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La tyrannie la plus redoutable n'est pas celle qui prend figure d'arbitraire, c'est celle qui nous vient couverte du masque de la légalité." Albert Libertad

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le blog du laboratoire anarchiste

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13 octobre 2012 6 13 /10 /octobre /2012 04:57

En mémoire de Jamal Ghermaoui
Collectif Vérité & Justice pour Jamal

Il y a un an, Jamal Ghermaoui (Rahimaho Allah), habitant de la cité du Luth à Gennevilliers, s’est fait tuer à l’âge de 23 ans dans sa cellule du mitard de la maison d’arrêt de Nanterre.

Le meurtre d’un enfant d’immigrés, perpétré à l’abri des regards.

Couvert par l’administration pénitentiaire qui s’est empressée de muter les surveillants impliqués et de répandre la thèse du « suicide ».

Bien qu’aucune procédure judiciaire au monde ne puisse ramener Jamal à ses proches, une plainte a été déposée. C’est une question de dignité.

À la faveur de cette plainte et des mobilisations qui ont eu lieu, une fenêtre médiatique s’est ouverte.

Nous comptons l’utiliser au mieux pour faire du meurtre de Jamal l’événement catalyseur, qui cristallise tout ce qui peut se passer en prison.

Et aussi dans nos quartiers.

C’est à travers cette production politique et artistique que nous élargirons cette fenêtre médiatique et inscrirons le drame que constitue le meurtre de Jamal dans l’histoire de Gennevilliers.

Et dans celle plus générale des luttes de l’immigration et des quartiers.

Pour commémorer la date symbolique d’un an et rendre hommage à la mémoire de Jamal, nous organisons un rassemblement

Samedi 13 octobre 2012
Devant la maison d’arrêt de Nanterre
À partir de 17h

Nous nous réunirons ensuite tous ensemble pour évoquer l’enquête en cours, les mobilisations contre la répression d’État et les moyens politiques et artistiques de mener ces luttes.

InfosContact

Liste de discussion du réseau Résistons Ensemble, 2 octobre 2012

 

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12 octobre 2012 5 12 /10 /octobre /2012 11:33

 

Cette coopérative ouvrière(CMC) participe à quelques chantiers dont  celui du TAV du val de susa etc..

Il 13 ottobre si svolgerà a Ravenna una manifestaione contro C.M.C.
Di seguito il testo, la locandina e i contatti.

C.M.C. DEVASTATORI DELLA TERRA
LOTTIAMO PER LA TERRA E PER LA LIBERTA'

In ogni parte del mondo le lobby finanziarie-politico-mafiose aggrediscono, depredano e devastano col ridicolo alibi del "progresso e con la complicità degli apparati statali, accade in Centroamerica, in Africa, in Asia come qui in Italia.
Le situazioni di attacco ai territori e alle loro ricchezze sono innumerevoli.
Da Nord a Sud non è possibile elencare tutti i tentativi di scempio: dalla Valle di Susa, passando per il Mugello, arrivando fino in Sicilia i grandi affaristi vorrebbero depredarci dei nostri beni e del nostro modo di stare insieme cementificando, perforando, scavando e inquinando.
Vorrebbero calpestare il diritto a una vita dignitosa e sana in ambienti equilibrati e partecipati.
E' una evidente violazione della democrazia i cui responsabili diretti hanno nomi come Impregilo, Eni, Todini e non ultimo C.M.C.
La crisi globale viene usata da questi soggetti criminali per giustificare qualunque azione predatoria con la scusa del "creare lavoro e sviluppo".
L'unico modo che i cittadini onesti hanno di contrastare queste mire rapaci e devastanti è costituire aggregazioni sempre più allargate e coordinate, rendendo visibili le opposizioni.
Per questi motivi è fondamentale organizzare mobilitazioni ovunque e metterle in rete.
La prima inziativa è a Ravenna il 13 ottobre, indicando come primo obiettivo una grande manifestazione nazionale contro la Cooperativa Muratori e Cementieri in quanto azienda appaltante del tunnel geognostico alla Maddalena di Chiomonte in Val di Susa, emblema e paradigma dei molteplici tentativi di devastazione.
Un’azienda che irresponsabilmemnte vuole procedere a realizzare un cantiere rifiutato dai 60000 residenti nella valle e dalle migliaia di No Tav ormai presenti in tutta la penisola.
In gioco non ci sono solo le spartizioni legate al T.A.V., ma soprattutto ALTRE LOGICHE DECISIONALI ED AUTORITARIE come il dimostrare che se il PD( che è dietro la CMC) o qualunque altro partito politico decidono qualcosa, i cittadini non devono permettersi di dissentire,di opporsi,di resistere.
L’azione di opposizione critica, di lotta e di disobbedienza, delle comunità e dei territori infatti metterebbe in discussione gli stessi meccanismi di gestione del potere, i perversi equilibri dello scambio clientelare e mafioso .
Queste le ragioni per cui è importante che tutti i cittadini liberi aderiscano a questa prima manifestazione,dove si rivendica il rispetto dei diritti fondamentali.
Si tratta di formulare e ribadire con forza la proposta di un prossimo futuro dove alla categorie della velocità e della falsa efficienza si sostuiscano quelle della lenta ma inesorabile condivisione di risorse ed idee,di autodeterminazione, per una qualità di vita maggiormente in armonia con l’ambiente e la storia delle comunità territoriali.
"INDIVIDUI E REALTA' IN LOTTA CONTRO NOCIVITA' E DEVASTAZIONI DEI TERRITORI"

