'origine de la nouvelle cesarelibre-infos@samizdat.net

note nous passons les nouvelles à propos de Cesare sans trie , nous passons des nouvelles de soit disant députés, mais il est clair c'est ici la mobilisation qui doit continuer et pas s'endormir sur les hypothétiques députés 5 depuis le début les politiques ont tous une attitude ambigue

Un député brésilien veut obtenir l'asile politique pour Battisti

Le député vert brésilien Fernando Gabeira a annoncé dimanche qu'il allait lancer une campagne afin que le Brésil accorde l'asile politique à l'ancien activiste italien d'extrême gauche Cesare Battisti. Il a été arrêté à Rio à la suite d'une demande d'extradition de l'Italie.

[ats] - Fernando Gabeira a indiqué qu'il voulait rencontrer des responsables du ministère des Affaires étrangères pour "examiner ce qu'il est possible de faire afin d'éviter cette injustice", dans des déclarations à l'agence de presse privée Estado.

"Des personnes qui lui sont liées, de son comité de soutien en France, ainsi que les autorités du Parti Vert m'ont demandé de m'occuper de l'affaire et je vais voir ce qu'il est possible de faire", a indiqué le député.

M. Gabeira, ancien militant d'extrême gauche qui a participé en 1969 à l'enlèvement de l'ancien ambassadeur américain au Brésil Charles Elbrick, a ajouté qu'il avait l'intention de rendre visite à M. Battisti.

Cesare Battisti a été condamné par contumace en 1993 en Italie à la réclusion à perpétuité pour sa participation à quatre meurtres en 1978-1979, dont celui d'un bijoutier milanais. M. Battisti nie avoir commis ces meurtres. Il vivait à Rio depuis qu'il avait fui la France où il était réfugié, en 2004, juste avant que la justice française ne décide d'accepter son extradition.

M. Battisti doit être transféré lundi de Rio à Brasilia, selon la police brésilienne. Deux de ses avocats français, Mes Eric Turcon et Edgar Vincensini, sont attendus lundi à Rio de Janeiro.

Le ministre français de l'Intérieur Nicolas Sarkozy a confirmé dimanche que la police française avait eu des "renseignements" sur l'ancien activiste d'extrême gauche italien et les avait communiqués, "comme c'est son devoir".

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19 mars 2007 1 19 /03 /mars /2007 08:41


 
Palestine - 18-03-2007

Le tribunal sioniste reporte le procès d'Ahmad Saadat…
Le Secrétaire général du Front Populaire de Libération de la Palestine refuse de se présenter devant le juge et réaffirme : "C'est l'occupation qui doit être mise en jugement."

Par Ahmad Saadat
Le 14 mars 2006, Ahmed Saadat, député du Parlement palestinien et secrétaire général du Front Populaire de Libération de la Palestine emprisonné depuis 4 ans par l’Autorité palestinienne, était kidnappé par l'armée sioniste dans la prison de Jéricho, ville autonome, au cours d'un raid extrêmement violent lancé quelques instants après que les trois observateurs britanniques soient "partis", laissant ainsi le champ libre à l'armée d'occupation. Ahmed Saadat et les résistants du FPLP avaient été emprisonnés par l'Autorité palestinienne pour l'assassinat du ministre sioniste du tourisme, Rehavam Zeevi, en 2001.
 

Pour l'anniversaire de son enlèvement, Fight Back News Service fait circuler cette déclaration du Secrétaire Général du Font Populaire de Libération de la Palestine et en a assuré la traduction de l'arabe à l'anglais.


"Ce procès ne peut être séparé du processus de la lutte historique en Palestine qui continue aujourd'hui entre le mouvement sioniste et le peuple palestinien, une lutte centrée sur la terre, l'histoire, la civilisation, la culture et l'identité palestiniennes. C'est pourquoi toute tentative de fermer les yeux sur cette réalité lorsque nous traitons des répercussions du conflit serait une tentative arbitraire contre les faits et la raison. Un jugement arbitraire par des oppresseurs arrogants qui essaient de soumettre les Palestiniens en utilisant les méthodes de l'occupation qui contrôle la terre dans le dit conflit.

Et si la fonction de tout appareil judiciaire est d'obtenir la justice, alors toute pratique honnête, légale et éthique devrait autoriser l'arbitrage d'une autorité indépendante et des lois an accord avec la légalité internationale. Et la légalité internationale et son organe législatif (les Nations Unies), ainsi que l'ensemble des résolutions adoptées par cet organe, n'ont pas légalisé votre occupation ; ils vous ont pressé d'y mettre fin et d'en éliminer les conséquences.

Lorsque Israël a été reconnu comme Etat, l'introduction de la résolution de reconnaissance a conditionné cette reconnaissance au retour des réfugiés palestiniens qui ont été contraints à l'exil. A ce jour, cette condition n'a pas été remplie ; de plus, les conventions signées par les Nations Unies reconnaissent à notre peuple le droit de résister à l'occupation pour arriver à notre indépendance nationale et rendre effectif notre droit à l'auto-détermination.

