Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Présentation

  • : le blog lelaboratoire
  • : Le blog du laboratoire anarchiste est un blog actif a propos de l'actualité sociale
  • Contact

Pour nous contacter

Le laboratoire Anarchiste
8 Place st Jean
26000 Valence

envoyer vos suggestion

sur:

new:c.l-v@hotmail.fr

rappel envoie aucun message à

le laboratoire@no-log.org


 


Bibliothéque  de prêt

infokiosques
le mercredi de  16h30 - 19h

Accueil/infos SIAD-AIT
vendredi toutes les deux semaines

de  17h30à19h

Emission radio Labo
sur radio Mega
99.2FM
lundi en direct
18h15 - 19h
rediffusion:
jeudi de 9h à  9h 45
http://radio-mega.com
04 75 44 16 15

Recherche

Texte Libre

La tyrannie la plus redoutable n'est pas celle qui prend figure d'arbitraire, c'est celle qui nous vient couverte du masque de la légalité." Albert Libertad

Archives

le blog du laboratoire anarchiste

File:Wooden Shoe.svg
24 avril 2007 2 24 /04 /avril /2007 00:02
trouvé sur rebellyon
Génocide arménien : le devoir de mémoire contre tous les nationalismes !

 

C’est le lent démantèlement de l’Empire Ottoman qui mena au pouvoir les fractions politiques les plus virulentes contre les minorités qui composent cette région immense à la fin du XIXe siècle. C’est au nom d’une idéologie raciste que furent menées deux vagues successives d’attaques violentes contre les arméniens qui peuplent cette région : tout d’abord entre 1894 et 1896 puis lors de la Grande Guerre de 1914-1918.

Personne ne conteste ces massacres qui ont fait près d’un million et demi de morts faisant ainsi disparaître deux tiers de la population arménienne de l’Empire Ottoman. La contestation qui a encore cours aujourd’hui consiste à nier la planification et l’objectif d’éliminer tous les arméniens (le génocide), il existe aussi  un désaccord sur le nombre des victimes. Pourtant beaucoup d’historiens et de centres d’histoire ont rassemblé nombre d’archives du gouvernement turc et des instances consulaires, en particulier des écrits du ministre de l’Intérieur Talaat Pacha (assassiné à Berlin le 16 mars 1921 par un jeune Arménien) qui écrivit par télégramme durant la première guerre mondiale : « Le gouvernement a décidé de détruire tous les Arméniens résidant en Turquie. Il faut mettre fin à leur existence, aussi criminelles que soient les mesures à prendre. Il ne faut tenir compte ni de l’âge, ni du sexe. Les scrupules de conscience n’ont pas leur place ici » ou encore : « Il a été précédemment communiqué que le gouvernement a décidé d’exterminer entièrement les Arméniens habitant en Turquie. Ceux qui s’opposeront à cet ordre ne pourront plus faire partie de l’Administration. Sans égard pour les femmes, les enfants et les infirmes, quelques tragiques que puissent être les moyens d’extermination, sans écouter les sentiments de la conscience, il faut mettre fin à leur existence ».

Le gouvernement turc fut l’allié des allemands et des autrichiens lors de cette guerre, certains affirment même que le régime nazi, quelques années plus tard, s’inspira des méthodes du gouvernement turc : élimination de la classe possédante, des intellectuels, spoliation des biens, travail forcé pour les hommes et déportation des femmes et des enfants avec son lot d’assassinats massifs. Il est important également de dire qu’en 1924, le gouvernement turc tente de parachever son oeuvre de purification en expulsant les derniers grecs présents à Istanbul. Le nationalisme cultivé par Mustafa Kémal a encore de nombreux fidèles aujourd’hui.

A Lyon, le samedi 18 mars 2006, une manifestation des associations culturelles turques de la région a rapidement dégénéré tant il y avait de véhémence et de violence de la part de bon nombre de manifestants, ceux qui se proclament de Talaat Pacha par exemple, les jeunes turcs ; ils voulaient en découdre avec d’autres manifestants venus s’opposer à cette manifestation. On a pu lire des slogans honteusement racistes et niant le génocide, on a pu voir le vrai visage de cette mobilisation : la haine. Cette manifestation fut pourtant autorisée par le préfet malgré la demande insistante de beaucoup d’Arméniens de la région et de responsables politiques de l’interdire. Le préfet reconnaît tout de même aujourd’hui son erreur. Néanmoins, ce jour-là des personnes sont inculpées, et non parmi les racistes, et tout cela à cause de cette faute lourde du préfet.
Partager cet article
Repost0
23 avril 2007 1 23 /04 /avril /2007 23:53
Nous sommes heureux de vous faire partager le dernier numéro de que
 fait la police?
et
Peut-on laisser criminaliser un acte citoyen ?