RITROVO ORE 14:00 - STAZIONE F.S. RAVENNA.


nocmc13ottobre@gmail.com




 

Gi

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11 octobre 2012 4 11 /10 /octobre /2012 20:24

L'Association qui fait la  communication pour Bonaparte. Nous avons réagi face à cette hypocrisie lors des journée de septembre 2012 d'une façin  incomplète  certes. Des gens ont  collé plus de 30 de nos affiches àValence ce vendredi matin de septembre.Les réactions ont été diverses face à notre envie de voir disparaître cette manifestation militariste et raciste cachée derrière ce personnage qui a lutté pour le rétablissement de l'esclavage. Ce renseignement a été donné par un proche  du Laboratoire Pour que les habitantes et habitants de Valence réagissent face à ce buste, placé devant un établissement bancaire,  de ce  raciste et de ce militariste 

Louis Delgres est un symbole de la résistance à l'esclavage .

Né libre , il meurt libre , dressé contre la servitude .

Il a tout sacrifié pour la liberté .

 

METIS DANS L'ARMEE FRANCAISE

 

Né à Saint - Pierre de la Martinique le 02 avril 1766. Sa mère est martiniquaise ( certains historiens disent qu'elle était blanche), son père aurait été fonctionnaire du Roi à Tobago. On en sait guère plus. Il est en tout cas considéré comme mulâtre. Militaire de carrière , mainte fois remarqué pour ses faits de guerre sur le champs de bataille durant les combats opposant Français républicains et  Anglais royalistes dans la Caraïbe, Delgres n'aura de cesse de lutter pour l'idéal égalitaire de la République , qu'il avait fait sien . 

 

 

En 1802, Delgrès est nommé colonel de l'armée française. Affecté à la protection de la Guadeloupe , il est chargé de la défendre des appétits des grandes puissances occidentales ennemies.

Pendant ce temps, de l'autre côté de l'Atlantique les temps changent . La République a cédé la place à Bonaparte qui s'est fait proclamer Consul à vie.

Le premier Consul décide de rétablir l'esclavage aboli depuis 1794 dans les colonies françaises.

 

LA REVOLTE DE DELGRES

 

Richepance : bras armés de Bonaparte est envoyé en Guadeloupe.

Le colonel Delgrès , commandant à la Basse -Terre, convaincu du fait qu'il vient pour y rétablir l'esclavage , va déserter l'armée française et organiser la résistance . Il a définitivement perdu toute confiance dans cette France qu'il avait , jusque là, servie avec dévouement et qui exige maintenant de ses militaires noirs et mulâtres , qu'ils remettent leurs armes aux autorités militaires françaises dès leur arrivée .

 

SON COMBAT POUR LA LIBERTE

 

Il va donc devenir rebelle et prendre la tête d'un groupe d'hommes armés , bien décidés à lutter pour conserver cette liberté durement acquise après quatre siècles de déportations et d'avilissements .

 

L'ORGANISATION DE LA RESISTANCE

 

Le matin du 06 mai 1802 , les Guadeloupéens aperçoivent au large de leurs côtes une flotte forte de 14 navires , qui se dirige vers eux . Richepance est à leur tête .

Décidé à résister , Louis Delgrès et son ami Joseph Ignace parviennent à convaincre , en quelques heures à peine , 200 hommes qui vont les rejoindre dans un combat  inégal , pour la défense de leur liberté .

C'est avec ses compagnons d'armes , Palerme , Massoteau , Codou et  Jacquet , ainsi qu'une foule de civils , qu'ils rallient Basse -Terre .

 

LA PROCLAMATION DU 10 MAI 1802 (Extrait)

 

Quatre jours plus tard , Louis Delgrès publie une déclaration , dans laquelle il annonce qu'il ne sera pas question de reddition face à la tyrannie . On y lit :  "puisque le système d'une mort lente dans les cachots continue à être suivi , eh bien ! Nous choisissons de mourir plus promptement  " Résolu , il dénonce aussi les sombres desseins de Bonaparte et de Richepance :  "Il existe des hommes malheureusement trop puissants par leur éloignement de l'autorité dont ils émanent , qui ne veulent voir d'hommes noirs , ou tirant leur origine de cette couleur , que dans les fers de l'Esclavage" .

 

LES PREMIERS COMBATS

 

Le jour de la publication de cette Déclaration sans appel, les premiers combats s'engagent. 600 soldats de Richepance sont repoussés par les hommes de Louis Delgrès au morne Soldat, à Trois Rivières.

