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La tyrannie la plus redoutable n'est pas celle qui prend figure d'arbitraire, c'est celle qui nous vient couverte du masque de la légalité." Albert Libertad

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le blog du laboratoire anarchiste

File:Wooden Shoe.svg
6 novembre 2007 2 06 /11 /novembre /2007 15:25
  Pour les grèves qui se profilent le  collectif le  laboratoire propose assemblée permanente tous les jours de la semaine du 12 au 16 novembre Par la constitution d'une force autonome .

 
Organisons-nous pour tout bloquer. Formons des piquets volants.

Les médias et les syndicats nous martèlent que cette grève serait exclusivement une bataille contre la suppression des régimes spéciaux des retraites, alors que nous sommes face à une offensive du gouvernement comportant tout un panel de mesures :
- service minimum dans le secteur des transports ;
- suppression de 27000 postes de fonctionnaires ;
- chasse aux sans-papiers ;
- privatisation rampante des universités ;
- attaque contre le salaire indirect (allocation chômage, RMI, instauration d’une franchise médicale) ;
- volonté de supprimer les CDI.

S’il est vrai que chacune de ces mesures entraînent une réaction corporatiste de chaque catégorie concernée, il est également vrai que de plus en plus de gens sont conscients que ces « réformes » forment un tout cohérent et qu’il s’agit de s’y opposer ensemble.

Au-delà des grèves catégorielles se profile un mouvement social contre les mesures du patronat et du gouvernement.

Ces mesures sont prises dans le cadre de la restructuration capitaliste en cours (la « mondialisation »). La mise en concurrence de la force de travail au niveau mondial doit se doubler maintenant de la mise en concurrence de chaque individu au sein même de l’entreprise. Du statut morcelé en une multitude de catégories, on passe désormais au statut individualisé. Chacun doit se retrouver dans l’obligation de négocier seul face au patron son propre « parcours de carrière », en fait les modalités de la vente de SA force de travail. Syndicats et patronat ont déjà programmé la fin des CDI et des conventions collectives, qu’ils l’appellent Flexi-sécurité ou sécurité sociale professionnelle. Pour le capital, notre force de travail doit être soumise aux pures lois du libéralisme et pour ce faire, l’atomisation doit tendre à être totale.

C’est dans ce cadre que s’inscrit le train de réformes imposé par le gouvernement pour casser les « bastions » où les corporations détiennent encore un rapport de force : supprimer de fait le droit de grève dans les secteurs-clefs que sont les transports et l’énergie ; dégraisser le personnel de la fonction publique pour pouvoir embaucher hors-statut. Il s’agit aussi de précariser encore plus l’ensemble de la force de travail pour l’obliger à se soumettre aux nouvelles conditions draconiennes de l’exploitation.

La grève est  une arme dont peuvent user efficacement tous les prolétaires.

Est ce qu’encore une fois les cheminots, les gaziers, les électriciens, les postiers, les employés de la Ratp vont se retrouver seuls en première ligne ? Les syndicats vont-ils encore une fois mettre en avant la défense de tel ou tel acquis spécifique à une catégorie de travailleurs ? Nous ne voulons pas vivre ce mouvement par procuration, n’être qu’une fraction de l’opinion publique qui se contente d’approuver la grève sans y participer. La grève est une arme efficace pour ces bastions ouvriers, elle a de réelles conséquences économiques. Mais pour une grande partie d’entre nous, alternant périodes de chômage, d’interim ou de contrats temporaires, ce mode d’action n’est pas envisageable. Une non-moins grande partie d’entre nous ne travaille pas dans un « secteur-clef » où la simple cessation de travail constituerait une entrave suffisante au bon déroulement de l’économie (les professeurs, instituteurs, lycéens et étudiants en sont les exemples types).