De même pour votre appareil juridique, d'où est issu ce tribunal : il est l'un des instruments de l'occupation dont la fonction est de donner une couverture de légitimité légale aux crimes de l'occupation, en plus de consacrer son système et d'autoriser l'imposition de ses méthodes sur notre peuple par la force.

Cet appareil juridique soutient également l'administration de cette occupation – qui est la pire forme du terrorisme d'Etat – comme si vous étiez dans un état permanent d'auto-défense. La résistance légitime de notre peuple est vue comme du terrorisme à combattre et à éliminer et ce sont ceux qui l'exercent et la soutiennent qui sont jugés. En face de ces contradictions entre deux logiques, il devrait y avoir une condamnation.

Je ne me sens pas obligé de vous soumettre les pages de la loi internationale, ni celles de la Déclaration universelle des droits de l'homme pour décrire la situation, puisqu'un témoin est déjà parmi vous, l'un des dirigeants du Parti Travailliste qui a fondé votre Etat et qui a déjà servi comme témoin il y a de nombreuses années. Ce dirigeant a décrit les lois internationales d'exception de l'Occupation britannique en 1945 comme "pire que les lois nazis" et a ajouté : "C'est vrai que les nazis ont commis des crimes ; néanmoins, ils n'ont pas été jusqu'à légiférer sur ces crimes." A voir comme votre tribunal et la liste des accusations sont basés sur ces lois et placent l'occupation et les accusateurs particuliers comme les émetteurs de la condamnation, bien sûr il devra y avoir une condamnation.

Sur la base de ce qui a déjà été dit, je considère votre jugement contre les combattants de notre peuple comme un crime et comme le prolongement des autres crimes commis contre les fils et les filles de notre peuple, y compris l'expropriation de leurs terres, la confiscation de leur liberté et l'assassinat de leurs enfants, femmes, personnes âgées et dirigeants politiques.

Les jugements contre les combattants et les dirigeants, comme les assassinats de Abu Ali Mustafa, Sheikh Ahmad Yassin and Yasser Arafat, sont aussi des crimes, comme la détention des ministres et des députés démocratiquement choisis au cours d'élections légitimées par la communauté internationale, qui a salué leur transparence, leur honnêteté et leur liberté, et qui ont été approuvé, à l'époque, par votre gouvernement. Vous continuez à commettre ces crimes, et c'est pour cette raison que nous demandons au garant de la légalité internationale d'y mettre fin d'urgence, et de traîner l'occupation et ses dirigeants devant la Cour internationale de justice comme "criminels de guerre".

Mais plus important, et même pire, le comportement de vos gouvernements successifs continue à mettre en pratique une logique dévoyée pour imposer une solution, au lieu de chercher une résolution politique, basée sur la légalité internationale, d'un conflit chronique qui dure depuis plus d'un siècle. Cette voie ouvrirait un chemin démocratique, civilisé et humain vers la fin du conflit.

La direction israélienne exploite le déséquilibre des forces internationales favorables aux intérêts militaires israéliens, et ainsi Israël a continuellement recours au langage de l'arrogance et de l'orgueil pour tenter d'éliminer un conflit qui gagne en vitalité sur la base de la réalité historique objective.

Cette direction essaie de saboter toute tentative ou geste pour résoudre le conflit pacifiquement et par des moyens politiques, démontrant sa prédisposition à rejeter toute initiative de construction d'un projet politique équilibré en accord avec les résolutions internationales. C'est ainsi que l'initiative de la France, de l'Espagne et de l'Italie pour organiser une conférence internationale a été rejetée, avant même que ses fonctions aient été déterminées.

Cette politique correspond peut-être aux intérêts de tel ou tel gouvernement ou administration nord-américain, mais elle ne sert pas les slogans que la direction israélienne essaie de vendre à la population juive de Palestine ou aux peuples du monde, avec la référence à la sécurité et à la lutte contre le terrorisme. Parce que la sécurité ne pourra jamais être obtenue dans une région où il y a un conflit entre une machine militaire et la brutalité d'une force d'occupation et le peuple dont la terre est occupée.

Seule une paix basée sur une prise en compte objective des réalités du conflit pourra garantir la sécurité et cette paix doit commencer par la fin de l'occupation et la reconnaissance des droits nationaux du peuple occupé. Elle commencera avec le respect des lois internationales, et non en traitant l'occupant comme si il était au-dessus des lois, revenant à la logique de l'arrogance et de l'orgueil, symbolisée par la citation : "Ce que pense Mussolini, c'est la vérité", qui nourrit le cycle du conflit. Votre gouvernement sera responsable des vies gâchées et de la perte de la stabilité personnelle, sociale et économique des deux côtés en conflit. Cette réalité devrait obliger les Juifs de Palestine et les peuples du monde qui aspirent à la promotion de la justice et de la paix à comprendre les causes et les impulsions de cette politique.

Nous sommes certains que les raisons de la politique d'occupation ne prennent pas leur source dans l'ignorance politique, la peur de l'avenir, ou la préservation de la sécurité des Juifs (comme certains le suggèrent).