Monsieur Ramon Moya sera jugé le jeudi
26 avril 2007 pour injures à contrôleur et résistance avec violences à
trois agents de police. Un comble, puisque c’est lui qui fût injurié
par le contrôleur et qui a subit les violences de la part des agents.

trouvé dans numero zero




ensemble des numéros en ligne est disponible sur


http://quefaitlapolice.samizdat.net

Editorial : Répression à la carte ...

Quel que soit le candidat dont le nom sortira des urnes, le 6 mai 2007, une
certitude : l'importance du rôle de la police n'a été remise en cause par aucun des
favoris à l'élection présidentielle. Nous savons, d'expérience, qu'à chaque victoire
de la droite, les lois sécuritaires sont durcies, tout comme sont plus menacés les
sans papiers. Comme si la République ne pouvait être sauvée qu'au prix d'un tour de
vis supplémentaire. Nous savons également que lorsque la gauche est de retour au
pouvoir, les lois scélérates de la droite ne sont pas abrogées. C'est ainsi que les
lois Pasqua de 1986 ont été, malgré les promesses électorales, conservées par la
gauche entre 1988 et 1993 - particulièrement en ce qui concerne les immigrés sans
papiers. C'est ainsi que, de 1997 à 2002, 1es lois Pasqua et Debré ont été non
seulement maintenues par le gouvernement Jospin mais qu'elles ont été parfois
durcies par les ministres de l'Intérieur Chevènement et Vaillant.

On nous fera remarquer qu'il ne faut pas préjuger de l'avenir mais comme les
candidats ne se sont guère prononcés sur ce sujet, il convient d’être inquiet, sinon
circonspect. Ce qui est sûr, c'est que certains sont plus répressifs que d'autres,et
ils ne cachent pas leur volonté de mettre au pas une société qui serait réticente à
leurs projets. En face, ceux qui affirment vouloir rétablir un climat plus
démocratique, doivent être assurés que nous ne manquerons pas de surveiller leurs
pratiques - au-delà du rétablissement d'une police qui n'aurait de proximité que le
nom.

Les uns et les autres sont des fidèles de la religion de l'ordre. Pour les plus
durs, l'ordre et la morale sont associés, ce qui peut nous conduire à un Etat
autoritaire, où le droit de se taire primerait sur la possibilité de s'exprimer.
Pour d'autres, l'approche est plus pudique, mais il est indispensable de savoir ce
qui se cache sous la promesse d'un ordre juste.

Maurice Rajsfus


La suite : http://quefaitlapolice.samizdat.net/?p=61

QUE FAIT LA POLICE ? - Bulletin d'information anti-autoritaire

http://quefaitlapolice.samizdat.net
Partager cet article
Repost0
23 avril 2007 1 23 /04 /avril /2007 13:18
document trouvésur rebellyon.
 C'est maintenant le changement de mentalité. A faire circuler;à Lyon comme ailleurs:
prenons nos affaires en main!!!


Après le Collectif Logement de Lyon qui recense tous les logements inoccupés secteur par secteur, c’est la CGT qui fait aussi cette recherche en publiant le questionnaire ci-dessous visant à identifier les logements vides.

RECENSEMENT DES LOGEMENTS ET BUREAUX VIDES
dans le département du Rhône

FICHE A RETOURNER AU SYNDICAT PEP-CGT/69.
Syndicat des Privés d’Emploi et des Précaires CGT
c/o Union Locale CGT 1,2,4 - 31 rue Quivogne - 69002 Lyon
Adresse mail : pepsy.cgt69@wanadoo.fr

Adresse à laquelle se situent le ou les locaux vides : ...................................................................................................................

Précisez l’identité du propriétaire si elle est connue : ...................................................................................................................

1- Dans quel type de construction se trouvent ces locaux vides : maison ...................
immeuble d’habitation .......
ensemble de bureaux .......
2- Si il s’agit d’un immeuble d’habitation ou de bureaux, le bâtiment est-il :
entièrement vide ............
partiellement occupé ........
3- Si il s’agit d’un immeuble d’habitation ou de bureaux entièrement vide indiquez :
le nombre d’étages : .........
4- Si il s’agit d’un immeuble d’habitation ou de bureaux partiellement occupé indiquez, (si possible ) :
le nombre de locaux vides :..
le nombre d’étages vides : ...

Dans tous les cas, merci de préciser les points ci-dessus ( si possible ) :

5- Surface estimée des locaux vides : .... m2
6- Ancienneté estimée de la vacance des locaux (depuis combien de temps sont-ils vides) :
........... ans

7- Ces locaux sont :
récents ....................
anciens ...................
8- Etat apparent des locaux :
très bon état ..................
état moyen ..................
mauvais état .................
9- Y a-t-il eu à votre connaissance une transaction immobilière à l’origine de cette vacance :
oui .........................
non .........................
information non disponible...

Commentaire : ................................................................................................................... ................................................................................................................... ................................................................................................................... ................................................................................................................... ................................................................................................................... ................................................................................................................... ................................................................................................................... ................................................................................................................... ................................................................................................................... ................................................................................................................... ................................................................................................................... ................................................................................................................... ...................................................................................................................