 

L'ENGAGEMENT DES FEMMES

 

Deux jours plus tard , les femmes Guadeloupéennes s'engagent à leur tour dans la bataille et infligent de lourdes pertes aux soldats français , qui ne sont pas portés par les mêmes convictions . Malgré cette opiniâtreté à défendre une liberté déjà difficilement acquise, la loi du nombre aura rapidement raison des Guadeloupéens regroupés autour de Delgrès .

 

 LE SIEGE DU FORT SAINT CHARLES

 

Le 14 mai 1802 , Richepance débute le siège du Fort Saint Charles où Delgrès s'est retranché avec ses hommes . Après 10 jours de combats acharnés , Delgrès , Ignace et les autres officiers rebelles , à cours de munitions , quittent le fort avec le reste de leur troupe par la poterne du Galion . Ils se regroupent alors en plusieurs bataillons distincts . 

Ignace se déplace avec ses troupes près de Pointe - à - Pitre .

Delgrès se retranche sur les hauteurs de la Basse -Terre, au Matouba .

 

LE REFUGE  DE MATOUBA

 

Louis Delgrès réfugié avec les 300 hommes qui lui reste sur les hauteurs du Matouba fait face à 1.800 soldats  de Richepance qui l'attaquent . Les Guadeloupéens résisteront malgré tout et parviendront , à se déplacer jusqu'à l'Habitation Danglemont située à quelques kilomètres de là.

 

LA MORT PLUTÔT QUE L'ESCLAVAGE

 

Se sachant perdu, Delgrès propose au reste de ses combattants de s'en tenir à l'engagement pris quelques jours plus tôt et décide, en accord avec tous, de mourir plutôt que de se rendre! Ils installent alors des barils de poudre autour d'eux et attendent l'arrivée des soldats français pour les faire exploser afin d'en emporter encore quelques uns avec eux dans la mort.

Le 28 mai 1802 , Grand parc (Saint Claude)

 

LES COMBATTANTS DE LA LIBERTE NE SE RENDRONT PAS ! 

 

JOSEPH IGNACE

 

Né vers 1769 (Capesterre ou Pointe - à - Pitre), en 1769 , Joseph Ignace était charpentier .

En 1794 , il entre dans l'armée coloniale et devient  capitaine en 1801 .

En 1802 , il est nommé chef de bataillon et commandant du fort de la victoire à Pointe - à -pitre .

Il est le premier à se rebeller contre la volonté de Bonaparte de rétablir l'esclavage . En effet, lorsque , le 06 mai 1802 , Richepance ordonne à Pélage de rassembler tous les soldats dans la savane de Stiwenson , il refuse et décide avec Massoteau, Palème,Dauphin et d'autres de s'enfuir .

Ils se rendent à Petit Canal et s'embarqent afin de rejoindre Delgrès à Basse  - Terre. Ils y arrivent le 08 mai 1802

Le 22 mai, Ignace , Delgrès et leurs compagnons  décident d'évacuer le fort saint Charles . Ils se séparent en deux groupes .

Un groupe , composé de 675 hommes commandé par Ignace s'est dirigé vers Pointe - à - Pitre .

Ignace meurt le 25 mai 1802 d'une balle qu'il s'est tiré dans la tête afin d'éviter qu'il ne soit capturé vivant par les troupes de Gobert et Pélage qui l'assiégeaient dans la redoute de Baimbridge .

Ignace avait deux fils : l'un fut tué à ses côtés , l'autre fut capturé et fusillé le 26 mai sur la place de la victoire .

 

SOLITUDE

 

 

Solitude a existé , mais ce que l'on sait d'elle relève principalement de la légende .

Elle est née vers 1772 , d'un viol que sa mère a subit d'un marin sur le bateau qui l'emmenait en Guadeloupe .

Elle vécue les huit premières années de sa vie avec sa mère qui s'était enfuie de sa plantation .

A son adolescence , elle choisit de lutter contre l'esclavage , devient  "marron"  et prend le nom de solitude .

Elle assiste à la résistance et aux morts héroïques d'Ignace , de Delgrès .

Survivante de la bataille du 08 mai 1802 , enceinte , elle est pendue le 19 septembre 1802 le lendemain de son accouchement. 

Sa légende est née de son courage que les blancs caricaturaient , la présentant comme folle .

 

 

M

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11 octobre 2012 4 11 /10 /octobre /2012 12:28

 

Dpuis des mois  deux  textes circulent sur différent blog, on vous indique un d'entre eux qui relaie   les tracts qui attaquent le nucléaire et son monde entre autre pour la région Rhone Alpes

lu dans la presse de la Manche dans le compte rendu du procés de cherbourg des inculpé-e-s de " Vlognes stop castor"qui éclaire d'un regard différentles militants n'e sont pas couché par terre pour obtenir leur relaxe

Jje n'ai pas trouvéla déclaration en couleur dans un autre article de FR3 basse normandie  Normandie, qu'on peut lire sur cette page.

 

 

L e président souhaite

également savoir s'ils

désapprouvent les «actions

illégales commises » : « Je

. n'ai pas à porter de jugement,

assure Yaanick. Ce qui

s'est passé ne relève pas de

ce que j'appelle la violence:

pour moi la violence  se

trouve dans cette société nucléaire »


200 militants ont manifesté leur joie dans la salle d'audience à l'annonce de la décision.

