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La tyrannie la plus redoutable n'est pas celle qui prend figure d'arbitraire, c'est celle qui nous vient couverte du masque de la légalité." Albert Libertad

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le blog du laboratoire anarchiste

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11 avril 2007 3 11 /04 /avril /2007 07:45


Syndicats et patronat se sont retrouvés mardi après-midi au siège du Medef pour tenter de relancer l'épineuse négociation sur la pénibilité au travail, un an après la suspension de ces discussions prévues par la loi Fillon sur les retraites de 2003.

A moins de trois semaines de la présidentielle, les représentants des syndicats (CGT, CFDT, FO, CFTC et CFE-CGC) et des organisations patronales (Medef, CGPME et UPA) ont remis sur la table, sous la pression du gouvernement, .
Mais chaque camp campe toujours sur ses positions, laissant difficilement augurer d'une issue rapide.

"Après un an de suspension, nous avons repris le contact pour sortir ce dossier de l'ornière, ce dont tout le monde s'est félicité. L'objectif est d'en finir avant 2008", date prévue de la prochaine réforme des retraites, a indiqué Denis Gautier-Sauvagnac, numéro deux du Medef et chef de file de la délégation patronale.
La négociation sur la pénibilité était un corollaire de la loi Fillon de 2003 sur les retraites qui durcissait les conditions de départs mais visait aussi à mieux prendre en compte la situation des salariés usés par un emploi pénible.
Entamées avec un an et demi de retard, les discussions entre syndicats et patronat n'avaient donné lieu à aucune réunion depuis le 30 mars 2006.
Pour la CFDT, Jean-Louis Malys s'est déclaré "satisfait d'avoir contribué à réveiller le dossier" e
Mais il a reconnu que "la négociation sera compliquée", observant que le Medef "continue à vouloir une opération blanche" financièrement.
"Contente et pas contente à la fois", Michelle Biaggi (FO) a noté que "le verrou financier n'est pas débloqué" du côté patronal, mais jugé qu'"il vaut mieux être optimiste".
Pour la CGT, Jean-Christophe Le Duigou a déploré que "le jour où le TGV bat un record de vitesse, nous battions un record de lenteur de négociation. Le Medef n'a pas changé de position et cherche à jouer la montre". "Les négociations devraient durer une petite année encore", selon lui.
Danièle Karniewicz (CGC) a regretté d'avoir "passé deux heures à faire semblant de négocier en pleine campagne présidentielle". "Nous allons ferrailler un bon moment, mais nous mettrons toute notre énergie pour trouver un accord", a-t-elle ajouté.
"On est repartis parce que le ministre a tapé du poing sur la table, on va essayer d'aboutir, car sinon nous aurons du mal à aboutir sur les retraites", a prévenu Joseph Thouvenel (CFTC).
Si les partenaires sociaux sont d'accord pour faire davantage de prévention et prendre en compte le stress, le patronat refuse toujours l'idée d'une cotisation supplémentaire pour financer des retraites anticipées des salariés ayant exercé des métiers pénibles.
"Tout ce qui augmente le coût du travail dans ce pays pèse sur l'emploi. Or le coût du travail en France -charges sociales comprises et tous secteurs confondus- est supérieur de 10% à la moyenne européenne", a fait valoir M. Gautier-Sauvagnac.
Ils vont désormais poser à tour de rôle des questions à l'Inspection générale des affaires sociales (Igas), proposée en soutien par le gouvernement. CFDT et CGT souhaitent ainsi déterminer la part du financement de la pénibilité revenant à la collectivité et celle relevant des entreprises.
Syndicats et patronat ont prévu de se revoir le 5 juin.