(imprimer, remplir et retourner à : )
Syndicat : PEP - CGT / 69 - c/o UL-CGT 1-2-4
31 rue Quivogne - 69 002 LYON
Fax : 04 78 38 02 92
Mail : pepsy.cgt69@orange.fr
Partager cet article
Repost0
23 avril 2007 1 23 /04 /avril /2007 12:43
Le Code du travail a déjà perdu l'élection

Camouflé par le grand barnum électoral, le gouvernement Villepin a fait passer en douce une ordonnance pour tailler en pièces le Code du travail. Un dernier coup de pouce à la France du « changement ».

Ni vu ni connu. Profitant de la diversion créée par la campagne électorale, le gouvernement Villepin a promulgué une « recodification » du Code du travail. Tirée le 7 mars, cette dernière salve réjouit le Medef, qui la réclamait depuis cinq ans, mais aussi Nicolas Sarkozy, qui a promis à maintes reprises de désosser les protections légales conquises par les salariés. Ce n'est pas si souvent qu'un candidat applique son programme avant même d'être élu. Hélas ! Accaparés par le sondage du jour, les médias ont négligé de saluer cette performance. Pas un mot dans les journaux télévisés ni dans la presse quotidienne – à l'exception d'un article du Monde, qui relaie la version courtoise d'un pouvoir légitimement soucieux de « réécrire » le Code du travail « en français de tous les jours » (7.3.07).

Il est vrai que Gérard Larcher, le bourbonien ministre délégué à l'Emploi, a revêtu sa tronçonneuse d'une perruque Louis XVIII. L'ordonnance du 7 mars ne s'attaque qu'à la partie législative du Code, laissant au prochain gouvernement le soin d'en charcuter la partie réglementaire. Une fois retaillé des pieds à la tête, le nouveau Code devra encore être ratifié par le Parlement avant d'entrer en vigueur. La démolition du droit du travail est un chantier ardu qui exige persévérance et doigté. Inutile cette fois de lâcher le mot anxiogène de « réforme » : on parlera de « remise à plat progressive », d'une « démarche concertée » pour simplifier un droit du travail « devenu trop complexe ».

Écartelage et toilettage
Reste que le « français de tous les jours » se parle avec un fort accent de Neuilly. Dans le chapitre sur l'emploi, par exemple, le Code Larcher ne propose plus de « prévenir les mutations économiques » mais de « les anticiper et de les accompagner ». Plus loin, un nouveau chapitre intitulé « dispositions communes à tous les contrats » préfigure le contrat unique cher à Laurence Parisot, la madone du Medef, pour qui « la liberté s'arrête là où commence le Code du travail ». Autre subtilité sémantique : des principes énoncés naguère à l'impératif se déclinent désormais au présent de l'indicatif. Ainsi, la formule « l'employeur doit consulter » devient « l'employeur consulte ». La notion d'obligation, trop « complexe », a sauté au passage.

La chafouinerie patronale se reconnaît aussi à la réorganisation des passages sensibles. Le licenciement collectif a été transféré dans le chapitre sur les relations individuelles, ce qui rabaisse la garantie collective au rang d'un contrat de gré à gré. Plus sournoisement, le gouvernement fait basculer certaines dispositions du registre législatif dans le domaine réglementaire. Résultat : les seuils à partir desquels toute entreprise doit désigner un délégué du personnel (ou un comité d'entreprise) ne seraient plus garantis par la loi. Chaque gouvernement pourrait relever ces seuils à sa convenance, du jour au lendemain et sans vote parlementaire.
Par ailleurs, la durée du travail a disparu du chapitre sur les conditions de travail pour être rattachée à celui des salaires, manière d'exaucer une vieille exigence du Medef, qui ne veut considérer les questions de repos et de congés que sous l'angle du coût financier. L'inspection du travail, elle, est désormais noyée dans un vaste chapitre sur « l'administration du travail »... On n'en finirait plus d'énumérer les « simplifications » de ce genre. Par petites touches techniques d'allure inoffensive, le Code Larcher déroule le tapis rouge aux bétonnières du patronat. Un legs de Chirac aux salariés, en témoignage de son amour.

« Cette réécriture est une machine à modifier l'interprétation des juges », dénonce au Plan B le juriste Philippe Masson, chargé du dossier à la CGT. Les confédérations syndicales l'ont d'autant plus amère qu'elles ont d'abord joué le jeu du « dialogue social », avant de voir leurs suggestions balayées par les promoteurs du plan de casse. Ces derniers n'avaient qu'un souci : combler les désirs les plus fous de la branche politique du Medef, avant que le gouvernement Villepin n'exhale son dernier soupir.

