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  • : Le blog du laboratoire anarchiste est un blog actif a propos de l'actualité sociale
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La tyrannie la plus redoutable n'est pas celle qui prend figure d'arbitraire, c'est celle qui nous vient couverte du masque de la légalité." Albert Libertad

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le blog du laboratoire anarchiste

File:Wooden Shoe.svg
17 mars 2012 6 17 /03 /mars /2012 20:27

Nous avons publié depuis de nombreux jours un texte qui met ae en évidence que le courant électriquede la ligne de haute tension soit 50000W  était en activité. alors que les engins de chantier étaient en activité. c'était le 27 février une tentative d'homicide contre  Luca. On a expliqué les proches ont décidé très rapidement d'organiser la solidarité pour cultiver les terres. Maintenant un appel à la solidarité financière  circule en france

 Nous recevons  et diffusons:  



aujourd'hui Luca fête  ses 37 ans
 
FESTEGGIAMOLO INTENSIFICANDO LA LOTTA .
 QUESTA SERA A CHIOMONTE LOTTIAMO ANCHE PER LUI.
 
allez Luca . NO TAV dehors les troupes d'occupation
 
 Alpes libres


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17 mars 2012 6 17 /03 /mars /2012 14:42

nous transmettons ce message ,à nos lecteurs fidéle et..., sur le blog  du Laboratoire concernant l'avis de grève le 27 Mars 2012

Nous avons décidé de changer notre sort nous-mêmes, en comptant sur nos propres forces, sur notre propre détermination, sur notre conscience et sur la montée de notre esprit de révolte.

Nous avons beaucoup réfléchi, analysé et compris les raisons profondes du refus affiché par les institutions, l’Etat, la Région et le Département de ne pas lévé NOU di gad é méprizé Travayè é Pèp Gwadloup.

Aujourd’hui, à l’approche des élections présidentielles en France, ils se chamaillent.

Et pourtant, tous bords politiques confondus, ansanm-ansanm, yo désidé pa rèspèkté signati a yo.

LKP a grandi, s’est fortifié.

Ces trois années de liyannaj d’expériences, de parcours de révolte, d’organisation collective, de réappropriation de notre culture, de nos mès é labitid, de NOU même, nous ont permis de conforter, d’enrichir et de consolider notre conviction qu’il ne faut surtout pas bésé tèt ni konté si pyé a lézot pou maché.

Il s’agit pour NOU, de poursuivre et de gagner le combat kont démounaj a Fanm é Nonm Gwadloup, entrepris depuis des siècles pour faire de NOU des êtres sans terres, sans culture, sans âme, sans histoire, sans héros ; des êtres sans vie.

Nous sommes des femmes et des hommes dignes, kon tout moun si latè, capables de nous battre et de vaincre.

LKP réaffirme que :

- Les difficultés des entreprises guadeloupéennes ne s’expliquent pas par l’étroitesse des marchés, ni par la faiblesse de leur encadrement et encore moins du fait du prétendu manque de productivité des salariés…mais relèvent d’une volonté politique et économique de les maintenir sous la dépendance des Banquiers, des békés de l’Import-Distribution et des politiciens détenteurs des marchés publics.

- Le chômage imposé à plus de 60.000 nonm é fanm et aux dizaines de milliers de jeunes de moins de 25 ans, l’échec scolaire, le développement de l’obésité, les maladies invalidantes comme le diabète et l’hypertension artérielle, la mortalité liée aux AVC ; la dengue, la tuberculose, la leptospirose, la drogue ne sont pas dus à la faillite des parents, à la fainéantise des jeunes, à notre appauvrissement culturel mais c’est le prix que nous payons à l’exploitation capitaliste et coloniale, le laisser-aller général, le « je-m’enfoutisme  » de ceux qui prétendent nous diriger.