ci dessous l'article du monde sur la grève d'Aulnay

Sur place, le climat est de plus en plus tendu. Le passage de relais entre l'équipe de travail du matin et celle du soir est l'une des rares

occasions pour les grévistes de croiser les non-grévistes. Souvent

les échanges tournent court. "Attention aux mouchards !", crie un grand Noir. La plupart de ceux qui n'ont pas cessé le travail pressent le pas, tête baissée pour éviter la poignée de manifestants qui distribuent des tracts à la sortie des pointeuses. L'attroupement évité, certains ne cachent pas leur agacement : "Y'en a marre de cette petite bande prête à tout casser, lâche un opérateur de 56 ans. Ce sont des irresponsables. Des accords ont été signés, je ne vois pas pourquoi 10 % des effectifs feraient la loi." Un autre s'inquiète : "On dit de plus en plus que PSA a un site de trop, il n'y a qu'à continuer et Aulnay sera en bonne place pour disparaître."

AIDE DU CONSEIL GÉNÉRAL

"La direction monte les gens contre nous, se plaint Philippe Julien, délégué CGT de l'usine d'Aulnay, mais ils ne se rendent pas compte que le niveau de mécontentement est bien supérieur au noyau des grévistes." Effectivement les non-grévistes solidaires avec le mouvement ne sont pas rares : "Tout ça c'est justifié, les gens n'y arrivent plus, même si je pense qu'on aurait dû faire la grève avant la signature de l'accord salarial, note un ouvrier, qui ajoute, moi j'ai pas le choix, j'ai pris un appart, je peux pas me permettre d'arrêter de bosser." Un autre tente de se justifier d'avoir arrêté la grève au bout de six jours : "Ma femme était en pleurs, c'est pour elle que j'ai repris, mais sur le fond c'est normal que les gens se rebellent."

Malgré une désorganisation évidente de la production, la direction est parvenue jusqu'ici à faire tourner l'usine. La perte de production est estimée à 12 000 Citroën C2 et C3, sans compter les centaines de véhicules sans siège qui attendent d'être terminés sur un parking. Après avoir été condamnée le 26 mars par la justice pour avoir tenté de remplacer les grévistes par des intérimaires, la direction emploie aujourd'hui les grands moyens. Une centaine de salariés des usines de Rennes et de Sevel-Nord près de Valenciennes (Pas-de-Calais) ont été dépêchés pour assurer la production à Aulnay-sous-Bois. Logés à l'Etap Hôtel tout proche, ils touchent une indemnité de 750 euros par semaine. Chaque matin, ils arrivent en car directement à l'intérieur du site pour empêcher les contacts avec les grévistes.

Pour ces derniers, la situation est de plus en plus difficile. Du fait des journées non travaillées, la plupart n'ont touché qu'entre 300 et 400 euros au titre de leur paye du mois de mars au lieu des 1 300 net habituels. La cagnotte alimentée depuis une vingtaine de jours par les organisations syndicales, une poignée d'associations et les collectivités locales dirigées par des élus communistes permet d'apporter un petit complément, qui reste cependant largement insuffisant.

Au total, près de 93 000 euros ont été réunis. Cette collecte fait polémique au sein du conseil général de Seine-Saint-Denis. Dirigé par le PCF, celui-ci vient d'accorder une aide de 20 000 euros aux grévistes. Pour l'opposition UMP, c'est un "détournement de fonds publics au service d'une action politique". Un recours devant le préfet de Seine-Saint-Denis devrait être prochainement déposé. Quelle que soit l'issue de la polémique, elle ne permettra pas de sortir de l'impasse dans laquelle PSA se trouve.

