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Le laboratoire Anarchiste
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La tyrannie la plus redoutable n'est pas celle qui prend figure d'arbitraire, c'est celle qui nous vient couverte du masque de la légalité." Albert Libertad

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le blog du laboratoire anarchiste

File:Wooden Shoe.svg
2 juin 2013 7 02 /06 /juin /2013 22:51

 

pour l'accueil de l'info tour anti THT à valence.

l'ouverture du laboratoire se fera à 19 h15

tout d 'abord un buffet prix libre de soutien à l'info tour

la projection se fera vers 20h.

la discussion se fera après.

un enregistrement des débats est possible, si les gens présent le décident .

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1 juin 2013 6 01 /06 /juin /2013 19:44

 

Infotour anti-THT, contre la ligne très haute tension dans le Cotentin

Un infotour anti-THT (contre la ligne très haute tension dans le Cotentin) fait le tour de France. Il passera à valence le lundi 3 juin

"Gardons-nous de voir dans ce qui s’est passé à Valognes fin novembre une forme décisive et définitive que prendrait un toujours improbable mouvement antinucléaire en France. Constatons simplement, modestement et de manière réaliste, que quelque chose s’y est potentiellement ouvert et que c’est d’ailleurs le pari que nous avions fait."1

En décembre 2011 démarre un chanter titanesque dans le Cotentin, censé relier via des pylônes Très Haute Tension, le futur réacteur EPR et le reste du réseau ....

Face à cela une résistance s’organise. Occupations de chantiers, déboulonnage public et nocturne, sabotages ... En lien avec la population locale une résistance s’organise, des liens se créent que la répression et les pots de vins d’EDF n’auront pas réussi à vaincre.

La construction de la ligne THT, s’inscrit dans un projet plus global, qui comme le TGV Lyon/Turin ou l’aéroport de Notre Dame Des Landes participe d’une dépossession de nos vies au profit d’une logique d’accélération technologique et industrielle servant toujours les mêmes intérêts.

Dans ces territoires en voie de dévastation la question du travail court parmi les opposants et peut être parmi les ouvriers au service des dévastateurs . Face à la logique du « toujours plus vite, toujours plus d'aménagement, toujours plus de contrôle2 », certains nous montrent qu’avec la confiance et la détermination dans l’action collective les individus ont encore la faculté de reprendre leurs affaires en mains.A Istambul et Ankara et Izmir les révoltes s 'amplifient contre l'état turc ,qui méprisent la population, en faisant des travaux qui participent à la dépossession de territoires. Solidarité aux révoltés face à la même logique du ".toujours plus..,toujours plus... et toujours plus de..."

L’info-tour sera pour nous l’occasion de discuter avec les acteurs de la lutte contre la ligne haute tension dans le cotentin.

texte de présentation :
"PRENDRE UN PEU DE DISTANCE, partager le récit de nos aventures rocambolesques entre déboulonnages publiques de pylônes THT, virées nocturnes en compagnie vigilesque, paperasses de tribunaux et autres cours d’appel, assemblées générales horizontales, gestion des massmedias et travail d’automedia, blocages de chantiers, occupations de bois et de château d’eau, débats interminables sur les modes d’action et la violence. Mais encore, entendre d’autres histoires, celles aux abords de chantiers d’autoroutes ou lignes à grande vitesse, de centres d’enfouissement de déchets radioactifs, de lignes THT, de gaz de couche ou de schistes, et bien d’autres…
CE N’EST PAS L’ACHÈVEMENT DE LA LIGNE THT Cotentin-Maine, ni la répression qui l’a accompagnée, qui ont entamé notre détermination et notre désir de continuer. Au contraire, car nous pensons que les liens tissés ici et là constituent notre force. En nous organisant ensemble, au-delà des frontières administratives et thématiques, et de nos divergences politiques, nous pouvons non seulement gagner quelque chose mais aussi tisser des amitiés et des solidarités pour pouvoir mieux en faire baver à celleux d’en face, voire y prendre un certain plaisir.AUSSI, comme nous nous sommes amusé.e.s à faire un film sur ce que nous avons vécu ces derniers mois en Normandie, nous proposons de le voir ensemble en préliminaire à des échanges, pour en sortir avec des pistes d’actions, de nouvelles envies d’écriture et d’autmedia, de nouveaux copains-ines à qui rendre visite, etc."3
lundi 3 Juin à 19 h15
au laboratoire
8, place St jean ( place du marché couvert) 26000