La gestation de l'ordonnance remonte à novembre 2003, lorsque François Fillon – alors ministre des Affaires sociales – nomme une commission de neuf vandales chargés de « toiletter (1) » le Code du travail. Face à un Parti de la presse et de l'argent (PPA) séduit par son appartenance à la mystérieuse « sensibilité sociale » de l'UMP, Fillon tient un langage de vérité : « Je souhaite que, sur l'organisation du travail et sur les heures supplémentaires (contingent et rémunération), les entreprises retrouvent une plus grande liberté » (Les Echos, 20.11.03). Pour garantir la fiabilité des travaux, Fillon confie la présidence de la commission à Michel de Virville, secrétaire général et directeur des ressources humaines du groupe Renault. L'homme qui, en 1997, par conférence de presse, avait appris leur licenciement aux trois mille ouvriers de Vilvorde.

Un cavalier pour le Medef
Les conclusions de la commission Virville ravissent le gouvernement. Mais un calendrier chargé repousse à plus tard leur mise en application. Jusqu'au 9 décembre 2004, quand la loi dite « de simplification du droit » lâche Gérard Larcher sur la bête. On notifie un délai au molosse : il devra soumettre sa copie au Parlement avant fin juin 2006, faute de quoi le Palais Bourbon lui remettra sa muselière. Larcher traîne la patte. Lorsqu'il boucle enfin sa « traduction » du Code, le CPE jette des millions de manifestants dans les rues. Échaudé, Villepin préfère ranger la copie dans ses braies. Tant pis pour la date butoir, on trouvera autre chose quand les circonstances seront plus clémentes.

Elles le seront dès la rentrée suivante : les 11 octobre et 30 décembre 2006, l'Assemblée nationale autorise Larcher à se remettre à l'ouvrage. Pour lui accorder cette seconde chance, Villepin recourt à une astuce appelée « cavalier parlementaire ». La méthode consiste à court-circuiter les députés en enfouissant un texte venimeux dans un fourre-tout plus anodin. Dans le cas de Larcher, la réécriture intégrale des trois mille articles du Code du travail est entérinée par un simple amendement à la loi sur... la participation et l'actionnariat des salariés. Francine Blanche, secrétaire confédérale à la CGT, le souligne : « Depuis 2002, nous devons surveiller à la loupe chaque article de chaque projet de loi pour vérifier qu'il ne contient pas de cavalier parlementaire sur le droit du travail. » Cette fois, le coup fourré n'échappe pas aux députés PS Charzat, Vidalies et Le Garrec, qui font valoir à l'hémicycle que le projet du ministre « n'a pour seul objectif que de réduire la portée du droit du travail ». À quoi Larcher répond que « cette réécriture se fera à droit constant », comme la loi l'y oblige. « Malheureusement ! »

Les cadences de la machine à découdre le droit du travail dépendront de la prochaine majorité. Il n'y a que l'embarras du choix : en cas d'échec de son champion Sarkozy, le Medef pourrait assouvir son « désir d'air » auprès de François Bayrou( le candidat de l'opus dei), partisan du contrat unique et d'une renégociation de la durée de travail branche par branche. À moins qu'il ne s'exauce chez Ségolène Royal, qui a fait entendre sur le sujet des positions prometteuses. « Le contrat se substituera à la loi », déclarait la candidate socialiste le 17 octobre dernier. Le DRH de Vilvorde n'aurait pas dit mieux.

Notes :
(1) Expression forgée en juin 2005 par Patrick Ollier, alors président de la Commission des Affaires sociales de l'Assemblée nationale. Selon Le Petit Robert, le toilettage est l'action qui consiste à déplore en écho le député UMP Xavier de Roux.
« faire la toilette d'un animal de compagnie ».

Le Plan B n°7 (avril - mai 2007)

Partager cet article
Repost0
23 avril 2007 1 23 /04 /avril /2007 12:29
vendredi au cours de la manifestation deux militants du Laboratoire ont fait l'interview des manifestants diffusion de l'inteview au cours de l'émission de radio labo écouter en direct sur 99.2 de 18h15 à 19h et sur radio-mega.com aux heures de l'émission . pour mieux comprendre ( suivre cette entretien ) . des éducateurs du foyer l'étape en grève après un conflit avec la ddasont déclaré: c'est dans l'unité dans les luttes qu'ont peu vaincre. Unité avec les résistants d'OSER
OSER, une association au coeur de l’apartheid social, entre en résistance !

 

L’association OSER, accompagnée de militants, de sympathisants et de résidants du FAR, se mobilise depuis le 5 janvier contre la diminution des budgets qui leur sont alloués, et qui pourrait entraîner la fermeture de l’établissement.

Plusieurs manifestations ont eu lieu, et des recours grâcieux ont été envoyés à la préfecture, qui ne leur a pas donné suite.

Injuriée par la DDASS, l’association OSER répond de ces accusations et participe, depuis le 12 janvier, au campement établi devant la préfecture de l’Ain, dans le square Joubert à Bourg-en-Bresse.

Soutenue par la population et par diverses personnalités, ses propositions n’ont pour l’instant pas été entendues, mais plus que jamais, la lutte continue !