- Le projet de société des Gillot et Lurel à quelques semaines des présidentielles, des législatives et de la réforme de 2014 n’est pas notre rendez-vous mais un vèglaj, le même qui nous flashe à chaque fois que notre peuple se réveille, de façon à ce que nous soyons encore des milliers à leur confier les mandats qu’ils occupent et qui les autorisent à nous couillonner, nous mépriser et à nous diviser.

LKP MOBILISATION 27MARS2012

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17 mars 2012 6 17 /03 /mars /2012 09:06

Avis  de paraution "oublier fukushima" .Comme disait un  officier anonyme dans le journal le monde du 15 Mars:"l'armée française saurait'elle évacuer 100000 personnes vivant près d'une centrale nucléaire accidentée?

Dans le journal le dauphiné libéré du 16 Mars: "il annonce sous forme de question la prochaine destruction des tours de refroidissement  du Tricastin, tout ceci pour dire la  publicité pour Georges Besse II   et  les tonnes de ciments et de ferrailles que les nucléocrates prévoient pour le démentellement   de la centrale Georges Besse I.

 

 

 

 

La catastrophe nucléaire au Japon serait résolue. Catastropher,

liquider, évacuer, réhabiliter, banaliser :

autant d’épisodes d’un feuilleton destiné à nous

faire oublier Fukushima. Autant de chapitres de ce livre

pour défaire les mensonges des États nucléarisés.

« Je ne veux plus y retourner. Là-bas, la vie a été effacée »,

explique une grand-mère japonaise qui a fui la zone

contaminée. La catastrophe dans laquelle se débattent les

Japonais n’est pas seulement un aperçu de ce qui nous attend

partout ailleurs, c’est aussi le miroir grossissant de

notre condition présente, celle de prisonniers d’un monde

clos. Chaque foutue aspiration à la liberté se cogne aux

murs des installations nucléaires, se perd dans le temps infini

de la contamination.

Quelle existence reste-t-il à mener avec un dosimètre autour

du cou ?

De Tchernobyl à Fukushima, du Japon à la France, des

textes, des récits, des documents.

Pour contribuer à l’histoire immédiate du désastre nucléaire.

Pour nourrir quelques esprits qui refusent de se résigner.

 


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16 mars 2012 5 16 /03 /mars /2012 07:44

la marche des possibles de passage à valence le 16 mars rendez vous au kiosque Peynet à 20h. information transmise par radio Mega .Amieset ami du blogle laboratoire tu peux lire le texte d'appel  ci dessous le texte a été copié collé sur le blog ici

On n’arrête pas un peuple qui marche

Plus de 900 km à pied pour manifester notre espérance !

Nous ne sommes pas dupes sur l’issue des élections présidentielles, de cette farce électorale que nous vendent les « médias de masse », ainsi que la classe politique.

Conscients que les banques gouvernent alors que personne ne les a élues, nous nous mettrons en Marche, le 3 mars 2012 au départ du Vieux Port de Marseille (RdV 9h) pour rejoindre Paris à pied. La Marche Marseille sera l’une des différentes Marches qui s’organisent partout en France en direction de la capitale (départ de Bayonne, Lille, Marseille, Normandie, Bretagne, Strasbourg, Clermont-Ferrand, Toulouse, …). Elles arriveront unies à Paris le 20 avril 2012, deux jours avant le premier tour des élections présidentielles.

Cette initiative s’inscrit dans la continuité de nombreux mouvements sociaux dépourvus de logique corporatiste, qui ont vu le jour ces dernières années et derniers mois (forums sociaux, collectifs, indignados, occupy, …). Indépendante et construite par ceux qui y participent, elle a pour enjeu de créer une agora nomade, plate-forme des réflexions et des possibles, où chacun peut porter son analyse et des solutions concrètes en place publique.

Lors de nos passages dans les villes, nous installerons nos campements sur les places. Nous nous réapproprirons l’espace public afin de rompre avec la logique du chacun pour soi et créer ainsi des espaces d’expérimentations ouverts à la concertation, afin de réinventer le « Vivre Ensemble ».