1 novembre 2011un camp de + 800 personnes pour bloquer un convoi de dèchets nucléaire. Extrait d'un tract valognes et après

2Référence au livre d'Arnaud Michon " le sens du vent notes sur la nucléarisation de la France au temps des illusions renouvelables"

3Texte de l'info tour anti- THT

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1 juin 2013 6 01 /06 /juin /2013 12:35

solidarité aux révoltés d'istambul face à un gouvernement  qui signé au mois de mai  un accord avec Areva et Mishubishi pour une contruction d'une centrale nucléaire à SINOP. Révolte  contre un gouvernement ultra autoritaire ( grand ami de l'europe et patrtenaire de l'OTAN) lundi 3 juin , on propose à l'assemblée réunie afin d'accueillir l'info tour anti THTd'écrire et plus pour le soutien aux révoltés....

le message ci dessous lu sur les nouvelles du front

collectif le laboratoire

Dans la nuit du 31 mai au 1er juin, de violents affrontements ont lieu tandis que de nouveaux appels à manifester ont été lancés, avec des solidarités, notamment de mouvements kurdes.

Des manifestations ont gagné Brodum, Edirne, Mersin, Mugla, Ankara, Konya, etc… Cette nuit, deux batiments gouvernementaux sont en feu à Istanbul.

Un projet d’aménagement urbain enflamme le centre d’Istanbul

des manifestations ont gagné Brodum, Edirne, Mersin, Mugla, Ankara, Konya, etc… Cette nuit, deux batiments gouvernementaux sont en feu à Istanbul.

De violents affrontements ont opposé, vendredi 31 mai, les forces de l’ordre à des manifestants dans le centre d’Istanbul, faisant des dizaines de blessés, à la suite d’un rassemblement dirigé contre un projet d’urbanisation controversé qui a tourné en protestation contre le gouvernement.

Les incidents ont débuté dès l’aube, lorsque des policiers ont délogé à grand renfort de canons à eau et de gaz lacrymogènes les quelques centaines de personnes qui campaient dans un parc de la place Taksim, au cœur de la mégapole turque, pour empêcher le déracinement de six cents arbres dans le cadre d’un projet d’aménagement urbain.

Violente, l’intervention a fait de nombreux blessés et a suscité la mobilisation de toute la société civile stambouliote, dont de nombreux militants qui ont grossi les rangs des protestataires au fil de la journée.

Jusqu’à la tombée de la nuit, la police et les manifestants se sont affrontés sur la place et dans les rues environnantes, au milieu de nombreux touristes et d’une épaisse fumée toxique qui a contraint les autorités à fermer plusieurs stations de métro.

Des nombreux manifestants ont été blessés, victimes de fractures ou de détresse respiratoire, certains gisant inconscients de longues minutes avant d’être secourus. Deux personnes, dont un journaliste, ont été sérieusement blessées à la tête, a constaté un photographe de l’AFP.

 LA CONTESTATION GAGNE ANKARA ET IZMIR

Selon le gouverneur de la ville, Huseyin Avni Mutlu, douze personnes étaient toujours hospitalisées en fin de journée, dont une femme victime d’une fracture du crâne, et au moins soixante-trois personnes ont été interpellées.

Amnesty International a de son côté évoqué « une centaine » de blessés, critiquant« le recours excessif à la force contre des manifestants pacifistes », pendant que Reporters sans frontières (RSF) dénonçait les « attaques ciblées » des forces de l’ordre contre des journalistes.

Sur les réseaux sociaux, des milliers de personnes ont exprimé leur soutien aux manifestants opposés au projet de transformation de la place TaksimEn soirée, la contestation a commencé à gagner la capitale, Ankara, et Izmir (Ouest), où des milliers de personnes ont dénoncé les violences d’Istanbul, selon les télévisions turques.

