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La tyrannie la plus redoutable n'est pas celle qui prend figure d'arbitraire, c'est celle qui nous vient couverte du masque de la légalité." Albert Libertad

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le blog du laboratoire anarchiste

File:Wooden Shoe.svg
7 janvier 2010 4 07 /01 /janvier /2010 09:37
nous avons reçu sur le mail du Laboratoire un lien vers un blog qui publie des très bon texte, j'ai extrait  de celui-ci cette page concernant
40 ans aprés:Piazza Fontana : révisionnismes d'État et révisionnistes du mouvement
Chers camarades,
Il manque deux points important a cette excellente analyse de Guerra Sociale. Les anarchistes n'ont pas été les seuls a être accusé mensongèrement de l'attentat de la Piazza Fontana. Dans ses premières versions la presse italienne accusait aussi les situationnistes qui, plus réactifs échappèrent a la rafle qui prit Pietro Valpreda. Ils n'en restèrent pas là et manifestèrent leur solidarité à Pietro Valpreda en lui envoyant un mandat de 100000 lire expliquée par une lettre de Guy Debord du 23 octobre 1971 dont nous joignons une copie en italien. Par ailleurs le fameux texte Il Reichstag brucia fut abondamment répandu dans toute l'Italie pour faire connaître leur position et cela dès le début.
Salutation libertaires

copie de cette lettre de l'I.S.: 




 Le tract reproduit ci-dessous, qu’on pouvait trouver Piazza Fontana et devant les plus grandes usines de Milan dès le 19 décembre 1969 durant les plus dures journées de répression, est l’unique exemple de compréhension immédiate et générale de ce que seulement des mois plus tard les militants les plus «extrémistes» n’osaient que timidement et partiellement affirmer à propos des bombes du 12 décembre.

Le Reichstag brûle-t-il ?

Camarades,

Le mouvement réel du prolétariat révolutionnaire italien est en train de le conduire vers le point qui rend impossible — pour lui et pour ses ennemis — tout retour en arrière. Pendant que toutes les illusions sur la possibilité de rétablir la «normalité» de la situation précédente se dissolvent l’une après l’autre, mûrit pour les deux parties la nécessité de risquer son présent pour gagner son futur.

Face à la montée du mouvement révolutionnaire, malgré l’action méthodique de récupération des syndicats et des bureaucrates de la vieille et de la nouvelle «gauche», il devient fatal pour le Pouvoir de ressortir une fois encore la vieille comédie de l’ordre, en jouant cette fois la fausse carte du terrorisme, pour tenter de conjurer la situation qui l’obligerait à découvrir tout son jeu face à la clarté de la révolution.

Les attentats anarchistes de 1921, les actions désespérées des survivants de l’échec du mouvement révolutionnaire de cette époque, fournirent un prétexte commode pour instaurer, avec le fascisme, l’état de siège sur toute la société.

Forte, dans son impuissance, de la leçon du passé, la bourgeoisie italienne de 1969 n’a pas besoin de vivre la grande peur du mouvement révolutionnaire ni d’attendre la force qui ne peut lui venir que de la défaite de celui-ci pour se libérer de ses illusions démocratiques. Aujourd’hui, elle n’a plus besoin des erreurs des vieux anarchistes pour trouver un prétexte à la réalisation politique de sa réalité totalitaire, mais, ce prétexte, elle cherche à se le construire toute seule en impliquant les nouveaux anarchistes dans un scénario policier, ou en manipulant les plus naïfs d’entre eux dans une grossière provocation. Les anarchistes offrent en effet les meilleurs atouts pour les exigences du pouvoir : image séparée et idéologique du mouvement réel, leur «extrémisme» spectaculaire permet d’atteindre par eux l’extrémisme réel du mouvement.


LA BOMBE DE MILAN A EXPLOSÉ CONTRE LE PROLÉTARIAT,


Destinée à blesser les catégories les moins radicalisées pour les allier au pouvoir, et à resserrer les rangs de la bourgeoisie pour la «chasse aux sorcières» : ce n’est pas un hasard s’il y a eu un massacre parmi les agriculteurs (Banque nationale de l’agriculture) et si les bourgeois en revanche en ont été quitte pour la peur (Banque du commerce). Les résultats, directs et indirects, des attentats sont leur but.

Dans le passé, l’acte terroriste — comme manifestation primitive et infantile de la violence révolutionnaire dans des situations arriérées, ou comme violence perdue sur le terrain des révolutions manquées — n’a jamais été qu’un acte de refus partiel et, pour cela, récupéré d’avance : la négation de la politique sur le terrain de la politique elle-même. Au contraire, dans la situation actuelle, face à la montée d’une nouvelle période révolutionnaire, c’est le pouvoir même qui, dans sa tendance à l’affirmation totalitaire, exprime de façon spectaculaire sa propre négation terroriste.

