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La tyrannie la plus redoutable n'est pas celle qui prend figure d'arbitraire, c'est celle qui nous vient couverte du masque de la légalité." Albert Libertad

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le blog du laboratoire anarchiste

File:Wooden Shoe.svg
22 avril 2007 7 22 /04 /avril /2007 23:20

lu sur hns-info. : " Au sein des syndicats des différents pays, nous nous appelons par des familiarités différentes. Certains disent " Camarade ", d’autres " Collègue " et d’autres encore, " Frère " ou " Sœur " pour décrire les membres de leur syndicat.
Utilisons nous ces mots par tradition ou parce qu’ils possèdent un sens réel ?

Je vous pose cette question parce que ces derniers jours, un de nos frères a été brutalement torturé et assassiné. Un autre, innocent, est toujours emprisonné.
Au Mexique, Santiago Rafael Cruz, un permanent syndical âgé de 29 ans représentant les ouvriers agricoles au sein du FLOC (affilié à l’AFL-CIO) a été torturé avant d’être assassiné dans les locaux de son syndicat où il exerçait les fonctions de permanent. Après avoir arraché un accord aux Etats-Unis permettant à son syndicat de représenter les intérêts collectifs des membres de son organisation en Caroline du Nord, Santiago s’est rétabli au Mexique pour aider les ouvriers agricoles à défendre leurs droits. Sa présence dérangeait les employeurs qui craignaient la croissance du syndicalisme parmi leurs ouvriers et qui se félicitaient des dénoncations calomnieuses dans les médias, les menaces de déportation, des cambriolages et le crime.
Santiago avait une famille au Mexique : une mère, un père, des frères et des sœurs. Mais sa famille est bien plus large que cela. Nous en faisons tous partie.
Nous devons nous joindre au deuil de sa famille mais aussi nous joindre au combat de sa famille élargie pour nous assurer que le gouvernement mexicain ordonne une enquête loyale pour faire toute la lumière sur ce meurtre. Les coupables doivent être arrêtés et punis de leurs crimes. Le gouvernement mexicain doit assurer la sécurité des militants syndicalistes et leur liberté d’action dans tout le pays.

Vous voudrez bien prendre un moment pour envoyer un message de solidarité, dès aujourd’hui : http://www.labourstart.org/...

A peu près au même moment où les anti-syndicalistes assassins mettaient fin à la vie de notre courageux frère au Mexique, de l’autre côté de la planète, les forces de sécurité iraniennes entraînaient Mahmoud Salahi sous de faux prétextes dans les locaux du procureur afin de discuter des manifestations du premier mai. Mahmoud, un ancien président du syndicat des ouvriers de la boulangerie de Saqez, fut arrêté et emprisonné durant une année puis mis sous le coup d’une peine avec sursis durant trois ans. Son crime : avoir participé à l’organisation des manifestations du 1er mai 2004 !
Exigez la libération sans condition de Mahmoud Salehi dès maintenant. Envoyer vorte mesage en cliquant ici : http://www.labourstart.org/...

Je ne crois pas que Mahmoud et Santiago ne se soient jamais rencontrés. L’un est emprisonné en Iran, l’autre est enterré au Mexique. Si ces deux hommes n’étaient pas simplement des camarades syndicalistes mais des membres de votre famille, comment réagirez-vous ? Je suis confiant que vous ne resteriez pas silencieux. Que vous remuerez ciel et terre pour faire connaître votre souffrance et votre colère.

Faîtes passer ce message à vos collègues, amis, camarades, frères et sœurs.

Faites savoir aux gouvernements que le mouvement ouvrier international ne laissera pas passer impunément de tels actes. Dîtes au Mexicains et aux Iraniens que nous sommes une seule et même famille qui ne toléra jamais que nos frères et nos sœurs soient torturéEs, maltraitéEs ou assassinéEs où que ce soit sur cette planète !