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Les grévistes de l'usine Peugeot-Citroën d'Aulnay-sous-Bois ont mis fin à leur mouvement, le 10 avril 2007. | AFP/STEPHANE DE SAKUTIN
   




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11 avril 2007 3 11 /04 /avril /2007 06:57
Le 11 avril 1977, mort de Jacques PREVERT (né le 4 février 1900 à Neuilly). Poète, surréaliste, scénariste et dialoguiste de talent. Il fut avant tout un libertaire qui s'en prit à toutes les valeurs de la société bourgeoise, pourfendant, dans ses textes, le militarisme, le cléricalisme, et la morale hypocrite, mais glorifiant l'esprit de révolte et le culte de la liberté. En 1916, employé dans un grand magasin, il en sera "remercié" pour indiscipline. Il participe ensuite au mouvement surréaliste mais refuse d'adhérer au Parti Communiste et se moquera d'André Breton dans le texte "Mort d'un monsieur". En 1931, il publie le poème corrosif "Tentative de description d'un dîner de tête à Paris-France". Membre du groupe Octobre (théâtre ouvrier) il écrit "la bataille de Fontenay", qui sera joué à Moscou. Il est l'auteur de nombreux scénarios pour le cinéma : "L'affaire est dans le sac", "Les enfants du Paradis", (considéré comme l'un des chefs-d'oeuvre du cinéma), etc. En 1946, "Paroles" recueil de poèmes est publié, et rencontre un énorme succès, puis "Histoires", consacrent le poète anticonformiste, qui touche les gens par sa simplicité, et la tragi-comédie de ses textes tendres et virulents.
"Ni Dieu, ni Maître; Mieux d'Etre "
"Rêve + Evolution = Révolution "

 




Le 11 avril 1834, à Lyon. Insurrection des Canuts. Les combats se poursuivent. Le quartier de la Croix Rousse est bombardée par la troupe qui a reçu des renforts.
Tentatives d'insurrections à Saint Etienne et à Vienne
.

 

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11 avril 2007 3 11 /04 /avril /2007 06:48

 Lettre ouverte d’un prisonnier politique mapuche


Transmis par Sergio

LETTRE OUVERTE

JOSE HUENCHUNAO MARIÑAN DEPUIS LA PRISON


De la prison d’Angol, en tant que prisonnier politique et werken mapuche, je souhaite dire à la société civile, et plus particulièrement à mon peuple, que ma détention est le produit du discernement de la police et d’une erreur que j’ai assurément commise.

Le résultat de cette traque est que je suis aujourd’hui un prisonnier politique persécuté par l’état chilien et le système de domination capitaliste qui arrache les ressources naturelles appartenant au peuple Mapuche.

Je ne suis qu’un des nombreux prisonniers politiques mapuches incarcérés dans les différentes prisons de cet état chilien.

Nous savons bien que la prison est la punition que l’état chilien, ainsi que ses opérateurs politiques et judiciaires, réservent à ceux qui luttent ou représentent socialement et politiquement la lutte du peuple-nation Mapuche.

Prochainement nous verrons notre peuple s’affranchir de cette oppression et prendre dignement le chemin de la liberté et de l’autonomie de son territoire.

La demande historique de notre peuple ne pourra être étouffée.

Elle se lèvera comme un emblème, une et dix fois, dans le cœur et l’action politique des Mapuche.

Les nôtres savent que leurs prisonniers, leurs clandestins et leurs morts, sont tels en raison de la légitime demande historique de notre peuple pour ses droits politiques et territoriaux.

Soyez certains que je resterai en prison un mapuche, digne et fier d’être mapuche.

CEUX QUI SONT DANS LES COMMUNAUTES SAURONT ORGANISER LA RESISTANCE ET LA RECONSTRUCTION DE NOTRE PEUPLE ET ASSURER LE CHEMIN DE LA LIBERTE QUI LUI REVIENT.


Enfin, je tiens à dire qu’aucun cycle ne se ferme avec ma détention, pas plus qu’elle ne désarticule une organisation supposée violente. Il n’en va là que de phrases orchestrées qui ambitionnent de nier notre existence comme peuple-nation.

SOYEZ SURS QUE LES COMMUNAUTES, MEME SANS NOUS - LES SUPPOSES LEADERS D’UNE ORGANISATION MAPUCHE - CONTINUERONT A REVENDIQUER ET A RECONSTRUIRE LEURS DROITS.