L’association OSER est implantée à Bourg-en-Bresse depuis une trentaine d’années, se donne pour mission l’aide aux exclus, marginaux et publics précaires en les assistant dans la réinsertion sociale, l’hébergement, le retour au travail.

Mais voila que l’hôpital se fout de la charité : différents pouvoirs publics, démissionnaires de fait de ces missions déléguées à l’organisme, se permettent de mettre en cause le travail accompli au prétexte de quelques malheureuses dépenses. Pour se défendre, des membres d’OSER ont dressé le camp depuis maintenant plusieurs semaines. En deux articles, OSER présente sa défense par le détail et répond aux attaques du préfet

OSER manifestation à Bourg :
 
Après trois mois de campement, les salariés, résidents, militants, adhérents, et autres sympathisants ont levé le camp du square Joubert. Pas assez selon le préfet, qui condition après condition, s’acharne sur l’association, en attaquant les fondements même du droit de grève. Une grande manifestation est organisée le vendredi 20 avril 2007, Rassemblement à partir de 17H30 au square Joubert devant la préfecture de Bourg-en-Bresse. Venez nombreux, l’avenir de l’association, et du droit de grève sont en jeu !

Respect du droit de grève ! Contre la mise au pas des travailleurs sociaux Liberté pour les associations !

Après 88 jours de grève, les salariés d’OSER ont décidé de mettre fin à l’occupation du square JOUBERT, face à la Préfecture. Cette action durait depuis le 12 janvier et était soutenue par les résidents du FAR et du « Temps des cerises », ainsi que par de nombreux adhérents. La lassitude, l’échec des tentatives d’élargissement du mouvement, notamment en direction des syndicats et des partis institutionnels de la gauche, la difficulté de maintenir le campement tout en assurant la réouverture du FAR, tout cela nous a contraint au repli.

Ce conflit montre jusqu’ou peuvent aller les services de l’Etat pour mettre au pas une association qui dérange. Rien ne nous aura été épargné : accusation de mauvaise gestion, dénigrement du travail de notre expert comptable et de l’administrateur, non respect des procédures budgétaires, atteinte au droit de grève, et surtout refus de toutes négociations sur les propositions faites par OSER dès le 17 janvier.

Dès la fin février, la DDASS et le Préfet annonçaient qu’ils suspendaient le versement de la dotation mensuelle1 du FAR, mettant en péril la trésorerie du principal établissement géré par l’association. Ils nous ont d’abord expliqué que la dotation serait versée à la réouverture du foyer. Quand cela fut fait, ils ont dit qu’il fallait évacuer le square.

JPEG - 1.1 Mo
un repas au camp.

Maintenant que nous sommes partis, ils exigent, pour s’acquitter de leurs obligations légales envers l’association, que tous les salariés soient présent à leur poste de travail. Cette atteinte au droit constitutionnel ne sera pas acceptée par les salariés, d’autant que ceux ci, tout en se déclarant grévistes, assurent le fonctionnement normal du FAR. Pour faire bonne mesure, la DDASS prend tout son temps pour venir constater la réalité des faits retardant un peu plus le versement.

La liquidation judiciaire, évitée le 22 mars grâce à la solidarité financière d’une partie des salariés et d’adhérents, pourrait ainsi être prononcée lors de l’audience du Tribunal de _ Grande Instance, le 9 mai prochain.

Ce conflit restera dans les mémoires comme l’un des plus longs de l’histoire locale. Il a eu un écho auprès de dizaines de militants qui ont assuré pendant trois mois l’accueil, l’animation, l’intendance, malgré le froid. Il aura interpellé des centaines de passants, intrigués par ce camp dont la tenue exemplaire était saluée même par nos détracteurs. Il aura permis de tisser des liens indéfectibles entre les personnes, tout au long des soirées passées, non pas à refaire le monde, mais à réinventer la liberté, la tolérance et la fraternité.

Dans cette aventure, nous défendons, bien sur, la possibilité de garder nos emplois, de ne pas rejoindre les cohortes de licenciés économiques, jetés à la rue par la folie du monde libéral. Mais nous revendiquons le droit d’exercer notre mission d’une manière solidaire vis à vis des populations que nous prétendons aider. En ce sens, ce que nous avons vécu sous la tente cet hiver montre que les travailleurs sociaux peuvent être autre chose que des distributeurs de minima sociaux et les résidents autre chose que des assistés.

Pour toutes ces raisons, une fois encore, nous vous invitons à marcher à nos côtés et à exprimer votre révolte dans les rues de Bourg.