Depuis les années 80, la grève (telle qu’elle est juridiquement encadrée) a perdu beaucoup de son efficacité. Le morcèlement des entreprises en de multiples entités, le recours à la sous-traitance et à l’interim laissent chaque secteur de travailleurs isolé dans la contestation des modalités de son exploitation. Depuis de nombreuses années, si l’on veut être entendu, les actions coups de poing, les piquets et occupations (illégaux) sont nécessaires. Et la situation à venir s’annonce bien pire, puisque chacun, isolé, devra défendre son bout de gras. Les possibilités de se regrouper pour faire grève dans sa boîte vont donc tendre à disparaître.

Nous ne sommes pas désarmés pour autant. Les mouvements sociaux de ces dernières années (en France mais aussi ailleurs, en Argentine notamment) ont démontré que le blocage de la circulation des marchandises, de l’énergie, de l’information et de la force de travail était un moyen efficace de perturber l’économie. Instaurer un tel rapport de force permet de faire reculer les projets patronaux.

Appel à la création de piquets volants

À ceux qui veulent résister !

À ceux qui perçoivent cette résistance non pas comme une somme de grèves corporatistes, mais bien comme un mouvement social d’ampleur contre le train de réformes imposées par le gouvernement pour les besoins de la restructuration capitaliste !

À ceux qui savent que cette attaque n’est pas la dernière et que, si nous laissons faire, elle sera suivie par d’autres !

À ceux qui savent que leur situation sous le capitalisme ne peut aller qu’en s’empirant !

Aux profs grévistes, aux postiers enragés, aux assemblées lycéennes et étudiantes, aux chômeurs conscients, aux gosses sans avenir, aux retraités sacrifiés, aux travailleurs précaires qui n’attendent plus rien, aux RMIstes qui ont besoin de tout…

À tous ! À tous ! À tous !

Regroupons-nous à l’échelle du quartier, de la boîte ou par groupe d’affinité…
Créons des piquets volants pour bloquer là où cela perturbe le plus, paralysons les voies de circulation et la production, coupons les circuits de flux d’informations, participons aux actions des grévistes, renforçons les occupations des points stratégiques !

Organisons-nous à 5 ou à 100, coordonnons-nous quand nous en avons l’occasion, pour agir selon nos possibilités.

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6 novembre 2007 2 06 /11 /novembre /2007 10:22

Dromois Ardéchois anti nucléaire nous ne pouvons admettre le financement de cette centrale par le conseil général de la Drome, avec la complicité des verts et  de beaucoup de monde qu'y reçoivent la manne financière du lobby nucléaire .  Les installation d'éoliennes dans la Drôme et l'Ardèche ce n'est pas un écran de fumée suffisant .  Veuillez nous écrire au C/OLaboratoire 8 place St jean  Valence ; coordination contre le nucléaire

Drôme Ardèche.

Nous nous sommes procurés la pub AREVA sur le sujet en téléphonant à COGEMA-Pierrelatte, une somptueuse plaquette, ainsi que le « Dossier du maître d'ouvrage » ces deux documents étant destinés au débat public.
Ce que nous avons appris, entre autres, sur l'enrichissement par laser qui nous fut présenté en 1995 comme une solution d'avenir pour la matière première que serait l'uranium appauvri a, comme on dit, « retenu toute notre attention ». Lors du dépôt du dossier d'enquête publique, le laser était « la » solution retenue qui permettrait de reprendre les 199 900 tonnes d'UA pour les ré-enrichir, tout cela afin de convaincre les élus et la population qu'il s'agissait bien d'un entreposage et non d'un stockage, que cet UA serait enlevé pour être enrichi au bout d'une vingtaine d'années voire moins, voulant prouver par là que cet UA n'est pas un déchet. Or voilà la chose abandonnée, bien qu'elle ait « fait la preuve de sa capacité théorique à enrichir l'uranium, son utilisation industrielle se heurtant à des coûts rédhibitoires... » ? Comme quoi les prévisions à court terme dans le nucléaire sont aussi fiables que la météo du lundi pour le week-end...

