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La tyrannie la plus redoutable n'est pas celle qui prend figure d'arbitraire, c'est celle qui nous vient couverte du masque de la légalité." Albert Libertad

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le blog du laboratoire anarchiste

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12 novembre 2008 3 12 /11 /novembre /2008 09:12
Image
 "Liberté!", "Ni patrie, ni frontières", "Liberté pour les inculpés
Au cours des six mois qui ont précédé l’incendie du centre de rétention de Vincennes, le 22 juin 2008, les migrants « retenus » ont multiplié les actes de résistance, refusant de manger, d’être comptés, déchirant leurs cartes, brûlant leurs chambres, affrontant la police. Six mois de luttes collectives durant lesquels nous n’avons cessé de leur téléphoner et de recueillir le récit de leurs révoltes.

linkAlors que Brice Hortefeux vient d’annoncer la réouverture du centre de rétention quelques mois seulement après l’incendie, la lecture des témoignages des ex-retenus est plus que nécessaire.
    La résistance contre cette ouverture continue.
Près de 300 personnes, selon les organisateurs, 190 selon la police, ont manifesté mardi devant le centre de rétention administrative (CRA) de Paris-Vincennes, au lendemain de la réouverture d'une partie de ses installations, pour réclamer notamment la fermeture des CRA.

L'un des deux bâtiments du Centre de rétention administratif (CRA) de Vincennes, incendiés le 22 juin lors de violents incidents déclenchés par des étrangers en situation irrégulière retenus, a rouvert lundi.

Les manifestants, qui ont répondu à l'appel du collectif "Liberté sans retenue", se sont réunis derrière une banderole où était écrit "Liberté pour les inculpés de Vincennes" et ont scandé "mur par mur, pierre par pierre, nous détruirons les centres de rétention", ou encore "ni rafles, ni centres de rétention, régularisation de tous les sans-papiers".

De léger heurts ont éclaté en fin d'après-midi entre la police et les manifestants quand ces derniers se sont dirigés vers l'autoroute A4 pour bloquer la circulation, a témoigné Rodolphe Nettier, de SôS Soutien aux sans-papiers.

La préfecture de police de Paris, interrogée par l'AFP, a affirmé que le rassemblement s'était déroulé sans interpellation ni incident, évoquant seulement une brève tension lorsque des manifestants ont entravé la circulation sur l'autoroute.

"Les cinq inculpés (soupçonnés d'être à l'origine de l'incendie du CRA le 22 juin, NDLR) sont un peu dans l'oubli. L'instruction est en cours et il y aura probablement d'autres inculpés car on cherche des boucs-émissaires", a déclaré à l'AFP Laurent, membre de "Liberté sans retenue".

Avec la fermeture du CRA de Vincennes, "il n'y avait pas assez de places et donc il y a eu moins de rafles cet été à Paris. Avec la réouverture du CRA, les rafles ont repris depuis ce week-end", a-t-il ajouté, en dénonçant "la politique du chiffre".

"On s'y attendait (à la réouverture du CRA, ndlr), Hortefeux ne va pas se décourager", a déploré de son côté Jacques Capet, militant de Gauche révolutionnaire.

"Suite aux provocations de Brice Hortefeux (ministre de l'Immigration, ndlr) il est normal que la résistance s'organise. M. Hortefeux allume les mèches pour faire sauter la poudrière", a dénoncé dans un communiqué SôS Soutien aux sans-papiers.

"L'activisme de Brice Hortefeux contre les sans-papiers qui sont criminalisés apparaît paradoxal par rapport au silence qu'il s'impose lorsqu'on évoque la période de Vichy", a pour sa part réagi l'historien Maurice Rajsfus.

Le CRA 1 de Vincennes a rouvert ses portes lundi après "des travaux de remise en conformité", avait indiqué la préfecture de police de Paris.

D'une capacité de 280 places, le CRA de Vincennes, doit être remplacé par trois modules de 60 places chacun.

Lors de l'incendie, les personnes retenues avaient été évacuées et une vingtaine d'entre elles avaient été légèrement blessée
s.
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11 novembre 2008 2 11 /11 /novembre /2008 20:14
striscione.jpg


En Italie comme ailleurs:
« NOUS NE PAYERONS PAS VOTRE CRISE! »
Italien-ne-s, vos revendications sont les nôtres !