MANIFESTATION
VENDREDI 20 AVRIL 17H30
SQUARE JOUBERT - BOURG EN BRESSE

Association OSER - 05 bis, rue des Crêts - 01000 Bourg en Bresse.
Site : http://www.oser-lefar.org
Mail : OSER-LeFar (a) wanadoo.fr

Partager cet article
Repost0
23 avril 2007 1 23 /04 /avril /2007 07:44
  Un nouveau rapport de l'Union of Concerned Scientists nous offre
 la documentation la plus compréhensible à ce jour sur la façon
dont Exxon-Mobil a adopté la tactique de désinformation de
l'industrie du tabac, ainsi que certaines des mêmes organisations et
 personnes, afin d'embrouillé la compréhension scientifique du
changement climatique et de retardez les actions sur ce problème.
 
     
  Selon le rapport, ExxonMobil a payé près de 16 millions de dollars
 entre 1998 et 2005 à un réseau de 43 organisations de
défense qui cherchent à tromper le public sur les connaissances
 scientifique du réchauffement global.

"ExxonMobil a fabriqué l'incertitude au sujet des causes humaines
du réchauffement global exactement comme les compagnies du
tabac ont déniés que leur produit causait des cancers du poumon,
" dit Alden Meyer, le directeur de la stratégie et de la politique de
 l'Union of Concerned Scientists. "Un investissement modeste mais
bien réel a permis au géant du pétrole de diffuser le doute au sujet du réchauffement global afin de repousser à plus tard les actions gouvernementales
exactement comme Big Tobacco le fit il y a plus de 40 ans."

Smoke, Mirrors & Hot Air: How ExxonMobil Uses Big Tobacco's
Tactics to "Manufacture Uncertainty" sur le changement climatique
 montre en détails comment la compagnie pétrolière, comme
l'industrie du tabac dans les décades passées, a:

- alimenté le doute même sur les preuves scientifiques les plus
indiscutables

- fondé un réseau d'organisation militantes pour créer l'apparence
d'une large plateforme pour ce qui est un groupe minuscule
d'opposants véhéments du changement climatique qui déforme
les résultas reconnus par la communauté scientifique

- essayé de présenté son opposition à l'action comme une quête
positive pour une "science solide" plutôt que basée sur l'intérêt
personnel mercantile.

- utilisé son accès à l'administration Bush pour bloquer la politique
fédérale et former les communications du gouvernement sur
le réchauffement climatique.

Les organisations financées par ExxonMobil consistent en une
collection qui se recouvre partiellement d'individus servant
comme membres du personnel, de conseils d'administration et
 de conseillers scientifiques qui publient et re-publient
les travaux d'un petit groupe de contradicteurs du changement
 climatique. L'institut George C. Marshall par exemple, lequel a
reçu 630'000 dollars d'ExxonMobil, a récemment vanté les mérites
d'un livre de Patrick Michaels, un contradicteur de longue date du
 changement climatique, qui est affilié à au moins 11 organisations financées par ExxonMobil. De même, ExxonMobil finance un certain nombre de groupes moins
connus comme l'Annapolis Center for Science-Based Public Policy
 (Centre d'Annapolis pour la politique publique à base de Science)
et le Committee for a Constructive Tomorrow
 (Comité pour un avenir constructif). Les deux groupes promeuvent
le travail de plusieurs contradicteurs du changement climatique, en
 incluant Sallie Baliunas, un astrophysicien que l'on affilie à au
 moins neuf groupes financés par ExxonMobil.

Baliunas est le mieux connue pour un papier de 2003 papier
alléguant que le climat n'avait pas changé de façon significative
 dans les millénaires passés, ce qui a été réfuté par
13 scientifiques qui ont déclaré qu'elle avait dénaturé leur travail
dans son papier.Cette dénonciation n'a pas arrêté les groupes
financés par ExxonMobil de continuer à promouvoir le papier.
 Par des méthodes comme ceux-ci, ExxonMobil a été capable
d'amplifier et de soutenir un travail qui a été discrédité par des
scientifiques du climat réputés.

"Quand on regarde de près, la stratégie en sous-main d'ExxonMobil
 est aussi claire et incontestable que la recherche scientifique
qu'il est destiné à discréditer," a dit Seth Shulman, un journaliste
d'investigation qui a écrit le rapport d'UCS. "La piste en papier
montre que, pour servir ses intérêts d'entreprise, ExxonMobil a
construit une vaste chambre d'écho de groupes apparemment
indépendants avec le but exprès de répendre de la désinformation
 sur le réchauffement du globe."

ExxonMobil a utilisé le but digne d'éloges d'améliorer la
compréhension scientifique du réchauffement global — sous
l'apparence de "science solide" - pour les fins pernicieuses de
 retarder indéfiniment les actions entreprises pour réduire les
 émissions des gaz à effet de serre. ExxonMobil a aussi exercé une
 influence sans précédent sur la politique américaine du
réchauffement du globe, depuis recommander avec succès
l'apointement de personnel clé dans l'administration Bush au
financement des subventions sur le changement climatique au
 Congrès.