La Marche de Marseille se propose de véhiculer des alternatives concernant nos manières de vivre, de s’organiser et de consommer, en réponse aux logiques de pensée que voudraient nous imposer la classe politique ainsi que les lobby attachés à défendre les intérêts particuliers des grandes entreprises. Nous marcherons donc pour porter ces alternatives sur les places et dans le débat public. La Marche Marseille se concentrera sur les questions des énergies alternatives au nucléaire et au pétrole, les systèmes d’organisations locales, l’échange de semences libres, la culture de la terre, la gestion de l’eau, les médecines naturelles, enjeux centraux de notre action.

Cette Marche est ouverte à tous à titre individuel, milieux associatifs ou militants. Cette Marche se veut ouverte à tous ceux qui sont soucieux de faire entendre leurs voix autrement que par les seules échéances électorales. C’est pour cela que nous invitons tout un chacun à venir nous rejoindre, que ce soit tout au long de la Marche ou bien pour quelques kilomètres ou lors des temps forts de la Marche pendant nos passages dans les grandes villes. Cette Marche est une plate-forme ouverte et exploitable par tous ceux désireux de porter une thématique, partager leurs savoirs et enrichir les propositions d’alternatives au travers d’animation, d’exposition de prototypes et de discussion ouverte (Agora).

Nous croyons de manière globale à la coopération et non à la compétition.

De nombreux réseaux travaillent de manière efficace sur diverses thématiques. L’heure est venue de collectiviser ces travaux afin de créer une grande convergence populaire. Notre Marche se veut être une vitrine non commerciale des alternatives.

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16 mars 2012 5 16 /03 /mars /2012 07:33

lu sur indymedia.paris

L’agence de propagande nucléaire "H5" ciblée à Paris.

Il y a un an, trois des quatre réacteurs de la centrale nucléaire de Fukushima Daiichi explosaient ou se fissuraient, libérant pendant des mois des millions de particules radioactives. Des régions entières sont contaminées pour des centaines d’années, des milliers de personnes sont déplacées et il est encore bien trop tôt pour mesurer toutes les conséquences de ces évènements, d’autant plus que les réacteurs ne sont toujours pas sous contrôle. Bref, le résultat est déjà monstrueux et ce n’est qu’un début. Bien qu’ayant été directement provoqué par le tremblement de terre et le tsunami du 11 mars, ce qui s’est passé à la centrale n’a évidemment rien d’une catastrophe naturelle et le nucléaire, avant même d’être une question d’énergie, est avant tout une question de puissance d’Etat.

Certains de ces Etats détiennent l’arme atomique, ce qui leur permet d’exercer un chantage permanent à la fin du monde si leur souveraineté est remise en cause. Ce n’est d’ailleurs pas qu’un chantage puisque depuis 20 ans les armes à uranium appauvri sont régulièrement utilisées dans les conflits (Irak, Yougoslavie, Libye) avec des conséquences irréversibles pour les populations. Ces armes utilisent une partie des déchets de l’industrie nucléaire, ce qui montre cyniquement tout l’intérêt que cette industrie porte au recyclage. Ce qui montre aussi l’extrême porosité entre le nucléaire dit civil et militaire. Le nucléaire n’est pas seulement porté par un lobby industriel en quête de profits faciles, c’est surtout une logique d’Etat qui vise à assurer sa puissance et à soumettre sa population.

Dans cette stratégie d’acceptation du nucléaire, la propagande joue un rôle fondamental. En France, tout ce qui relève du nucléaire relève de la raison d’Etat et donc rapidement du secret qui va avec. Areva et l’Etat, entre autres gestionnaires du nucléaire, veulent convaincre que l’époque Tchernobyl du secret et des mensonges est révolue, mais cette apparente transparence autour de Fukushima sert toujours le même objectif : faire accepter le nucléaire comme moderne et inéluctable et prévenir toute contestation qui pourrait surgir, notamment lorsque des millions de personnes sont irradiées.