La surprise de la centrifugation (procédé adopté pour Georges Besse II) c'est l'économie d'énergie qui est annoncée pour une capacité annuelle nominale voisine de celle de la diffusion gazeuse. La capacité de production est évaluée en unités dites UTS, « unité de travail de séparation* », 10 millions d'UTS pour Eurodif et 7,5 à 11 millions d'UTS pour Gorges Besse II. (D'après Wise-Paris** en 2001 Eurodif a produit 2 165 tonnes d'UF6 enrichi à partir de 18 194 tonnes d'UF6 naturel fourni par Comurhex-Pierrelatte. D'après la documentation AREVA la production de 1 kg d'uranium enrichi à partir de 8 kg d'uranium naturel correspond à 5 UTS et un réacteur de 900 MW consomme annuellement 100 000 UTS.)

Eurodif utilise 3 réacteurs du Tricastin à pleine puissance et on peut faire pareil avec seulement 50 MW ! On voit que le gaspillage n'est pas l'exclusivité des ménages ! Pourquoi avoir choisi la diffusion gazeuse alors que le procédé par centrifugation est aussi ancien ?

Le calendrier prévisionnel semble avoir quelque retard. Début 2005 devait voir l'attribution du « Permis de construire » et le début des enquêtes publiques DAC (décret d'autorisation de création de l'installation nucléaire de base INB) et DARPE (demande d'arrêté de rejet et de prélèvement d'eau). La DRIRE nous a confirmé en juin 2005 que les dossiers d'enquête publique n'étaient toujours pas arrivés dans ses services.
Ce retard est-il dû au fait que des études de sûreté concernant le risque de sismicité, le risque de criticité et le risque de chute d'avion ont été demandées par l'autorité de sûreté nucléaire (ASN) ? Ces études sont-elles terminées et ont-elles donné satisfaction à l'ASN ?

Le débat public : qu'en dire, sinon que la Commission Nationale de Débat public ayant décidé que l'organisation du débat public serait confiée au maître d'ouvrage, AREVA ( ! ) on peut lire qu'une « commission de pilotage composée de quatre membres indépendants du groupe AREVA, est chargée d'animer le débat public ». Pas d'autres indices nous permettant de mieux cerner « l'indépendance » de ces quatre membres... Mais il y a bien longtemps que nous avons appris qu'en matière de nucléaire, tout n'est qu'une affaire de croyance, qu'il s'agisse de transparence, d'information objective, d'infaillibilité des concepteurs ou de celle des exploitants, des enseignements du « retour d'expérience » après incidents ou accidents.
Pour en savoir plus : www.debatpublic-gbesse2.org