La justice n’existera que lorsque sera reconnu au peuple Mapuche les droits de peuple-nation.

José Benicio Huenchunao Mariñan.

Prisonnier Politique Mapuche

De la prison de Angol, le 21 marsl 2007

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11 avril 2007 3 11 /04 /avril /2007 06:02
Voter pas con, voter bidon. Pourquoi notre anti-électoralisme ?

L'abstention, pourquoi faire ?


L?Abstention telle qu'elle s'est exprimée lors des précédentes élections ne signifie pas une montée malsaine de l'apolitisme.


Cette abstention traduit le désaveu d'une frange significative et grandissante de l'électorat des politiques antisociales mises en ½uvre par les partis jumeaux de droite et de gauche.

La multiplication des « affaires » mettant en cause l'ensemble de la classe politique participe de ce désaveu

. A nos yeux cet abstentionnisme exprime une lucidité  et une réaction saine de rejet de la politique(différence entre la politique et le politique). 


Ce n'est pas nous qui tenterons ( on est contre tout pouvoir et contre toutes délégations ) de lui redonner une crédibilité en présentant des candidats jurant de faire une autre politique plus à gauche

Alors que l'attente d'une alternative se situe sur un autre terrain, celui des luttes sociales.



L'abstention pour un  tour social.

C'est un défi politique aux classe dirigeante, et c'est la prolongation des luttes que nous menons contre elle, dans les quartiers, dans les entreprises, que se soit à Paris, Barcelone, ou Buenos-Aires, malgré les outils de domination du monde qu?elle met en place (G8, FMI, OMC, Union Européenne).


Nous n?aspirons pas à gérer le système, pas plus à le défendre. C?est résolus que nous affirmons la nécessité de construire un projet de transformation de la société, vive la sociale.


L'abstention électorale que les libertaires défendent c'est une abstention porteuse d'une volonté de transformation radicale de la société préfigurant bien mieux que n'importe quel score électoral


Ce qui constitue les luttes

Les luttes sociales sont l'arme essentielle pour imposer de réelles transformations de la société.

Elles sont authentiquement politiques, mais au sens où elles manifestent la volonté de ceux et celles qui sont  exploités dominés maltraités de se réapproprier leur vie.

Elles déterminent le rapport de force réel dans l'antagonisme de classe qui oppose la grande masse des opprimés et exploités au pouvoir politique et économique,

L'Etat: structure à combattre pour une représentativité horizontale

Il est dans la nature de l'Etat de se poser aussi bien pour lui-même que pour tous ses sujets comme l'objet absolu.

Servir sa prospérité, sa grandeur, sa puissance, c'est la vertu suprême du patriotisme.

L'Etat n'en reconnaît point d'autre : tout ce qui lui sert est bon, tout ce qui est contraire à ses intérêts est déclaré criminel, telle est la morale de l?Etat.

C'est pourquoi la morale politique a été de tout temps non seulement étrangère, mais absolument contraire à la morale humaine ( le mensonge c'est l'autorité). Cette contradiction est une conséquence forcée de son principe : l'Etat n'étant quune partie, se pose et simpose comme le tout ; il ignore le droit de tout ce qui n?étant pas lui-même, se trouve en dehors de lui, et quand il le peut sans danger pour lui-même, il le viole. L?Etat est la négation de l?humanité. Bakounine

note de bas de page

hier un scribe a cru bon me donner une leçon, mais l'affiche collée en ville est un détournement situationiste, c'est entre autre détail le titre c'est : le criminel, c'est l'électeur. Quand à la question de date:

quest ce q'une année au regard d'un siècle,

personne n'est immortel, les anarchistes sont contre  tous les mausolés ou autre panthéon


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11 avril 2007 3 11 /04 /avril /2007 05:49
note ; je vous transmets ce message pour aussi ce que peut faire ce blog, blog de témoignages et de résistance quotidienne, ce témoignage est issus du site stéphanois numero zero

Mardi 10 avril 2007 aux alentours des 16h 30

Interpellation et arrestation musclée dans le centre ville de Saint-Etienne.