Restrictions de crédits, accélération du processus
de privatisation de l'Université...
Berlusconi et son gouvernement ont décidé de détruire l'université publique
italienne, par le biais du décret Gelmini et de la loi dite « 133 ». Par le
slogan « nous ne payerons pas votre crise »,les étudiant-e-s italien-ne-s
ont décidé de combattre ces réformes.
Actuellement, plusieurs dizaines d'universités sont en grève et occupées
par les étudiant-es en lutte.
Le mouvement est menacé par une répression féroce
de Berlusconi et a déjà été attaqué par les fascistes lors d'une
manifestation à Rome.
Un an après la lutte contre la LRU, ce sont maintenant les étudiant-e-s
italien-ne-s qui sont confrontés au processus de Bologne et à ses effets
destructeurs sur le service public d'enseignement supérieur. Les
étudiant-e-s, chercheurs/euses et enseignant-e-s ont choisi de répondre à
ces attaques par la lutte. Nous devons donc les soutenir et rejoindre dans
ce mouvement. En effet, il y a aujourd'hui nécessité à lutter au niveau
européen pour contrer les réformes libérales de privatisation de
l'enseignement supérieur engendrées par le processus de Bologne.
C'est pourquoi nous appelons aujourd'hui à se réunir devant l'ambassade
d'Italie pour soutenir les étudiant-e-s, personnels et professeur-e-s
italien-ne-s en lutte et montrer notre opposition au processus européen de
privatisation de l'enseignement supérieur. Le mouvement italien, qui n'a
reçu que la répression comme réponse, a plus que jamais besoin de notre
solidarité.
Nous appelons à se rassembler le 14 novembre, journée de grève générale
dans l'enseignement supérieur en Italie.

RASSEMBLEMENT DE SOUTIEN AUX UNIVERSITES EN LUTTE
Vendredi 14 novembre - 18h00
Face à l'ambassade d'Ita
lie
(51, Rue de Varenne ; Paris 7e ; Métro : Varenne ou Rue du Bac)
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11 novembre 2008 2 11 /11 /novembre /2008 07:22
A Vichy les 2, 3 et 4 novembre 2008, sous la garde de milliers de gendarmes-militaires harnachés et de policiers en uniforme et en civil, sont réunis ministres et personnalités pour parler de camps de rétention, de barbelés et d'exclusion.

La gauche plurielle, qui organise ce contre-sommet, négocie depuis début octobre le droit d'exprimer quelque chose. Le 3 novembre au matin, il y a même une dernière réunion avec les RG "sous la bulle" avec le sinistre Hortefeux. Il est attendu de 1000 à 1500 personnes, dont une poignée qualifiée d'agités. L'accord de soumission est clair : les RG expliquent que tous ceux qui seront sur les trottoirs et en queue de manif seront réprimés sans ménagement...

Malgré le blocage des cars dans différentes régions, nous serons entre 3000 et 4000 !

Le déroulement des événements étant connu et les témoignages sur le Net disponibles, venons- en à l'essentiel !

Les organisateurs et la presse parlent de "casseurs", d'une "poignée de casseurs"...

Comment ? Plusieurs milliers de flics et de militaires sur-équipés, présents à Vichy depuis trois semaines, n'auraient pas réussi à circonvenir quelques militants qui se sont défendus avec la haine au ventre ? Tout simplement parce que ces derniers étaient plus que les quelques dizaines annoncées et qu'ils ont bénéficié de l'aide de la plupart des manifestants !

Parmi tous ces gens qui parlent de "casseurs", qui s'est vraiment posé la question de savoir pourquoi il y a de la casse, et qui est responsable ? Parce qu'elle en a les moyens, l'organisation officielle aurait pu mobiliser beaucoup plus de monde. Elle aurait pu ainsi jouer son rôle, marginalisant la frange radicale en faisant la démonstration par le nombre qu'il y a encore un espace d'expression.