Dans une époque qui voit renaître le mouvement qui supprime tout pouvoir séparé des individus, le pouvoir lui-même est obligé de redécouvrir, jusqu’à la praxis consciente, que tout ce qu’il ne tue pas l’affaiblit. Mais la bourgeoisie italienne est la plus misérable d’Europe. Incapable aujourd’hui de réaliser sa terreur active sur le prolétariat, il ne lui reste qu’à essayer de communiquer à la majorité de la population sa terreur passive, la peur du prolétariat.

Impuissante et maladroite dans la tentative de bloquer de cette manière le développement du mouvement révolutionnaire et de se créer artificiellement à temps une force qu’elle ne possède pas, elle risque de perdre d’un seul coup l’une et l’autre possibilités. C’est ainsi que les fractions les plus avancées du pouvoir (internes ou parallèles, gouvernementales ou d’opposition) ont dû se tromper. L’excès de faiblesse ramène la bourgeoisie italienne sur le terrain de l’excès policier, elle commence à comprendre que sa seule issue possible à une agonie sans fin passe par le risque de la fin immédiate de son agonie.

Ainsi, le Pouvoir doit brûler, dès le début, la dernière carte politique à jouer avant la guerre civile ou avant le coup d’État dont il est incapable, la double carte du faux «péril anarchiste» (pour la droite) et du faux «péril fasciste» (pour la gauche), aux seules fins de déguiser et de rendre possible son offensive contre le vrai danger : le prolétariat. De plus, l’acte par lequel aujourd’hui la bourgeoisie essaie de conjurer la guerre civile est en réalité son premier acte de guerre civile contre le prolétariat. Pour le prolétariat, il ne s’agit donc plus de l’éviter ni de la commencer, mais de la gagner.

Et il a désormais commencé à comprendre qu’il peut la gagner non pas par la violence partielle, mais par l’autogestion totale de la violence révolutionnaire et l’armement général des travailleurs organisés en Conseils ouvriers. Il sait donc désormais qu’il doit repousser définitivement, par la révolution, l’idéologie de la violence comme la violence de l’idéologie.

Camarades, ne vous laissez pas arrêter ici : le pouvoir et ses alliés ont peur de tout perdre ; nous ne devons pas avoir peur d’eux et surtout nous ne devons pas avoir peur de nous-mêmes : «Nous n’avons à perdre que nos chaînes et tout un monde à gagner».


Vive le pouvoir absolu des Conseils ouvriers !



Les amis de l’INTERNATIONALE

Sacco & Vanzetti
Via Orsini no 1970
Stencil volé.


Traduit de l’italien par Joël Gayraud & Luc Mercier.
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6 janvier 2010 3 06 /01 /janvier /2010 09:34
L’écologie semble ne pas faire exception dans les dérives « idéologiques » des bonnes idées. Elle est entrain de devenir, elle aussi, un « isme », véritable dégénérescence de l’idée originelle.
L’écologie, devenue un « fromage politique » pour des organisations politiciennes et des arrivistes, est entrain de perdre sa pureté d’origine, en un mot sa crédibilité et son efficacité, et en passe de servir toutes les causes, même les moins nobles.

DE L’ECOLOGIE A L’ECOLOGISME….

Une idée dégénère lorsqu’elle est accaparée par une bureaucratie qui en fait une fin en soi,… pour sa promotion et sa survie. L’intérêt général, qui était censé la fonder, passe alors au deuxième plan et ne devient que le prétexte à une politique tournée vers des intérêts privés, ceux des possesseurs du capital et de leurs relais dans la sphère du politique.

Tout le monde est, en effet, devenu « écologiste », même les pires pollueurs donnent des leçons d’écologie et s’en servent d’argument pour leurs publicités mensongères… Des noms ?

Au fur et à mesure de son développement, l’écologie perd de sa substance et s’égare dans des considérations et des pratiques qui, tout en faisant référence à elle, servent essentiellement des intérêts qui lui sont parfaitement étrangers et surtout n’aide en rien à régler les véritables problèmes.

Certes, devant la dégradation de l’environnement un sentiment collectif de crainte et d’angoisse est de plus en plus palpable, mais devant la passivité citoyenne, largement entretenue par les politiciens – « votez pour nous on s’occupe de tout » -, ces derniers en profitent pour, non seulement n’apporter aucune solution aux problèmes écologiques qui se posent, mais profiter politiquement et financièrement de cette crainte. Accaparée par les pouvoirs en place, ceux qui sont les garants du système marchand, elle devient une caution, un alibi, pour donner l’impression au bon peuple que l’ « on s’en occupe », que l’ « on fait le nécessaire », … mais que l’ « on ne peut pas avoir tout, tout de suite »… conclusion « on ne fait rien ou pas grand-chose ».