  »VOUS N’ÊTES PAS PROPRIÉTAIRES DE LA TURQUIE »

A l’origine de la contestation, le réaménagement de la place Taksim, qui prévoit la suppression du parc Gezi au profit d’un centre culturel, d’un centre commercial et de la reconstitution d’une caserne militaire de l’époque ottomane.

Le projet de la municipalité, tenue par le parti islamo-conservateur au pouvoir, est dénoncé par de nombreux urbanistes, architectes et écologistes. Ils ont remporté une première victoire vendredi avec la décision d’un tribunal administratif d’Istanbul de suspendre le projet de reconstruction de la caserne. L’apparition de bulldozers lundi matin a provoqué les premiers incidents entre la police et les militants et les riverains qui montaient la garde dans le parc, soutenus par des députés de l’opposition.

Leur mouvement a très vite pris un tour politique en dénonçant le gouvernement et ses méga-projets de construction à Istanbul, comme le troisième pont sur le Bosphore, dont la première pierre a été posée mercredi, ou un aéroport géant.

« Vous ne pouvez pas faire ça. Vous n’êtes pas propriétaires de la ville, vous n’êtes pas propriétaires de la Turquie », a lancé le député kurde Ertugrul Kurkcu, ajoutant : « Ceux qui servent le peuple ne peuvent pas le frapper ou le gazer. »

ERDOGAN SURNOMMÉ « L’HOMME QUI GAZE »

Le premier ministre, Recep Tayyip Erdogan, est devenu la cible des réseaux sociaux, qui l’ont rebaptisé « Tayyip le chimique » ou « l’homme qui gaze »« Ces gens ne se soumettront pas devant toi », ont affiché les contestataires du parc Gezi sur une banderole.

Si le revenu par habitant a triplé en Turquie depuis l’arrivée au pouvoir du Parti de la justice et du développement (AKP), en 2002, M. Erdogan est accusé de dérives autoritaires et de vouloir « islamiser » la société turque. La semaine dernière, le vote d’une loi restreignant la consommation et la vente d’alcool a ainsi suscité l’ire des milieux libéraux.

M. Erdogan a fait savoir mercredi qu’il ne reculerait pas. « Faites ce que vous voulez, nous avons décidé », avait-il lancé à ses détracteurs.

Leur presse – LeMonde.fr (Guillaume Perrier), 31/05/2013 à 21h17 

Une vidéo:

VOIR LA VIDEO

Sur le compte twitter du même journaliste, on apprend la mort d’un manifestant par crise cardiaque, après avoir été pris dans les gaz.