Cet espace d'expression existe-t-il encore ? Depuis des années, tout tend à démontrer que seul le rapport de force, et la violence qui en découle, sert de point de référence à toute la société. Toutes les protestations sans voitures qui brulent n'ont pas d'écho dans les médias et aucune prise en considération de la colère. Les paysans cassent, les marins pêcheurs cassent, les routiers cassent, les habitants des banlieues cassent, les étudiants en grève cassent... Qu'ont-ils comme autre choix pour se faire entendre des gouvernements bourgeois qui cassent les salaires, la sécurité sociale, les retraites, les services publics, la santé, etc. ? Qui casse le plus ? Et avons- nous un autre choix pour nous faire entendre que de casser ? Il y aurait soit-disant le vote ? Mais quand nous votons NON à l'Europe du capital, notre vote est cassé. Personne n'en tient compte, ni à droite, ni à gauche, nulle part ! Tous ceux qui parlent des "casseurs" ont commémoré l'anniversaire de 1968. Ont-ils oublié, ont-ils la mémoire courte au point de ne pas se rappeler que c'est la "casse" qui a été l'élément premier et déterminant de la grève générale dès le 14 mai 1968 ?

La casse et la violence sont le résultat d'une situation bloquée au service des riches. Alors, oui, quel que soit notre âge, nous sommes tous des casseurs en puissance. Comment changer de société sans casser celle qui nous opprime au quotidien ? La haine et la colère ne sont pas génétiques ! La guerre des classes et des idées est une évidence. Ces milliers de policiers et de militaires dans Vichy qui n'attendent que le moment où leurs chefs vont les lâcher pour casser du manifestant, sont équipés pour la guerre civile. Et on voudrait nous faire croire qu'il faut tendre l'autre joue quand les libertés élémentaires ne sont plus respectées ? L'escalade est inévitable ! Elle est le choix des puissants et des riches qui gouvernent à leur profit. Nous nous battons pour ne pas nous soumettre, en tenant compte de ce qu'il y a en face. En face sont les militaires et les policiers qui tirent. Ceux qui parlent de casseurs ont choisi le camp du pouvoir et de la répression. Nous, nous parlons de résistance et de manifestants.


Les Amis de l'Egalité
Blois, le 6 novembre 2008.
A suivre...


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10 novembre 2008 1 10 /11 /novembre /2008 08:42
JPEG - 23.7 ko
Roland Veuillet (à gauche)


Grève de la faim devant le rectorat de Lyon
.

Récemment, le ministère de l’Education Nationale a été obligé
de reconnaitre le caractère syndical de la plupart des documents
contenus dans le dossier disciplinaire composé contre Roland
VEUILLET, lors de la grève en 2003. Le ministère a même dû les
retirer et les détruire, car leur existence est contraire à la loi.

Ainsi donc, si le dossier disciplinaire est illégal, c’est toute la
procédure qui devient illégale. Il en découle qu’à présent une
révision complète de l’affaire est indispensable.

C’est ce pourquoi se bat Roland depuis le début : La saisine
d’une Enquête Administrative.

Les derniers événements rendent cette requête tout à fait légitime.

Mais contre toute logique rationnelle, Xavier DARCOS a décidé de
maintenir la sanction pour une 6ème année, et il refuse toute
réouverture du dossier.Cependant, il se retrouve maintenant
confronté à une situation beaucoup plus grave : Une grève de la
faim. Car le syndicaliste n’a pas repris le travail, il s’est
installé dans une voiture devant le 92 rue de Marseille (Lyon 7ème),
il refuse de s’alimenter :

Roland VEUILLET exige la révision complête de la sanction prise
contre lui en 2003

Contact : tél. : 06 19 68 30 94 Plus d’infos :

http://roland-veuillet.ouvaton.org


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1 novembre 2008 6 01 /11 /novembre /2008 20:56



Une foule de manifestants ont attaqué les locaux de Radio One dans le cadre de violentes émeutes qui sont enregistrés pour plusieurs heures de Tacna, pour protester contre la décision du Congrès de la République d' adopter l'avis que les modifications de la répartition des redevances.

L'incident a éclaté quelque minutes après midi lorsque la foule ont jeté des pierres contre la station de radio, affilié à la Coordinadora Nacional de Radio (CNR) - , la foule traversa la province de Tacna vers le siège de la Direction nationale de l'administration fiscale ( SUNAT) et les collectivités locales en faveur de l'APRA, où il a perpétré une série d'attentats.

Pour environ 20 minutes, les manifestants, la plupart avec leurs visages couverts, a essayé d'entrer dans la station par la force. . Heureusement, un contingent de police qui sont arrivés sur les lieux a empêché de réaliser sa mission.