L’écologie n’est certes pas une exception… toutes les bonnes causes ont tourné au « vinaigre » : démocratie, socialisme, humanisme,….

C’est ainsi que l’écologie devient de l’écologisme.

UNE NOUVELLE « ARISTOCRATIE » POLITICIENNE

Des carrières, des promotions sociales, des ambitions démesurées, se fondent aujourd’hui sur l’écologie… Des noms ?. Les nouveaux grands prêtres de l’écologie bâtissent une véritable Eglise avec sa Divinité, son dogme, ses fidèles et ses dissidents.

D’une combat honorable au début, dans les années 70, on est passé à la gestion d’un misérable, mais juteux, fond de commerce Les « nouveaux écologistes » professionnels constituent aujourd’hui une caste parasite qui vit de la culpabilisation du bon peuple, tout en vivant comme vivent tous les élus avec des privilèges exorbitant au regard du reste de la population.

Mais les politiciens traditionnels ne sont pas en reste. Ils se sont jetés avec avidité et indécence sur ces problèmes, ne voulant pas se faire doubler par des nouveaux (par)venus et voyant là un moyen commode de gruger le citoyen naïf et surtout de taxer partie ou totalité de la population, avec l’excuse de la « bonne conscience écologique ». Ils sont de plus assurés d’être soutenus par les nouveaux venus décider à avoir leur part de « fromage »… et même plus si possible.

Toute contestation des mesures prises est immédiatement condamnée au non des intérêts supérieurs de la Planète et de l’ « avenir des générations futures »… Ben voyons, rien que ça !

L’intolérance, la culpabilisation, la manipulation, la dissimulation, le racket sont devenus des pratiques courantes des pouvoirs qui se drapent de l’ « écharpe verte ».

Des exemples ?

La taxe carbone - provisoirement stoppée - qui n’est rien d’autre qu’un nouvel impôt et qui, bien évidemment ne contribue en rien à l’amélioration de l’équilibre écologique, sinon a combler le déficit budgétaire.

La taxe sur les puits, qui pénalise ceux qui ont un jardin et cultivent leurs fleurs et légumes… taxe qui va désormais permettre de dépasser le stade de la responsabilité et de justifier une utilisation inconsidérée de l’eau…. « pourquoi se priver puisqu’on paye ! ».

Demain à n’en pas douter une taxe sur les cheminées, prenant prétexte l’émission de CO2. Et pourquoi pas non plus une taxe sur la respiration, l’eau de pluie récupérée ( tout se paye) et la non récupérée (gaspillage), les fenêtres, l’accès aux forêts, … etc…

Il n’y a en fait aucune limite à ce racket car, bien évidemment, pendant que l’on taxe le bon peuple, les industriels ne se gênent pas pour saccager la planète avec l’accord implicite des pouvoirs en place… voir COPENHAGUE.

Ainsi un nouveau type de soumission est imposé au bon peuple,… et bien évidemment pour son bien.

Quels crédits peuvent alors avoir les écologistes-politiciens qui profitent de ce racket en tant qu’élus.

Ils prennent en otage la vie pour sauver leur système.

UN AVATAR DU « LIBERAL-ECOLOGISME »

Traiter des problèmes d’environnement dans le cadre d’un système marchand libéral était la pire des options… Nous en vivons aujourd’hui les affres,… et les générations futures n’ont pas fini d’en payer le prix.

Alors que les rapports de l’Homme dans la Nature sont affaire de conscience et de responsabilité, l’option libérale, celle qui gère tout aujourd’hui, le soumet aux « lois du marché »… autrement dit à un mécanisme aveugle et qui met en action les pires réflexes de l’esprit humain : concurrence, cupidité, individualisme, intérêt à court terme. Par exemple, la mise entre les mains de la « finance » des « droits de polluer » ne peut conduire qu’à un désastre.

Tous nous font croire que c’est en payant que l’on sauve la planète ( ?). « Faire payer » est leur seul mode d’action…

Le libéralisme place la conscience dans le porte monnaie.

Le traitement des problèmes d’environnement, aujourd’hui, démontre l’incompétence et la cupidité des pouvoirs en place, dont certains dits « démocratiques », c’est-à-dire fondés sur une légitimité populaire.

Tout ceci en dit long sur l’impasse politique dans laquelle nous nous trouvons. Non seulement nous n’arrivons pas à résoudre des problèmes qui risquent à terme d’engager l’Humanité dans une catastrophe, mais se répètent des processus politiques qui nous enfoncent encore plus dans la crise et dans l’impasse.

L’écologie, qui est au départ une prise de conscience des rapports de l’Homme à la Nature, est entrain de tourner en cuisine politicienne et est accaparée par des profiteurs.

Il est temps de se réveiller et de ne plus écouter les chants de sirènes des nouveaux sauveurs qui nous sollicitent pour obtenir une légitimité.