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31 mai 2013 5 31 /05 /mai /2013 09:41
Il y a 30 ans, j'ai été condamnée par le tribunal de Francfort sur les seules déclarations de mon fiancé d'alors, Hermann F., déclarations que je n'ai pas été la seule à l'époque à considérer comme irrecevables.
En juin 1978, Hermann a été très grièvement blessé, lors d'une explosion dans son appartement, après qu'un engin explosif destiné au consulat argentin de Munich - c'était en 1978 au moment de la Coupe du monde de football en Argentine, à l'époque de la dictature- a explosé prématurément. Moins de 24 heures après avoir perdu ses deux yeux suite à une intervention médicale et après avoir été amputé des deux jambes, juste au-dessous du bassin, les interrogatoires commençaient, menés par les services du procureur et la police. Ils ont continué jusqu'en octobre 1978, c'est pourquoi Hermann a même été maintenu dans des casernements de la police (!) - et tout ceci sans qu'aucun mandat d'arrêt n'ait été émis.
Dans un article du "Spiegel", on pouvait lire à ce propos le 24 novembre 1980: "Les moyens utilisés par les enquêteurs et les procureurs pour asseoir la base de leurs accusations, le fait et la raison pour lesquels la « cour pour la protection de l'Etat » organise ce procès, représentent l'un des pire moments dans l'histoire de la justice ouest-allemande."
Cette opinion a été, à l'époque, largement partagée et nous avons bénéficié pendant le procès de 1980-1982 d'une très forte solidarité.
Malgré tout cela, c'est sur la base de ces déclarations que j'ai été condamnée. Cela fait plus de 30 ans que nous vivons ensemble : Hermann, mon mari et ma famille. Et nous étions parvenus à organiser une vie calme et stable, bien que Hermann souffre, en plus du fardeau de la cécité et de l'amputation, de graves crises d'épilepsie qui mettent sa vie en danger.
Le danger des crises épileptiques le menaçant en permanence, nous n'avons, pendant 30 ans, pas parlé avec lui de ses interrogatoires et de ses déclarations de 1978. J'ai décidé d'en rester là, afin de ne pas mettre en danger sa santé, ayant été témoin de crises violentes et répétées. Aujourd'hui, on me refuse, dans le procès en cours, le droit en tant que témoin, de me taire. Si j'ai bien compris, étant novice en matière juridique, l'éventuelle irrecevabilité des déclarations d'Hermann, n'aurait été qu'une erreur commise dans le précédent procès, et cela n'aurait rien à voir avec mon obligation actuelle de témoigner. C'est ce que je ne comprends pas. Cette possible erreur dans la procédure, constituait le point central du jugement à mon encontre. Et plus encore: il s'agissait d'une violation grave des droits de l'homme, qui pourrait permettre aujourd'hui de saisir la Cour Européenne de justice.
Ce n'était pas ma décision et encore moins celle de Hermann de réveiller des faits vieux de 34 ans. Mais si le tribunal de Francfort en décide ainsi aujourd'hui, j'estime qu'il est indispensable de prendre en considération avant tout les méthodes employées en 1978 par la police et la justice à l'égard de Hermann. Ceci est le fond, l'essence de « ma conviction » - le parquet m'avait désignée à l'époque comme "coupable, criminelle par conviction" - et détermine mon attitude dans ce procès.
Ma décision de me taire n' a rien à voir avec l'envie ou l'humeur du moment, comme me l'avait reproché la Présidente du tribunal. J'y ai longuement réfléchi, surtout parce que les lourdes conséquences qu'elle entraine, ne me concerne pas uniquement, mais aussi ma famille et notre vie avec Hermann. Et sur ce point, c'est la cour qui décide, et pas moi.
J'ai pris la décision de ne plus faire aucune autre déclaration dans ce procès
                                        
S. avril 2013
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31 mai 2013 5 31 /05 /mai /2013 09:24

  

 

Modalités pratiques:

Il s’agit d’adresser un courrier au président du tribunal de Francfort. L’important est que ce courrier soit authentifié, par votre signature et, si vous le voulez, votre statut dans le corps des personnels de santé, cachet, etc…

Vous pouvez aussi, évidemment, si vous le désirez, adresser un message personnel, exprimant mieux votre sentiment sur cette affaire que la lettre que nous vous proposons.

 

Il est important que les avocats soient informés des développements de cette action. Ce serait bien, donc, de nous communiquer  par mail une copie de votre lettre que nous leur transmettrons.


  Adresse postale du président du tribunal, avec la référence au dossier de Sonja Suder et Christian Gauger :

 

An den Präsidenten des

Landgerichts Frankfurt/Main

Aktenzeichen: Sonja Suder 5/22 Ks- 6150 Js 25777/94 (13/11)

 

 

Gerichtsstr.

60313 Frankfurt/M.

Allemagne

 

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31 mai 2013 5 31 /05 /mai /2013 09:03

 

nous publions la lettre à envoyer aux autorités judiciaires en allemagne .pour  les renseignements supplémentaires voir ici . Si vous ne pouvez pas la recopiez envoyé un mail à  cette adresse c.l-v@hotmail.fr

Monsieur le Président du Tribunal de Francfort

 

Nous vous demandons de renoncer à l’utilisation dans le procès contre Sonja Suder et Christian Gauger des déclarations de Monsieur Hermann Feiling obtenues en 1978 au lendemain de son amputation des deux jambes et de l’énucléation des deux yeux.

Ces interrogatoires consignés dans un rapport de 1300 pages par des agents de l’administration judiciaire et policière, alors que Monsieur Hermann Feiling était maintenu dans un isolement complet pendant plus de quatre mois, constituent une violation de :

 

-       l'article 5 de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme,

 

Article 5 : Nul ne sera soumis à la torture, ni à des peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants.