Avec la voie des trams bloquée, deux voitures de la police nationale au milieu de la rue, pas moins de dix policiers en tenue, dont six avec les gilets pare-balles et certains avec les gazeuses lacrymogènes à la mains, la police s’est donnée en spectacle hier après midi en utilisant la force de façon disproportionnée.



C’est dans la rue du Général Foy, à l’angle de la rue Georges Teissier que trois personnes, apparemment mineurs, sont interpellées par une voiture de police aux alentours des 16h 30 mardi 10 avril 2007.
Deux des trois mineurs veulent esquiver le contrôle de police et accélèrent donc le pas en descendant la rue et se place dans une allée parallèle à la rue Camille Colard. Les policiers descendent de leur véhicule pour les contrôler, la patrouille se scinde en deux, d’un coté un policier accoste le mineur resté à la hauteur de la voiture et lui écrase son joint par terre en s’adresse sèchement à lui : "j’te demandes si c’est un joint, dis moi pas non ! Tu veux que j’te mette en garde à vue pour ça ?", le mineur est mal à l’aise et ne bronche pas.
Le reste de la patrouille de policiers nationaux court en direction de l’allé ou se sont réfugié les 2 autres jeunes, quelques instants plus tard, ce sont quatre policiers municipaux cette fois-ci qui descendent du tramway en courant pour assister leurs collègues dans l’allée. Les deux jeunes, bien que ne montrant aucune forme d’hostilité, sont interpellés brutalement et ramenés vers les véhicules de police avec une double clé de bras et des rougeurs sur le visage : "vous m’arrêtez comme ça devant tout le monde, vous me foutez la honte", leur dira l’un d’entre eux sous le coup de la colère. Un policier montrera un petit bout de cannabis à son supérieur, sans doute sorti de la poche d’un des interpellés.
Entre temps, un attroupement de badeaux se forme aux alentours des voitures de police. A plusieurs moments des indignations se faisaient entendre : "la nouvelle génération je la plaint, les jeunes n’ont plus le droit de rien faire maintenant", nous dira une dame d’un certaine age, "brutaliser des ados pour un joint mais c’est plus possible, j’ai vu toute la scène, ça va trop loin là", dira un père de famille dépité.

Les effectifs déployés et la force utilisé cette après midi là en plein centre ville à l’encontre de trois jeunes ne montrant aucuns signes de troubles à l’ordre publique à du en choquer plus d’un. La scène a suscitée une grande curiosité, de l’incompréhension et pas mal de discussion sur les trottoirs stéphanois. Par ailleurs, en vue des nombreux endroits où se poste régulièrement la Police depuis quelques temps déjà dans les rues de la ville, à travers ce fait survenu à l’angle de la rue Camille Colard et de la rue du Général Foy, c’est semble-t-il, la politique du chiffre qui se matérialise à Saint-Etienne.



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11 avril 2007 3 11 /04 /avril /2007 05:42
La nécessité d'une culture politique de rupture et d'émancipation

Ceux qui veulent l'émancipation humaine ont à résoudre ensemble un problème majeur :
élaborer et mettre en oeuvre une stratégie commune de changement.
 Une majorité de l'humanité souffre, de multiples formes d'exploitations, d'oppressions, de guerres, d'aliénations.
 La vie sur la planète est menacée.
Partout la situation porte de nouveaux périls dans l'état de guerre sociale délibérée qu'organisent les puissants.
 L'idée même que des solutions puissent exister relève pour la plupart d'un rêve irréalisable, d'une utopie.

Quand on n'y croit plus, quand on ne sait plus au juste comment faire, il est bien difficile de s'y engager.