Au fond notre critique porte sur ce qui ne figure pas au projet de débat public et qui devrait impérativement en faire partie, à savoir :
- que deviennent les déchets de l'enrichissement, où sont-ils censés aller ? Les réunions publiques ayant été organisées dans les communes situées aux alentours du site nucléaire du Tricastin, le débat contradictoire n'a pas été accessible aux habitants du Limousin. Cette carence du dossier sera passée inaperçue alors que 7 kg d'UA sont produits par kg d'uranium enrichi !
- Où entreposer l'uranium appauvri ? Sur place ? Sur quelque site minier propriété de COGEMA ?
- Où iront les tonneaux de fluorine provenant de la défluoration de l'U appauvri et qui contiennent de l'uranium ? Sur quelle décharge publique ? (A notre connaissance la réaction de l'association ASPCV*** qui s'oppose à la mise en décharge de ce type de déchets a été la seule réaction locale à ce jour). Les enquêtes publiques concernant les ICPE (installations classées pour la protection de l'environnement) prévoient, dans le cas de porcheries ou de poulaillers industriels, les conditions de stockage ou d'évacuation des lisiers, des fientes etc. Les autorisations sollicitées pour les rejets et prélèvements de la nouvelle INB d'enrichissement Georges Besse II ne concernent que l'eau, nous avons donc quelques sujets d'inquiétudes quant au devenir de l'UA et de la fluorine dopeé à l'uranium pour ne citer que ceux là !
Nous attendrons les dossiers des enquêtes publiques et ferons critiques et observations sur les cahiers d'enquête mais ce faisant nous savons d'expérience que nous alimenterons une procédure « consultative » qui se veut nécessaire et « démocratique » alors que les jeux sont faits et que les conclusions et avis défavorables tant de la population, des élus et de la commission d'enquête peuvent être ignorés par le Préfet. C'est bien ce qui est arrivé en Limousin en 1995 pour l'entreposage d'uranium appauvri à Bessines sur Gartempe. (Tandis qu'à Pierrelatte la population n'a pas été désavouée, ni la commission d'enquête. Il s'agissait, il est vrai, de la régularisation d'une installation existante mais saturée).
S'il s'agit de sortie ou d'abandon du nucléaire, le dossier Georges Besse II nous semble stratégiquement au moins aussi bien placé que celui de l'EPR. En effet la production d'uranium enrichi alimente notre parc nucléaire et l'exportation. Mais on nous fait remarquer que l'EPR est plus mobilisateur. Pourquoi, alors que Georges Besse II, plus sûrement encore qu'un EPR à Flamanville et l'autre en Finlande, signifie la relance incontestable du nucléaire ? D'ailleurs une dépêche AFP de fin mai annonce que les commis voyageurs du nucléaire français vont aller démarcher Khadafi en Lybie ! Un client de plus pour Georges Besse II !!!
Pour finir, reprenons le dossier du Maître d'ouvrage AREVA et son calendrier prévisionnel :
- Fin 2007... Première production de l'usine Georges Besse II
- Vers 2020.. Fin des opérations de démantèlement d'Eurodif.

A quand la sortie crédible du nucléaire prônée par ceux qui prétendent qu'une sortie immédiate avec les moyens existants (comprenant le thermique classique) ne serait pas réaliste ?

CLADE (Collectif Limousin Antidéchets),
6, rue Porte Panet Limoges 87000.


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6 novembre 2007 2 06 /11 /novembre /2007 09:08

Le 10 Novembre 2007 manifestation contre IITER à Marseille rendez vous à la porte d'Aix à 12h.  Nous publions ce texte à propos de l'étude épidemiologique. seulement l'association de sauvegarde du patrimoine et cadre de vie de Solérieux  se mobilise contre l'implantation de l'usine de retraitement  Georges Besse.Le collectif le Laboratoire.n'a rien fait dans ce cas là.    pour se renseigner sur cette usine  qui doit s'ouvrir fin 2007 lien avec l'association

Le Tricastin est le plus important site nucléaire français, et on va en parler beaucoup…

Siué en basse vallée du Rhône autour de Pierrelatte, Le Tricastin a pour vocation l'enrichissement du combustible nucléaire, l’uranium, pour l'ensemble des réacteurs d'EDF et d'autres réacteurs  Européens. On y traite aussi le combustible usé, pour pouvoir le stocker en vue d'un éventuel recyclage, très improbable ! Cela représente pas moins de 8 installations qui rejettent leurs déchets radioactifs et chimiques dans le mistral et dans le Rhône !

Jean-Pierre MORICHAUD et quelques autres vivent  à peu de choses près la même situation que « nous » les riverains du CSA de Soulaines.

Ils se sont inquiétés aussi depuis des années, d’une recrudescence de cancers chez les riverains de ce site industriel nucléaire peut être le plus grand en activités, en surface, en employés, en pollution ?
Ils viennent d’obtenir ce qu’ils exigent depuis des années : une enquête épidémiologique !