Les trois militants antinucléaires qui comparaissaient ce mardi matin étaient accusés d'avoir incité à des dégradations pour bloquer un train de déchets nucléaires allemands en novembre 2011, le dernier convoi du genre entre la France et l'Allemagne.

Six mois de prison avec sursis avaient été requis contre un militant de 31 ans, déjà condamné à trois reprises pour des faits "sensiblement comparables", selon le président du tribunal correctionnel de Cherbourg, et trois mois de prison avec sursis contre une militante de 26 ans et un autre militant de 39 ans dont les casiers judiciaires sont vierges.

Les trois Bretons étaient poursuivis pour « provocation directe suivie d'effets à un attroupement armé », « complicité de destruction de biens d'autrui » et « organisation de manifestation interdite ».

Le 23 novembre 2011, des ballasts de la voie ferrée que devait emprunter le train de déchets nucléaires avaient été retirés, un ou plusieurs rails soulevés et deux guérites de signalisation de la SNCF incendiées.

Les prévenus ont nié être les organisateurs du mouvement auquel avaient participé plusieurs centaines de personnes et avoir appelé à des dégradations.

« Vous n'avez rien dans le dossier. Les accusations sont graves. La moindre des choses c'est d'arriver avec des preuves. On en est loin », a estimé l'avocat de la défense, Jérôme Bouquet-Elkaïm.

Le dernier train de déchets nucléaires allemands retraités par l'usine Areva de Beaumont-Hague avait donné lieu à de vifs affrontements entre militants et forces de l'ordre près du terminal de départ du convoi à Valognes. En Allemagne, des milliers de militants avaient aussi occupé les voies.

A l'issue d'une audience houleuse, et face aux cris de joie de la salle, le président du tribunal a averti que les personnes qui avaient perturbé le procès en l'interpellant ainsi que le procureur seraient entendues et éventuellement jugées.

FR3 Basse-Normandie, le 9/10/2012

 

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11 octobre 2012 4 11 /10 /octobre /2012 12:00

 

Nous publions le compte rendu de la journée d'information discussions dans le bois  des abesses.Ne laissons pas isoler des luttes par rapport aux territoires. si jamais quelqu'une et quelqu'unrelayer cette lutte  à  d'une ville de cure. c'est à dire DAX.

Dans les landes aux bois des Abesses Invitation à se rassembler le 30 Septembre 2012

Compte-rendu de la journée du 30 09 12

 

Par un dimanche d’automne ensoleillé, nous nous sommes rassemblés à nouveau à Abesse.

Cette fois, c’était pour soutenir nos amis « les loups de Cayenne » installés depuis le mois de mai dans le quartier.

Nous avons débuté la matinée par l’arrivée d’un véhicule motorisé de la maréchaussée. Ces derniers sont venus « par hasard », voir si des participants à une course à pied (« virade de l’espoir ») ne se seraient point égarés, par mégarde, dans la forêt obscure de Sherwood, euh pardon d’Abesse… Après quelques pourparlers, il s’est avéré, que nos gardiens de la paix sont repartis rassurés et dans leur monde, vaquer.

Pendant ce temps-là, sur le lieu de rendez-vous, les invités se rassemblaient. Nous sommes donc partis visiter quelques points clés de ce quartier. Nous étions une quarantaine, la CNT-Ait de Pau ,la CNT de Baiona au grand complet, les anti-LGV, le groupe d’occupants de la maison Castets, les loups de Cayenne, Alternatives Abesse et quelques amis sympathisants.

Premier lieu visité, la maison Castets où depuis maintenant deux ans, cette demeure et ses abords ont été entretenus et occupés dans le but : de protéger les lieux. ; de sensibiliser les visiteurs et promeneurs aux enjeux subis par ce site depuis 1988. Nous avons pu constater que depuis la dernière expulsion (celle de Christophe puis de Rachel et de GG) les lieux gardent les stigmates positifs de leur occupation : potager, aménagement des lieux, propreté qui ont été, malheureusement interrompus par une décision de justice.

Deuxième étape, le « château » ou ce qu’il en reste…Décadence d’une famille de notable Saint-Paulois qui firent disparaître des lieux les premiers grévistes landais. Aujourd’hui, c’est eux qui disparaissent dans la végétation jadis luxuriante des lieux.

Troisième temps étape les fouilles clandestines de ESTOTI. En effet, cela fait un an que les pilleurs s’acharnent à détruire un site géologique scientifiquement reconnu, pour en tirer un profit pécuniaire ! Nous avons eu l’épisode du 31 juillet 2012 où les loups de Cayenne, Rachel et GG ont pu déjouer l’entreprise mafieuse de quelques délinquants organisés et friqués ( tracto- pelle camion semi remorque…)

Quatrième étape : la ferme d’Estoty, bâtie en 1630 sur une butte féodale. Le dernier métayer Monsieur Dupéré a quitté l’an dernier sa ferme natale. Sa famille l’a placé en maison de retraite pour le motif de maladie d’Enzheimer. Soit. Avec une ligne haute tension au-dessus de la maison, on ne peut qu’imaginer toutes les ondes négatives, au sens propre, qu’a reçu Charles Dupéré. Là-aussi, sur les lieux, on remarque le désastre commis par les châtelains d’Abesse. Ils n’ont pas su gérer la décrépitude de la maison de leur métayer.