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22 avril 2007 7 22 /04 /avril /2007 23:05
n'ayons pas la mémoire courte. L'année dernière le 1er mai 2006 les chiens de la bourgeoisie ont assassiné un jeune punk anarchiste en Colombie à coup de pieds dans la tête.  Nous n'oublions pas.
Cette journée c'est pour lui en envisageant notre futur  de lutte;

trouvé sur indymedia paris" La journée du premier mai est considérée dans le monde socialiste comme la "fête du travail". C'est une fausse définition du 1er mai, qui a tellement pénétré la vie des travailleurs qu'effectivement dans beaucoup de pays, ils le célèbrent ainsi. En fait, le premier mai n'est pas un jour de "fête" pour les travailleurs, loin s'en faut. Non, les travailleurs ne devraient pas "fêter" ce jour en restant dans leurs ateliers ou dans les champs. Ce jour-là, les travailleurs de tous les pays doivent se réunir dans tous les villages, toutes les villes, pour organiser de puissantes réunions, non pour fêter ce jour ainsi que le concoivent les socialistes étatistes et en particulier les bolchéviks, mais pour faire le compte deleur force, pour évaluer les possibilités de lutte directe contre l'ordre pourri, lâche et esclavagiste, fondé sur la violence et le mensonge. En ce jour historique déjà institué, il est plus facile à tous les travailleurs de se rassembler et plus commode de manifester leur volonté collective, ainsi que de discuter en commun de tout ce qui concerne les questions essentielles du présent et de l'avenir.

Il y a plus de quarante ans les travailleurs américains de Chicago et des environs se rassemblaient le premier mai. Ils écoutèrent là les discours de nombreux orateurs socialistes, et plus particulièrement ceux des orateurs anarchistes, car ils assimilaient parfaitement les idées libertaires et se mettaient franchement de leur côté.

Les travailleurs américains tentèrent ce jour là, en s'organisant, d'exprimer leur protestation contre l'infâme ordre de l'Etat, du capital, et des possédants. C'est sur cela qu'interviennent les libertaires américains Spiess, Parsons et d'autres. C'est alors que ce meeting fut interrompu par des provocations de mercenaires du capital et s'acheva par le massacre de travailleurs désarmés, suivi de l'arrestation et de l'assassinat de Spiess, Parsons et d'autres camarades.

Les travailleurs de Chicago et des environs ne se rassemblaient pas pour fêter la journée du premier mai. Ils s'étaient rassemblés pour résoudre en commun les problèmes de leur vie par la lutte.

Actuellement aussi, partout où les travailleurs se sont libérés de la tutelle de la bourgeoisie et de la social-démocratie liée à elle (indifféremment menchevique ou bolchevique) ou bien tentent de le faire, ils considèrent le premier mai comme l'occasion d'une rencontre pour s'occuper de leurs affaires directes et se préoccuper de leur émancipation. Ils expriment, à travers ces aspirations, leur solidarité et leur estime à l'égard de la mémoire des martyrs de Chicago. Ils sentent donc que cela ne peut être pour eux un jour de "fête". Ainsi, le premier mai, en dépit des affirmations des "socialistes professionnels" tendant à le présenter comme la "fête du travail", ne peut l'être pour les travailleurs conscients.

Le premier mai, c'est le symbôle d'une ère nouvelle dans la vie et la lutte des travailleurs, une ère qui présente chaque année pour les travailleurs de nouvelles, de plus en plus difficiles et décisives batailles contre la bourgeoisie, pour la liberté et l'indépendance qui leur sont arrachées, pour leur idéal social libertaire.

Nestor MAKHNO, 1928, Diélo trouda.

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22 avril 2007 7 22 /04 /avril /2007 22:26
On n'ira pas!!!

Premier ou deuxième tour, avec ou sans Lepen, sans honte et presque
sans haine, on n'ira pas. Tous ! Sans exception ! Et s'il y en a un
qui flanche, "on lui casse les doigts, la pince à bulletin", c'est
Alice qui l'a dit. Chez nous, on n'a pas l'abstention honteuse, c'est
pas un péché, c'est un devoir, comme un axiome de base. Ne pas voter,
c'est rester debout ! Ou comme disait Elysée Reclus

 "Voter, c'est abdiquer".