L’agence de communication H5 est évidemment l’un des rouages de cette machine de propagande du nucléaire. En réalisant plusieurs spots publicitaires pour Areva, dont le dernier en 2011 s’appelait « l’Epopée de l’énergie », H5 a touché le pactole pour nous vendre un nucléaire moderne, cool et branché. Dans ce spot au style très attrayant, le nucléaire est présenté comme l’évolution logique et naturelle de l’humanité dans sa quête de progrès, ainsi toute critique du nucléaire est renvoyée à du passéisme archaïque. H5 n’a pas fait les choses à moitié avec ce vrai spot de propagande, qui se finit par une soirée dansante où des gens se déhanchent tout à la joie de cette convivialité nucléaire accompagnée d’un slogan écolo très tendance « l’épopée de l’énergie, continuons de l’écrire avec moins de CO2 », mais sans doute avec un peu plus d’uranium et de plutonium…

Bien sûr, H5 s’en fout un peu de tout ça, leur unique objectif de publicitaires à la con est de se faire de l’argent en défendant n’importe quelle marque, comme le montre la diversité de leurs spots réalisés : Nissan, Total (là ça a du être un peu difficile de recycler le slogan sur l’avenir avec moins de CO2, mais les publicitaires ne s’arrêtent pas à ce genre de détail) ou Logorama pour la caution artistique. Mais c’est bien de rappeler à ces ordures que le monde n’est pas un grand film d’animation avec des petits bonhommes confiants dans leurs autorités qui font la teuf au milieu de la merde nucléaire et capitaliste. Voilà les quelques raisons un an après Fukushima qui nous ont amené à cibler cette entreprise.

A Paris, dans la nuit du 11 mars 2012, nous avons dégueulassé la façade de l’agence H5, située au 25 rue du faubourg poissonière dans le Xème arrondissement. Nous avons peint dans le hall "H5 = société de propagande nucléaire = société mortifère". Ludovic Houplain, le fondateur de H5 qui a notamment signé le clip de propagande d’AREVA, n’a pas non plus été oublié. Le hall de son immeuble bourgeois, situé au 21 rue Ampère dans le XVIIè, a été tagué d’un "Houplain (H5) s’engraisse avec le nucléaire", ainsi que " société nucléaire = société mortifère". Nous nous sommes aussi rendus chez François Alaux au 35 rue des Trois bornes dans le XIè. Celui-ci est le gérant de la société ENCORE (située au 13 rue Yves Toudic dans le Xè) et a notamment participé, au côté de H5, au premier clip de propagande pour AREVA. Nous avons tagué dans le hall de ce porc "François Alaux s’engraisse avec la propagande du nucléaire". Il aura l’air beaucoup moins fier à pousser son scooter que nous avons joyeusement défoncé.

Ces actions n’ont pas la prétention de répondre à la hauteur de l’abjection de leur spot de propagande mais allier le discours à un peu de pratique directe nous semble toujours intéressant dans la perspective de critiques et de luttes contre les différents aspects de notre société nucléaire.