Dernière étape, la Tourbière de Cayenne où Christine nous a proposé d’admirer deux espèces de drosera (plantes carnivores). Certains on été surpris par la beauté des plantes et des lieux, d’autres par les trous dans les marécages, dont l’eau a envahi leur bottes de sept lieues.

Après cette marche de presque trois heures, le pique-nique dans le campement des loups de Cayenne a été le bienvenu. Le déjeuner a été partagé, dans la convivialité et la bonne humeur.

Quinze heures, la conférence démarre, avec tout d’abord Alternatives Abesse retrace l’historique du groupe qui démarra sous l’impulsion de la première commémoration des journées de grèves des ouvriers d’Abesse de 1900. Cette journée commémorative fut organisée par la CNT de Pau et la CNT de Baiona. Cette histoire se prolongeau avec la campagne de pétitions, de tracts contre le projet immobilier /golf. Des groupes de personnes ont relayé notre association par des actions d’occupation des lieux et aujourd’hui nous sommes ici pour soutenir « les loups de Cayenne ».

Deuxième intervention, Michaël présente le projet des loups de Cayenne. Il prône un éco-lieu, autogéré et libre ayant le but de vivre sans maître et de manière autonome. Le moteur principal est l’action. Un lieu qui pourrait être un laboratoire d’idées d’échanges de connaissances, d’expérimentation, pour réclamer des choses qui pourraient permettre aux individus d’être autonome, sans être dépendant de la société.

Dernier intervenant, Jipé pour la CNT Pau a raconté le témoignage de citadins de Madrid en Espagne, qui s’organisent dans des quartiers, pour accueillir les sans –papier, des membres des Indignés, dans leur logement, par solidarité, pour les protéger, sans passer par des demandes d’hébergement dans les foyers et autres lieux gérés par l’Etat.

Le débat s’est poursuivi avec une remarque d’Emmanuel représentant du DAL, qui a précisé

Que lors de la deuxième expulsion, celle avec le délai de trois jours, on aurait du contacter des personnes habilitées via le DAL, pour amortir une situation désagréable. Malheureusement, les victimes de cette mascarade n’ont pas vraiment eu le temps de rebondir en trois jours…

Des propositions on été cité pour des futures actions comme une manifestation devant les locaux du journal de « non information » Sud Ouest, qui depuis maintenant plus d’un an ne relaie plus aucune information sur les déboires et les nouvelles propositions créées dans le quartier d’ Abesse. Dans l’après midi de ce même jour, on décide qu’ on se réunirait dans une maison de quartier pour informer les Saint-Paulois de ce qui se passe à Abesse, fin novembre.

La journée s’est bien terminée avec la visite du potager jouxtant le campement avec une action de nettoyage des abords pour un éventuel agrandissement du potager, pour de futures récoltes destinées à la collectivité.

Pour Alternatives Abesse, Iñaki

5 octobre 2012

 

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10 octobre 2012 3 10 /10 /octobre /2012 08:55

lu sur informa -azione.info

Per quanto riguarda le misure cautelari che hanno accompagnato l'operazione "Zecca" (op. Ixodidae), apprendiamo con gioia che da questa mattina Daniela è libera, mentre a Massimo sono stati dati gli arresti domiciliari con tutte le restrizioni possibili.

traduction par nos soin:

En ce qui concerne les mesures de persécution qui ont accompagné l'opération "Zecca" (op. Ixodidae), nous apprenons avec joie ce matin, Daniela est libre, tandis que Massimo a été donné assignation à résidence avec toutes les restrictions possibles.

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10 octobre 2012 3 10 /10 /octobre /2012 08:47

Le CIRA a été fondé à Marseille en 1965 par une poignée de militants anarchistes parmi lesquels se trouvait René Bianco (1941-2005). À l’origine, il s’agissait d’un dépôt-annexe du CIRA de Lausanne, fondé lui en 1957. Puis le CIRA de Marseille est devenu plus autonome.

Depuis sa création, le CIRA a connu plusieurs adresses. Il a été hébergé longtemps dans un sous-sol humide où les documents risquaient de s’abîmer. Grâce à Émile Temime (1926-2008), il a pu occuper un très vaste local rue des Convalescents mais en a été expulsé en 1989. En 1991, il a pu se réinstaller dans un nouveau local rue Saint-Dominique. Il s’agissait de l’ancien siège d’une Église arménienne qu’il a fallu remettre en état. Il est resté là jusqu’en décembre 2011 date à laquelle la ville de Marseille a mis fin à son bail.

Grâce à la constitution d’une cagnotte depuis une dizaine d’années, à la vente de cuvées de vin et à un appel à la solidarité, un local a enfin pu être acheté et aménagé rue Consolat. Depuis janvier 2012, c’est là que se trouve le CIRA.