 

-       de l'article 3 de la Convention Européenne des droits de l’Homme, dont votre pays est signataire

 

Article 3 : Interdiction de la torture

Nul ne peut être soumis à la torture ni à des peines ou traitements inhumains ou dégradants.

 

-       de l'article 4 des principes de l’éthique médicale de la déclaration du Haut Commissariat des Droits de l’Homme,

Principe 4 : Il y a violation de l'éthique médicale si des membres du personnel de santé en particulier des médecins:

b) Certifient, ou contribuent à ce qu'il soit certifié, que des prisonniers ou des détenus sont aptes à subir une forme quelconque de traitement ou de châtiment qui peut avoir des effets néfastes sur leur santé physique ou mentale et qui n'est pas conforme aux instruments internationaux pertinents, ou participent, de quelque manière que ce soit, à un tel traitement ou châtiment non conforme aux instruments internationaux pertinents.

 

-       des articles 5, 6 et 7 de la Résolution de l’Association Médicale Mondiale, lors de sa 57ème assemblée en 2003 et de sa 58ème assemblée en 2007 incitant les Associations médicales

 

Article 5 : permettent que soit établie une meilleure corrélation entre les examens cliniques, la connaissance des méthodes de torture et les allégations des patients sur les abus commis.

 

Article 6 : facilitent l’établissement de rapports médicaux de grande qualité sur les victimes de la torture pour soumission aux corps judiciaires et administratifs.

 

Article 7 : veillent au mieux à ce que les médecins respectent le consentement éclairé et évitent de mettre en danger des individus en documentant des stigmates de torture et de mauvais traitement.

 

-       de l’article 1 de la Constitution fédérale d’Allemagne.

« La dignité de l’être humain est intangible. Tous les pouvoirs publics ont l’obligation de la respecter et de la protéger. »

 

C’est pourquoi, au vu de ces graves manquements au respect de la personne, au droit à un procès équitable et au refus de l’utilisation de traitements inhumains et dégradants pour obtenir des déclarations, nous vous demandons instamment de renoncer à l’utilisation des déclarations ainsi qu’à la convocation de Monsieur Hermann Feiling déjà fortement éprouvé afin de ne pas mettre sa vie en danger.

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30 mai 2013 4 30 /05 /mai /2013 22:08

 

article lu sur internet. le moulin à vent de la transition énergétique brasse la poussière qui permet  de cacher la prochaine usine melox de chusclan à l'horizon 2014 . le mox c'est.  Georges Besse 2 sud et nord ont été inauguré  dans le silence complet. une nouvelle qui tourne actuellement sur internet d'une future ennquête publique pour la prochaine ligneT HT dans les hautes Alpes. il faut bien prévoir l'électricité nescessaire pour le TGV  lyon Turin. mais nous habitants dans la vallée du Rhones sont contre le TGV lyon Turin et nous soutenons  avec nos informations les No TAV

ci dessous les perspectives d'Areva juillet 2012. aux lecteurs du blog à rectifier les perspectives

Contrats à l'international

L’existence d’une filière Mox française est aussi une question majeure pour les contrats à l’international. Le modèle français d’une filière du combustible fermée, qui retraite les combustibles usagers, est un exemple pour plusieurs pays dans le monde. Aux Etats-Unis, le groupe français est engagé dans la construction d’une usine de Mox à Savannah River (Caroline du Sud), dans le cadre du programme "Mox for peace" (Mox pour la paix). L’idée est d’utiliser le combustible d’armes nucléaires. 

Le gouvernement britannique entend construire une usine sur le site de Sellafield afin d’alimenter en Mox la dizaine de réacteurs à construire pour remplacer le parc existant. Le projet avait connu un coût d’arrêt après l’accident de Fukushima, mais le gouvernement Cameron relance la procédure. Un appel d’offres sera lancé dans les mois prochains et devrait durer 18 mois environ. Son montant n’est pas connu, mais les autorités britanniques souhaitent que le prix à payer par le contribuable ne dépasse pas 10 milliards d’euros.