Les rouages de la société nucléaire sont partouts. SABOTONS-LES, 

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15 mars 2012 4 15 /03 /mars /2012 09:45
C’est le premier communiqué depuis qu’elle a annoncé avoir cessé
définitivement ses actions armées le 20 octobre dernier. Dans ce communiqué en trois langues et daté du 22 février, l’organisation rappelle qu’il y a quatre mois, elle avait demandé l’ouverture d’un dialogue direct avec le gouvernement français concernant les “conséquences du conflit” et elle veut donc faire “part à la société française” de ses “réflexions”. Communiqué d’ETA à la société française Alors que quatre longs mois se sont écoulés depuis qu’ETA a annoncé la fin de son action armée et a appelé le gouvernement français à entamer un dialogue direct concernant les conséquences du conflit, ETA veut faire part à la société française de ses réflexions : Après de longues années de confrontation armée, l’occasion de dépasser celle-ci est ouverte. Nous sommes face à l’enjeu de construire la paix juste et durable qui permettra la résolution d’un conflit historique et qui mettra fin définitivement à des décennies de souffrances. Les décideurs français, dans leur discours, ont l’habitude de présenter le “problème basque” comme s’il s’agissait d’une question relevant de l’Espagne, occultant ainsi la responsabilité directe de l’Etat français. Pourtant, autant la France que l’Espagne nient la réalité nationale d’Euskal Herria et le droit des Basques à décider de leur avenir. Le centralisme de l’Etat français ne concède aucune reconnaissance politique aux territoires du Labourd, Basse-Navarre et Soule et continue à faire la sourde oreille face à la revendication du Pays Basque pour un cadre institutionnel spécifique. L’Etat français s’associe, par ailleurs, à l’Espagne dans sa stratégie répressive à l’encontre de la résistance basque, depuis le franquisme jusqu’à aujourd’hui. L’Etat français a été directement impliqué dans la guerre sale, dans les disparitions de militant(e)s basques et dans des cas de torture. Parfois, en fermant les yeux sur ces affaires et d’autres fois, en les
protégeant sciemment. Il persécute et arrête les militant(e)s qui travaillent en faveur d’Euskal Herria, ainsi que les réfugié(e)s politiques. Aujourd’hui, 140 prisonnier(e)s politiques basques sont dispersé(e)s dans les prisons françaises. Le 17 octobre dernier, des personnalités de renom international ont signé la déclaration d’Aiete. A travers celle-ci, ils ont défini une feuille de route rassemblant les éléments pour la résolution du conflit et indiquant la responsabilité des deux Etats. ETA a répondu positivement au premier point de cette déclaration, le 20 octobre.Tout en annonçant la fin définitive de son action armée, ETA en appelait auxgouvernements français et espagnol afin qu’ils ouvrent un dialogue direct dont l’objectif serait de résoudre les conséquences du conflit. Jusqu’à présent, la seule réponse apportée par les responsables du
gouvernement français a été d’affirmer qu’ils appliqueront ce que le
gouvernement espagnol ordonne. Et au lieu de s’impliquer dans la résolution
du conflit, ils ont continué dans la voie répressive, arrêtant des militants
basques, maintenant la politique devengeance envers les prisonnier(e)s
politiques basques et remettant aux mains de l’Etat espagnol des
citoyen(ne)s basques par le biais des mandats d’arrêt européen. La majorité des acteurs politiques et sociaux du Labourd, Basse-Navarre et Soule se sont prononcés contre cette attitude. Au-delà des positions politiques divergentes quant au passé et à l’avenir, ils sont largement
d’accord pour souligner que, face à cette occasion historique, des
engagements et des actes de la part de la France sont nécessaires. Pour toutes ces raisons, ETA considère qu’il existe une opportunité réelle de construire une paix juste, basée sur la résolution de ce conflit séculaire.
Nous pensons que les citoyens basques espèrent que le gouvernement français réponde positivement à la possibilité de mettre fin définitivement aux conséquences du conflit, en entamant pour cela des discussions directes avec ETA. Comme le stipule la déclaration d’Aiete, pour que la résolution soit ferme et durable, il convient aussi de répondre aux causes politiques qui sont à l’origine du conflit.
ETA considère que les forces politiques, syndicales et sociales basques seront à même de trouver les accords politiques nécessaires à cela. Nous pensons que la France a un rôle essentiel à jouer dans la résolution juste et rationnelle de ce conflit historique et nous sommes convaincus que c’est le souhait de la société basque. Pour terminer, ETA tient à exprimer sa reconnaissance et sa gratitude à toutes les personnes qui, en France, ont soutenu et soutiennent la cause du peuple basque. ETA les invite à poursuivre leur effort afin de
tirer pleinement profit de l’opportunité ouverte. Gora Euskal Herria askatuta! Gora Euskal Herria sozialista! Jo ta ke independentzia eta sozialismoa lortu arte!
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14 mars 2012 3 14 /03 /mars /2012 09:56