Ce qui impulse les politiques de votre gouvernement, ce sont les buts assignés à Israël par l'impérialisme. L'objectif convertit les slogans énoncés par la direction israélienne pour les masses juives en slogans malhonnêtes, et choisit comme logique non seulement la justification des crimes de l'occupation, mais aussi la politique de discrimination raciale pratiquée contre les masses de notre peuple en Palestine occupée en 1948. Cette discrimination vise également, à cause de leurs cultures distinctes, la communauté juive orientale ou les immigrants juifs originaires d'Afrique et d'Ethiopie en particulier.

En Israël, le sommet de la pyramide politique a toujours été tenu par ceux qui étaient favorables aux intérêts d'une poignée de capitalistes sionistes locaux ou internationaux, alliés des compagnies du monopole impérialiste mondial qui aujourd'hui gèrent et guident les politiques des Etats-Unis et d'Israël. La paix, la sécurité, la démocratie et le bien-être pour les Juifs en Palestine, à part d'être déjà des slogans éculés, ne sont rien d'autres que des ingrédients pour l'imposition du projet impérialiste US du "plus grand" ou "nouveau" Moyen-Orient, comme l'appelle Shimon Peres. Les membres des extrêmes de la mondialisation impérialiste internationale, avec les Etats-Unis à leur tête, ne le nie même plus, ni ne tente de le dissimuler.

Basé sur tout ce que j'ai dit, et en défense de la justice de notre cause et de la lutte légitime de notre peuple contre l'occupation, je refuse de reconnaître la légitimité de votre tribunal ou de légitimer votre occupation ou de me présenter devant celui-ci. Parce que ce que vous appelez une liste d'accusation et "d'infractions à la sécurité" sont en réalité mes devoirs patriotiques, "qu'ils soient réalisés ou non" et ils doivent être raplacés dans le contexte du devoir général de résistance à l'occupation.

En même temps, et en qualité de Secrétaire général du Front Populaire de Libération de la Palestine, je veux réaffirmer ma fierté de faire partie du Mouvement révolutionnaire palestinien et des extensions de ce mouvement dans les projets régionaux, nationaux et internationaux qui forment les composantes du mouvement international contre le système impérialiste de mondialisation. Ceci est le cadre principal des peuples du monde et des classes sociales opprimées qui luttent pour la liberté, la démocratie, le socialisme, le progrès global, la juste redistribution des richesses, l'égalité parmi les peuples et la paix – rejetant la répression et le concept impérialiste de la liberté basé sur le pillage, l'injustice et la discrimination raciale. Ce mouvement soutient la construction d'une culture et d'une civilisation globale, humaniste et progressiste de manière à rendre à l'homme son humanité et de lui ouvrir les voies d'un développement libre.

Je suis fier d'être un combattant luttant pour mettre fin à l'occupation israélienne, pour arriver à l'indépendance nationale, pour garantir le retour de notre peuple et pour bâtir les mécanismes nécessaires à une solution démocratique au conflit en Palestine. Une solution capable d'obtenir une paix permanente pour toute la population de Palestine, qu'elle soit arabe ou non arabe. Une solution capable de réussir une réconciliation historique, l'égalité et l'impartialité, en devoir et en droit, à l'intérieur du cadre d'un seul Etat démocratique soutenu par un système qui rejette toute forme de discrimination basée sur la religion, le nationalisme, l'ethnicité, la classe sociale ou l'orientation sexuelle.

Pour terminer, peut-être que la cour ne souhaite pas écouter ces prises de position ; elle peut ne pas vouloir les prendre en considération comme étant en dehors du cadre de ses attributions pour maintenir une théorie dans une certaine perspective étroite. Toutefois, ma position est dictée par la logique, les fondamentaux du conflit et ses causes objectives ; car la solution simple est celle qui traite les causes, plutôt que les conséquences.

J'aimerais terminer ma déclaration en disant ceci : c'est votre tribunal et vous avez la force pour le faire fonctionner et me condamner sur la base de vos listes d'accusations, celles qui sont publiques et celles qui sont secrètes, et vous pouvez édicter une sentence préparée par l'appareil politique et sécuritaire qui est derrière cette cour.

Mais j'ai moi aussi la volonté nourrie par la justice de notre cause et la détermination de notre peuple de rejeter toute décision de ce "tribunal kangourou", pour préserver un équilibre logique et cohérent, et pour continuer avec détermination à résister à l'occupation aux côtés des fils et filles de mon peuple, en dépit de l'espace restreint que vous imposez à mes mouvements déjà limités, comme "prisonnier pour la liberté"."
 
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19 mars 2007 1 19 /03 /mars /2007 08:15



Se foutant des questions aussi bien qu' des réponses
Ils vécurent leur Passion sans la couronne de ronces
Tout au bout du chemin, il n'y avait qu'un mur
A quoi ça sert les freins quand la tête… la têt' est si dure ?

Je valais pas mieux qu'eux et je suis presqu' intact
P't'êt' qu'un jour j'prendrai feu en mettant le contact
En attendant pour eux, j'mets l'feu à ma guitare
J'espère qu'ils sont heureux au fond… de ma mémoire

Parabellum


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