5 Heures plus tôt, les émeutiers ont attaqué et incendié le siège du gouverneur de Tacna, dans le coeur historique de la Ville Héroique. . Ils se rendent ensuite dans la rue Francisco Antonio de Zela pour les attaques contre les installations de SUNAT et puis faire de même avec un défenseur de l'APRA.

. Brisé les fenêtres et les portes ont été forcé, et l'attentat contre les locaux de la SUNAT, qui étaient  protégé par deux agents de police à l'intérieur de l'institution. . Après quelques s minutes , la police nationale a  pris le contrôle de la zone ils  ont réussi à disperser les manifestants.

. Lorsque le calme semblait être de retour, la foule se dirigeait vers le local APRA, après avoir pénétré dans les locaux jils ont pillé et détruit tous les objets qui sont à l'intérieur.

. Les manifestants ont également saisi un panneau géant du  chef de l'exécutif, Alan García Pérez, est brisé, comme un signe d'opposition à son régime.

Grâce aux informations fournies par Radio One

 

 

 



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29 octobre 2008 3 29 /10 /octobre /2008 09:41


Le Drapeau Noir

Les ploutocrates sont rassurés, les flots de milliards promis par nos despotes avisés jouent leur rôle de déversoir pour endiguer la crise. La spéculation boursière peut reprendre son cours de long fleuve tranquille. Paraîtrait même que l’on aperçoit la culotte du zouave sous le pont de l’Alma. La main invisible du marché a fini de trembloter et retrouve sa mâle assurance, quant à celle de ma soeur…
Le comte-président de Naguy Bocsa, le grand organisateur des rencontres planétaires pour la refondation du capitalisme mondial, a époustouflé le petit monde de la finance en sortant de sa manche 360 milliards d’euros qui soit-disant ne coûteront rien aux contribuables. Alors que la grenouille de bénitier du ministère du Logement en est à gratter les fonds de tiroir pour pallier la diminution de son budget. Ce sont les logements sociaux qui vont en pâtir. Combien de SDF crèveront de froid dans la rue cet hiver, en fouillant les poubelles souillées de javel des restaurants à 300 euros le menu où se gobergent nos banquiers nécessiteux ? 925 millions de nos compagnons subissent la famine de par le monde. Les sommes investies pour tenter de sauvegarder les crapules qui spéculent sur leur misère suffirait à les nourrir pendant plus de dix ans ! Las, le capitalisme nous montre son vrai visage, une bande de pique - assiette boulimiques prêts à sucer jusqu’à la dernière goute de notre sang pour satisfaire leurs appétits démesurés. Nous n’avons plus les moyens d’entretenir ces parasites, il faut nous en débarrasser.


Il est grand temps pour nous, les « pue-la sueur » qui faisons tourner la machine, de reprendre ce qui nous appartient des mains de ces affameurs fauteurs de guerres.


Derrière ces salops se terrent les politicards de tous poils, prêts à profiter de la crise pour enrôler sous leur pouvoir les victimes déboussolées des répercussions de celle-ci. Après 29 c’étaient les fascistes, les nazis et autres Roosevelt, Staline, etc. partisans d’un État fort. Aujourd’hui quelle nouvelle doctrine vont-ils nous concocter pour maintenir le peuple en une masse incapable de se révolter autrement que par procuration ?


La chute du mur de Berlin a sonné le glas de la dictature au nom du prolétariat et inauguré l’hégémonie mondiale du capitalisme libéral.


Aujourd’hui ce beau modèle commence lui aussi à se fissurer. À nous, par nos luttes collectives solidaires, de lui porter le coup de grâce afin qu’il s’effondre lamentablement
.

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28 octobre 2008 2 28 /10 /octobre /2008 08:35
«Le phénomène le plus grave est celui auquel nous assistons sans jamais le dénoncer.»
Protestation devant les libertaires du présent et du futur sur les capitulations de 1980, par un Incontrôlé.

Jean-Marc Rouillan est à nouveau en prison. Il a rompu le silence pour annoncer qu’il tournait la page de son passé et commenté — brièvement — l’interdiction qui lui est faite de parler d’une stratégie révolutionnaire jugée il y a 22 ans aujourd’hui.