"Comme scientifique, j'aime penser que les faits prédomineront et
ils le font finalement," ont déclaré le Dr James McCarthy,
professeur Alexander Agassiz d'Océanographie Biologique à
l'université d'Harwad et ancien responsable du groupe de travail
des impacts du changement climatique auprès du Comité
Intergouvernemental du changement climatique. "Il est honteux
qu'ExxonMobil ait cherché à obscurcir les faits pendant aussi
 longtemps quand l'avenir de notre planète dépend des mesures
que nous prenons maintenant et dans les années à venir."

L'utilisation du pétrole et des autres combustibles fossiles résulte
 en dioxyde de carbone atmosphérique supplémentaire qui font
 comme une couverture sur la Terre et pièhe la chaleur. La quantité
 de CO2 dans l'atmosphère a augmenté beaucoup pendant le siècle
 dernier et les températures globales montent par conséquent.
 Bien que des solutions soient disponibles maintenant qui couperaient les émissions responsables du réchauffement du globe en créant des emplois,
en économisant l'argent de consommateurs et en protégeant
notre sécurité nationale, ExxonMobil a fabriqué la confusion autour
 de la science du changement climatique et ces actions ont aidé à
 empêcher l'action intelligente qui pourrait minimiser les impacts
du changement climatique futur.

"ExxonMobil doit être tenu responsable de sa campagne cynique de
 désinformation sur le réchauffement du globe," a dit Meyer.
"Les consommateurs, les actionnaires et le Congrès devraient faire
savoir haut et clair à la compagnie que sa conduite dans cette
affaire est inacceptable et doit changer."

Traduction rapide de  http://www.ucsusa.org/news/press_release/ExxonMobil-GlobalWarming-tobacco.html
Rapport complet ainsi que ces apendices disponibles gratuitement
sur ce lien.

Le réchauffement climatique fait couler plus d'encre qu'il ne
provoque d'actions concrètes. Espérons que cela change avant
qu'il ne soit trop tard car il faudra bien un jour répondre à cette
question: Est-ce le tabagisme passif ou le smog passif qui est la
 principale cause de l'augmentation des cas de cancers? La réponse à cette question qu'aun média ni politicien ose poser est évidente. C'est en effet une simple question de bon sens, car s'il est relativement facile d'échapper au tabagisme passif, il
est impossible d'échapper au smog passif et cela est valable pour
 tous et pour chacun. Dés lors, la seule réponse est bien que le
 smog passif tue plus que le tabagisme passif.

Et je ne parle même pas des automobilistes tellement dégénérés
 (et je pèse mes mots!) qu'ils utilisent leur poubelle pour écraser et
 tuer des piétons et des cyclistes innocents.
 
     
   
 
Partager cet article
Repost0
23 avril 2007 1 23 /04 /avril /2007 07:38

Ha Ki Rak
Du 20 au 23 avril 1946, à Anwui (Corée) s'est déroulé l'important congrès anarchiste coréen qui marque l'influence considérable qu'à eu la pensée de Kropotkine en Asie. Shin CHAE-HO (1880-1936), historien coréen, fut un des précurseurs de l'anarchisme dans ce pays. Puis, plus tard, les frères LI JUNG-KYU (1897-1983) et LI EUL KYU (1894-1972) (ce dernier étant surnommé "Le Kropotkine coréen) seront les artisans de ce congrès, tout comme une autre figure marquante et attachante de l'anarchisme coréen: HA KI RAK, qui participait encore, en 1987, au congrès de la Fédération Anarchiste Coréenne
Partager cet article
Repost0
23 avril 2007 1 23 /04 /avril /2007 06:51
¬ EDF, PSA, Renault, Sodexho et maintenant DIM... le travail tue !

Un salarié de DIM à Autun (Saône et Loire) s’est donné la mort dans la nuit du 17 au 18 Avril alors qu’il souhaitait partir en volontariat de départ. Ces mesures de volontariat avaient été mises en place dans le cadre du plan de restructuration de DIM. 

Trois salariés du technocentre de Renault à Guyancourt, deux ouvriers de PSA, à Charleville-Mézières et à Mulhouse, quatre employés à EDF à Château Chinon, une employée de Sodexho à Lyon, un salarié de chez DIM et tous les autres qui ne sont pas médiatisés.

A l’heure où le travail est idolâtré, ou Royal et Sarkozy veulent nous vendre la valeur travail, où les chômeurs sont montrés du doigt.... Le  salariat tue   abolition du salariat. Nous serons dans la rue le 1mai pour exiger l'abolition du salariat:: longue bataille.!!! il est possible de résister dés aujourd'hui aujourd'hui voir l'exemple ci dessous

e Mans : Actes de sabotages à l’usine Renault
(Le 20 avril 2007)

LE MANS, 20 avr 2007 (AFP) - 18h55

Actes de sabotages à l’usine Renault du Mans, la direction porte plainte

La direction de l’usine Renault du Mans a annoncé vendredi avoir porté plainte pour des actes de sabotage sur son outil industriel constatés jeudi soir dans un contexte social tendu, dix jours après le licenciement de cinq salariés pour faute grave. La direction du site, qui emploie 3.000 personnes à la fabrication de châssis, a dénoncé des "actes de sabotages intolérables" sur l’installation de la X91, la remplaçante de la Laguna.