Il est temps de ne compter que sur nous mêmes pour créer des conditions sociales de vie compatibles avec les lois de la nature.

Peut-être que nous, nous ne souffrirons pas de notre inconsistance, mais nos descendants ont tout à craindre.

Janvier 2010 Patrick MIGNARD
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5 janvier 2010 2 05 /01 /janvier /2010 08:00

Nous pouvons lire plus d'informations ici 
sur l'assinat de Michael.
au cours de l'émission de radio nous avons lu un texte  de réflexions  en mémoire de Michael B.

                                    Une si évidente tyrannie
Les quelques déviants, appelés "anomos" sont repérés  et éliminés sans autre forme de procés.
Ils sont recyclés définitivement .On comprend bien  que c'est la frainésie religieuse  de la consommation  qui a justifié l'organisation  sociale  des monades urbaines, le refus de se poser la seule question  qui vaille  en ce monde là: ne doit on pas remettre en cause le dogme religieux  du "croisser et multiplier" qui y prévaut?
On comprend bien aujourd'hui  que le dogme  sur lequel  s'appuie le pouvoir est celui de la saint marchandise, que cette religion là  ne saurait être remise en question , que chacun  sera  enrôlé  et devra être prêt aux sacrifices  nécessaires pour qu'elle puisse être pratiquée  de manbière durable. Lundi 28 décembre dans le carrefour Par Dieu le sacrifice a été exécuté  sous la panoplie de big brother par des serviteurs "privés" de la marchandise.  Le capitalisme ou faudra-t'-il un jour parler  de démocratie , lorsque les conditions seront devenues tellement  épouvantables  que les classes dominantes ne soucieront plus de sauver les apparences, ne se révélera être autre chose  que le renforcement  du faisceau des moyens coercitifs dont un bel échantillon  est déjà opérationel.  De même qu'au XVIII siècle refuser d de se découvrir devant une procession religieuse pouvait conduire  au bûcher parce que manquer  de respect à la religion  c'était défier le pouvoir ( de droit divin). Le crime bella vita, complétant avec bonheur  la panoplie de big brother  d'Orwell aux côtés du  crime  pensée   (  JM Rouillan) pourrait être
interprété qui sait comme une entrave au "développement durable" et donc comme un défi au pouvoir  ( de droit marchand) et passible à ce titre de lourdes sanctions

La révolution est souvent l'alliance des cris de rage et de colère et du patient travail de la critique   négatif bulletin irrégulier
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4 janvier 2010 1 04 /01 /janvier /2010 08:07

Nous publions ce texte de Georges Apap,  ancien procureur de Valence,  longtemps militant aux côté des  Sans- papier.

Pour intervenir indirectement au spectacle aménagé à l'Eisisar  le lundi  4 janvier et le mercredi 6 janvier. Information prise sur le site de la préfecture de la Drome:

Dans le cadre du grand débat sur l'identité nationale, lancé en France, une rencontre, ouverte à la population, est organisée :
Le mercredi 6 janvier 2010, à 17 heures, au parc des expositions, à VALENCE.
Le débat sera animé par Monsieur François-Xavier CECCALDI, Préfet de la Drôme et Monsieur Alain MAURICE, Maire de Valence.

 

 

                                                         Identité de classe

 

Les mythes ont toujours suffi à meubler les lacunes des connaissances humaines. Ils ont aidé à croire que nous pouvions connaître l'inconnaissable et nous ont doucement conduits dans l'espace religieux. Jusqu'au moment où ils sont pervertis en mystifications. Si les anciens proposaient à l'administration des peuples les sirènes, centaures, cyclopes et autres monstres, si les Ecossais sont fiers de leur Loch Ness, quelles vaines et insignifiantes glorioles comparées à l'immense imposture qu'on nous a offerte, à nous Français, sous le nom  " d'identité nationale "!

Car voici qu'envahit le débat public un nuage inconsistant qu'on hésite à appeler idée, notion, concept ou autre dénomination abstraite, en face du vide absolu de toute définition, de toute rescription, de toute approche, si mince soit -elle, d'une réalité perceptible ou même imaginaire compréhensible. Beaucoup s'y sont essayés pourtant avec passion, sans jamais réussir à convaincre ni à rassembler une opinion égarée. On a assez expliqué par des nécessités électorales et des soucis politiques la génération spontanée de ce rien, pour que je m'abstienne d'y ajouter mon propre commentaire. On a rarement vu déployer tant de dialectique de part et d'autre du Néant.

Or, pendant que les commentateurs s'affrontent, les travailleurs, les exploités, les chômeurs, les sans domicile, les sans papiers, les sans droits, tous se reconnaissent dans l'interchangeabilité de leurs conditions et dans la précarité de leur sort. Tous savent bien qu'ils ne s'identifieront jamais à ceux qui les exploitent et qu'aucun patriotisme économique n'effacera leur opposition de classe. On a bien vu, au dernier congrès de la CGT comment apparaissent une solidarité de classe contestataire qui n'acceptera plus les compromissions d'un syndicalisme d'accompagnement synonyme de collaboration de classe.