 
En effet, en juillet 2006, à l’occasion d’une enquête publique pour la construction d'une nouvelle usine d'enrichissement, Jean-Pierre MORICHAUD, le représentant de la FRAPNA à la Commission Local d'Information (CLI), a demandé une enquête sur le nombre de cancers relevés  depuis 20 ans autour du site.
Ce site est aux confins de quatre départements dans lesquels il n'y a aucun registre de cancers, comme dans 78 % des départements français.  

Cette demande a été approuvée par les commissaires enquêteurs, qui souhaitent même un registre de cancers pour la Drôme. La demande a été soumise au financement de la Commission Locale, la CIGEET, qui l’a accepté le 21 mars 2007, au vu d'un projet d'étude de l'INSERM à partir du fichier national des décès par cancer dans les communes autour de Pierrelatte entre 1968 et 2002.

La demande de la FRAPNA Drôme pour une étude des cancers à proximité du site nucléaire du Tricastin est acceptée.


La demande de la Fédération Rhône-Alpes de Protection de la Nature  d’une étude sanitaire à proximité du site du Tricastin a été acceptée et votée à l’unanimité par la commission locale d’information du Tricastin (CIGEET) réunie à la préfecture le mercredi 21 mars 2006.

L’intervention experte de Michèle Rivasi pour la FRAPNA a contribué à convaincre les participants à la commission.

Cette étude sera financée pour 50% par le département et 50 % par l’état (Autorité de Sûreté Nucléaire). Un groupe de travail doit être maintenant mis en place comprenant la DDASS, la FRAPNA et ses experts, la Ligue contre le Cancer etc. Ce groupe définira un cahier des charges qui sera proposé à la CIGEET à l’automne 2007.

La FRAPNA très satisfaite de cette décision, souhaite que cette étude des cancers soit réalisée rapidement.

L’association saisit immédiatement par lettre le président du conseil général de la Drôme pour qu’il mette en place la première réunion du groupe de travail.

La FRAPNA a aussi demandé lors de cette commission la mise en place d’un registre de cancer sur la Drôme. Cette demande a été soutenue par les  Directions des Affaires Sanitaires et Sociales de la Drôme, du Vaucluse, et du Gard lors de l’enquête publique pour la demande d’Autorisation de Création de l’usine d’enrichissement d’uranium G. Besse II. 

 

Le président Didier Guillaume a répondu devant la commission qu’il souhaitait aussi la mise en place de ce registre des cancers sur la Drôme, mais aussi sur les départements du Gard, du Vaucluse et de l’Ardèche.

La FRAPNA se réjouit de cette position, ces registres départementaux permettront de prendre en compte les risques de cancer provoqués par l’industrie nucléaire mais aussi chimique.

L’association déplore que les équipements nucléaires qui fonctionnent depuis plusieurs décennies ne disposent pas déjà d’outils d’évaluation de l’état de santé des populations en terme de cancer et autres maladies. La FRAPNA souligne que les travailleurs et les riverains ont le droit de connaître l’impact sanitaire de ces industries.

La mise en place d’un registre du cancer demande une volonté politique forte comme celle du conseil général de l’Isère.

En Drôme, la FRAPNA espère que les actes suivront rapidement les paroles.

Cette démarche en Tricastin et une démarche similaire autour de Gravelines, la centrale nucléaire de Dunkerque, intéresse l’IRSN ( l'Institut de Recherche sur la Sûreté Nucléaire ) et l’IVS ( l'Institut de Veille Sanitaire). La nouvelle loi sur la transparence nucléaire, votée en juillet 2006 au Parlement, donne une existence légale aux Commissions Locales d'Information autour des sites nucléaires (une trentaine), qui pourrait ainsi faire vérifier l'état sanitaire des riverains de ces installations polluantes, qui existent maintenant depuis plus de 20 ans et qu'il faudra bientôt démanteler. Elles ont rejetées des déchets  radioactifs et chimiques dans l'air et dans l'eau par la réaction nucléaire, la fabrication et le recyclage de 1200  tonnes de barres d'uranium par an, pour l'ensemble des 58 réacteurs d'EDF.