Par cette «Affaire Rouillan»
, l’État réaffirme aujourd’hui sa volonté de s’attaquer à la liberté de parole. Les interprétations crapuleuses de l’interview accordée à L’Express, attisées par certains medias et soutenues par le tribunal d’application des peines, veulent museler et punir l’expression politique de l’écrivain qu’est Jean-Marc Rouillan. Sa réincarcération «préventive» nous le prouve.

Nous considérons que les conditions de la remise en détention de Jean-Marc Rouillan sont une atteinte au droit de libre expression.
Nous affirmons que Jean-Marc Rouillan n’a pas dérogé aux contraintes qui régissent le régime de semi-liberté accordé en décembre 2007.
Nous affirmons également notre révolte face à cette décision qui relève de l’acharnement et de la volonté de faire taire Jean-Marc Rouillan. Lui aujourd’hui et nous demain.
Nous réclamons donc la libération sans condition
de Jean-Marc Rouillan.
Comme lors de la conférence de presse du  Le PCF  et le NPA étaient présent  , à Valence comme ailleurs la bataille prend de l'ampleur

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27 octobre 2008 1 27 /10 /octobre /2008 14:02
http://irelandsown.net/workersunite2.jpg

Il nous semble important de signaler samedi 25 au matin la grève se poursuit au dépot ; barricades et 100% de grévistes pour:
-déblocage des salaires
- primes
- contre les inégalités entre les agents que cela (soit pour les jours travaillés) et  contre les disparités salariale
.
Cette semaine un délégé CGT annonça ce jour là une rencontre prochaine ( semaine du 27 au 31) avec les  élus.
Message donné par un militant de la CNT -Ait -Valence.
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27 octobre 2008 1 27 /10 /octobre /2008 05:23

La tourmente financière mondiale et ses répercussions sur l'économie réelle risquent de créer 20 millions de nouveaux chômeurs dans le monde d'ici à la fin 2009, a prévenu, lundi 20 octobre, le directeur général du Bureau international du travail (BIT), Juan Somavia.

Selon des estimations du BIT, "le nombre de chômeurs pourrait passer de 190 millions en 2007 à 210 millions fin 2009", a indiqué M. Somavia lors d'une conférence de presse, ajoutant que ces chiffres pourraient s'aggraver en fonction de l'impact de la crise sur l'économie réelle. "Cela serait la première fois dans l'histoire [mondiale]", a-t-il ajouté, prévenant que ce chiffre pourrait même s'aggraver en fonction de l'impact de la crise sur l'économie réelle.

"L'IMPACT SERA GLOBAL"

"Nous avons besoin d'une action rapide et coordonnée des gouvernements pour prévenir une crise sociale qui pourrait s'avérer sévère, longue et globale", a encore expliqué le responsable. Selon M. Somavia, le nombre de "travailleurs pauvres" qui vivent avec moins de un dollar par jour pourrait croître de 40 millions tandis que celui des personnes gagnant moins de deux dollars pourrait augmenter de 100 millions entre 2007 et 2009. Il a toutefois estimé que "l'impact serait global" et que les secteurs les plus touchés devraient être le bâtiment, la finance, les services, la construction et le tourisme.

"Les pays qui ont un marché intérieur large avec moins d'exportation" devraient être les moins touchés, a ajouté M. Somavia. "Ce n'est pas seulement une crise de Wall Street, c'est aussi une crise de toute la rue", a résumé M. Somavia estimant nécessaire un plan de sauvetage concentré sur l'économie réelle et les questions sociales. Le directeur du BIT a ainsi souligné que la question du travail décent, promue par son organisation, devrait être "au coeur" des discussions à venir sur la refonte du système financier international annoncée par les présidents

français et américain, Nicolas Sarkozy et George Bush. La crise doit être saisie comme une "opportunité" de

rééquilibrer la mondialisation devenue "inéquitable et non durable", a-t-il encore considéré. Selon le responsable,

il s'agit de redonner sa place à l'économie réelle, affaiblie par la sphère financière. Le "niveau des profits [du secteur financier] était devenu si élevé que les banques préféraient la finance" au soutien des entreprises créatrices d'emplois, a expliqué M. Somavia. "Le système financier international doit revenir à sa fonction

fondamentale, qui est le prêt."