Ils savent le peu qu'ils comptent dans la nation aux yeux de ceux qui veulent les délocaliser pour écraser les salaires. Ils se moquent de frontières qui ne les protègent pas, comme s'en moquent aussi ceux qui vont planquer dans les paradis fscaux l'argent qu'ils n'ont pas gagné. Ce sont bien deux cathégories sociales qui s'opposent l'une dominant l'autre, dans une lutte des classes mondiale où la dictature de la bourgeoisie étend son empire sur les hommes, les choses et la planète.

La seule identité visible c'est l'appartenance à une lutte de classe. Elle n'a rien de national quand la nation se dilue dans des intérêts qui la dépassent et qui la nient.

On ne peut mieux illustrer ce qui précède que par la reproduction intégrale de la sinistre profession de foi du milliardaire américain Waren Buffet dans le "New York Times" du 26 novembre 2006: « il ya une guerre des classes, c'est vrai, mais c'est ma classe, celle des riches, qui mène cette guerre, et c'est nous qui la gagnerons.»

Ceux qui n'ont pas compris qu'il n'y a pas d'autre issue que la révolution , nous expliqueront comment ils vont échapper à cet écrabouillement de leurs espoirs, de leur avenir, de leur vie, à supposer qu'ils le veuillent.

Georges Apap, Béziers le 11 décembre 2009

 

 

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27 décembre 2009 7 27 /12 /décembre /2009 15:55


L'histoire n'est pas une accumulation d'acquis mais un grand cortége triomphal qui passe au-dessus de ceux qui jonchent le sol- la lucicité et les espérances des opprimés, elles seules peuvent sans doute rendre compte rationnellement du caractère dramatique de ce siècle

autre conception du temps , qualitative , où le retour vers le passé sert à sauter vers l'avenir, dans un « écart absolu par rapport des choses existant  », elles seules peuvent s'opposer à la cécité moderne, à la « nouveauté factice (et aveugle) de la marchandise », à « la répétition éternelle du toujours- le- même »

Daniel Colson


A propos du livre le Yiddishland révolutionnaire la collection syllepse dit:

Ils sont montés sur toutes les barricades du siècle, des avenues de Petrograd aux ruelles du ghetto de Varsovie, de la lutte antifranquiste 11à la Résistance antinazie : les révolutionnaires du Yiddishland. Pour la plupart enfants de la misère juive d’Europe orientale et centrale, ils ont été élevés dans la crainte de Dieu et le respect des traditions religieuses, puis emportés par le grand courant de l’Utopie révolutionnaire. Militants socialistes, communistes, bundistes, sionistes, ouvriers, trotskystes…, ils incarnaient l’activité multiple, le radicalisme d’une classe ouvrière juive qui entrevoyait le Messie dans les plis du drapeau rouge.
Aujourd’hui, l’univers dont ils sont issus a disparu, démantelé, disloqué par le génocide nazi. Là où Hitler n’était pas parvenu à conduire à son terme son œuvre de mort, Staline et ses épigones l’ont parachevée. Au-delà de l’irrémédiable coupure, il ne reste que des survivants, et le travail de la mémoire du Yiddishland rouge.
Ce livre retrace le combat de ces militants, leurs trajectoires singulières, l'oscillation entre les grandes espérances et le doute, les illusions perdues. Un regard juif et rouge porté sur l'histoire de ce siècle.

 

 

 

1)Selon certaines estimations chiffrées , 6000 combattants juifs auraient combattu dans les rangs des brigadistes internationaux, dont l'effectif oscilla entre 35000 à 50000. On lira avec profit sur le sujet :

Arno Lustiger les juifs dans la guerre d'Espagne 1936-1939 paru aux édition du Cerf 1991

 


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26 décembre 2009 6 26 /12 /décembre /2009 14:09