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5 novembre 2007 1 05 /11 /novembre /2007 16:01
mercredi 7 novembre à 19h pot de soutien à la grève de la faim d'Ahmed et soutien à Marina et Sonja Suder et christian Gauger
vers la grève générale.   la répression marche de chaque côté et on devrait répondre d'un même pas.
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5 novembre 2007 1 05 /11 /novembre /2007 14:00
Ce mercredi 31 octobre 2007:
La Poulie se fesait expulser,
puis la Dame de pique.
Le même jour on enterrait un révolutionnaire de 73ans.

Finalement, c'était une journée de deuil pour la résistance.

Mais y parait qu'à l'enterrement de Boisgontier, y'avait (presque) aucunE jeunes de moins de 50ans. Mais y parait qu'au rassemblement anti-expulsion le même jour, y'avait (presque) aucunE vieilleux de + de 50 ans.
ChacunE allant de son train pour dire que les autres n'étaient pas là, ou plus là, ou traîtres, ou embourgeoiséEs, ou violentEs, ou...

... ? ...

Finalement, l'état exploiteur que nous tentons de renverser nous a renversé. Il nous a séparé. JeunEs et vieux et vieilles pensons que nous n'avons plus rien à faire ensemble.
Traîtres casseureuses de notre fougue
Traîtres casseureuses de votre vieillesse


Qu'avons-nous à perdre pour nous (re)trouver?
Fermez les yeux, vraiment!, et imaginez un instant si cette journée nous l'avions passé ensemble?


Pis hier, j'ai vu cette info et je me suis dit, tiens?
" Mercredi 28 novembre - 18h30 - Maison des associations :
quelle mémoire 40 ans après 68? Quelles initiatives en 2008?" par: INter-orga.
inter-âge?
transgénérationnellleeeeeement vôtre?

Enfin, j'ai appris que les archives de chez Boisgontier ("Vérité Rhône-Alpes", d'où est issue une part importante de la contre-information locale entre 70 et 96) ont été envoyées à paris, chez Génériques :
http://www.generiques.org/

Enfin, j'ai appris que d'autres maisons allaient s'ouvrir parce que la répression ne nous écrasera pas.

Mais? Quand donc arrêterons-nous de nous écraser entre nous d'abord? Hein? Quand? Quand passerons-nous au dessus du système qui reste plus fort que nous parce qu'il nous sépare?
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5 novembre 2007 1 05 /11 /novembre /2007 08:16

Opération portes ouvertes a bourges vive la belle

deux amis marocains echappent a une expulsion hortefiste Opérations portes ouvertes a Bourges vive la belle

Une très bonne nouvelle qui n’a pourtant pas fait beaucoup de bruit dans les médias Sarkozo Hortefiste tout juste quelques entrefilets dans la presse régionale de la région centre

Deux copains marocains sans papiers qui étaient placés en garde a vue a Bourges et devaient êtres envoyés en camp de rétentions échappent a l’Expulsothon Hortefiste

la poulaille Sarkozo-Hortefiste organisaient une opération de com « portes ouvertes » à Bourges afin de paraîtrait-il susciter des « vocations » chez la jeunesse, avec visite guidée du poulailler par un gradé tout galonné et en tenue d’apparat pour la circonstance.

Enfermés en salle de rétention nos deux copains marocains sans papiers se sont aperçus, qu’un simple mur de placoplâtre les séparaient de la liberté (et de l’expulsion déportation) ils ont donc cassé ce mur qui donnait sur un couloir et sur une fenêtre qui donnait elle sur une rue voisine, après un saut de 5 mètres (quand même) ils ont pus s’échapper.