A considérer la profondeur des maux dans la civilisation, les résistances qui s'organisent sous toutes latitudes paraissent bien faibles pour en éradiquer les causes.

Ces luttes semblent déboussolées, manquer de cohésion et de puissance. Voire.

Quoiqu'il en soit, un tâche s'impose, partant des réalités concrètes et de leurs analyses, pour dessiner les modalités théorico-pratiques d'une transformation sociale radicale, c'est-à-dire d'élaborer, en termes marxiens, une praxis, une nouvelle culture politique de rupture (1)

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11 avril 2007 3 11 /04 /avril /2007 05:16
 note:La plus grossière banalité des sociologues de gauche, depuis quelques années, est d’insister sur le rôle des loisirs comme facteur déjà dominant dans la société capitaliste développée. Ceci est le lieu d’infinis débats pour ou contre l’importance (...)
Après des annés de blairisme;
et de tacherrisme

Si 15 millions d'Anglais se révoltent...

Si 15 millions d'Anglais se révoltent..


.combien de millions de Français vont bêler et se faire tondre ???


Le gouvernement anglais s'attend à ce que 11 millions de sujets de sa Très Gracieuse Majesté refusent la carte d'identité "pucée" obligatoire en 2014

C'est ici en anglais : http://www.timesonline.co.uk/tol/news/uk/article1626768.ece Résumé ici en espagnol : http://aporrea.org/tecno/n93044.html


Les Anglais Rebelles ont l'intention de ne pas produire le document obligatoire, de ne pas fournir :

les informations nécessaires à sa confection

Désobeissance civique, mon gaillard
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11 avril 2007 3 11 /04 /avril /2007 04:44
ollision entre 3 véhicules dont un fourgon de CRS:
 six blessésprès de Lyon


Six personnes ont été blessées, dont trois grièvement, dans un accident
impliquant un fourgon de CRS et deux autres véhicules, lundi après-midi
sur l'A42 à Vaulx-en-Velin (Rhône), dans le sens Lyon-Genève, ont annoncé
les pompiers.
 "L'accident s'est produit vers 16H30 et il a été très
violent. Les trois blessés graves, qui ont été désincarcérés, se
trouvaient dans deux voitures distantes l'une de l'autre de 50 m en
raison du choc.
Dans le fourgon, trois CRS ont été légèrement blessés",
a-t-on précisé de même source. Le nombre d'occupants respectif dans
les deux véhicules et dans le fourgon n'a pas été communiqué et les circonstances
de l'accident restaient indéterminées lundi soir.
 Les six victimes ont été emmenées dans différents hôpitaux de Lyon,
les CRS ayant étéconduits pour leur part
à l'hôpital militaire Desgenette
, selon la même
 source. .Quatorze véhicules de pompiers et deux du SMUR (Services mobiles
 d'urgence et de réanimation) se sont rendus sur place. La circulation
 sur l'A42 n'a pas été coupée, selon la même source.
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10 avril 2007 2 10 /04 /avril /2007 20:05
cnt.ait_valence@no-log.org


OGM, NUCLEAIRE, PESTICIDES... LOGIQUE DE PROFIT ! LOGIQUE DE MORT !


:. Elle exprime cette détermination en fonction des dangers sociaux et politiques que représente la filière nucléaire.

Danger social

L’industrie nucléaire merde partout en France.
Ce n’est pas toujours dit, mais il y a des incidents et des accidents toutes les semaines (que ce soit sur les centrales, les centres de retraitement ou les installations militaires).
 Le risque d’accident majeur est possible. Ce risque n’est pas écarté par les progrès de l’industrie nucléaire.
 Il augmente au contraire avec la complexité croissante de techniques mises en oeuvre et avec la course à la productivité.
 Ce risque augmente aussi avec le vieillissement des installations nucléaires déjà existantes, sachant qu’EDF envisage d’aller toujours plus loin dans le maintien de ces installations (durée de vie prévue au départ de 20 à 25 ans et rallongée à 40 ans pour des raisons uniquement d’ordre capitaliste).