Chacun de nous peut vous donner ses raisons, ses impressions, ses
déductions, mais tous, on n'ira pas "roter" comme dit Francis. Tiens
Francis, le 22 avril, il va jouer aux boules avecJean-Claude.
Si tu lui demandes pourquoi il y va pas, il te répondra
qu'il ne les aime pas tous ces vieux riches en costard qui veulent lui
trouver un travail de m… sous-payé, ni ces cocos et gauchos avec ou
sans moustache qui parlent à sa place de ses fins de mois.
"Élire desriches qui parlent la bouche pleine de nos misères,
 quelle honte !".

Demandez pas à Jean-Claude pourquoi il y va pas. Lui, c'est que tant
de gens y aillent qui l'interroge ! :
 "A chaque fois, c'est pareil.
Gauche - Droite, Droite - Gauche, tous au pas, ils vont choisir leur
menteur, qui leur fera subir les mêmes humiliations que les autres,
les mêmes arnaques, les mêmes insultes".

C'est pas comme Guy ! Lui le 22 avril, il ne va pas jouer
aux boules
parce qu'il a les patates à buter.
"Tiens, les patates, combien ils s'en mettent plein les fouilles de
patates, tous ces types et ces gonzesses, cette clique de bonimenteurs qui payent l'impôt sur la
fortune et nous expliquent qu'on a paumé le chemin de l'emploi et les
clés du réveil matin. Salauds de riches !". Expéditif le Guy. Les
patates ont intérêt à se tenir tranquilles ! Yvette, elle"comprends le
type qui vote à gauche en se disant que si la Royale passe, le peu
qu'ils lâcheront l'aidera à bouffer un temps. Je le comprends, mais
moi j'irai pas. Je préfère me débrouiller autrement !". Seb non plus
n'ira pas. Ils auraient beau ouvrir en grand les grilles de l'HP qu'il
n'irait pas le Seb, trop lucide !

Si vraiment vous voulez savoir pourquoi on n'ira pas, si vous êtes du
genre "militant-politisé-qui-cherche-un-contenu-formalisé", faut aller
demander à Paul, c'est l'intello de service, les mains toujours
neuves. Il vous dira que "voter est l'acte de soumission absolu. Non
obligatoire, non douloureux, gratuit, c'est une des très rares actions
sociales que beaucoup d'individus peuvent ou non accomplir. Comme une
liberté individuelle absolue. Mais c'est en même temps un acte de
totale aliénation, l'individu donnant son pouvoir de décision à un
autre sans aucune contrepartie si ce n'est une autre élection.
Autrement dit, au moment même où il exerce son libre choix, il choisit
de se soumettre aux décisions d'un autre. C'est un acte d'abandon de
son libre arbitre. Il n'est même pas besoin de savoir si l'autre est
un exploiteur, un voleur, un menteur. Toute délégation de pouvoir est
un abandon de sa propre vie, une soumission, un renoncement. Et là,
c'est de la soumission librement consentie, la démission absolue. Etre
libre, c'est avant tout refuser cela, refuser que l'on décide à notre
place. Se parler, se convaincre, s'arranger, oui, cela a un sens. Mais
abdiquer, non, jamais !".

Personne ne sait ce qui sortira du chapeau médiatique soir,
quelles seront les compositions desdeux équipes qui iront en finale.

Tiens la finale, ne demandez pas à Francis s'il ira voter ce jour là.
Y peux pas, il va jouer aux boules avec Jean-Claude. Quant à Guy, il
bouffera des patates avec Paul en regardant le match à la télé. En
tous cas, après ce grand carnaval électoral, la vie continuera avec
les mêmes humiliations, les mêmes voleurs de pauvres, les mêmes
mensonges, les mêmes insultes.