Le principal but du CIRA est de collecter, de classer et d’archiver tout ce qui a un rapport avec l’anarchisme. Le fonds se compose de plusieurs milliers de livres et plusieurs milliers de brochures. Ces documents ont été écrits par des anarchistes, publiés par des anarchistes ou portent d’une manière ou d’une autre sur le mouvement ou les idées anarchistes. On trouvera donc aussi bien des livres favorables que défavorables aux idées anarchistes. De même, sont conservés des écrits et des biographies de personnes qui n’ont été anarchistes qu’une partie de leur vie seulement. Le CIRA possède également des archives personnelles de militants, des affiches, des tracts, des cassettes vidéo, des documents iconographiques (cartes postales, photos...), des travaux universitaires, des dossiers biographiques...

Les documents sont écrits dans une vingtaine de langues. Les plus représentées sont le français, le castillan et l’italien.

La bibliothèque de prêt est alimentée par les dons et les services de presse d’éditeurs (plusieurs centaines de titres chaque année). De nombreux périodiques sont envoyés par ceux qui les éditent. Le CIRA possède un répertoire recensant 3212 publications anarchistes parues en langue française entre 1850 et 1993. L’informatisation du catalogue de livres a commencé en l’an 2000 et se poursuit.

L’ensemble du fonds peut être consulté par toute personne intéressée : militant, étudiant, chercheur, écrivain, universitaire, journaliste ou simple curieux. Il est répondu par courrier aux demandes de renseignements lorsque les recherches ne sont pas trop longues.

Un bulletin est publié (42 numéros à ce jour). Des sujets très variés y ont été abordés. Les premiers bulletins faisaient un état des collections. Puis ont été édités des bulletins thématiques. Ils étaient d’abord consacrés à la région marseillaise : le Congrès de Marseille en 1879, la section de l’Internationale, Louise Michel en Provence. Puis fut abordée la Seconde Guerre mondiale vue par les anarchistes français et espagnols. Des biographies de militants sont également parues. Un bulletin a été consacré à l’anarchisme en Argentine. Ces bulletins sont complétés par une liste des travaux en cours, une bibliographie anarchiste annuelle (depuis 1990) et par une Feuille d’infos mensuelle (depuis 1999). Éditeur, le CIRA a publié deux livres en collaboration avec d’autres associations (Han Ryner et André Arru) et cinq calendriers (depuis 2008)

Le CIRA organise régulièrement des débats, des tables rondes, des cycles de discussion, des expositions, des rencontres avec des auteurs et des éditeurs. En 2011 les sujets suivants ont été abordés : art et anarchie, la littérature prolétarienne, Léo Malet, la presse et sa distribution, la révolution espagnole, les droits des animaux, la Commune de Paris et la littérature jeunesse. Le CIRA collabore à des colloques (L’anarchisme, Barcelone, 1993, La culture libertaire, Grenoble, 1996, La littérature prolétarienne, Saint-Nazaire, 2002...) et en organise (L’extrême-droite à Marseille, 1987, Han Ryner, 2002, Alexandre Marius Jacob, 2005). Il prête des documents pour des expositions. Le CIRA a participé à plusieurs reprises à La Nuit de l’anarchie, organisée par le Théâtre Toursky de Marseille

En 2003, le CIRA a organisé la Foire aux livres anarchistes de Marseille (FLAM) avec des stands d’éditeurs, des débats et des spectacles. Une deuxième FLAM a eu lieu en 2010, avec la collaboration du collectif Le Seul problème. Il participe à diverses fêtes du livre, anarchistes ou non, présentant la production des éditeurs libertaires


Le CIRA fait partie de la Fédération internationale des centres d’étude et de documentation libertaires (FICEDL) qui s’est réunie pour la dernière fois à Lisbonne (Portugal) en 2011. Il est affilié à l’International Association of Labour History Institutions (IALHI) regroupant 70 centres dans 20 pays. Il est indépendant de toute organisation politique ou syndicale. Cela ne l’empêche pas de participer à certaines actions de solidarité.

Le CIRA est lié par contrat avec les Archives départementales des Bouches-du-Rhône. Quand il a perdu son local en 1989, une partie du fonds (1750 titres de périodiques, 2000 affiches...) y a été déposée, classée et peut y être consultée tous les jours.

Le CIRA compte actuellement environ 250 membres, originaires de toutes les régions de France et de l’étranger. Certains, bien qu’éloignés de Marseille, participent très activement au CIRA (correspondances, recherches). Depuis 1987, il est constitué en association Loi de 1901. La gestion du Centre est faite de manière collective et bénévole par un conseil d’administration élu en assemblée générale. Le Centre vit essentiellement des cotisations de ses membres.


Renseignements pratiques

Le CIRA se trouve au 50 rue Consolat à Marseille (13001), à quelques minutes à pied de la gare Saint-Charles et de la Canebière.

Des permanences sont assurées du mardi au vendredi de 15 heures à 18 heures 30 avec une prolongation jusqu’à 21 heures le mardi. En dehors de ces horaires, il est possible de prendre rendez-vous.