La soldatesque et la troupe Hortefiste trop occupées a leur opération portes ouvertes c’est appercu plusieurs heures après que nos deux copains sans papiers s’étaient fait la belle

A ce jour les gradés Sarkozo-Hortefistes et Mam se sont refusés à tout commentaires sur l’affaire

des incontrolés incontrolables

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5 novembre 2007 1 05 /11 /novembre /2007 06:22

Alors que nous écrivions dans un futur tract . Que penseriez vous d'un corps équipé d'un méta cerveau utilisant un large éventail de fonction optionnelles, utilisant les nanotechnologies qui seraient constamment reconfiguré sous la direction d'une intelligence artificielle en réseau? Cette question nous la posons ami lecteur du blog du Laboratoire. Pour répondre c'est très facile chercher dans la page de présentation du laboratoire.

Business - Dès janvier 2008, des services de commerce de proximité basés sur le Wi-Fi et la technologie RFID seront testés dans une rue commerçante de Lille et une galerie commerciale de Villeneuve d'Ascq. Un projet inspiré par des expériences en cours à Tokyo.

Le pôle de compétitivité nordiste des industries du commerce a lancé son projet « Lille Métropole ubiquitaire » - une déclinaison de l'Ubiquitous Project japonais.

À partir de janvier 2008, dans une rue commerçante du centre ville et une galerie commerciale de Villeneuve d'Ascq, seront expérimentés de multiples services basés sur les réseaux à distance Wi-Fi et la technologie RFID.

Via un téléphone mobile spécial, des usagers pilotes pourront réserver leur place de cinéma après avoir consulté le programme, être guidés en magasin vers les articles qu'ils auront auparavant sélectionnés sur internet, visualiser les offres promotionnelles des commerçants, régler leurs achats ou télécharger la musique du chanteur apparaissant sur une affiche de spectacle.

Inspiré par le modèle japonais 

Autant d'idées que les instigateurs du projet ont rapportées de leur visite à Tokyo du quartier de Ginza, où des milliers d'étiquettes RFID guident les passants via leur téléphone portable tout en leur donnant accès à des informations commerciales, culturelles, touristiques, voire médicales. Rencontré à cette occasion, le professeur Ken Sakamura qui dirige le YPR Ubiquitous Networking Laboratory, impliqué dans l'Ubiquitous Project de Ginza, a d'ailleurs annoncé la collaboration de son laboratoire au projet lillois.

« S'il veut survivre, le commerce de détail doit inventer de nouvelles façons de s'adresser et de vendre aux consommateurs, car les technologies de communication vont révolutionner les modes d'échanges », affirmait-il lors de sa venue à Lille.

Projet suivi par la Cnil

« Tout est encore à inventer. Mais nous ne réussirons pas sans l« Tout est encore à inventer. Mais nous ne réussirons pas sans l'adhésion des citoyens. C'est pourquoi nous voulons les mettre dans le coup dès le départ. Ce projet sera suivi par la Cnil (Commission nationale de l'informatique et des libertés) et soutenu par les pouvoirs publics. Y seront impliqués des PME de la région », indique Arnaud Mulliez, président du pôle de compétitivité et P-DG d'Auchan.

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5 novembre 2007 1 05 /11 /novembre /2007 06:14

Désormais un classique du salon Traçabilité: la caisse de supermarché automatisée. Il s’agit ici d’une solution de Toshiba, déjà implantée depuis plus d’un an dans les magasins japonais. Le principe est le suivant: le client dépose son panier sur une zone précise. Les produits qui s’y trouvent sont reconnus à distance grâce à leurs tags RFID. La caisse interroge la base de données centrale et affiche les prix ainsi que la facture finale. Cette solution nécessite toujours une personne en caisse, dont le rôle se limite à un rapide contrôle visuel des produits et à demander quel type de paiement le client souhaite utiliser. D’autres versions dites «autonomes» suppriment complètement les caissiers. En France, la grande distribution s’intéresse de près à ce type de solution, à l’image des supermarchés E.Leclerc. La vitesse de passage serait multipliée par deux.