Pas sûr ! Ces shows démocratiques, ce sont aussi des fabriques de
colère, de rage, de désir de tout foutre en l'air, de respirer en
inventant un autre monde. On est de plus en plus, nous les
abstentionnistes.
 
A nous tous, les abstentionnistes, les sans-droits
civiques, les non-inscrits, les sans-papiers, les sans-pays, les
sous-tutelles, on est la majorité de ce pays, de tous les pays !


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22 avril 2007 7 22 /04 /avril /2007 12:55
Association des maires de grandes villes de France (AMGVF)


 Cette association vient de rendre publique une étude réalisée avec Dexia Crédit local sur "Les services eau et assainissement dans les grandes villes et leurs groupements". Soulignant que ces compétences sont désormais majoritairement exercées par les groupements de communes, elle révèle surtout que les responsables des 12 municipalités et 24 groupements interrogés, envisagent, pour 31% d’entre eux, de revenir à une gestion directe des services, proportion qui monte à 40% pour le traitement des eaux usées.

I)Analyse les évolutions enregistrées entre 1999 et 2006

l’étude publiée se base sur les conclusions d’une enquête conduite auprès de 12 municipalités et de 24 groupements intercommunaux (17 communautés d’agglomération, 6 communautés urbaines et un syndicat d’agglomération nouvelle).
 L’organisation des services d’eau et d’assainissement pour la production et la distribution d’eau potable, ainsi que la collecte et le traitement des eaux usées, illustre la montée en puissance des intercommunalités.

La prise en charge de la compétence "production d’eau potable" par les groupements à fiscalité propre (GFP) est ainsi passée de 27% en 1999 à 43% en 2006, et la compétence "distribution d’eau potable" de 24% à 43%.

En 2006, dans 59% des territoires concernés, la distribution comme la production d’eau potable est une compétence intercommunale.
 "La collecte des eaux usées a été l’une des compétences les plus transférées de 1999 à 2006 vers les intercommunalités", souligne l’étude.

Dans les trois quarts des territoires, elle est aujourd’hui assurée par les groupements et syndicats. Déjà majoritaires en 1999 pour le traitement des eaux usées dans les grandes villes (59%), les groupements ont encore renforcé leur poids en la matière : ils assurent désormais cette compétence dans 78% des territoires ayant répondu à l’enquête.
 Au niveau des modes de gestion des services, aucune évolution majeure n’a été relevée par l’étude depuis 1999.

Toutes compétences confondues, la gestion déléguée et mixte ne se développe que marginalement dans les grandes villes : elle s’applique à 53% des territoires en 2006 soit 3 points de plus qu’en 1999.

II)conclusion provisoire

 A l’horizon 2010, plusieurs grandes collectivités ont répondu vouloir changer leur mode de gestion : 14% pour les activités liées à l’eau potable, 19% pour le traitement des eaux usées et jusqu’à 20% pour ce qui concerne la collecte.
 Parmi les projets d’investissement évoqués, les plus fréquents sont liés aux réseaux (29%), avec majoritairement des renouvellements de canalisations.

Viennent ensuite les stations d’épuration (21% des projets, qui sont aussi les plus onéreux avec un coût moyen de 20,4 millions d’euros par unité), le traitement de l’eau avec de nouvelles stations ou la mise en place de nouvelles techniques de dépollution (20% des projets), les captages d’eau (11%) et les branchements liés aux réseaux, principalement pour des opérations de renouvellement (10% des projets).

III) Les changements envisagés à l’horizon 2010

« En ce qui concerne le mode de gestion de ces services, les collectivités sont légèrement plus nombreuses (17%) à évoquer un possible changement, à des degrés divers selon les compétences en question : 14% pour les activités liées à l’eau potable, 19% pour le traitement des eaux usées et jusqu’à 20% pour ce qui touche à leur collecte.