Chine et Japon

La Chine entend également se doter d’un cycle du combustible fermé à la française. Dans ce cas, la France pourrait être impliquée dans la vente d’un site industriel regroupant à la fois les équivalents du site de retraitement de la Hague et de la production de Mox de Mercoule. Ce contrat d’architecte et de fourniture de matériels représenterait une enveloppe globale de 15 milliards de dollars. En septembre, un accord intergouvernemental entre la Chine et la France devrait être signé sur les conditions de vente et d’exploitation de ces installations industrielles. C’est la phase préliminaire pour engager de réelles discussions commerciales.

Enfin, Areva regarde attentivement le Japon. En août, le pays présentera son programme de politique énergétique. Le gouvernement nippon pourra identifier les centrales à fermer et à conserver. Les sites mis à l’arrêt vont demander la gestion d’une importante quantité de combustibles usagés. En l’absence de capacités de stockage suffisantes, le retraitement est une solution envisagée par le pays. Il étudie un projet d’usine appelé J-Mox.

Dominique Mockly, le directeur exécutif de l’aval chez Areva, n’a pas peur du débat sur la transition énergétique : "C’est important de parler de ces sujets comme le Mox et le démantèlement. C’est quand on ne parle pas de ces thèmes qu’ils se compliquent". Puis il s’enthousiasme : "Le Mox est la base de l’innovation dans le nucléaire. Les réacteurs de quatrième génération fonctionneront au Mox et assureront l’indépendance énergétique du pays".

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30 mai 2013 4 30 /05 /mai /2013 16:29

texte de la voix des Rroms

Environ 200 Rroms ont été expulsés hier matin à Saint-Denis, Porte de Paris. Dans la soirée, après une manifestation devant la sous-préfecture et la mairie, la préfecture du département a dit pouvoir répondre par des hébergements à l’hôtel pour seulement 3 familles et deux adultes malades.

Une circulaire du 26 août 2012 “relative à l’anticipation et à l’accompagnement des opérations d’évacuation des campements illicites” invite les préfectures à mener des diagnostics sociaux afin de répondre globalement à chaque situation lorsqu’un bidonville est expulsé, et ceci le plus en amont possible. En pratique, et c’est confirmé une fois de plus ici, la fameuse “réponse” consiste en un hébergement à l’hôtel pour quelques nuits. Pour ce groupe de familles expulsées hier, la préfecture dit qu’un tel hébergement a été proposé pendant le diagnostic social, réalisé par GIP (groupement d’intérêt publique) Habitat il y a quelques semaines, mais que personne n’avait demandé un tel hébergement. Et pour cause, pourquoi demander aller à un hôtel dont on ne sait pas où il se situe, mais dont on sait pertinemment qu’il sera loin, qu’on ne pourra pas y cuisiner, qu’il faudra prendre ses repères autour et qu’on n’y restera pas plus que quelques nuits, lorsqu’on est dans la baraque qu’on a construit soi même dans une ville qu’on connaît et où on se sent chez soi?

Cet événement, comme d’autres, pose la question de la circulaire du 26 août 2012 “relative à l’anticipation et à l’accompagnement des opérations d’évacuation des campements illicites”. A quoi sert-elle en réalité?

D’abord, elle a servi à rassurer la Commission européenne, qui avait mis encore sous surveillance la France lorsque, l’été dernier M. Valls a déclaré vouloir poursuivre le “démantèlement des campements illicites”, terminologie créée par Brice Hortefeux en 2010. Avec cette circulaire, assez vague, le gouvernement français montre à la Commission européenne que sa politique respecte la Charte des droits fondamentaux de l’Union européenne. La Commission européenne sera-t-elle dupe?

Ensuite, la circulaire permet de continuer la politique menée depuis longtemps en la matière. Cette politique combine démagogie tsiganophobe et gaspillage de l’argent public. Depuis plus d’un an, le ministre de l’intérieur Manuel Valls persiste à créer des tensions en répétant à l’envi que les riverains de ces “campements illicites”, qui se situent dans des “quartiers populaires” sont “exaspérés” et “excédés”. Il cite en exemple de cette exaspération des incendies dont précisément, la police n’a jamais pu établir la cause. Dans les rues, dans les magasins, partout, le rejet raciste des Rroms est de plus en plus palpable, nourri par ce type de discours.