 

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4 novembre 2007 7 04 /11 /novembre /2007 23:33

Nous avons enquété nous avons trouvé un dossier de la CRII-RAD de 1998 qui parle de polltion du RHONES qui date de 1998. Cette polution provoquerait des cancers

La CRII-RAD a étudié le dossier présenté par EDF pour obtenir de nouvelles autorisations de rejets radioactifs, chimiques et thermiques dans l'environnement. Compte tenu des affirmations erronées et des lacunes du dossier constitué par EDF, la CRII-RAD a adressé un mémorandum aux ministres de l'Industrie, de l'environnement et de la Santé demandant l'annulation de l'enquête publique.

La plus grande partie des rejets de la centrale nucléaire de Saint-Alban est constituée par du tritium, c'est-à-dire de l'hydrogène radioactif : le tritium représente 99,99 % de la radioactivité rejetée dans le Rhône et plus de 40 % de la radioactivité rejetée dans l'atmosphère. Pour évaluer l'impact de ces rejets, 30 analyses de tritium ont été effectuées. Or, aucun résultat ne figure dans le dossier. Est-ce de la négligence ? est-ce délibéré ? L'eau, les légumes, le vin sont-ils contaminés par le tritium ? Personne ne le sait. Il s'agit d'une carence grave qui met en question la capacité des services de l'État - DSIN, OPRI et IPSN - à expertiser le dossier de l'exploitant.

La CRII-RAD demande également que les autorisations de rejets attribuées à EDF soient fortement revues à la baisse et constituent de véritables limites, incitant l'exploitant à avancer vers le rejet zéro. Compte tenu des propriétés cancérigènes, mutagènes et tératogènes des substances radioactives rejetées par les centrales nucléaires, il n'est pas acceptable que l'État accorde à l'exploitant des autorisations de rejets totalement surévalués par rapport aux besoins réels de l'installation.

POUR EN SAVOIR PLUS

1. Mémorandum adressé aux ministres de l'Environnement, de l'Industrie et de la Santé.

2. La centrale nucléaire de Saint-Alban dans l'illégalité depuis le 1er janvier 1998.

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4 novembre 2007 7 04 /11 /novembre /2007 18:37

 

Les 9 et 10 novembre prochains se dérouleront à Marseille les rencontres sur Les footballeurs maghrébins de France au XXe siècle, en partenariat avec We are Football association.


De la «Perle noire» Larbi Ben Barek à Zinédine Zidane, en passant par Mustapha Zitouni et Rachid Mekhloufi, nombreux sont les footballeurs d’origine maghrébine à avoir enflammé les stades de l’Hexagone sous le maillot tricolore. Malgré cela, le racisme et les discriminations perdurent dans le sport. L’objectif de ces rencontres sur les footballeurs maghrébins de France au XXe siècle sera de lutter contre ces discriminations et faire avancer la recherche sur les liens entre sport et immigration. À travers des tables rondes et l’intervention de spécialistes, le public sera invité à débattre et à réfléchir sur le rôle du sport dans l’intégration des populations immigrées maghrébines. Parmi les invités de marque figurera notamment Rachid Mekhloufi, joueur phare de l’AS Saint Etienne dans les années 1950 et 1960.


Étroitement lié au football français depuis le début des années 1930, le ballon rond nord-africain aura permis d’écrire certaines des plus belles pages du sport tricolore mais aussi de franchir les barrières culturelles. Ces rencontres seront l’occasion de revenir sur des moments clés de l’histoire de ce sport entre les deux rives de la Méditerranée. À ce titre seront évoqués le match France-Algérie au stade de France en 2001, la Guerre d’Algérie et l’avènement du footballeur Zinédine Zidane, véritable figure de proue de la génération «Black-Blanc-Beur». Un événement à ne pas manquer pour tous les amoureux du sport sensibles à la diversité culturelle.

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Agenda

    dimanche 30 juin

15h à 16 h

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