(…)

1)Le changement de mode de gestion consisterait en priorité en un changement de délégataire des services publics d’eau et d’assainissement (52% des cas).

Vient ensuite une volonté de retour en gestion directe des services (31%), proportion montant à 40% pour le traitement des eaux usées.

A l’inverse, une délégation de services est envisagée dans 10% des cas cités (14% pour l’eau potable).

La catégorie « autres » rassemble les collectivités indécises, mais qui ont marqué leur souhait de faire évoluer leurs modes de gestion des services publics. »

(…)

L’évolution envisagée du mode de gestion intervient avant tout lors de l’arrivée à échéance d’un contrat de délégation (51%). Les collectivités peuvent profiter du nouvel appel d’offre pour changer d’organisation ou remettre en concurrence les candidats.

2) La mise aux normes d’infrastructures est aussi une occasion, citée par 21% des territoires envisageant un changement de mode de gestion, par exemple quand le montant des travaux est très élevé ou que la mise en œuvre réclame denombreuses connaissances techniques (nouvelles normes...).

3) Enfin, 21% citent l’harmonisation des procédés entre les communes d’une communauté comme motif de remise à plat des dispositifs.

Des collectivités envisagent par ailleurs des changements de mode de gestion ou d’organisation, mais à plus long terme. En effet, les durées des contrats de concession ou d’affermage, pouvant parfois atteindre 30 ans, font que certains contrats en cours arriveront à échéance après 2010.

Certaines collectivités n’engagent donc pour le moment aucune réflexion, même si tout laisse à penser que le transfert naturel des compétences des villes vers leurs groupements s’observera encore pendant la prochaine décennie.

Par ailleurs, les communautés dernièrement créées n’ont parfois pas encore eu le temps d’envisager quelconque scénario pour les années à venir. Certaines, n’ont fait que signaler un intérêt éventuel pour la prise en charge de compétences dans ces domaines.

Des acteurs ont pu, néanmoins, sans attendre l’échéance des contrats, introduire des avenants aux contrats signés avec leurs délégataires. Des notions d’évaluation de la performance des prestations ont pu ainsi être introduites, au travers d’une série d’indicateurs technico-financiers. Cela peut éventuellement être une tendance qui se confirmera dans les années à venir."

L’étude de l’AMGVF et Dexia Crédit Local :

« Les services publics d’eau et d’assainissement dans les grandes villes et leurs groupements »

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22 avril 2007 7 22 /04 /avril /2007 12:39
note: j'ai remarqué alors que je collais des affiches pour l'apero de soutien de mardi au laboratoire, une petite lettre affichée dans l'hyper centre  de Valence
, elle s'intitule tous pourri ... Ce texte n('a rien à voir d'un texte d'un anarchiste ni d'un individualiste. Nous no pasaran_26 et cnt-ait _ valence nous avons appelé de ne pas voter pour la seule raison , nous sommes contre le pouvoir vertical, contre la délégation à toutes personnes. Les choses doit être claire, nous pensons pas comme le pen.  Ni avec n'importe quel populiste,  Les extrémistes de droite ne recule devant aucune  peine. Pas de confusion , nos choix sont très clairs et nous sommes solidaires de ceux qui trouvent gonfler: d'appeler à voter alors qu'on assassine dans les prisons de la "république", ceux qui manifestent par des actions directes( à Marseille comme ailleurs) contre cette mascarade.
ci dessous un petit avertissement, allez voir dans les liens
Votre voisin fait peut-être partie de la police...
... et vous ne le savez pas encore. Il vous expliqué qu'il travaille au supermarché du coin, et effectivement il vous arrive de l'y apercevoir quand vous faîtes vos courses. D'ailleurs, même si vous ne l'appréciez pas particulièrement (en fait c'est lui qui vous fait la gueule, vous ne savez pas pourquoi), vous savez qu'il n'est pas un menteur. Enfin, vous avez du mal à l'imaginer avoir une double vie.