 Le  Laboratoire anarchiste de Valence  s'insurge contre les propos  inqualifiables publiés dans le blog de cette semaine et répercutés par  d'autres  à propos de notre ami Oreste SCALZONE.  Attaquer Oreste Scalzone  sur des spéculations c'est digne de la Guépéou. C'est  Incompréhensible venant  de la part du site  "cette semaine". Les Injures devraient être réservées aux ennemis de classe
 Pour nous
La décennie 68 en Italie a connu un fort rebondissement avec le mouvement de 1977 et le surgissement des « Indiens métropolitains ». La Révolution molléculaire s’y est alors plus lue que l’Anti-Œdipe, auquel elle a ouvert la route. Pourtant, les catégories politiques de Félix  Guatari étaient assez « tradition-nelles ». Fidèle au marxisme plutôt que marxien, il a développé une conception du capitalisme mondial intégré, intel-ligente mais plutôt classique, comme d’ailleurs était classique sa fidélité à la référence sartrienne. I1 concevait le mouvement de la valeur, la composi-tion de classes, le travail et sa critique, la constitution matérielle et les rap-ports de capital, de manière peut-être moins radicale que les courants italiens définis par les Anglo-Saxons comme marxistes, ou néomarxistes, auto-nomes
Pour nous
C'est aussi le livre de Nanni Ballestrini  l'Editeur sur l'assassinat de l'éditeur Feltrinelli ,
- C'est aussi  cette brochure:http://infokiosques.net
Pour nous
 C'est aussi la stratégie de massacre de masse.  Et le premier exemple dans l'ordre chronologique  c'est la Piazza  Fontana ( 12 /12/ 68)  et l'exécution de Pinelli  (ouvrier cheminot) militant d'Anarchist black cross .
 Attentat de masse de Piazza fontana


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25 décembre 2009 5 25 /12 /décembre /2009 19:09
L'utilisation des médias  ( société spectaculaire) au coeur de " l'affaire Tarnac" ,Que les inculpés utilisent la chaîne parlementaire pour contrebalancer la propagande de l'état,  c'est en rien différent de la défense proposée  par les   comités soutien  des inculpés du 11 novembre qui utilisait leur mode de vie   comme preuve de leurs innocences. Mais accepter de dialoguer avec les récupérateurs du PS   avec un sinistre personnage André Vallini  ( président du conseil général de l'Isère) . il s'est montré  sinistre notament  dans l'accompagnement du projet de center parc à Roybon
 sur le site des nouvelles du front un texte 
Qui circule, entre autre sur ce site qui est une mine de textes intéressantsle fichier PDF
                                                       ICI


Un scoop de LCP la semaine dernière, en direct, un débat sur le plateau entre Benjamin et Mathieu, deux des inculpés dans l'affaire de Tarnac, face à deux élus : Pascal Clément, député UMP et ancien ministre de la justice, et Vallini, député PS et  président du conseil général de l'Isère A signaler que le ministère de l'intérieur a refusé de venir sur le plateau. Le dossier est vide, voire manipulé. Le mythe de l'ultra ultra-gauche de MAM se dégonfle et tout cela sent de plus en plus la manipulation d'état. S'il est facile aux cowboys encagoulés de la SDAT de faire une descente musclée dans un village sous le regard des caméras, il est plus difficile de remplir un dossier judiciaire et l'action du juge Fragnoli semble s'embourber. L'Etat commence à faire profil bas dans cette affaire et certains demandent, à juste titre, une commission d'enquête parlementaire.
Un après un les neuf sont resortis de prison et dernièrement la mise sous contrôles judiciaires a été allégée, mais les inculpés ne sont toujours pas autorisés à se rencontrer ! Ils ont décidé de ne plus respecter ces mesures. Le débat est assez instructif, sur l'ultra ultra ultra gauche, et  nul   sur la violence et surtout sur la médiocrité de Pascal Clément qui n'aime pas qu'on critique la justice et qui quitte le débat en direct se ridiculisant !
La vidéo dure 48'29

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23 décembre 2009 3 23 /12 /décembre /2009 08:00


Loïc Garnier dirige l’Unité de coordination de la lutte antiterroriste (Uclat), radar qui scrute « l’état de la menace ». Entretien.

Quels sont aujourd’hui les « états de la menace terroriste » ?

Loïc Garnier, patron de l’Uclat (DR)Sur la Corse et le Pays basque, la période est plutôt calme. En Corse, à cause des règlements de compte entre les deux gangs que sont la bande du Petit Bar [d’Ajaccio, ndlr] et celle de la Brise de Mer [de Bastia, ndlr]. A terme, le risque est de voir se profiler une dérive sectaire avec la radicalisation d’un groupe nationaliste qui voudrait se singulariser par une action spectaculaire, comme le fut l’assassinat du préfet Erignac. Mais sur le fond, le mouvement nationaliste s’est étiolé.

Sur le Pays basque, on craignait un été avec des attentats spectaculaires, en raison du cinquantième anniversaire de la création d’ETA. Finalement, à cause des coups très durs portés contre l’appareil politique et militaire de cette organisation, il n’y a pas eu d’attentats d’envergure.

 

 

http://www.mondial-infos.fr/wp-content/uploads/2009/08/caches-d-armes-eta.jpg

Des membres du RAID transportent des pièces après l'arrestation de trois membres présumés d'ETA le 19 août 2009 à Le Corbier Villarambert, dans les Alpes

A propos de radicalisation, quel bilan tirez-vous de l’affaire Tarnac, un an après... ?