Le nucléaire au coeur de l'état, en sortir le plus vite

Les centrales nucléaires ont besoin de beaucoup d’eau, elles ont été construites,dans la région Rhône Alpes,  au bord du Rhône ou alimentées par des canaux issus du Rhône Les départements limitrophes du Rhône ont été circonvenus par la maffia du nucléaire, par conséquent de nombreuses associations reçoivent des subventions alimentées par cette  maffia . La pacification sociale du  capitalisme a  aussi la même obligation. Des individus ont distribué le tract Romance criminelle pour une action du 11 Mars à valence, la bataille contre le nucléaire et son monde est une bataille de longue durée. Ne taisons pas nos divergences peut être tactiques,nous vous proposons de continuer les discussions entamées. Nous avons pu lire aussi un tract distribué dans les TER Rhône Alpes "du nucléaire au TAV un seul et même monde à combattre"du CAN 26 . " La sortie immédiate du nucléaire nécessite l’arrêt immédiat du projet de liaison ferroviaire à grande vitesse entre Lyon et Turin. On ne peut pas sortir du nucléaire si on ne s’oppose pas aux projets dévoreurs d’énergie et à la société marchande qui les développe."Comme disaient les inculpés du train de déchets nucléaires bloqués le 7/02/2011, quelques heures dans la vallée de Susa « marre d'être victimes fier d'être coupables » Lucas Abbà et Guido, Arturo,Toshi nous disaient: "Dans ce jeu absurde avec l’atome, les victimes et les bourreaux, à la fin, payeront le même prix. On ne nous convaincra pas du contraire et leurs lois ne pourront jamais démonter les raisons de ceux qui veulent empêcher les messieurs du nucléaire et de la guerre de jouer avec la planète."Depuis la rédaction du tract Romance Criminelle on a pu lire sur de nombreux médias alternatifs le texte de la" clé plutôt que la chaîne" de l'association contre le nucléaire et son monde à la page une,nous extrayons un passage de ce tract" Une autre tendance, négation de la première, (« Notes sur Valognes et ses suites » in Pas de sushi l’État Geiger, n° 2, p 21-22), quant à elle, louvoie en assimilant la thèse de la défaite des nuclécrates à « l’illusion d’une prise de conscience généralisée comme il en fut jadis dans l’après-Tchernobyl ».Illusion qui aurait spéculé, déjà, sur la catastrophe nucléaire comme opportunité pour renverser ce monde. Si nous critiquons, nous aussi, cette thèse la fin inéluctable du capitalisme par la catastrophe nucléaire, nous ne nous souvenons pas de la propagation d’une telle illusion dans les années qui ont suivi Tchernobyl Engager une activité désabusée sur la base des possibilités d’alors (notamment dans les luttes contre les projets de stockage de déchets nucléaires) et contribuer à fissurer le consensus qui régnait nous paraissait alors indispensable d’autant que le développement d’une conscience critique collective ne tombe jamais du ciel, fût-il cauchemardesque .

L’importance de la discussion réside dans le fait qu’il faut envisager la réalité du rapport de force dans la lutte contre le nucléaire. "

 

Nous vous invitons le 14 mars à16h jusquà 18h au local du laboratoire 8 place s t jean, nous voulons reprendre la discussion interrompue par une exhibition du réseau sortir du nucléaire rejoint par l’appareil politique des Verts 

 

Des invidu-e-s associé-e-s en lutte contre le nucléaire et son monde le 12/03/2012

 