Il n'en a pas. Vous habitez seulement un des vingt-cinq départements français choisis pour expérimenter le « Service Volontaire Citoyen de la Police Nationale ». Votre voisin a déposé sa candidature. Après enquête administrative, il a été accepté.

Il est ainsi devenu, sur son temps libre, un supplétif bénévole de la Police. Il n'a bien sûr pas le droit de vous verbaliser. Ses missions peuvent être variées. Les vingt-cinq préfectures concernées mettent souvent en avant les « actions de médiations ».

Comme vous n'êtes pas spécialement en bons termes, il ne vous en a pas encore parlé. Rien ne l'y oblige.

Vous l'apprendrez bien un jour de toutes façons. Les occasions d'être en contact avec la Police ne manquent pas.

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22 avril 2007 7 22 /04 /avril /2007 07:12
Kenny Arkana s'exprime sur ses chansons détournées par le Front National et nous envoie une nouvelle chanson


Une personne mal-intentionnée a re-monté le clip de "La Rage" de Keny Arkana sur sa chanson "Nettoyage au Kärcher", et ce faux est largement diffusé sur les sites et fora (forums) affiliés au Front National.
Pour mémoire le clip original de Keny est ici : http://www.because.tv/artistes/keny-arkana/index.php
Et voici ce que le FN ou l'un de ses sympathisants en a fait : http://www.fn06.net/clip_nationaliste.html?source=maj160407
Ci-dessous vous pourrez lire le droit de réponse de Keny Arkana, et écouter et diffuser "le Front de la Haine", sa réponse en rap !

DROIT DE REPONSE DE KENY ARKANA :

J'ai appris avec horreur que le Front National a détourné le clip de
"La Rage" et le morceau "Nettoyage au Karcher" à des fins électorales.

En effet le clip diffusé sur le site du Front National ainsi que sur Youtube est le résultat d'un montage réalisé sans mon accord ainsi que sans celui de ma maison de disques.


Défenseuse d'une révolution du bas et anti-institutionnelle
, je tiens
à rappeler que je ne soutiens aucun candidat, encore moins celui du
Front National, et que ce clip est en parfaite contradiction avec les
valeurs que j'ai toujours défendues.

Je ne reste pas indifférente à ce détournement perfide et scandaleux
de ma musique et de mon message, mais cela met en évidence leur
stratégie éhontée de propagande qui ne manque pas de porter atteinte
à mon oeuvre.

Le Combat Continue, Vive La Résistance !

Keny Arkana
"la fin est dans les moyens comme l'arbre est dans la graine"


"LE FRONT DE LA HAINE" - LE MORCEAU
http://www.keny-arkana.com/Keny_Arkana-Le_Front_de_la_Haine.mp3

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22 avril 2007 7 22 /04 /avril /2007 06:57