En plus du racisme qui la sous-tend et qu’en même temps elle suscite, cette politique est désastreuse financièrement parlant. M. Valls se vante d’avoir supprimé l’”aide au retour humanitaire”, qui avait selon lui “des effets pervers” et qui en fait était perverse dans les raisons qui ont mené à sa création. Il ne faut en effet pas oublier que les premiers “demandeurs” de cette aide signaient la demande dans des autocars affrétés par l’Etat pour partir vers Bucarest, sous la menace de passer quelques jours ou semaines en centre de rétention et d’être expulsés en avion sans les 300 euros proposés. Autre gouvernement, autre temps, autre méthodes: Il faut consommer en France et français avant tout!

Avant, les 300 Euros étaient dépensés en Roumanie, y compris les 100 dédiés au retour en France en autocar. Désormais, l’argent français est bien dépensé en France. Il va aux caisses des opérateurs de l’Etat chargés de faire les diagnostics sociaux et aux hôteliers qui hébergeront quelques nuits quelques Rroms expulsés de leurs habitations.

Dans le département de al Seine-Saint-Denis (93), l’un des moins chers, le tarif pratiqué par les hôteliers pour l’hébergement d’urgence est de 37 euros par personne et par nuit, soit bien plus cher que le prix pratiqué en temps normal, et fixé par chambre, pas par personne. L’hébergement à l’hôtel est une mise à l’abri, toujours provisoire. Généralement, il est maintenu pour 2-3 nuits.

La France devrait avoir honte de ceux qui la dirigent. Marianne, si elle était en chair et en os, serait la femme la plus malmenée de France et de Navarre, et même au-delà. Et ce n’est certainement pas les Rroms qui sont responsables. Ils ne sont qu’une carte avec laquelle les autorités et leurs alliés jouent un sale jeu de poker, où les enjeux, politiques ou financiers, sont complètement étrangers aux Rroms. Il y a d’autres cartes dans ce sale jeu: les mal-logés, les chômeurs, les sans-papiers… le jour où ces cartes deviendront des joueurs, ils pourront casser le jeu et construire le vivre ensemble.

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30 mai 2013 4 30 /05 /mai /2013 16:05

Je ne peux pas laisser tomber des camarades des années 70 -80 pris dans un filet judiciaire vengeur., pour celà je publie cette photo.

pour consulter le blog: linter.over-blog.com

 

Blockupy-2013.jpg

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29 mai 2013 3 29 /05 /mai /2013 20:52
lu sur le blog perce- oreilles
Pour en finir avec la psychiatrie


Pour en finir avec la psychiatrie
Discussion autour d'un micro à l'occasion des rencontres "Pour en finir avec la psychiatrie" à Marivieille sur la commune de Bellegarde en diois (26), qui ont eu lieu du 11 au 15 octobre 2012.
Autour de la table : Nathalie, Jean-Luc, Denis, Yves et ensuite Nadia, François et un anonyme.
Parmi ces personnes, il y a des artisan-es de la revue Sans Remède, et les personnes qui animent l'émission l'Entonnoir sur Radio Libertaire à Paris.
Nous avons parlé de la loi du 5 juillet 2011 qui réforme les conditions d'enfermement psychiatrique sans consentement, du DSM ou Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux, des rencontres qui ont eu lieu en Ariège au Mas d'Azil les 9,10 et 11 septembre 2011, celles du 2 au 5 août 2012 à la Borie dans le Gard et aussi de co-écoute.  Nous avons échangé sur la pression à la normalisation dans cette société, au sens politique de lutter contre l'enfermement. Et puis les participant-es ont témoigné sur des ateliers et expériences pratiques.

[Merci la pluie : au lieu de faire du jardinage, on fait du montage !]

Lien vers la revue :
www.sansremede.fr




Sur la bande-son : Shai Maestro Trio, Oï Va Voï, Cat Power, Serge Gainsbourg, René Binamé, Michael Jackson et Radiohead.


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Articles RÉCents

Agenda

    dimanche 30 juin

15h à 16 h

accueil de familles de prionnier-e-s

discussion , infos et peites recettes

pour les proches de détenu(E)s...

- aides juridique

-participation à l'émission de radio Mega

du 22 juillet