Le problème des déchets radioactifs n’est toujours pas résolu, plus de 25 ans après le lancement du programme nucléaire civil en France. L’accumulation de ces déchets et le renvoi de leur gestion aux générations futures est proprement irresponsable.

Les risques pour la santé liés à la pollution radioactive sont toujours présents et touchent notamment l’ensemble des travailleurs et des populations en contact avec l’industrie nucléaire, comme l’ont montré les divers incidents liés aux transports des déchets ou aux différents types de sites nucléaires : centrales, unités de stockage et de retraitement mais aussi mines d’uranium. A propos de ces dernières, rappelons que si l’extraction de l’uranium nécessaire au fonctionnement des centrales ne se fait plus en France (et on nous parle "d’indépendance énergétique" !), il se fait dans les pays pauvres. Ainsi, ce sont 200 000 personnes à travers le monde qui meurent chaque année par contamination.
En ce qui concerne les salariés de la filière nucléaire en France, précisons que ce sont les intérimaires d’EDF qui sont particulièrement touchés.
 Les normes de sécurité, quand bien même elles seraient suffisantes, ne sont pas du tout respectées, ce qui implique des travailleurs parfois irradiés, en tout cas jetables après 5 ou 6 ans de travail !

Danger politique
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10 avril 2007 2 10 /04 /avril /2007 19:59
¬ Nucléaire : que s’est-il réellement passé cette nuit à la centrale de Dampierre ?
Réseau "Sortir du nucléaire" - Fédération de 765 associations - Communiqué du mardi 10 avril 2007

Le Réseau "Sortir du nucléaire" attire l’attention sur l’évènement qui s’est produit dans la nuit du 9 au 10 avril à la centrale nucléaire de Dampierre (Loiret). Le réacteur n°3 de la centrale de Dampierre a été arrêté en urgence et est resté toute la nuit alimenté par un générateur de secours.

Présenté par EDF comme un simple incident, largement minimisé par l’ASN (Autorité de sûreté nucléaire) qui délivre le message habituel de langue de bois

("Cet incident n’a pas eu de conséquence sur la sûreté nucléaire et la radioprotection"), cet évènement pose au contraire de sérieuses questions.

En effet :

-  EDF a déclenché le "plan d’urgence interne" (PUI) hier soir à 22h10.

-  L’ASN a mis en place une organisation nationale de crise avec l’appui technique de l’IRSN

-  EDF et l’ASN n’ont levé qu’à 8h15 ce matin l’organisation de crise

Pendant toute la nuit, les équipes de la centrale nucléaire ont agi en urgence, le réacteur n°3 ayant été privé de son alimentation extérieure. Heureusement, le générateur de secours a bien fonctionné, mais il arrive parfois, lors d’essais, que ce genre de générateur ne démarre pas.

On notera une certaine similitude avec le grave évènement survenu en juillet dernier à la centrale nucléaire de Forsmark (Suède) où la catastrophe n’a été évitée qu’à quelques minutes près. Il y a fort à craindre que le pire ne se produise tôt ou tard en France ou à l’étranger.

Par ailleurs, tout comme lors de la grave inondation de la centrale nucléaire du Blayais dans la nuit du 27 au 28 décembre 1999, des millions d’habitants n’ont pas su qu’ils étaient, dans leurs sommeil, menacés par un éventuel accident nucléaire.

Aujourd’hui encore, la quasi-totalité de la population n’est pas au courant de ce qui s’est réellement passé à Dampierre, les autorités se contentant de messages lénifiants.

Il est plus que temps de sortir du nucléaire, le plus vite possible, avant l’irréparable.

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Agenda

    dimanche 30 juin

15h à 16 h

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discussion , infos et peites recettes

pour les proches de détenu(E)s...

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-participation à l'émission de radio Mega

du 22 juillet