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14 mars 2012 3 14 /03 /mars /2012 08:45
Encore un fichier!!!ce nouveau fichier a été déjà expérimenté dans l'accadémie  de Montpellier
et celle de Limoges,si vous avez des informations sur ce fichier, pour lutter contre 
 évidemment
Les enseignants mis en fichier
Un décret publié au Journal officiel du 10 mars crée l'application 
SIRHEN de gestion des personnels de l'éducation nationale et de 
l'enseignement supérieur. Le fichier a pour objectif "la gestion 
administrative et financière" mais aussi la gestion des moyens. 
Le fichier conservera des informations familiales, " Congés et absences, 
Compte épargne-temps, Evaluations et entretiens professionnels, 
Avancements et promotions" mais aussi les décharges d'activité pour 
exercer les fonctions de représentant syndical, les sanctions et des 
informations sur la santé (maladie professionnelle). Les agents en 
charge du traitement aurons accès au fichier. Ainsi que votre inspecteur.
Le décret : 
<http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000025468033&dateTexte=&categorieLien=id>
http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000025468033&dateTexte=&categorieLien=id
<http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000025468033&dateTexte=&categorieLien=id>

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14 mars 2012 3 14 /03 /mars /2012 07:36

commentaires:

Depuis des semaines le blog du Laboratoire maintient que la chute de Lucas Abbà du pylone à haute tension n'est pas accidentel mais une tentative d'homicide. Le site de rebellyon.infos a semer le doute(par le témoignage des proches de Lucas) dans l'esprit des proches  du laboratoire. Rebellyon.infos un site cadenassé . Parfois rebellyon .infos reprends les infos du jura libertaire  Dans un autre exemple  rebellyon.infos n'a pas repris le texte la "clé plutot que la chaîne" . 

 

 

Un opposant no tav prof à l'école polytechnique de Turin

 

Sécurité sur les chantiers TAV ?  On s’en fout

Tiré du blog de Massimo Zucchetti dans Le Fait Quotidien – 01/03/2012

 

J’ai appris la nouvelle annonçant qu’une personne, Luca Abba, âgé de 37 ans, installé sur un terrain avant qu’il ne devienne chantier public, a été victime d’un grave accident : grimpé sur un pylône haute-tension à l’intérieur du chantier, mais, par ailleurs, situé sur un terrain qui faisait partie de sa propriété, il a été frappé par un arc électrique et est tombé de 15 mètres environ. Il est aujourd’hui, en coma artificiel, à l’hôpital CTO de Turin avec de graves conséquences même si son pronostic vital n’est pas engagé.

 

Puisque j’ai enseigné pendant une dizaine d’années « Sécurité et Analyses du Risque » dans mon université, je voudrais dans ce texte poser le problème sous un angle sensiblement différent, étant donné que beaucoup a été dit ces jours derniers de tous les autres points de vue, et je crois que mon avis sur la Grande Vitesse et ma solidarité avec Luca Abba sont bienvenus.

 

Prenons au sérieux ce que nous disent les défenseurs de la Grande Vitesse : cette excroissance, en ce moment, à la « Baïta Clarea, au-dessus de Chiomonte dans le val di Susa, est un chantier et pas un fortin militaire. Très bien. Si c’est un chantier, il doit être soumis aux normes de sécurité des chantiers. Celles-ci sont définies par une norme italienne très précise : si le Val di Susa est en Italie et pas en Afghanistan la loi doit s’appliquer comme le réclame à grand cri tout ceux qui « veulent un retour de la légalité » dans le Val di Susa.

 

Le Texte qui fait autorité en matière de santé et de sécurité sur les lieux de travail est composé de l’ensemble des normes exposées dans le décret législatif du 9 avril 2008 n° 81 qui réforme, réunit et harmonise, tout en abrogeant les anciennes formulations contenues dans un ensemble de décrets normatifs en matière de sécurité et de santé sur les lieux de travail élaborées sur une période de soixante ans. Le nouveau texte unifié prévoit l’abrogation (sur des durées différentes) de nombreuses normes, celle de D.lgs 19/09/1994, n° 626, celle de D.lgs 14/08/1996, n°494 et celle de D.lgs 19/08/2005, n°187.

 

La loi précise d’abord les responsables puis décrit les mesures de gestion et les adaptations techniques pour réduire les risques du travail. A la fin de chaque chapitre les sanctions en cas de défaillance sont définies. Je voudrai particulièrement me concentrer sur les aspects qui concernent la suspension de l’activité.