Je n’aborderai pas cette affaire en particulier, qui fait l’objet d’une instruction judiciaire. Ce qu’on peut dire, c’est que cette mouvance de l’ultra-gauche se radicalise depuis quelques années. Nous estimons qu’il ne faut pas lâcher prise, pour pouvoir détecter à temps une dérive sectaire.

Cette radicalisation remonte à quand ? Au CPE ?

Oui, le CPE fut un thermomètre qui a montré l’existence d’une mouvance anarcho-autonome qui s’était endormie depuis les années 80. Concrètement, cela s’est manifesté par de la violence et de la marginalisation, intellectuelle et matérielle. Par exemple avec le développement des squats où l’on s’enferme dans un schéma ; on s’isole du monde réel ; on n’a plus d’échange intellectuel avec des gens ayant une autre opinion politique...

L’autre aspect, c’est la violence, comme ce qui s’est passé à Poitiers avec les dégâts commis contre des magasins. Matériellement, ce n’est pas très différent d’une fin de manifestation violente à Paris avec des casseurs. Mais il y a aussi une cohésion et une organisation du mouvement, qui nous font penser à un mouvement politique avec les prémices d’une idéologie.

A combien de personnes estimez-vous cette mouvance ?

Entre 1000 et 3000 personnes. Mais les dernières manifestations, comme les camps « no border », n’ont pas mobilisé autant qu’ils l’espéraient.

Où en est-on de la menace islamiste ?

La principale menace est à l’extérieur de nos frontières, avec l’AQMI (Al Qaeda au Magreb islamique) qui s’est attaqué à des Français ou aux intérêts français, avec l’attentat contre l’ambassade de France de Nouakchott (Mauritanie). Le pire est devant nous.

Sur le front intérieur, c’est très différent. Il n’y a plus vraiment de réseaux islamistes -en dehors des filières de Djihad qui sont organisées à l’échelle européenne- mais des individus qui entrent dans un phénomène d’auto-radicalisation. Nous avons eu deux exemples récents :

* A Milan, un homme d’origine libyenne a eu les deux mains arrachées par l’explosion d’une bombe artisanale qu’il voulait faire sauter devant une caserne ayant des soldats en Afghanistan
* Dans l’Isère, le cas Adlène Hicheur, physicien nucléaire, qui préparait une action similaire contre le 27e Bataillon de Chasseurs alpins

Dans les deux cas, ce sont des individus qui agissent seuls, avec un profil difficilement détectable, sans point commun en dehors de celui de leur radicalisation. Hicheur a des motivations religieuses, dans la logique du Djihad mondial avec une adhésion au fondamentalisme, s’appuyant sur une rancoeur profonde à l’égard de l’Occident.

Quel est votre méthode pour contrer ce genre de terrorisme ?

Si vous avez une recette, nous sommes preneurs. C’est très compliqué, car un individu qui n’écrit pas sur les forums, ne voyage pas, n’a pas de contact avec les relais habituels de la mouvance islamiste... nous ne pouvons pas le détecter.

La meilleure méthode n’est-elle pas d’empêcher le passage à l’acte par des mesures politiques, économiques ou sociales (ce qu’on appelle le contre terrorisme par opposition à l’anti-terrorisme) ?

De ce point de vue, nous avons une approche très différente de celle des Anglo-Saxons, qui cultivent le dialogue religieux avec les communautés. On ne cherche pas à intégrer des communautés, mais des individus. Les Français cultivent deux choses :

* La laïcité : on ne rentre pas dans le dialogue religieux
* L’unicité de la Nation : je ne discute pas avec quelqu’un sur le critère religieux, mais parce qu’il est citoyen.

En matière de terrorisme, la ligne rouge c’est la commission de l’infraction. La théorie est claire et elle a le mérite d’exister. Nous essayons aussi de travailler avec les institutions. Par exemple, l’Uclat a interrogé l’Education nationale sur le phénomène de la radicalisation et les solutions pour la contrer.

Leur réponse est très intéressante : l’assimilation passe par la lutte contre l’échec scolaire, car c’est un facteur fort de radicalisation. Un jeune à qui on répète huit heures par jour qu’il est nul, il va chercher ailleurs (dans sa culture d’origine par exemple) des repères où il est valorisé.

Mi-novembre, vous avez annoncé la création d’un Comité de coordination des centres antiterroristes (CCCAT). Quel va être son rôle ?

En juin dernier, lorsque j’ai pris mes fonctions de chef de l’Uclat, je me suis rendu compte qu’on ne savait pas exactement quels pays européens étaient dotés d’un centre autonome de lutte antiterroriste. En fait, il y en a 13.

L’idée du CCCAT est d’avoir un circuit informel d’échange d’informations, par le biais d’un réseau dédié et crypté (fax dont on change régulièrement les algorythmes de cryptage par exemple). Pas pour échanger des informations purement opérationnelles, mais pour se transmettre un état général de la menace et se voir au moins deux fois par an.