On peut téléphoner au 09 50 51 10 89 (prix d’un appel local en France) les jours de permanences et laisser un message les autres jours. On peut envoyer un courriel à cira.marseille@free.fr

Le CIRA présente ses activités, ses publications et sa bibliothèque sur Internet à l’adresse suivante : cira.marseille.free.fr

La cotisation minimale est de 25 euros par an. La cotisation souhaitée est de 80 euros par an. La carte de lecteur (pour les non-adhérents) coûte 10 euros par an et il faut laisser un chèque de caution de 50 euros. La consultation sur place est libre.


http://cira.marseille.free.fr/

Le CIRA organise les 13 et 14 octobre l'inauguration de son nouveau local situé au 50, rue Consolat, Marseille 1er.

Le week-end sera consacré à recevoir les visiteurs pour trinquer à ce nouveau départ. Il y aura de quoi manger, boire et se documenter grâce une braderie de livres et revues à prix libre. L'animation musicale sera assurée par les chansons de Meille, René, une chorale… et peut-être d'autres.

L'horaire souhaité est entre 11 heures et minuit pour respecter la tranquillité des voisins.

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9 octobre 2012 2 09 /10 /octobre /2012 21:04

le communiqué ci dessous a été transmis par mail, on publie ce communiqué. Les accusations portés contre ux sont très lourdes L'une d'entre elle fait parti du combat antinucléaire allemand., avant la pacification à coup d'assassinats et d'années de prison et aussi par la reconnaissance du parti vert

 

Aujourd’hui Dimanche 7 Octobre un rassemblement a eu lieu devant la résidence de l’Ambassadeur de la République Fédérale d’Allemagne en France.
Les manifestants avaient l’intention de remettre une lettre à l’Ambassadeur expliquant la raison de notre présence et lui demandant de transmettre aux autorités allemandes notre volonté de voir Sonja Suder et Christian Gauger acquittés et libérés.
Les appels à l’interphone n’ayant pas eu de réponse, des autocollants ont été apposés sur le portail d’entrée, une banderole soulevée par des ballons a été passée par dessus le mur d’enceinte du jardin, et une banderole exigeant la libération de Sonja Suder et Christian Gauger déployée
Des forces de police sont intervenues pour interrompre le rassemblement, ont encerclé les participants et les ont reconduits manu militari jusqu’à la station de métro
Ce rassemblement avait pour but de protester contre le déni de droit subi, en Allemagne et en France, par Sonja et Christian. Le procès s’est ouvert à Francfort le 21 septembre 2012. Ces deux militants ont été extradés de France en vertu d’un mandat d’arrêt européen il y a juste un an, pour des faits remontant à plus de 35 ans.
Christian a été libéré pour des raisons de santé et est actuellement en liberté provisoire sous contrôle judiciaire. Quant à Sonja, elle est toujours incarcérée depuis leur extradition, il y a plus d’un an.
En préalable du procès, les avocats de Sonja et Christian ont récusé les juges, dénonçant un acte d’accusation partial basé sur deux témoignages irrecevables en droit : l’un obtenu dans des conditions assimilables à de la torture et l’autre dans le cadre d’une remise de peine négociée.
Malgré les requêtes de la défense, la comparution de ce témoin est maintenue pour le Mardi 9 octobre 2012.
Cette action est une des initiatives prises pour rompre le silence et faire savoir dans quelles conditions se déroule ce procès et ce qu’il signifie.

Linter.over-blog.com/ Solizorn / Verdammtlangquer /Stopextraditions.org

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9 octobre 2012 2 09 /10 /octobre /2012 10:00

image réjouissante
 
Un des membres du comité no TAV 26 publie ce texte en italien ,pour rendre visible le désaccord l profond qui existe entre les différents comité no tav ( no tav 69 et no tav 73 et no tav 38 ,no tav 26) de la région Rhône Alpes
lu et copié ce texte lici

Solidarietà o complicità? (attenzione: parliamo di operai non di carcere)12 /09/  2012

Almeno da 18 anni, cioè dal 1994, operazione Marini, nel movimento anarchico italiano si parla della divisione fra i "solidali" e i "complici". Purtroppo questa discussione rigurda soltanto il carcere e la repressione. Il dibattito è se ci sentiamo solidali con i prigionieri, o se addirittura ci sentiamo loro "complici".

Tale discussione andrebbe a nostro avviso generalizzata. Siamo stanchi di un movimento, quello anarchico, e nello specifico quello "d'area" (con tono vocativo non riproducibile per iscritto, e che lasciamo all'immaginazione del lettore) che ormai vive in un'ottica tutta difensiva o negativa. Lo Stato ti reprime, tu lo attacchi; lui ti reprime di nuovo, tu lo attacchi più forte. In una spirale fra te, i tuoi solidali/complici, e lo Stato, che esclude la gran massa degli oppressi.

Il tema esclusivamente anticarcerario finisce per fare una guerra ai carcerieri dimenticando la natura del carcere, le sue origini e la sua ideologia – perdonate il termine vetusto – di classe. Il carcere, la polizia, i tribunali, vanno letti nella loro missione storica: difendere le classi proprietarie dal pericolo di essere espropriate delle loro ricchezze.