La CFDT, syndicat majoritaire au Mans, a condamné "très fortement ces agissements inadmissibles qui pénalisent l’outil de production", dans un communiqué. Le syndicat a également déploré des tags apposés sur ses panneaux d’affichage, dont des croix gammées et des insultes. Par ailleurs, la façade du CE a été endommagée jeudi soir par un incendie, qui s’est déclaré dans une haie aux abords immédiats du bâtiment.

Il y a une dizaine de jours, cinq salariés de l’usine Renault du Mans avaient été licenciés pour faute grave à la suite de violences commises en marge d’un mouvement de grève en mars. Ce mouvement, organisé par la CGT, combattait un projet de flexibilité du temps de travail. Les cinq salariés, dont deux ont 25 ans d’ancienneté, avaient été mis à pied pour des "agressions physiques et verbales", selon la direction. La CGT avait dénoncé "des sanctions scandaleuses, rarissimes et lourdes de conséquences" et indiqué qu’elle envisagerait des recours. Le plan de flexibilité avait été signé par trois autres syndicats (la CFDT, la CFE/CGC et FO) le 16 mars.

 

Partager cet article
Repost0
23 avril 2007 1 23 /04 /avril /2007 06:41



Ils sont huit? Nous sommes des milliards !




C'est à Rostock, en Allemagne, du 6 au 8 juin, qu'aura lieu cette année le G8. Les dirigeants des 8 plus grandes puissances vont s'y retrouver pour se partager le gâteau, au mépris de toute démocratie et passant loin au-dessus de l'aspiration des peuples qui, encore une fois, subiront la loi du profit.

Les années précédentes, à Gènes en 2001, à Evian en 2003, à Saint Petersbourg en 2006 des dizaines de milliers de militants du monde entier ont organisé des contre-sommets afin de dénoncer l?illégitimité des 9 grands chefs d?état à décider de la marche du monde.

Cette année, comme les précédentes, un contre-sommet est organisé à Rostock en Allemagne du 2 au 9 juin.

Y sera installé un village alternatif, avec au programme : débats, manifs, concerts?

Ces quelques jours seront l?occasion de rencontrer des militants venus du monde entier, d?échanger sur nos idées et nos expériences, de construire de nouvelles luttes internationales.

Nous souhaitons contribuer au mieux à la mobilisation.

Pour participer au contre-sommet,
nous espérons faire partir avec les lyonnais.

C?est pourquoi nous avons créé
un « Comité valentinois anti-G8 » ouvert à tous, afin d?organiser un départ collectif jusqu?en Allemagne.

Nous sommes convaincus qu'il existe une alternative à la mondialisation libérale, et que c'est à nous de la construire ensemble !


Le Comité se réunit tous les mercredi soir à 20h à 19h au laboratoire( à côté du local ex PC sur la place ST jean à valence

Partager cet article
Repost0
23 avril 2007 1 23 /04 /avril /2007 06:41



Ils sont huit… Nous sommes des milliards !




C'est à Rostock, en Allemagne, du 6 au 8 juin, qu'aura lieu cette année le G8. Les dirigeants des 8 plus grandes puissances vont s'y retrouver pour se partager le gâteau, au mépris de toute démocratie et passant loin au-dessus de l'aspiration des peuples qui, encore une fois, subiront la loi du profit.

Les années précédentes, à Gènes en 2001, à Evian en 2003, à Saint Petersbourg en 2006 des dizaines de milliers de militants du monde entier ont organisé des contre-sommets afin de dénoncer l’illégitimité des 9 grands chefs d’état à décider de la marche du monde.

Cette année, comme les précédentes, un contre-sommet est organisé à Rostock en Allemagne du 2 au 9 juin.

Y sera installé un village alternatif, avec au programme : débats, manifs, concerts…

Ces quelques jours seront l’occasion de rencontrer des militants venus du monde entier, d’échanger sur nos idées et nos expériences, de construire de nouvelles luttes internationales.

Nous souhaitons contribuer au mieux à la mobilisation.

Pour participer au contre-sommet,
nous espérons faire partir avec les lyonnais.

C’est pourquoi nous avons créé
un « Comité valentinois anti-G8 » ouvert à tous, afin d’organiser un départ collectif jusqu’en Allemagne.

Nous sommes convaincus qu'il existe une alternative à la mondialisation libérale, et que c'est à nous de la construire ensemble !


Le Comité se réunit tous les mercredi soir à 20h à 19h au laboratoire( à côté du local ex PC sur la place ST jean à valence

Partager cet article
Repost0

Articles RÉCents

Agenda

    dimanche 30 juin

15h à 16 h

accueil de familles de prionnier-e-s

discussion , infos et peites recettes

pour les proches de détenu(E)s...

- aides juridique

-participation à l'émission de radio Mega

du 22 juillet