 

Selon les dispositions de la loi, les inspecteurs peuvent imposer, en cas de graves violations des normes contre les accidents du travail, la suspension de l’activité (article 14). Cette disposition concerne particulièrement ce cas, parmi d’autres :

Violations graves et réitérées en matière de protection de la santé et de la sécurité, identifiées par le DM du Ministère du Travail et de la Prévention Sociale, suite à la conférence Etat Région.  Dans l’attente du décret, les violations graves, qui peuvent entraîner en cas de récidive, la suspension de l’activité, sont celles inscrites dans l’annexe 1 de la loi.

 

Dans l’Annexe 1 sont énumérées les « graves violations pouvant entraîner les dispositions de suspension de l’activité de l’entreprise ». On trouve en particulier :

Violations qui exposent aux chutes de grande hauteur :

- Non utilisation de ceinture de sécurité

- Défaut de protection contre le vide

Violations qui entraînent des risques d’électrocution :

- Travaux à proximité de lignes électriques

- Présence de fil sans protection sous tension

- Défaut de protection contre les contacts directs et indirects (prise de terre, disjoncteur magnétothermique, interrupteur différentiel).

Je ne veux pas m’étendre plus sur la question, mais qu’on me permette de conclure ceci :

            - Sur un chantier, s’il s’agit d’un chantier où interviennent des machines déplaçant la terre, les conducteurs haute tension sont coupés. Celui qui ne l’a pas fait est pénalement responsable des conséquences.

            - Sur un chantier, où a lieu un accident, les travaux s’arrêtent, la magistrature met le chantier sous séquestre, on ouvre une enquête  et on recherche les responsabilités. Rien de tout cela n’a eu lieu. Luca Abba était à terre les décapeuses continuaient à travailler.

            - Sur un chantier, on ne commence pas les travaux en présence d’étrangers.

Je vois cependant que mon raisonnement comporte quelques défauts qu’il me faut expliquer :

Le chantier dont il est question n’est pas un chantier, mais un fortin militaire. Il n’y avait pas de travaux civils.

Luca Abba n’était pas un étranger. Il vit dans le ValSusa. Il est propriétaire d’un petit morceau de terrain.

Ce n’est pas un bon début pour ce progrès déchaîné, un chantier dans lequel il se passe de telles choses

 

Salut Luca Luca. Tiens bon et remet-toi vite..

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13 mars 2012 2 13 /03 /mars /2012 06:14

Un recensement est organisé actuellement  sur Valence , Granges les valence,peut être plus de illes de la communauté de commune. Les lecteurs du blog du laboratoire doivent être vigilant pour faire barrage des annonces alléchantesau niveau financier pour participer pour l'enquête du recensement.

 

 

En 2007, nous relevions dans un manifeste pour l’abolition de la carte d’identité (à lire ici), l’existence d’ « une opposition fragmentée et parcellaire aux pièces d’identité biométriques et électroniques, au fichage ADN, à la biométrie, aux RFID, à la vidéosurveillance, et récemment aux tests génétiques prévus par la loi sur l’immigration, ainsi qu’à l’interconnexion des données administratives ». « Rien ne sert de combattre ces nouveaux modes de contrôle - informatiques, biométriques, génétiques, disions-nous, si l’on n’en finit pas avec les registres et pièces d’identité imposés voici 500 ans par l’Etat, et qui en constituent le modèle et la matrice. »

Un lustre plus tard, alors que dans le brouhaha d’une campagne électorale pour la direction de ce même Etat, le parlement vient d’adopter une nouvelle carte d’identité biométrique numérique, avec deux puces RFID, et la mise en place d’un registre national des informations contenues dans cette carte – soit le fichier biométrique de 45 millions de Français – nous persistons de plus belle.

Dans ce nouveau texte « Contre le recensement », nous appelons au boycott, au sabotage et à l’abolition des collectes de données, afin d’extirper à la racine l’emprise étatico-technologique.

(Pour lire le texte intégral, cliquer sur l’icône ci-dessous.)


Contre le recensement
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