Le 22 avril 1916, mort d'Oscar W. NEEBE.
Militant anarchiste américain impliqué dans le procès des événements d'Haymarket. Fils d'émigrés allemands, il naît à New-York le 12 juillet 1850. Mais c'est en Allemagne qu'il recevra son éducation. En 1866, il retourne aux Etats-Unis où il travaille comme ouvrier étameur à Chicago. Il commence alors à militer dans les rangs socialistes, évolue vers l'anarchisme, collabore aux journaux " Chicagoer Arbeiter-Zeitung" et "Der Verbote" et prend part à la création d'une section de "l'International Working People's Association" (I.W.P.A) à Chicago. Il est par ailleur le fondateur de la "Beer Wagon Drivers Union" qui deviendra plus tard la puissante "Teamsters Union" (syndicat des camionneurs).
Le 4 mai 1886, il n'est pas présent lors du tragique meeting de Haymarket, mais désigné à la vindicte publique par une presse hystérique aux ordres du patronnat. Il est arrêté avec les autres leaders anarchistes qui avaient oeuvré à la mobilisation pour la journée de 8 heures, le 1er mai. Malgré un manque flagrant de preuves, il est condamné le 20 août 1886 à quinze années de réclusion (ses compagnons seront quant à eux condamnés à mort et exécutés le 11 novembre 1887). Réhabilité en 1893, après la révision du procès, il retrouve alors la liberté après sept ans d'emprisonnement.
Ce qu'est l'anarchie, ce que sont les anarchistes, nous allons le dire :
Les anarchistes, messieurs, sont des citoyens qui, dans un siècle où l'on prêche partout la liberté des opinions, ont cru de leur devoir de se recommander de la liberté illimitée.
Oui, messieurs, nous sommes, de par le monde, quelques milliers, quelques millions peut-être - car nous n'avons d'autre mérite que de dire tout haut ce que la foule pense tout bas- nous sommes quelques millers de travailleurs qui revendiquons la liberté absolue, rien que la liberté, toute la liberté !
Nous voulons la liberté, c'est-à-dire que nous réclamons pour tout être humain le droit et le moyen de faire tout ce qui lui plaît, et ne faire que ce qui lui plaît ; de satisfaire intégralement tous ses besoins, sans autre limite que les impossibilités naturelles et les besoins de ses voisins également respectables.La liberté d'autrui est la condition de ma liberté;
Pourquoi nous sommes si égoiïstes

 

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22 avril 2007 7 22 /04 /avril /2007 06:43
Sommes-nous tous des égoïstes ?ce soir
 
Tant de courants pourquoi ?

A l’heure de l’élection du bouffon présidentiel, futur privilégié avec tout un lot de privilèges à la clé (budget d’environ 40 millions d’euros attribués à sa seule personne pour ses petits petits faux frais), on est loin de l’égalité promise dans la fameuse devise républicaine : "liberté,égalité,fraternité"

Un abus parmi tant d’autre de notre système pipé d’avance, qui en bon héritier de la monarchie, on a gardé le mode de récompense.

Que se passe t’ il par ailleurs pour le bon peuple : peu de chose. Les ONG compensent tant bien que mal les faiblesses de l’état dans de très nombreux domaines : médecine (MSF....), personne en forte détresse, Sdf, travailleurs pauvres (Emmaus, Ass. Coluche.....).

N’oublions pas certains de nos anciens à qui l’état fait l’aumône d’ env. 400 euros mensuels et qui très souvent finissent oubliés dans des mouroirs.

N’oublions pas non plus ces humains qui viennent du bout monde pour éviter la mort sur leur propre sol et qui reçoivent pour toute solidarité, des bidonvilles ,des coups sur leur soit-disant peau de ganster, poursuivis, arrêtés, parqués.

Bien sur on nous dit, nous répète, nous surine que la France est une grande puissance, que l’argent est là. Mais où ? Certainement pas dans le nouveau tiers-état où se débat une grande majorité.

Nous subissons cet apartheid que l’on a crée entre nous : jeunes vieux, colored, white, intelligent ? manuel, tout pour que nous nous replions et accouchions d’une société violente, discriminatoire et ÉGOISTE. Pour certains le seul but est de survivre, pour d’autres de paraitre et de sauver les apparences ou plutôt leur dignité.

Que se passe-t’ il quand une multitude de voix s’élève de la plèbe pour défendre son petit pré carré, sure de son point de vue, de ses solutions pour changer ce fatras ?. Toutes les musiques sont belles, mais quand la symphonie devient cacophonie le discours saoule et nous rend sourds. Leurs adversaires détiennent l’argent le pouvoir, l’armée. Ils sont solidaires pour défendre par tout les moyens leurs privilèges et parlent d’une seule voie.

Vos sensibilités sont différentes, d’accord.
Mais ne soyez pas ÉGOISTES !

12 MILLIONS DE PERSONNES (chiffre fondation abbé Pierre) se foutent de tous les partis et organisations : leur principale préoccupation est de "passer le mois".

Alors unissons-nous enfin pour combattre notre ennemi commun : le capital.