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22 décembre 2009 2 22 /12 /décembre /2009 03:55

Les hôpitaux publics doivent faire face aujourd'hui à une offensive de l'Etat.Leurs responsables doivent subir un discours stigmatisant. Un véritable pilonnage est orchestré par le gouvernement.


Le pilonnage médiatique vise à faire assimiler course à la réforme hospitalière et acceptation de la supériorité du marché.En bon soldat, le professeur Guy Vallancien s'est vu confier la mission de démontrer la supériorité du modèle de l'établissement privé avec son directoire et son conseil de surveillance.

Mission qu'il a expédiée après avoir auditionné 106 personnes en quelques semaines.

Le résultat est un bombardement de lieux communs et un tournoiement d'insultes.

Les responsables hospitaliers, élus locaux, directeurs, médecins, cadres infirmiers, etc. sont systématiquement montrés du doigt.

Nous laissons à chacune et chacun le soin d'en juger


La loi «Hôpital, patients, santé, territoires» du 21 juillet 2009 crée les Agences régionales de santé (ARS) qui auront la compétence des actuelles Agences régionales de l’hospitalisation (ARH), plus le volet médicosocial des services de l’État, plus certaines compétences de l’Assurance maladie.

.

Pour le pouvoir actuel, la réforme est purement comptable : elle consiste à paupériser les services publics pour en justifier ensuite la privatisation. Proposons au contraire d'améliorer leur efficacité et leur qualité – qualité de gestion, transparence des dépenses, qualité du service rendu aux usagers – pour réaffirmer leur légitimité.

Avec le pouvoir actuel, le déficit de la Sécurité sociale s'alourdit (plus de 10 milliards d'euros), les déremboursements des médicaments se multiplient, la péréquation entre régions s'affaiblit, le financement des dépenses de santé par le malade lui-même est de plus en plus important … Le but est que la ... protection sociale laisse la place à l'assurance privée. Nous le refusons.

Proposons quelques pistes : remettre l'hôpital au cœur du système de santé et rétablir un équilibre juste avec le privé à but lucratif qui est un complément ; garantir à chaque région une présence minimum de médecins dans chaque spécialité ; pour préserver les ressources de l'assurance maladie sans porter atteinte à l'emploi, élargir l'assiette des cotisations à la valeur ajoutée ; revenir à une péréquation progressive et durable des financements entre les établissements et les territoires.On le voit bien, deux conceptions du monde s'affrontent aujourd'hui. La première, qui est celle qui tend à s'étendre est un monde où les individus sont livrés à eux-mêmes. Les seules lois admises sont celles du marché qui envahit tout y compris la santé.

La vision du monde que nous défendons est tout autre. Nous ne voulons pas d'un marché mais d'une société.
:
la loi et les missions des ARS renforcent l’autoritarisme et le centralisme, confortent une vision de «l’hôpital comme une entreprise» dans la perspective d’une marchandisation de la santé, veut briser le monopole de la Sécurité sociale et la mettre en concurrence avec les assureurs.

Les ARS seront le centre de cette entreprise de démolition. La direction tente de nous faire croire que l’objectif de cette fusion est d’améliorer le service rendu aux assurés et que les conditions de travail du personnel n’en seront qu’améliorées … alors que ce ne sera qu’une étape à une régionalisation qui empirera encore ce que nous connaissons.

Morcellement du travail, industrialisation de la production, management standardisé, au nom de la productivité, les plates-formes téléphoniques se substituent à l’accueil au guichet, trois minutes au téléphone, fiche-standard sous les yeux, remplacent le contact avec l’assuré, et tout est fait pour rayer des mémoires le fondement de la protection sociale : principe de solidarité


Nous affirmons qu'il n'est pas possible de moderniser l'hôpital sans associer très étroitement les fonctionnaires qui le servent, sans leur redonner la fierté de leurs missions et une autonomie pour les remplir.



  Parfois les colères  s'exprime contre les travailleurs  hospitaliers; alors que l'Etat les abandonne aux attentes des  patients, ils recousent, avec peu de moyens, les services publics hospitaliers déchirés par le pouvoir actuel.Nous  souhaitons  un rassemblement et une mobilisation forte et responsable de toutes celles et ceux qui partagent nos valeurs.

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14 décembre 2009 1 14 /12 /décembre /2009 13:54

La compagne de Jon Anza, son frère et sa belle-sœur, ainsi que des compagnons de travail, participeront à la réunion d’information qui aura lieu au CICP (21 ter, rue Voltaire, 75011 Paris)

le 18 décembre à partir de 18h30. Gabi Muesca (ancien président de l’Observatoire international des prisons) et Anaiz Funosa (d’Askatasuna, l’association de défense des prisonniers politiques basques) seront également présents.

Affiche pour Jon Anza
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