Vorremmo per una volta spostare il discorso sulla solidarietà-ovvero-compicità in un'ottica sociale e non solo carcerario-repressiva. In particolare ci riferiamo agli scontri di ieri a Roma fra operai e polizia. Spostare il discorso sulla solidarierà/complicità a temi sociali non è affatto scontato. Però produce grandi risultati.

Nel caso degli operai Alcoa: in giro si trovano decine e decine di comunicati in cui si esprime la solidrietà per la brutale violenza della polizia. A guardare bene, però, i fatti non sono andati proprio così. In 500 sono arrivati dalla Sardegna, con bombe carta, bulloni, spranghe e lastre di alluminio "auotoproddotte" nella loro azienda, intenzionati ad attaccare il ministero e paralizzare Roma se le cose non fossero andate come volevano. Fassina è stato cacciato a calci nel sedere!

Stesso discorso, qualche settimana fa, a Basiano, nella periferia di Milano. Tutti ad esrpimere solidarietà ai lavoratori ferocemente pestati dai carabinieri. Umanità Nova che si concentra solo sulle violenze della polizia. Mente i cosiddetti "insurrezionalisti di oggi" (quelli di ieri parlavano molto di più di lotta di classe[2]) che neanche ne parlano, talmente si sono alienati dal conflitto sociale (cioè reale). Bene vogliamo dire una cosa? Anche li, prima del pestaggio dei carabinieri, gli operai hanno attacato e devastato l'autobus dei crumiri, hanno divelto i pali di ferro della segnaletica stradale per usarli come cordone difensivo o per spaccarli sulle camionette dei carabinieri.

Invece che parlare solo delle violenze della polizia, ed esprimere solidarietà ai poveri malmenati, perché non sottolineamo le nostre di violenze. Violenze giuste e buone, nei confronti delle quali non siamo solidali, bensì complici.

Stesso discorso vale per l'antifascismo. A quanti di voi è mai capitato di fare una rissa coi fasci e di picchiarli di santa ragione? Una gran bella soddisfazione, peccato leggere il giorno dopo il solito comunicato lamentoso che parla di aggressione fascista. Che palle! je l'abbiamo date o no! E allora rivendichiamocelo, che cazzo piangiamo!

Lavorare tutti i giorni per l'isurrezione. Per noi significa questo. Non solo fare i benifit per gli arrestati di turno. Ma stare dalla parte degli oppressi quando questi, finalmente, alzano la testa, attaccano il padrone, si scontrano con lo sbirro. 

 

Alcuni insurrezionalisti di classe

[1] vedi http://www.anarchaos.org/2012/09/piovono-pietre-scontri-davanti-al-ministero-fra-operai-e-polizia-cacciato-fassina-pd-a-calci-in-culo/

[2] sul fatto che gli insurrezionalisti degli anni 70-80 avessero un linguaggio e un intervento di classe, vedi: http://www.anarchaos.org/2012/06/inuserrezionalismo-e-individualismo-non-facciamo-confusione-di-ginetta-moriconi/

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9 octobre 2012 2 09 /10 /octobre /2012 09:40

Un communiqué des JCML  cellule de Lyon

Depuis plusieurs mois, Clermont-Ferrand a vu un climat de répression se développer et s’intensifier.. Encore récemment à st-jacques un jeune est mort à l’issue d’une course-poursuite, dans des conditions étranges. D’autre part, dans les rues de notre ville les groupes fascistes commencent leurs tentatives pour semer la terreur, par la menace ou l’agression de personnes isolées. Ils prennent pour cibles ceux qu’ils jugent responsables des maux de la société : « racailles », « zonards », ou autres « gauchistes ».

Les agressions des fascistes et celles de l’état français sont les mêmes, elles ciblent les mêmes victimes : les masses populaires quelque soit leurs origines ou leurs cultures.


Nous n’appelons pas la police où l’Etat à les régler, dans le sens où elles découlent naturellement du système d’exploitation capitaliste. Les crimes continuels faits avant et après les élections prouvent qu’une telle politique ne provient pas des idées d’un parti de droite ou de gauche mais du principe même de l’état bourgeois.Nous considérons que c’est à la classe ouvrière et aux classes populaires de s’organiser de manière indépendante de la bourgeoisie  et de l’état.


L’état est une machine infernale au service de la bourgeoisie :

  • Par la police, l’armée, les contrôles d’identités, il sème la guerre entre frères et sœurs des classes populaires

  • Lorsque la police ne suffit plus, l’état utilise les salauds à la croix gammée pour semer encore la terreur.

Nous ne voulons pas conquérir cette machine de guerre nous voulons la renverser !

 

 

Nous, Jeunesse Communiste Marxiste-léninistevoulons créer le parti qui nous manque pour détruire le vieux monde du capitalisme pourrissant et faire surgir une nouvelle société.

Tandis que les bourgeois par la guerre et le crime s’accrochent au vieux monde, nous représentons l’avenir.


Contact : jcml.auvernha@gmail.com jcml.nationale@yahoo.fr

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