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21 octobre 2008 2 21 /10 /octobre /2008 14:11
A la lecture de court article sur la grève chez les agents météo Les o....es syndicales donnent la voix :
" ce relevé acte le maintien de 15 centres supplémentaire
s, ce qui porterait leur nombre à 55 et laisserait sans doute Montélimar, mais saceifierait Aubenas" selon Jean pierre Saurel  secrétaire de l'UL -CFDT.

                                                                     
Un tract de l'AG des grévistes de Météo France -Toulouse
Les grenouilles sortent de leur bocal :
Tous ensemble, défendons l'avenir !

Depuis ce lundi 13 octobre, Météo-France, service public de la météorologie nationale est en grève dans la presque totalité de ses centres territoriaux. C'est le cas ici à Toulouse, principale implantation abritant les centres nationaux de prévision, de calcul, de production, de formation et de recherche. Depuis mardi nous avons pris la décision de bloquer notre site.

Pourquoi une mobilisation d'une telle ampleur ? La Direction de Météo-France, appliquant avec un zèle servile qui lui tient lieu de réflexion stratégique les directives de casse sociale dictées par l'État, veut tout bonnement fermer 60% des centres météorologiques et supprimer plus de 500 emplois d'ici 2017… sur un total (métropole+dom-tom) de tout juste 3700 météos. Une véritable boucherie !

Dès le mardi soir, les bonzes de la Direction appelaient en renfort les CRS pour briser violemment la résistance pacifique des personnels de toutes les régions réunis ce jour là. Depuis lors, nous avons joué le jeu de la « discussion », relâchant le blocage du site de Toulouse selon les modalités voulues par la Direction. Aujourd'hui, vendredi, force est de constater que nous nous sommes fait berner. Il n'y a pas, il n'y a jamais eu, de volonté de proposer autre chose que les attaques prévues initialement.
Tous se réfugient derrière la grande faucheuse, la sacrosainte RGPP qui sévit dans tous les secteurs de la fonction publique, écoles, hôpitaux, équipement, etc. Dans le privé aussi, les patrons ne sont jamais à court d'arguments « raisonnables », indépendants de leur « bonne » volonté… quand il s'agit de délocaliser ou de virer les ouvriers pour préserver leurs profits. Qu'à cela ne tienne ! Nous n'avons pas entamé ce combat dans un esprit corporatiste et nous ne tenons pas à rester enfermés dans notre bocal !


Les emplois que nous défendons ne sont pas seulement les nôtres, ce sont ceux que prendront demain ceux qui en sont privés aujourd'hui et plus encore les générations nouvelles. Ici comme partout ailleurs, on s'en prend au tissu social de proximité, au service rendu à toute la communauté, à la capacité d'assurer la sécurité des personnes et des biens.
Quant à la nécessité de mener une recherche ambitieuse dans l'intérêt de tous, elle se limite souvent à de l'affichage, sur le changement climatique par exemple, sans jamais se donner les moyens de tels enjeux. Tout est sacrifié à la rentabilité à courte vue d'un système économique aux abois qui ne connaît la générosité que lorsqu'il s'agit de renflouer ses propres caisses en organisant le gigantesque racket que nous avons aujourd'hui sous les yeux.

Une seule réponse peut nous permettre de préserver l'avenir : étendre et unifier nos luttes, nous retrouver tous ensemble pour stopper cette course sans fin au profit de l'hyper-accumulation de quelques-uns et au détriment de conditions de vie et de travail — quand il y en a — toujours plus dégradées pour tous les autres.
Faisons de chaque lutte un point de fixation et d'extension pour tous ceux qui ne se résignent plus.

Travailleurs de tous secteurs, venez discuter avec nous et rejoignez la lutte des grenouilles ! Rendez-vous lundi à partir de 9H00 le matin et 18H00 le soir, à l'AG permanente qui se tient 42 av. Coriolis, quartier des Pradettes.
Notre plate-forme revendicative reste le maintien des effectifs et des moyens budgétaires ; le maintien des implantations territoriales ; l'affectation de personnel dans les centres départementaux en sous-effectif.
L'Assemblée Générale des personnels de la météorologie en lutte
Faites circuler
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Articles RÉCents

Agenda

    dimanche 30 juin

15h à 16 h

accueil de familles de prionnier-e-s

discussion , infos et peites recettes

pour les proches de détenu(E)s...

- aides juridique

-participation à l'émission de radio Mega

du 22 juillet