UN SEUL PEUPLE, LE MONDE POUR TOUS

 

répondre à cette article, ce soir  dimanche à 20h projection TV le film de kenny, pourquoi passer la soirée enferméEs.

résistance !!!

 Ce film a été plagié par Des fachos sur leur site

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21 avril 2007 6 21 /04 /avril /2007 22:31
Le Mans : Actes de sabotages à l’usine Renault
(Le 20 avril 2007)

LE MANS, 20 avr 2007 (AFP) - 18h55

Actes de sabotages à l’usine Renault du Mans, la direction porte plainte

La direction de l’usine Renault du Mans a annoncé vendredi avoir porté plainte pour des actes de sabotage sur son outil industriel constatés jeudi soir dans un contexte social tendu, dix jours après le licenciement de cinq salariés pour faute grave. La direction du site, qui emploie 3.000 personnes à la fabrication de châssis, a dénoncé des "actes de sabotages intolérables" sur l’installation de la X91, la remplaçante de la Laguna.

La CFDT, syndicat majoritaire au Mans, a condamné "très fortement ces agissements inadmissibles qui pénalisent l’outil de production", dans un communiqué. Le syndicat a également déploré des tags apposés sur ses panneaux d’affichage, dont des croix gammées et des insultes. Par ailleurs, la façade du CE a été endommagée jeudi soir par un incendie, qui s’est déclaré dans une haie aux abords immédiats du bâtiment.

Il y a une dizaine de jours, cinq salariés de l’usine Renault du Mans avaient été licenciés pour faute grave à la suite de violences commises en marge d’un mouvement de grève en mars. Ce mouvement, organisé par la CGT, combattait un projet de flexibilité du temps de travail. Les cinq salariés, dont deux ont 25 ans d’ancienneté, avaient été mis à pied pour des "agressions physiques et verbales", selon la direction. La CGT avait dénoncé "des sanctions scandaleuses, rarissimes et lourdes de conséquences" et indiqué qu’elle envisagerait des recours. Le plan de flexibilité avait été signé par trois autres syndicats (la CFDT, la CFE/CGC et FO) le 16 mars.

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21 avril 2007 6 21 /04 /avril /2007 22:16
'homme de 51 ans a été découvert pendu sur son lieu de travail à Mulhouse. Le drame intervient deux mois après le suicide d'un salarié de l'usine Peugeot-Citroën de Charleville-Mezières.

 

(Reuters)

(Reuters)

La série noire continue.
 Un ouvrier de 51 ans de PSA Peugeot-Citroën a mis fin à ses jours jeudi sur son lieu de travail à Mulhouse, a-t-on appris vendredi 20 avril auprès de la direction et des syndicats qui réclament que "toute la lumière soit faite".
L'homme a été découvert vers 13H00, pendu dans un local technique de l'unité mécanique, a-t-on précisé auprès de la direction. Employé comme metteur au point, il circulait entre différentes unités de manière "relativement autonome" pour y effectuer des contrôles de mesures.
"Tous les éléments objectifs font ressortir qu'il était satisfait de sa mission et qu'il était apprécié de sa hiérarchie", selon la direction qui précise qu'il avait bénéficié d'une augmentation et d'une promotion en 2005 et en 2006.


"Sous le choc"

"Nous sommes tous sous le choc", a précisé Vincent Duse, secrétaire CGT à PSA Mulhouse, qui rappelle que ce drame intervient "dans un contexte particulier" après le suicide début février d'un salarié de l'usine PSA Peugeot-Citroën de Charleville-Mézières qui avait invoqué ses conditions de travail dans une lettre d'adieu, et trois suicides en quelques mois au Technocentre de Renault à Guyancourt (Yvelines).

"Nous demandons que toute la lumière soit faite pour que cela n'arrive plus", a précisé Vincent Duse, tout en appelant à ne pas "se précipiter" en tirant des conclusions hâtives sur les raisons du suicide. La gendarmerie a ouvert une enquête.

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